J'ai mangé un bout de la réponse, (je recommence) :
Dans le httpd.conf, le fichier de configuration d'apache, il y a un user
genre user nobody ou user www-data (debian). Ce compte a une home directory. (Voir /etc/passwd)
Tu peux créer un .bashrc dans ce répertoire qui exécutera l'export des variables.
Pour quel user (compte unix) veux-tu avoir ces variables ?
Dans le terminal, je suppose que tu vas ensuite tester les
scripts php qui invoque une database oracle ?
Dans le httpd.conf, le fichier de configuration d'apache, il y a un user
genre user nobody ou user www-data (debian).
Tu peux créer un .bashrc dans ce répertoire qui exécutera l'export des variables.
D'abord merci de l'information car dpkg -i fonctionne plus facilement.
Il faut évidemment résoudre les dépendances pré-requises.
En l'occurence, c'est le cas pour le paquet qui m'importe. Heureusement, elles ne sont pas nombreuses et je devrais les résoudre facilement.
Je pensais que le flaming était une pratique désuète, je me suis trompé.
Je suis étonné que tu répondes à un message que tu notes hors sujet.
Je crains que le principe de réalité en ce qui concerne le droit d'auteur ne t'échappe.
Si de droit, la propriété intellectuelle est "reconnue" à l'auteur, elle n'est pas protégée comme tu l'affirmes non sans désinvolture.
Ce dont je parle mais dont tu ne te soucis absolument pas de comprendre, c'est de différencier l'oeuvre de sa diffusion, de séparer marchand et non marchand, d'indiquer ce qui dans le contenu est modifiable où ne l'est pas.
La liberté se définit toujours et n'est jamais absolue. C'est d'ailleurs pour celà que le droit est légitime.
Quand au contexte, il est très précisément défini par la version de licence et ne nécessite nullement une recherche sur quelque nom que ce soit. Je prend la peine pour les inconnus qu'il puisse conculter le texte de la licence qui protège vraiment les contenus dont je suis l'auteur et que je propose à la diffusion librement.
Débattre de cette façon n'est guère agréable.
Je te suggère d'affronter la complexité du monde et d'abandonner le manichéisme.
L'absence de nuance ne permet pas l'échange.
Des droits d'auteurs étaient garantis par défaut sans démarche préalable ? Je ne suis pas sur que cela soit exact , c'est le moins que je puisse écrire. C'est aussi une naïveté que d'en rester là, du moins pour un auteur.
J'ai écrit "pas de commerce", c'est à dire non marchand. A prix coutant ou non ce n'est pas le problème et c'est parfaitement réfléchi. La valeur d'une diffusion ne se définit pas seulement en terme monétaire.
Parceque j'utilise "les"creatices commons licences qui devient licence singulière puisqu'il me suffit d'une seule pour la version que j'utilise pour mon usage, c'est que je puis ainsi émettre des textes "libres", c'est à dire en copy left, non modifiable, si ce n'est pas l'objet d'une oeuvre collective. Comme je pense qu'une oeuvre collaborative est possible, il n'importe d'en déterminer avec précison l'usage et la diffusion.
Ces préoccupations d'auteur ne semblent pas familières à tout le monde.
J'utilise cette licence pour garantir des droits d'auteur sans pour autant faire commerce de la diffusion.
Libre dans ce cas est à géométrie variable.
C'est ce qui sans doute provoque un débat sur ce type de licence.
En effet, la common creative licence peut définir un type de licence "non-libre" jusqu'à "très libre".
Exemple en ce qui me concerne, je restreins la liberté d'utilisation de certains textes à la seule diffusion. Donc à l'usage non marchand du texte.
Pour autant, je n'en permet pas la publication sans citation, ni avec modification.
Dans ce sens, certains pourraient qualifier cela de non libre puisque en principe on ne peut diffuser des versions modifiées du texte.
Je publie aussi des textes dont on peut diffuser une version modifiée pour peu qu'on cite l'auteur d'origine et c'est notifié dans le texte de licence et dans ce cas on est très proche du "libre".
Un livre libre, c'est relativement simple.
Parcequ'il s'agit comme pour les logicels de droits d'auteur.
En effet, les auteurs d'un livre peuvent ne pas appliquer le copyright pour un livre dont le sujet est suceptible d'évolutions très rapides qui remettent en cause le contenu.
Une application souple des droits permet de solliciter une collaboration plus large pour la mise à jour soit par des modifications de chapîtres, soit par l'adjonction de nouveauté.
Le livre n'est pas un ouvrage.
Autant il ne coûte rien de diffuser un ensemble de programme source, autant faire imprimer et diffuser des ouvrages en librairie coûte cher. Et il est normal de rétribuer la diffusion d'information par le biais de l'édition .
C'est pourquoi je pense que la creative commons licence à de beaux jours devant elle.
Personnellement, je l'utilise pour garantir des droits d'auteurs tout en restant dans le cadre d'activités non marchandes. Si jamais le mode de diffusion change, la CCL permet tout de même de gérer ça sans casse tête.
C'est humain de se tromper, je ne persévererai pas dans l'erreur, ce serait diabolique.
J'avoue n'avoir pas lu la totalité de l'article qui indique bien les sujets des conférences.
Mille excuses pour cette étourderie à l'auteur de la nouvelle qui est mal récompensé de son effort rédactionnel.
je n'ai pas vu l'article avant ce dimanche.
Quoi ! mes lunettes sont sales ?
Il faut dire que FOSDEM ça ne me disait rien. Les acronymes sont souvent barbares. Borborygmes parmi les mots, signes vides de sens.
Le titre et l'article ne font pas mention explicitement de l'évènement. La liste des conférenciers est intimidante que du beau linge mais rien n'indique le champ de leurs interventions
L'une des façons de résourdre le problème consiste à modifier le fichier .profile de l'utilisateur oracle (compte unix)
en ajoutant la ligne suivante :
En effet, 1984 est une sorte de manuel d'histoire. Mais cela concerne un autre monde dont les survivances monstrueuses (Russie et Chine) démontrent à quel point Orwell était juste.
Mais notre monde, ces démocratie lassées de la modernité, qui se bureaucratisent à mourir tout en feignant d'évoluer vers du "meilleur" incrédibile et dépressif, il lui faut sa critique radicale, son histoire amenée jusqu'à ce qu'il faut de clairvoyance pour en mesurer l'impasse et la vacuité.
La politique est un spectacle. Mauvais. Des acteurs médiocres, cyniques et cabotins sans vergogne montent leurs combines un peu sur la scène, beaucoup en coulisses.
Non, les nouvelles ne sont pas bonnes.
Au secours Orwell, reviens vite !
Ecris-nous 2084 !
Le juge de proximité saisi,(...)ce n'est pas dans leurs attributions de traiter un problème sur le fond.
A quoi sert le juge de proximité : A effacer la réalité ?
La justice en France est de plus en plus surréaliste. L'arbitrage est le seul recours pour régler les conflits économiques, le droit commercial est suffisamment précis pour résoudre ce type de problème.
L'annulation de la vente est un pis aller qui ne va pas dans le sens de l'intérêt du consommateur.
L'évitement de l'application du droit par le tribunal lui-même est-il une exception culturelle, sinon française ?
Je ne crois pas avoir dit que les modérateurs influencent directement le fait de proposer une news.
Ou bien, il s'agit alors d'auto modération du rédacteur qui a surtout pour objectif de faire éditer sa nouvelle.
L'auto-censure est une des principales contradictions du "métier" d'informer (sachant que nous sommes des informateurs amateurs et bénévoles de surcroît).
Je pense que si j'ai le sentiment d'avoir une bonne et vrai news, je devrais pouvoir convaincre les modérateurs réticents de la pertinence de la publication.
Il n'y a rien de plus difficile que de produire des scoops ou presque, dans le monde des logiciels libre.
Je ne vois pas trop l'intérêt d'être l'un des premiers à rapporter une nouvelle qui vient de paraître dans la presse ou sur un autre site, même s'il s'agit d'un "site officiel". A moins de traduire, une news, paru dans une langue étrangère.
Comme, dans la plupart des cas, il s'agit de technologies (nouvelles en plus), l'effort de rendre l'information claire et concise n'est pas des plus simple.
Les modérateurs discutent de façon serrée, l'éventuelle parution. Il leur arrive même de revenir sur un premier avis négatif ! (Témoignage vécu).
Dans l'ensemble, je trouve qu'il font du bon boulot.
Cela fait un moment que j'ai pas proposé de nouvelle. Simplement parce que c'est dur d'en débusquer d'assez intéressante pour la faire partager à d'autre.
Depuis la nomination de M. Barroso à la tête de la Commission Européenne,
cet ancien moïste devenu ultra-libertarien, c'est plutôt une bonne nouvelle !
On avait en effet tout à craindre d'une commission dévouée aux gouvernements (par essence) et tellement sensibles aux lobbies économiques (par nature).
L'article que Michel Rocard fit paraitre, fin 2003, pour explique le vote du parlement enropéen, défavorable au brevetage des logiciels, n'est plus en ligne.
Voici cependant un lien relatant l'interview paru dans Liberation et qui expose le point de vue de l'ex premier ministre sur la brevabilité des logiciels :
Posté par Egidius .
En réponse au message courage.
Évalué à 1.
Merci pour tes encouragements.
Je suis utilisateur de linux avec d'autres distributions.
Personnellement, j'ai une slackware en principale et une fedora.
Professionnellement, j'utilise une red hat 7.3 pour un serveur intranet.
Pour des tas de raisons que je ne développe pas ici, je souhaite utiliser debian comme distribution principale.
Le monde Debian est assez déroutant tant il implique de comprendre des manières de langages propres aux "debianistes", la documentation bien que complète, regorgent d'élipses et n'expliquent que succinctement l'organisation Debian.
Le support FAQ est atrocement encombré, signe très encourageant du dynamisme des "debianistes" mais dieu que cela rend longues et ardues les recherches.
Les outils d'installation sont prometteurs mais encore loin d'être au point. Surtout, il ne semblent pas avoir intégré les matériels les plus récents. Habitué à des programmes d'installation souvent austères mais efficaces car parfaitement au point, c'est une grande surprise de constater que Debian n'a pas encore un installeur éprouvé.
Quand à jigdo, c'est une vrai galère qui n'aide pas à la mise à jour des innombrables versions de Sarge.
Je comprend qu'un système de packages soit l'outil idéal pour les mainteneurs de distribution. Mais pour l'utilisateur que je suis, je n'y trouve pas vraiment mon compte.
Grosso modo. Si le système de package me permet d'avoir un systeme cohérent, je suis preneur. J'entend par système l'ensemble des composants techniques qui sont le coeur d'une machine :
OS, outils de configuration, outil d'administration, utilitaires techniques.
Un ensemble d'applications généralistes, navigateur et autres applications d'échanges de réseau.
Pour ce qui est de mes outils personnels, ce pourquoi j'ai besoin d'un ordinateur pour gérer l'information que je génère, j'installe à partir des sources pour être certains d'une parfaite adaptation à ma machine.
C'est simplement l'expression très synthétisée quand je constate que tu as pris les choses en main !
Roulez : expression populaire en vogue à la fin du XIX eme, au moment de l'apparition de la bicyclette., signifiant que ça fonctionne bien, dynamiquement.
Pour l'instant, j'ai échoué l'installation d'une Sarge.
Je reconnais n'avoir pas estimer suffisamment la difficulté d'utilisation d'un disque SATA comme support principal d'une debian, d'autant qu'il ne s'agit du seul disque de ma configuration.
Je dois abandonner l'idée d'installer une simple woody pour la bonne raison que je n'ai aucune chance de le faire sur un disque SATA.
Le Debian Installer est encore loin de la maturité même si le projet est très actif.
Les bogues sont encore très nombreux. L'outil d'installation n'est pas stable.
En particulier, je suis étonné du manque de fiabilité de certains composants :
detecteur de disque (ddetect ?)
Les disques Sata il a du mal.
partitionnement (partman)
Là encore les Sata, pais aussi les Pata quelquefois
Installateur de base (base installeur)
Propose pas toujours le choix du noyau.
Installation demarreur (boot-loader installer)
Particulièrement lunatique, refuse très souvent les disquettes, loupe et endommage le secteur de boot du 1er ide (Vite une disquette DOS !?!, m... j'en ai plus arghhh!!)
Le conseil sur le site d'utliser le dernier snapshot pour installer sur disque sata est quelque peu optimiste. L'option de boot linux26 ignore tout simplement le disque sata au moment du partitionnement.
Bon, c'est pas brillant, mais c'est encore des versions beta.
Sans doute ça marche mieux sur une configuration matériel plus simple (sans SATA).
Néanmoins, c'est encore loin de ce qui se fait pour d'autre distribs (slack, red hat, fedora).
En fait, il semble que l'installation direct sur un disque SATA pose énormément de problèmes.
Il existe beaucoup de rapport de bogue indiquant l'incapacité de partman à reconnaitre les disques SATA. (Je prépare le mien puisqu'il semble qu'on n'a pas encore rapporté de problème avec le modèle de disque que j'utilise).
D'autre part, il semble que certains ont mis au point des méthodes d'installation de Sarge peu orthodoxes pour disque SATA.
Principe général :
Installation de base sur un disque PATA (classique).
Copie de cette installation sur le disque SATA.
Fastidieuses opérations de parmétrages de la nouvelle "installation".
Bref, beaucoup de bidouille en perspective.
J'ai téléchargé le snapshot du 25 juillet. Même punition.
Finalement, le simple fait d'avoir pu installer au moins une fois apparait tenir du miracle.
Je vais essayer Progeny 2.0 beta dès que j'aurai fini de télécharger.
Le cd est propre, j'ai fait la vérification dès le début
1. J'ai vérifié les options de boot. Pour savoir les types de démarrage.
linux, linux26 , expert26, etc...
J'ai donc commencé par linux26, avec partman qui ne reconnait pas sata. donc, exit. Pas d'installation possible.
2. Avec linux au moment du boot, j'installe mais je ne peux pas booter sur le disque sata parceque grub et lilo plantent. Il est possible que le noyau 2.4.26 ne soit pas à jour concernant la reconnaissance des disques sata. Curieusement l'installation avec linux reconnait le disque avec partman.
Il me semble que current correspond au dernier snapshot mais je vérifie.
Je te remercie de tes conseils et t'envie beaucoup pour Sarge.
Je suis ton conseil pour le rapport de bug mais j'ai si peu d'infos à leur donner !
[^] # Re: Variables Oracle
Posté par Egidius . En réponse au message Variables d'environnement au démarage. Évalué à 1.
Dans le httpd.conf, le fichier de configuration d'apache, il y a un user
genre user nobody ou user www-data (debian). Ce compte a une home directory. (Voir /etc/passwd)
Tu peux créer un .bashrc dans ce répertoire qui exécutera l'export des variables.
# Variables Oracle
Posté par Egidius . En réponse au message Variables d'environnement au démarage. Évalué à 1.
Dans le terminal, je suppose que tu vas ensuite tester les
scripts php qui invoque une database oracle ?
Dans le httpd.conf, le fichier de configuration d'apache, il y a un user
genre user nobody ou user www-data (debian).
Tu peux créer un .bashrc dans ce répertoire qui exécutera l'export des variables.
[^] # Re: Il y a peut etre plus simple...
Posté par Egidius . En réponse au message installer un paquet deb en local !?!. Évalué à 1.
Encore merci.
Néanmoins ce fichier override c'est quoi ?
[^] # Re: Il y a peut etre plus simple...
Posté par Egidius . En réponse au message installer un paquet deb en local !?!. Évalué à 1.
Il faut évidemment résoudre les dépendances pré-requises.
En l'occurence, c'est le cas pour le paquet qui m'importe. Heureusement, elles ne sont pas nombreuses et je devrais les résoudre facilement.
[^] # Re: Libre ou non libre telle n'est pas la question, n'est ce pas ?
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Sortie sous Creative Commons Share-Alike de Linux Device Drivers 3ème édition. Évalué à 0.
Je suis étonné que tu répondes à un message que tu notes hors sujet.
Je crains que le principe de réalité en ce qui concerne le droit d'auteur ne t'échappe.
Si de droit, la propriété intellectuelle est "reconnue" à l'auteur, elle n'est pas protégée comme tu l'affirmes non sans désinvolture.
Ce dont je parle mais dont tu ne te soucis absolument pas de comprendre, c'est de différencier l'oeuvre de sa diffusion, de séparer marchand et non marchand, d'indiquer ce qui dans le contenu est modifiable où ne l'est pas.
La liberté se définit toujours et n'est jamais absolue. C'est d'ailleurs pour celà que le droit est légitime.
Quand au contexte, il est très précisément défini par la version de licence et ne nécessite nullement une recherche sur quelque nom que ce soit. Je prend la peine pour les inconnus qu'il puisse conculter le texte de la licence qui protège vraiment les contenus dont je suis l'auteur et que je propose à la diffusion librement.
Débattre de cette façon n'est guère agréable.
Je te suggère d'affronter la complexité du monde et d'abandonner le manichéisme.
[^] # Re: Libre ou non libre telle n'est pas la question, n'est ce pas ?
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Sortie sous Creative Commons Share-Alike de Linux Device Drivers 3ème édition. Évalué à -1.
Des droits d'auteurs étaient garantis par défaut sans démarche préalable ? Je ne suis pas sur que cela soit exact , c'est le moins que je puisse écrire. C'est aussi une naïveté que d'en rester là, du moins pour un auteur.
J'ai écrit "pas de commerce", c'est à dire non marchand. A prix coutant ou non ce n'est pas le problème et c'est parfaitement réfléchi. La valeur d'une diffusion ne se définit pas seulement en terme monétaire.
Parceque j'utilise "les"creatices commons licences qui devient licence singulière puisqu'il me suffit d'une seule pour la version que j'utilise pour mon usage, c'est que je puis ainsi émettre des textes "libres", c'est à dire en copy left, non modifiable, si ce n'est pas l'objet d'une oeuvre collective. Comme je pense qu'une oeuvre collaborative est possible, il n'importe d'en déterminer avec précison l'usage et la diffusion.
Ces préoccupations d'auteur ne semblent pas familières à tout le monde.
[^] # Libre ou non libre telle n'est pas la question, n'est ce pas ?
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Sortie sous Creative Commons Share-Alike de Linux Device Drivers 3ème édition. Évalué à 1.
Libre dans ce cas est à géométrie variable.
C'est ce qui sans doute provoque un débat sur ce type de licence.
En effet, la common creative licence peut définir un type de licence "non-libre" jusqu'à "très libre".
Exemple en ce qui me concerne, je restreins la liberté d'utilisation de certains textes à la seule diffusion. Donc à l'usage non marchand du texte.
Pour autant, je n'en permet pas la publication sans citation, ni avec modification.
Dans ce sens, certains pourraient qualifier cela de non libre puisque en principe on ne peut diffuser des versions modifiées du texte.
Je publie aussi des textes dont on peut diffuser une version modifiée pour peu qu'on cite l'auteur d'origine et c'est notifié dans le texte de licence et dans ce cas on est très proche du "libre".
[^] # Re: Bon exemple de création libre sous licence Creative Commons
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Sortie sous Creative Commons Share-Alike de Linux Device Drivers 3ème édition. Évalué à 2.
Parcequ'il s'agit comme pour les logicels de droits d'auteur.
En effet, les auteurs d'un livre peuvent ne pas appliquer le copyright pour un livre dont le sujet est suceptible d'évolutions très rapides qui remettent en cause le contenu.
Une application souple des droits permet de solliciter une collaboration plus large pour la mise à jour soit par des modifications de chapîtres, soit par l'adjonction de nouveauté.
Le livre n'est pas un ouvrage.
Autant il ne coûte rien de diffuser un ensemble de programme source, autant faire imprimer et diffuser des ouvrages en librairie coûte cher. Et il est normal de rétribuer la diffusion d'information par le biais de l'édition .
C'est pourquoi je pense que la creative commons licence à de beaux jours devant elle.
Personnellement, je l'utilise pour garantir des droits d'auteurs tout en restant dans le cadre d'activités non marchandes. Si jamais le mode de diffusion change, la CCL permet tout de même de gérer ça sans casse tête.
[^] # Re: bah alors ? alors ! heuh ???
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Interviews FOSDEM 2005. Évalué à 2.
J'avoue n'avoir pas lu la totalité de l'article qui indique bien les sujets des conférences.
Mille excuses pour cette étourderie à l'auteur de la nouvelle qui est mal récompensé de son effort rédactionnel.
[^] # Re: bah alors ? alors !
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Interviews FOSDEM 2005. Évalué à 0.
Quoi ! mes lunettes sont sales ?
Il faut dire que FOSDEM ça ne me disait rien. Les acronymes sont souvent barbares. Borborygmes parmi les mots, signes vides de sens.
Le titre et l'article ne font pas mention explicitement de l'évènement. La liste des conférenciers est intimidante que du beau linge mais rien n'indique le champ de leurs interventions
# What future for lyx
Posté par Egidius . En réponse au message Interview Matthias Ettrich. Évalué à 1.
Thanks
# LiveCD
Posté par Egidius . En réponse au message Redirection .... Évalué à 2.
Tu testes ainsi celle qui fonctionne sur ton portable. Tu l'installes.
Linux wonder land ? Land of freedom !
# Oracle sqlplus
Posté par Egidius . En réponse au message Problème SQLPlus Oracle. Évalué à 1.
en ajoutant la ligne suivante :
export LD_LIBRARY_PATH=$LD_LIBRARY_PATH:$ORACLE_HOME/lib
ou celle-ci selon le shell utilisé ( CSH- shell) :
setenv LD_LIBRARY_PATH "$LD_LIBRARY_PATH $ORACLE_HOME/lib"
[^] # Re: 1984
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Brevets logiciels : incroyable retournement de situation grâce à la Pologne. Évalué à 3.
Mais notre monde, ces démocratie lassées de la modernité, qui se bureaucratisent à mourir tout en feignant d'évoluer vers du "meilleur" incrédibile et dépressif, il lui faut sa critique radicale, son histoire amenée jusqu'à ce qu'il faut de clairvoyance pour en mesurer l'impasse et la vacuité.
# Coup de théatre
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Brevets logiciels : incroyable retournement de situation grâce à la Pologne. Évalué à 8.
Non, les nouvelles ne sont pas bonnes.
Au secours Orwell, reviens vite !
Ecris-nous 2084 !
# Arbitrage ?
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Pas de Windows ? Alors pas d'ordinateur !. Évalué à 2.
A quoi sert le juge de proximité : A effacer la réalité ?
La justice en France est de plus en plus surréaliste. L'arbitrage est le seul recours pour régler les conflits économiques, le droit commercial est suffisamment précis pour résoudre ce type de problème.
L'annulation de la vente est un pis aller qui ne va pas dans le sens de l'intérêt du consommateur.
L'évitement de l'application du droit par le tribunal lui-même est-il une exception culturelle, sinon française ?
[^] # Influence des modérateurs.
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Brevets : M. Rocard remplace A. McCarthy. Évalué à 2.
Ou bien, il s'agit alors d'auto modération du rédacteur qui a surtout pour objectif de faire éditer sa nouvelle.
L'auto-censure est une des principales contradictions du "métier" d'informer (sachant que nous sommes des informateurs amateurs et bénévoles de surcroît).
Je pense que si j'ai le sentiment d'avoir une bonne et vrai news, je devrais pouvoir convaincre les modérateurs réticents de la pertinence de la publication.
[^] # News ? des nouvelles, nouvelles sur Linuxfr en plus !
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Brevets : M. Rocard remplace A. McCarthy. Évalué à 5.
Je ne vois pas trop l'intérêt d'être l'un des premiers à rapporter une nouvelle qui vient de paraître dans la presse ou sur un autre site, même s'il s'agit d'un "site officiel". A moins de traduire, une news, paru dans une langue étrangère.
Comme, dans la plupart des cas, il s'agit de technologies (nouvelles en plus), l'effort de rendre l'information claire et concise n'est pas des plus simple.
Les modérateurs discutent de façon serrée, l'éventuelle parution. Il leur arrive même de revenir sur un premier avis négatif ! (Témoignage vécu).
Dans l'ensemble, je trouve qu'il font du bon boulot.
Cela fait un moment que j'ai pas proposé de nouvelle. Simplement parce que c'est dur d'en débusquer d'assez intéressante pour la faire partager à d'autre.
# Bonne nouvelle !
Posté par Egidius . En réponse à la dépêche Brevets : M. Rocard remplace A. McCarthy. Évalué à 4.
cet ancien moïste devenu ultra-libertarien, c'est plutôt une bonne nouvelle !
On avait en effet tout à craindre d'une commission dévouée aux gouvernements (par essence) et tellement sensibles aux lobbies économiques (par nature).
L'article que Michel Rocard fit paraitre, fin 2003, pour explique le vote du parlement enropéen, défavorable au brevetage des logiciels, n'est plus en ligne.
Voici cependant un lien relatant l'interview paru dans Liberation et qui expose le point de vue de l'ex premier ministre sur la brevabilité des logiciels :
http://www.freescape.eu.org/biblio/article.php3?id_article=149(...)
[^] # Re: La planete Debian gravite autour d'un noir soleil
Posté par Egidius . En réponse au message courage. Évalué à 1.
Je suis utilisateur de linux avec d'autres distributions.
Personnellement, j'ai une slackware en principale et une fedora.
Professionnellement, j'utilise une red hat 7.3 pour un serveur intranet.
Pour des tas de raisons que je ne développe pas ici, je souhaite utiliser debian comme distribution principale.
Le monde Debian est assez déroutant tant il implique de comprendre des manières de langages propres aux "debianistes", la documentation bien que complète, regorgent d'élipses et n'expliquent que succinctement l'organisation Debian.
Le support FAQ est atrocement encombré, signe très encourageant du dynamisme des "debianistes" mais dieu que cela rend longues et ardues les recherches.
Les outils d'installation sont prometteurs mais encore loin d'être au point. Surtout, il ne semblent pas avoir intégré les matériels les plus récents. Habitué à des programmes d'installation souvent austères mais efficaces car parfaitement au point, c'est une grande surprise de constater que Debian n'a pas encore un installeur éprouvé.
Quand à jigdo, c'est une vrai galère qui n'aide pas à la mise à jour des innombrables versions de Sarge.
Je comprend qu'un système de packages soit l'outil idéal pour les mainteneurs de distribution. Mais pour l'utilisateur que je suis, je n'y trouve pas vraiment mon compte.
Grosso modo. Si le système de package me permet d'avoir un systeme cohérent, je suis preneur. J'entend par système l'ensemble des composants techniques qui sont le coeur d'une machine :
OS, outils de configuration, outil d'administration, utilitaires techniques.
Un ensemble d'applications généralistes, navigateur et autres applications d'échanges de réseau.
Pour ce qui est de mes outils personnels, ce pourquoi j'ai besoin d'un ordinateur pour gérer l'information que je génère, j'installe à partir des sources pour être certains d'une parfaite adaptation à ma machine.
Néanmoins, je persévère même si c'est diabolique.
[^] # Re: Désinstaller
Posté par Egidius . En réponse au message Quel répertoire chosir, installations progs... Évalué à 1.
Roulez : expression populaire en vogue à la fin du XIX eme, au moment de l'apparition de la bicyclette., signifiant que ça fonctionne bien, dynamiquement.
# BILAN
Posté par Egidius . En réponse au message La planete Debian gravite autour d'un noir soleil. Évalué à 1.
Je reconnais n'avoir pas estimer suffisamment la difficulté d'utilisation d'un disque SATA comme support principal d'une debian, d'autant qu'il ne s'agit du seul disque de ma configuration.
Je dois abandonner l'idée d'installer une simple woody pour la bonne raison que je n'ai aucune chance de le faire sur un disque SATA.
Le Debian Installer est encore loin de la maturité même si le projet est très actif.
Les bogues sont encore très nombreux. L'outil d'installation n'est pas stable.
En particulier, je suis étonné du manque de fiabilité de certains composants :
detecteur de disque (ddetect ?)
Les disques Sata il a du mal.
partitionnement (partman)
Là encore les Sata, pais aussi les Pata quelquefois
Installateur de base (base installeur)
Propose pas toujours le choix du noyau.
Installation demarreur (boot-loader installer)
Particulièrement lunatique, refuse très souvent les disquettes, loupe et endommage le secteur de boot du 1er ide (Vite une disquette DOS !?!, m... j'en ai plus arghhh!!)
Le conseil sur le site d'utliser le dernier snapshot pour installer sur disque sata est quelque peu optimiste. L'option de boot linux26 ignore tout simplement le disque sata au moment du partitionnement.
Bon, c'est pas brillant, mais c'est encore des versions beta.
Sans doute ça marche mieux sur une configuration matériel plus simple (sans SATA).
Néanmoins, c'est encore loin de ce qui se fait pour d'autre distribs (slack, red hat, fedora).
J'espère beaucoup (trop ?) de Progeny !!!
[^] # Re: Netinst current.
Posté par Egidius . En réponse au message La planete Debian gravite autour d'un noir soleil. Évalué à 1.
Il existe beaucoup de rapport de bogue indiquant l'incapacité de partman à reconnaitre les disques SATA. (Je prépare le mien puisqu'il semble qu'on n'a pas encore rapporté de problème avec le modèle de disque que j'utilise).
D'autre part, il semble que certains ont mis au point des méthodes d'installation de Sarge peu orthodoxes pour disque SATA.
Principe général :
Installation de base sur un disque PATA (classique).
Copie de cette installation sur le disque SATA.
Fastidieuses opérations de parmétrages de la nouvelle "installation".
Bref, beaucoup de bidouille en perspective.
J'ai téléchargé le snapshot du 25 juillet. Même punition.
Finalement, le simple fait d'avoir pu installer au moins une fois apparait tenir du miracle.
Je vais essayer Progeny 2.0 beta dès que j'aurai fini de télécharger.
[^] # Re: Netinst current.
Posté par Egidius . En réponse au message La planete Debian gravite autour d'un noir soleil. Évalué à 1.
1. J'ai vérifié les options de boot. Pour savoir les types de démarrage.
linux, linux26 , expert26, etc...
J'ai donc commencé par linux26, avec partman qui ne reconnait pas sata. donc, exit. Pas d'installation possible.
2. Avec linux au moment du boot, j'installe mais je ne peux pas booter sur le disque sata parceque grub et lilo plantent. Il est possible que le noyau 2.4.26 ne soit pas à jour concernant la reconnaissance des disques sata. Curieusement l'installation avec linux reconnait le disque avec partman.
Il me semble que current correspond au dernier snapshot mais je vérifie.
Je te remercie de tes conseils et t'envie beaucoup pour Sarge.
Je suis ton conseil pour le rapport de bug mais j'ai si peu d'infos à leur donner !
[^] # Re: Désinstaller
Posté par Egidius . En réponse au message Quel répertoire chosir, installations progs... Évalué à 1.