Egidius a écrit 356 commentaires

  • [^] # Re: Linux n'est pas un produit

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linux n'est pas un produit. Évalué à 4.

    C'est surtout le co-fondateur et un administrateur d'une distribution linux commerciale
    Progeny
    Fais donc un tour du coté
    http://www.progeny.com(...)

    Ton commentaire ressemble à de la désinformation.
    Je suis sur que ce n'est pas volontaire mai à l'avenir, renseigne-toi, avant de réagir.
  • [^] # Re: Linux n'est pas un produit

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linux n'est pas un produit. Évalué à 6.

    Ta réponse est une bonne illustration de ce que Ian Murdock critique.

    En fait, il propose de considérer Linux comme une infrastructure et non pas comme un produit.
    Il reconnait que le modèle économique des distributeurs reste à inventer.
    Dans la mesure où Murdock est lui-même administrateur de Progeny, un distributeur commercial de Linux, ses remarques méritent vraiment qu'on y réfléchisse.

    Je propose une traducton en français de l'article à
    http://linuxfr.org/~egidius/4595.html(...)
  • # Re: Rodidjiu d'crénom

    Posté par  . En réponse au journal Rodidjiu d'crénom. Évalué à 6.

    On peut critiquer Microsoft pour des tas de raisons.
    Mais on ne peut refaire l'histoire ni la réalité.
    Microsoft s'est imposé et règne sur les postes de travail, cette entreprise est présente à peu près partout où il y a de l'informatique (softs commerciaux, serveurs, éditions numériques, jeux, propiétés de brevets, presses, réseaux, ...)
    Ce qui est insurportable dans sa politique commerciale:
    l'usage des abus de position dominante qui est une constante et un système organisé de conquète et de défense des marchés sur lesquels elle est présente.

    Ce qui me heurte, c'est incroyable oportunisme de William Gates qui a pris conscience d'un tournant historique dans l'économie :

    1. Les USA ont renoncé à l'essence du libéralisme qui est de préserver avant tout et tout d'abord la concurrence. Depuis Reagan, à la fin des années 80 (donc du début de l'histoire de l'informatique grand public), une forme de patriotisme économique de mauvais aloi dont la devise est : plutôt un monopole mondial d'une entreprise américaine qu'une domination d'une société étrangère sur les marchés de hautes technologies. Il n'y a plus de risques de voir appliquer les lois de protections contre les monopoles et la concurrence illicite.

    2. Il a compris avant tout le monde que la modernité, c'est toute l'information qui transite par les réseaux en étant numérisée. Il a donc agit pour être en position archi dominante dans tous les secteurs stratégiques des échanges d'information.

    N'oublions pas que Microsoft à sa création n'était qu'une entreprise minuscule. En moins de vingt ans, c'est devenu un géant industriel.

    Il n'y a pas de risque qu'en France, même en Europe d'ailleurs, on puisse assister à un tel phénomène.

    Chez nous, on ne change pas un modèle économique et social qui perd, pourvu que la notabilité règne toujours et encore.
    L'industrie est encore une affaire de cénacles colbertistes où le politique et l'économie sont mélés d'une façon malsaine.
  • # Re: Ajout du support LDAP pour DHCP

    Posté par  . En réponse à la dépêche Ajout du support LDAP pour DHCP. Évalué à 1.

    Super article. Merci pour l'avoir posté.
    Bien sur, le sujet correspond à ce sur quoi
    je travaille en ce moment d'où mon enthousiasme.
    La doc est très claire, efficace et succinte.
  • [^] # Re: Site sur les logiciels libres

    Posté par  . En réponse à la dépêche Faut-il réduire les femmes en esclavage ?. Évalué à 2.

    On peut être un media d'information sur les logiciels libres et avoir quelques rubriques culturelles. Elles en disent beaucoup sur les personnes qui fréquentent ce site et s'y expriment.
    Et c'est une question de proportion. Il me semble qu'en ce qui concerne linuxfr l'informatique libre est largement majoritaire dans les news, pour ne pas dire plus, pour notre grande satisfaction.

    Vive la culture ... libre !!!
  • # Re: à ne pas lire

    Posté par  . En réponse au journal à ne pas lire. Évalué à 1.

    Chuis curieux !
    C'est gamin ? bof !!
  • [^] # Re: Citations.

    Posté par  . En réponse au journal Citations.. Évalué à 1.

    Tu as raison. Orwell n'a pas, dans 1984, critiqué le socialisme.
    Il s'est attaqué au "stalinisme". Donc à la version dictatoriale la plus dure de ce qu'on appelle maintenant le socialisme réel et qui désigne en fait les régimes politiques de l'ancien bloc russo-soviétique.

    Si tu parles d' "Hommage à la catalogne", il s'agit bien au contraire d'un éloge du socialisme libertaire. On peut même parler d'épitaphe à une utopie défunte.

    Mais, c'est de l'histoire de plus en plus ancienne. Il n'en reste que les larmes et les angoisses des vaincus que personne ne comprend ni ne partage.

    Orwell faisait parti de ces vaincus et c'était sa gloire et l'ombre de sa gloire.
  • [^] # Re: Citations.

    Posté par  . En réponse au journal Citations.. Évalué à 4.

    Orwell est peu connu en France même si 1984 est beaucoup lu.
    Sans doute l'itinéraire peu commun et engagé lui vaut ce relatif oubli.
    On lui préfère des figures plus romantiques mais insincères comme Malraux.

    Rarement écrivain s'est impliqué dans la politique autant qu'Orwell et vraiment par altruisme.

    Il s'est engagé pendant la guerre d'Espagne et a combattu du côté des anarchistes. Il a subi une grave blessure.

    1984 est une critique féroce contre le stalinisme dont il a constaté les ravages pendant la guerre d'Espagne.

    Sa lucidité quand aux causes profondes de la guerre civile lui a fait écrire un très beau texte : Hommage à la Catalogne
    dans lequel il rend justice aux utopies sociales qui animaient les mouvements libertaires à l'époque.

    Ses critiques sans concessions du socialisme ne l'ont pas fait basculer vers "l'autre camp". Et là encore, il se différencie de bien des célébrités actuelles qui furent des gauchistes radicaux et même pire avant que de se retrouver avec armes et bagages du côté du pouvoir économique. Sans doute, on ne lui a pas pardonné.

    Je crois qu'il représente une véritable figure de la "dissidence" dans le monde occidental à l'instar de ceux qui l'étaient dans l'ancien monde soviétique.
  • [^] # Re: Pour la modélisation pour les bases de données

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une sélection d'outils libres pour la modélisation pour les bases de données. Évalué à 2.

    Dans la mesure où nous sommes dans une sorte de forum public et dans le contexte actuel, assez tendu en ce qui concerne la critique de produits commerciaux, je préfère rester assez évasif.

    On pourra penser que j'exerce une sorte d'autocensure. Je crois plutôt qu'il s'agit de garder hors d'atteinte des marchands sans scrupules un espace d'expression libre et d'échanges.

    Je te proposerai une énigme en disant que cet ERP est né pas très loin des bords de la Flache. (Cher Arthur Raimbaud !)
  • [^] # Re: Pour la modélisation pour les bases de données

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une sélection d'outils libres pour la modélisation pour les bases de données. Évalué à 2.

    Pour l'optimisation des requètes, il n'y a pas d'autres choix que les outils propres à chaque moteur.
    Ainsi pour les bases de données les plus utilisées, non seulement, il y a ce que l'éditeur propose mais des éditeurs tiers fabriquent également des programmes consacrés à l'analyse des performances.
    Il faut de toute façon le plan d'exécution de la requète pour savoir comment le moteur traite l'ordre sql.
  • [^] # Merise vs UML

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une sélection d'outils libres pour la modélisation pour les bases de données. Évalué à 4.

    En ce qui concerne la modélisation d'un MCD, UMl permet de faire d'excellent modèle et de résoudre de manière élégante quelques problèmes retors que Merise ne permet pas de représenter facilement.
    Cependant Merise offre l'avantage d'être adaptable aux relationnel bien mieux qu'UML.
    Je pense que les concepteurs de Merise ont eu une approche "données".
    Alors que les concepteurs d'UML ont une approche "objet".
    Le résultat est nettement en faveur des outils bati avec Merise quand à la qualité des outils offert pour passer du moède conceptuel aux modèles physiques des données.
    Je crois que ce n'est pas Merise ou UML qui soit à incriminer mais que la culture des uns et des autres favorisent les compétences base de données pour Merise et moins pour UML.

    Personnellement, je préfère modéliser les MCD avec UML même si plus tard j'aurais sans doute quelques problèmes au moment de passer vers un modèle physique.
  • # Re: L'Empire du disque contre-attaque, cette fois en Europe !

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'Empire du disque contre-attaque, cette fois en Europe !. Évalué à 4.

    L'économie numérique est-elle soluble dans la répression ?

    Le problème de fond concernant les échanges numériques, au sens le plus large du terme, c'est qu'ils terrifient les politiques et aussi les acteurs économiques les plus puissants.

    Pour ne pas sortir du sujet de cette news, je propose l'exemple suivant :

    Je désire me procurer un cd d'un petit label espagnol
    (société de production de la taille d'une pme).

    Je m'addresse pour celà à un disquaire indépendant et à une enseigne de grande distribution.

    Verdict 19,50 euro le cd. (Une mastérisation d'un 33T de 1956 dont on peut considérer qu'il ne nécessite pas d'investissement de production en dehors du master et de la gravure des cd).

    Le label vend directement par internet le même cd 8,80 euros + frais de port pour un total de 14 euros.

    Donc 5,50 euros de différence pour un seul cd.

    D'autre part il s'agit d'une oeuvre de 1956 dont je ne sais qui détient les droits d'auteur, ni quand ces droits expirent, ni combien ils représentent sur le prix total du cd.
    Il est difficile de faire plus obscur.

    Les producteurs et des distributeurs de produits audiovisuels ont pour objectif de maintenir des marges très élevées sur la vente de leur produits au mépris des client, au mépris des créateurs.

    Il n'en reste pas moins que l'échange d'oeuvres numériques même à titre gratuit, qui est un phénomène massif, provoquent des lèses directs et indirects et fragilisent les libertés d'expression et d'échange.

    Bien sur, ce phénomène dépasse largement le cadre du litige dont on veut à tout force le réduire. N'y voir là qu'un acte de "piraterie" démontre à quel point nos sociétés ne digèrent pas ces nouveaux moyens de communication.

    Jamais la modernité ne posa un tel défi à nos sociétés.
  • [^] # Re: Pour la modélisation pour les bases de données

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une sélection d'outils libres pour la modélisation pour les bases de données. Évalué à 7.

    Je ne suis pas certain que des recettes "simples" et utilisées systématiquement soit la meilleure façon d'optimiser les requétes sur n'importe quelle base de données.
    L'un des ERP les plus dramatiquement lent du marché, que je ne nommerai pas, est indéxé à tout va ( au moins 12 index par table).
    Les performances sont lamentables.
    Uns base de données bien conçue facilite certainement l'optimisation mais ce n'est pas suffisant.
    Il faut consacrer pas mal de temps en plus du codage des requètes à améliorer leurs performances. Un bonne connaissance du moteur employé est évidemment nécessaire.
    Aussi, je suis plutôt circonspect quand à la résolution en amont (dès la conception) des problèmes de performance d'accès aux données.
    C'est une phase à part entière qui fait partie du développement.
    La négliger, voire ne pas la faire du tout, ce qui est le cas le plus fréquent, c'est prendre le risque de livrer un produit de faible qualité.
  • [^] # Re: Une selection d'outils libres pour la modelisation pour les bases de données

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une sélection d'outils libres pour la modélisation pour les bases de données. Évalué à 5.

    Si dia et dia2code sont de bons outils, on ne peut pas dire que le passage de la modélisation au code sql (modèle physique) soit satisfaisante.
    L'ambition affiché est certes modeste, puisqu'il s'agit avant tout de faciliter le travail du développeur.
    D'autant qu'UML ne propose pas un modèle entité relation totalement adapté aux bases de données relationnelles.
    Il faudra donc revoir et sérieusement compléter le code sql généré par dia2code avant d'avoir un véritable MPD.
  • [^] # Re: L'art de bricoler et de produire

    Posté par  . En réponse à la dépêche Comparatif de quatre serveurs Web par 01Net. Évalué à 1.

    L'un des axes d"attaque" des solutions opensource par les éditeurs propriétaires et en l'occurence apache est sans doute leur cible de choix, c'est que 'exploitation d'un serveur web sous linux apache serait plus couteuse que celle d'un serveur windows/IIS à cause de la nécessité d'avoir un administrateur confirmé donc "cher".
    Ton témoignage infirme cette "évidence", les outils graphiques d'administration de IIs et windows ne suppléent pas à la connaissance approndie de la plateforme web si on veut obtenir un niveau de sécurité suffisant et de bonnes performance.
    C'est vrai pour linux apache et pour toutes les autres.
    La richesse d'informations fiables disponibles gratuitement et à tout moment est la grande force des solutions libres.
  • # Un laboratoire à but non lucratif pour l'opensource

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linus va travailler à plein-temps sur le noyau Linux. Évalué à 5.

    ça me fait réver Open Source Development Lab, un consortium à but non lucratif pour le libre !

    France, mère vacharde, indifférente à la modernité, mercantile et clientéliste, comme tu traites ta jeunesse !
    Je plaisante.

    Je suis sur que les grandes entreprises françaises vont le financer ce laboratoire.

    Mais n'est-ce-pas dans une certaine région de notre doux pays qu'un conseil régional écarta le projet de créer une université du libre sur le site du Futuroscope
    (A vos archives de la revue Transfert !)
  • # Re: Les disquettes informatiques sont désormais taxées

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les disquettes informatiques sont désormais taxées. Évalué à 1.

    La commission BRUN BUISSON qui prend toutes décisions concernant les droits voisins est indépendante de l'administration ou du gouvernement.
    Il ne parait pas anormal que le ministère de la culture n'informe pas directement de l'extension des bénéficiaires des compensations au droit à la copie privée.
  • [^] # Re: Les disquettes informatiques sont désormais taxées

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les disquettes informatiques sont désormais taxées. Évalué à 1.

    Bien sur, et c'est un vrai problème.
    Les protections contre la copie sont illégales.
    La commission ( selon Le Monde du 15 juin 2003) BRUN BUISSON doit prochainement examiner le problème posé par les protections contre la copie (qui enfreignent le droit à la copie privée).
  • [^] # Re: Mais dans quel monde vit-on ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les disquettes informatiques sont désormais taxées. Évalué à 2.

    Les droits voisins sont perçus pour compenser le DROIT de copie de documents.
    En aucun cas les taxes sur les supports numériques compensent les copies illicites et les contrefaçons.
    Les taxes comme toutes les taxes et impôts n'ont pas à voir ni avec le comportement (copieur ou non, contrefacteur ou non) mais servent seulement à financer collectivement certaines dépenses ou subventions.
    Dans le cas des taxes pour les droits voisins, elles sont le pendant du droit de copie privée.
    Elles subventionnent les créateurs et maintenant les auteurs (ou ayant droits) d'oeuvres écrites et d'oeuvres visuels (graphistes ?, plasticien ?).
    Le financement proviendra de deux sources (dixit Le Monde du 15 juin 2003) d'imputation de 1,25 centimes sur les CD R et CD RW et de 1,5 centimes sur les disquettes.
    Cela rapporterait à ces auteurs entre 3,5 et 4 millions €.
    A comparer avec les 125 millions que perçoivent les ayants droits des oeuvres musicales et audiovisuels.

    Pour les créateurs de ces professions mésestimés, c'est pas dommage.
  • [^] # Re: Virilio est sociologue

    Posté par  . En réponse à la dépêche Inquiètude sur l'indépendance informatique du pays. Évalué à 2.

    L'esprit critique consiste bien à vérifier le bien fondé de n'importe quel discours et "l'imposture intellectuelle" en est une des plus belles applications et une vrai leçon.

    Pour autant, relever les inexactitudes et les obscurités de thèses exposés par des intellectuels doit-il conduire à rejeter la totalité de leur travaux ?

    Virilio est un sociologue, lisons le sociologue et méfions-nous lorsqu'il jargonne en utilisant les concepts de sciences ou de techniques qu'il ne maîtrise pas.

    Ce qu'il dit à propos des catastrophes industrielles présentent vraiment de l'intérêt.

    Maintenant, l'édition , c'estr aussi du marketing et le Monde diplomatique n'est pas une revue scientifique, on ne peut guère s'en servir comme une référence !
  • [^] # Re: W3C et brevets logiciels

    Posté par  . En réponse à la dépêche W3C et brevets logiciels. Évalué à 1.

    Dans l'affaire SCO, les chiffres publiés par SCO concernant ses revenus prévisionnels sont les suivants :

    "Of the $21.0 million in anticipated second-quarter revenue, approximately $12.8 million is expected to come from the sale of its operating system platform products, and $8.2 million is expected to come from its SCOsource licensing initiative.
    The Company's current fiscal year ends October 31, 2003."

    source : http://ir.sco.com/ReleaseDetail.cfm?ReleaseID=109147(...)

    SCOsource est la division qui vend les droits sur les licences et représentent a peu près 40% des revenus attendus pour le second trimestre 2003.
  • [^] # Re: W3C et brevets logiciels

    Posté par  . En réponse à la dépêche W3C et brevets logiciels. Évalué à 5.

    La vente de droits d'utilisation et des licences elle-mêmes n'est pas du tout exceptionnelle. Ces pratiques sont inhérentes au système tel qu'il fonctionne depuis des décennies.

    Dans un autre contexte, le brevet a pu protéger des inventions et permettrent l'essor de nouvelles entreprises.

    On constate maintenant que ce système n'est pas du tout adapté aux technologies de l'information car les cycles économiques sont terriblement courts (quelques années tout au plus).
    ll permet des rentes de situation qui bloquent l'innovation et empèchent le dynamisme et l'évolution d'acteurs bien plus compétents que les générateurs de brevets (qui souvent rachètent plus qu'ils n'en produisent)

    Les entreprises qui utilisent les brevets pour se prémunir de la concurrence sont souvent celles qui périclitent ou qui ont du mal à garder un leadership fondé sur des technologies obsolètes.
  • [^] # Re: W3C et brevets logiciels

    Posté par  . En réponse à la dépêche W3C et brevets logiciels. Évalué à 4.

    Désolé de te contredire mais il suffit de consulter les résultats de certaines sociétés pour constater que les profits engendrés par les ventes de droits d'utilisation des technologies brevetés représentent un beau pactole. (IBm, Intel, ...SCO !!! et j'en passe).
    Les avocats des entreprises ne se rénumèrent pas sur ce que rapporterait un éventuel succès comme c'est le cas pour des plaintes déposés par des particuliers.
    Les intérêts qu'ils défendent les portent plus à obtenir des accords à l'amiable plutôt que d'en venir aux tribunaux. Aussi il faut donc des clients solvables à ces avocats d'affaires.
  • [^] # Re: Feuilleton SCO : les réponses de FSF France, Bruce Perens et RedHat

    Posté par  . En réponse à la dépêche Feuilleton SCO : les réponses de FSF France, Bruce Perens et RedHat. Évalué à 2.

    Le Poum est né de la fusion d’un groupe trotskiste et d’un autre groupe d’extrême gauche non trotskiste (parti des ouvriers et des paysans). Même si Andres Nin l'un des dirigeants du POUM avait été un temps secrétaire de Troski.Mais ce dernier a désavouée le POUM. Ce n'est donc pas une organisation trotskiste ni anarchiste d'ailleurs.

    -1 parce que ce n'est pas le sujet
  • [^] # Re: Correcteur 101, c'est fini pour Linux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Correcteur 101, c'est fini pour Linux. Évalué à 1.

    J' ai évidemment le même problème.
    J'utilise la version corr101 sur une slackware 8.1, c'est la version précédant la gcorr101 (pour gnome) qui fonctionne paradoxalement plus facilement sur des environnements linux plus récent.
    Sinon, peut-être qu'en récupérant les librairies correspondant à gcc 2.96 (celle qu'on trouve dans une red hat 7.3 par exemple) de telle manière que gcorr les retrouve, ça pourrait fonctionner. Je n'ai pas fait l'essai cependant.