Egidius a écrit 356 commentaires

  • [^] # Re: Les hébergeurs devront juger le contenu

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les hébergeurs devront juger le contenu. Évalué à 1.

    La recherche d'une information dans les historiques nécessite du temps et de la ressource, donc ça coute.
    Ce que tu sous-entends c'est que les frais découlant de ces recherches doivent être intégrés dans les coûts fixes.
    Même pour les gratuits, il y a un modèle économique. Si le journal est distribué gratuitement les annonces sont payantes et c'est même comme cela que ces publications se financent.

    Qui paie les frais d'enquêtes s'il faut faire des recherches ? est un problème incontournable.
    Maintenant tu te cantonnes, à la simple répression des délits sur Internet.
    Mais quand il s'agit de confrontation d'intérêts, de problème "d'image" et non pas de violation de la loi,comment l'hébergeur arbitre ?
    Attend-t-il qu'un juge ordonne la non publication pour agir ?
    Est-il considéré comme complice, et dadns ce cas peut-il être condamné à réparer en lie et place de l'éditeur du site si et surtout si cet éditeur n'est pas identifié ?
    Enfin, faudra-t-il identifier formellement tous editeur de site ?
  • [^] # Re: Les hébergeurs devront juger le contenu

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les hébergeurs devront juger le contenu. Évalué à 1.

    Et les logs qui c'est qui va les lire ?
    Et ça coute combien ?
    Tu crois qu'il donneront un n° de téléphone pour dénoncer l'auteur des propos licencieux ?
  • # Re: Les beaux jours de la jurisprudence ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les hébergeurs devront juger le contenu. Évalué à -2.

    La liberté de l'information est une rose très belle mais pleine d'épines.
    Le gouvernement Raffarin ne semblent pas se décider à légiférer là où c'est nécessaire.
    Décidément, une attitude maquignonesque. Ne rien faire dans un sens ou dans un autre, ne pas choisir la liberté de l'information ou le contrôle de l'information.
    A moins qu'il ne s'agisse de la fameuse "méthode Raffarin" :

    1 Communiquer. Consulter Ecouter Promettre
    2 Faire adopter une loi qui ne correspond en rien, si c'est nécessaire, aux précédentes déclarations et NE PAS COMMENTER. jamais.

    En l'occurence.
    Les nouvelles technologies. Dire, La France est en retard. Promettre d'équiper les écoles et les familles.
    Pour le reste, ne rien faire.
  • # William, com(p)te palatin de Redmond bientôt marquis du Poitou ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'avenir du futuroscope de Poitiers. Évalué à 1.

    William Gates connait bien le Poitou. Plus précisément, une petite ville, Parthenay dont l'équipe municipale en fit, il y a quelques années, une des toutes premières villes connectées à Internet.
    Tous les habitants du district pouvaint s'abonner gratuitement à Internet.
    Le maire de l'époque, socialiste du PS, participa même à l'équipement des foyes parthenaisiens en achetant en gros (sans marché public !?!) des bécanes cédées à prix coutant (une avant première à la loi dite Messier).
    Ce maire M. Hervé, a rencontré plusieurs fois Gates de Redmond.
    Et Microsoft est devenu partenaire de la commune. Et je ne révèlerai pas quel OS équipait les ordinateurs. Malgré cela, il n'a pas été réélu.

    Il y a peu le Conseil Régional de Poitou Charentes dirigé alors par un certain Raffarin déclinait de participer à un projet d'université du libre située près du Futuroscope. Trop libre, sans doute, pour ces soi-disant libéraux qui adorent les subventions de toutes sortes et l'intervention public dans l'économie pour la plus grande gloire de la notabilité locale.

    Heureusement, le conseil général de la Vienne ne décide pas de l'équipement de toutes les administrations et Linux fait par ici bien des émules.

    A propos, la LUG poitevine c'est par là --> http://news.pcl.fr/gulp/(...)
  • [^] # Re: J'admets l'intérêt de l'IA !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Deep Fritz et Vladimir Kramnik ex-aequo. Évalué à 1.

    Ta remarque est judicieuse.
    En effet, confronter L'IA aux humains, c'est bien pour l'IA et ça peut justifier ces confrontations.

    Evidemment je ne suis pas contre l'IA bien au contraire.
    Je pense même que les échecs vont progresser grace à ces programmes surtout si on peut leur demander de jouer de différentes façons pour s'entrainer.

    Si je critique ces rencontres c'est pour l'excès de médiatisation sur le mode l'homme contre la machine où ... l'humain est certain de perdre, à brève échéance.
    Je ne crois pas que ça donne une bonne image du jeu d'échec.

    Le délire machiniste a fait l'objet d'un superbe et court roman d'Alfred Jarry,
    le Surmâle.
  • # Qu'y a-t-il de si difficile à installer avec une debian ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Alors comme ça la Woody est difficile à installer ?. Évalué à 1.

    Installer une debian, si on lit la doc et qu'on est pas trop regardant sur ce qu'on installe vraiment. Pas de problème.

    Maintenant, si on veut installer précisément certains paquets et pas d'autres dont on a absolument pas besoin. C'est ... très dur, surtout si veut une configuration précise dès l'installation

    J'ai installé une woody plusieurs fois avec succès mais je n'ai pas obtenu l'installation comme je l'entendais.
    Si installer consiste à réussir on sait pas quoi exactement, c'est facheux.
    Finalement, pour aller vite et surtout bien j'ai mis une slack 8.1 car je pouvais comprendre l'install de bout en bout.
    Et l'outil d'installation de la Slackware n'est pas un cliquodrome !

    Néanmoins je ne désepère pas avec debian simplement, il faut consacrer beaucoup de temps à maitriser l'installation et à cet égard la documentation bien que conséquente n'est pas suffisante, même si on la lit avant !!
  • # Quel intérêt ce genre de rencontre ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Deep Fritz et Vladimir Kramnik ex-aequo. Évalué à 1.

    Je trouve douteux ces soi-disants match, l'homme contre la machine.
    Imagine-t-on un coureur cycliste affonter un robot cyclopédiste ? Non.
    Les échecs, c'est pareil !

    Sans doute, jouer contre un ordinateur, c'est pour les débutants à quand des partenaires numéroiques qui ferait progresser. A qui on pourait demander, tiens fait moi une Oust-indienne ou une simple espagnole !
    Je rève là.
  • [^] # Re: Ah ca c'est pas mal

    Posté par  . En réponse à la dépêche AOL veut faire interdire le client AOL libre. Évalué à 2.

    Ton commentaire est assez juste : Aol n'a pas besoin de se faire connaitre particulièrement auprès des visiteurs de pengaol.org.
    Par contre, mettre la main sur ce site déjà largement connu procure l'avantage immense de promouvoir l'offre détaillée du fai à une "clientèle" déjà acquise.
    Ce que je trouve choquant c'est le procédé qui consiste à dénigrer les bénévoles qui ont oeuvré pour le fun à l'ouverture du protocole aol aux utilisateurs de linux.
  • # Misère du commerce ou la fausse vertu du marchand

    Posté par  . En réponse à la dépêche AOL veut faire interdire le client AOL libre. Évalué à 5.

    Si je n'ai jamais très bien compris pourquoi certains voulaient tant devenir client d'aol autant la démarche du cabinet fox consiste tout simplement à s'emparer de la notoriété de peng pour lancer commercialement le futur module de connexion d'aol.
    Obtenir le domaine pengaol.org, c'est comme mettre la main sur une énorme base de prospects sans la payer !
    Le procédé qui consiste à se prétendre victime d'un vol pour se servir à bon compte est répugnant.
  • [^] # Re: Quid du dico de l'Académie française ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Dictionnaires libres ?. Évalué à 10.

    Encore faudrait-il qu'il soit complet !

    Le dictionnaire de l'académie n'est pas une référence. C'est l'académie française qui "statue" sur la norme de la langue française. Laquelle langue d'ailleurs évolue sans tenir compte, quelle audace des académiciens.
  • [^] # Re: CDRom du Mag

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linux Magazine France de juillet/août. Évalué à 0.

    J'ai pô tout ça moi !
    Y'a des cd qui sont pas bien remplis.
    Pas de tiny, pas de magma, presque rien.
    Pas juste !?!
    Peut-être qu'ils m'en renverront un complet ?
  • # Débat et sens critique.

    Posté par  . En réponse à la dépêche LOPSI : une atteinte gravissime aux droits et aux libertés. Évalué à 10.

    Je suis tout même étonné de l'absence de véritable débat ici-même sur le rôle des organismes de régulation.
    Il semble que la CNIL jouisse là d'une si bonne réputation, qu'il soit malvenue de critiquer son action.
    Au moins faites la grâce d'un commentaire justifiant de votre position aussi favorable à la CNIL.
    Est-ce le principe même de son existence qui serait menacée d'après vous par la moindre critique ?
    Il me semble au contraire qu'en cette matière (le rôle des régulateurs), un examen attentif et sans concessions de leurs interventions stimulerait sans doute leurs actions pour une meilleure défense de l'intérêt public.
    Alors que jusqu'à présent, il semble que les régulateurs ne font qu'entériner les rapports de force.

    Je reprend une partie d'un échange sur cette news.
    "Si l'existance d'une telle instance est très largement justifiée, elle a montré dans ses avis
    une timidité étonnante quand on sait que cet organisme n'a pas les moyens d'imposer les décisions qu'il prend.
    Jusqu'à présent d'une façon générale les organismes de régulation français n'ont pas fait preuve de leur efficacité. ART, COB, CNIL, CSA pour ne citer que les principaux (il y en a d'autres) sont contraints par le manque de moyens, de pouvoir et ... de volonté des régulateurs eux-mêmes."
    (Tant pis pour mes xp)
  • [^] # Re: Difficile de se sentir libre...

    Posté par  . En réponse à la dépêche LOPSI : une atteinte gravissime aux droits et aux libertés. Évalué à 10.

    Je suis étonné de ta réponse.
    Dans le fond tu penses que ces lois restrictives qui mettent sous contrôle absolu les flux d'informations numériques ne seront pas très efficaces dans la pratique et qu'on pourra, somme toute, être un peu "incivique" et les rendre ainsi inefficaces.

    Quand aux élus que je qualifirais de base, ils n'en pensent pas grand chose. J'ai posé la question aux députés (majorité atuelle et opposition) de ma région, il ne sont pas capables de répondre eux-mêmes, ils s'en remettent aux "spécialistes".

    Je te rappelles qu'aux Etats Unis plus de 50% des infos traitées par les journalistes transitent par Internet. Quand on sait que la presse est amèrement critiquée par les élus qui ne rèvent tant que de lui abaisser le sens critique.

    Ouvrir le débat ? Mais c'est d'habitude aux élus d'ouvrir le débat ! On peut constater qu'ils s'en gardent bien.

    Je constate que depuis quelques mois, les gouvernements, dans toutes les instances où ils interviennent, G8, Conseil de l'Europe et exécutifs nationaux mettent en place des politiques très restrictives concernant l'usage d'Internet et ceux aux détriments de libertés et de la protections de la vie privé.
    Ainsi de la Grande Bretagne, de l'Espagne et maintenant de la France, sans que les opinions publiques ne s'en émeuvent.
    Je regrette que l'on reprenne sans discernement l'alibi du cybercrime, terrorismes et réseaux de pédophiles et piratages divers. Alors qu'aucun chiffres concernant la délinquance sur le Net ne viennent étayer ces mesures de contrôle de l'information.

    Quand à mon commentaire sur la CNIL, il est plutôt ironique (tant pis pour mes xp). Si l'existance d'une telle instance est très largement justifiée, elle a montré dans ses avis
    une timidité étonnante quand on sait que cet organisme n'a pas les moyens d'imposer les décisions qu'il prend.

    Jusqu'à présent d'une façon générale les organismes de régulation français n'ont pas fait preuve de leur efficacité. ART, COB, CNIL, CSA pour ne citer que les principaux (il y en a d'autres) sont contraints par le manque de moyens, de pouvoir et ... de volonté des régulateurs eux-mêmes.

    Aussi, je suis pessimiste plus que toi concernant l'expression des libertés sur les réseaux numériques.
  • # CNIL

    Posté par  . En réponse à la dépêche LOPSI : une atteinte gravissime aux droits et aux libertés. Évalué à -10.

    Je suis absolument certain que la CNIL va réagir en tempérant l'ardeur inquisitrice des gourvernements.

    Bon, -1, j'dis sans doute des bétises
  • [^] # Re: Difficile de se sentir libre...

    Posté par  . En réponse à la dépêche LOPSI : une atteinte gravissime aux droits et aux libertés. Évalué à 10.

    "Est-ce le début de la fin de cet espace de liberté qu'est l'Internet? Sincèrement je ne crois pas! :)"

    J'aimerai savoir sur quoi tu fondes ta croyance ?

    Malraux disait :
    "regardons-y à deux fois,avant de jeter la liberté par la fenêtre"
  • [^] # Re: Rien à voir

    Posté par  . En réponse à la dépêche SPAM, du nouveau. Évalué à -2.

    Sans souci de polémiquer, je remarque qu'il y a autour du contrôle des échanges numériques une véritable bataille de pouvoir. La CNIL, dont je ne renie pas le rôle positif qu'elle joue pour arbitrer les conflits de l'usage de l'informatique et des réseaux numériques, y participe largement. Ainsi a-t-elle accepté d'être moins vigilante à l'égard de la protection des données privés. En ne rejetant pas le principe de la rétention des données de connexions, bien au contraire,elle cède bien facilement à la démagogie sécuritaire. Tout au plus préconise-t-elle de garder "seulement" les log des FAI pendant trois mois au lieu d'un an comme le réclame le G8 et le conseil européen, C'est une position bien décevante pour un organisme censée contenir les abus sur le net !
  • [^] # Re: Plainte ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche SPAM, du nouveau. Évalué à 3.

    Il n'y a pas de "complot" gouvernemental.
    Mais, on constate une volonté politique très clairement exprimée de contrôler l'information sur Internet.

    Je m'inquiète des risques que ces dispositifs légaux font peser sur la confidentialité des échanges numériques.
    Je m'inquiète des réglementations empreintes d'idéologie sécuritaire et qu'au prétexte de la lutte contre la cyber-criminalité, on attente à la vie privé et qu'on impose des restrictions à la liberté d'information.
    On peut ne pas partager mon inquiétude.

    Je constate simplement que la vague conservatrice qui s'impose peu à peu en Europe, entraine des mesures restrictives et cède à l'opinion publique inquiète en s'attaquant à tous les symboles de la modernité au détriment de la créativité.
  • [^] # Mélanges

    Posté par  . En réponse à la dépêche SPAM, du nouveau. Évalué à 1.

    Je ne crois pas mélanger autant que cela.

    Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un dépot de plainte. Car, on peut déjà se plaindre à la CNIL lorsque un expéditeur abuse en spammant (voir le questionnaire de la CE).

    Le formulaire d'information de la commission européenne que j'ai déjà rempli, est une démarche très claire de demande d'opinion pour éclairer les décideurs de la CE pour prendre d'éventuelles mesures contre le spam.

    Je maintiens que l'action de la CNIL de mettre à la disposition des internautes une "boite à lettres" pour y transférer les mails de spam n'a rien à voir avec un dépot de plainte.

    Je parle de délation, d'une façon maladroite je le reconnais. Mais le principe même de communication qui est choisi par la CNIL qui paraît à la fois peu efficace pour le but affiché, car on voit mal comment il vont exploiter tous ces mails et tendancieuse sur la façon de solliciter l'internaute lésé par le spam en proposant un simple transfert du message litigieux.
  • # Manipulation ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche SPAM, du nouveau. Évalué à -10.

    Au moment où les gouvernements des principaux pays industriels décident de mettre fin à l'espace de liberté qu'est internet depuis ses débuts en prétendant lutter contre le "cybercrime", on montre du doigt quelques imbéciles coupables surtout d'être âpre au gain.
    On offre à la vindicte de l'internaute ces dangereux spammers car il faut bien justifier de la mise sous surveillance du réseau.
    Echelon enfin légalisé et étendu à toute la planète !
    Desormais nos parcours intimes sur le net et notre correspondance sont susceptibles d'être fichés, scrutés par des instances de surveillance.
    Maintenant, impossible de maintenir la discrétion concernant les moyens de nos informations.
    Jamais la démocratie ne s'est fondée sur la privation des droits élémentaires des citoyens : vie privé, liberté de communiquer, d'échanger.

    De plus en ce qui concerne le spam, il est déjà possible de s'en plaindre et d'obtenir réparation si le responsable est en France. Une simplification de la démarche est souhaitable.
    De là à organiser une sorte de délation qui n'ose s'avouer pour ... rien !
  • # J'ai pas vu la news

    Posté par  . En réponse à la dépêche SPAM, du nouveau. Évalué à -10.

    Troll ?
    J'ai rien vu sur le site de la cnil à ce propos !?!
  • [^] # Re: Le chaudron magique des applications

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'ésotérisme du bazar. Évalué à 2.

    En ce qui concerne les applications, il arrivera le même phénomène que pour les OS.
    La nécessaire réutilisation des codes va entrainer le besoin de partager des applications de gestion comme on partage les softs système.
    Les technologies et les méthodes de développement sont murs pour ça.
    Maintenant, le marché doit s'adapter à une nouvelle réalité et il le fera parceque l'impact sur les coûts de revient est très positif.
    L'ère des fortunes colossales baties en quelques années sur le créneau des technologies de l'information est terminée avec l'explosion de la bulle de spéculation.
    On ne s'est pas encore rendu compte que cela condamnait aussi tous les dinosaures même les très jeunes (Microsoft et consort). Il ne disparaitront pas mais les monopoles de fait qui se sont constitués après le monolithique règne d'IBM ne perdureront pas. Trop cher.
  • # Contradiction d'intérêts

    Posté par  . En réponse à la dépêche Musique en ligne: pas d'exception pour les extraits. Évalué à 10.

    Cette affaire représente un cas classique de contradiction d'intérêt. Le diffuseur n'est pas un consommateur et ne le représente pas. S'il diffuse des extraits d'oeuvres gratuitement pour le consommateur, il n'est pas certains que cela soit bénéficie aux petits labels (producteurs indépendants).
    On peut penser que cette forme d'information ne touche pas un public suffisant pour entrainer des ventes supplémentaires.
    D'autre part, NRJ se donne à bon compte une bonne image de découvreur sans pour autant participer aux risques de financer des artistes encore inconnus. Les petits labels eux ont fait cet effort d'investir vraiment dans la création, on peut penser qu'il ne voit pas d'un bon oeil une grosse radio diffuser à l'oeil des nouveautés. D'autant que NRJ reçoit sans doute une rémunération des annonceurs qui affichent leurs pubs sur les sites.
  • [^] # Re: Grave ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Musique en ligne: pas d'exception pour les extraits. Évalué à 10.

    En fait la durée de l'extrait doit être "courte" et donc n'est pas fixée à 30 secondes.
    Il s'apprécie en fonction de la durée de l'oeuvre elle-même.
    Le juge décide que 30 secondes pour un morceau de musique qui dure trois minutes n'est pas un extrait court.
  • [^] # Re: Put**** ils en ont pas marre de nous pomper ???

    Posté par  . En réponse à la dépêche Musique en ligne: pas d'exception pour les extraits. Évalué à 10.

    La citation existe, y compris pour la musique, cependant ce droit de citer des extraits doit se faire dans une oeuvre critique ou comme illustration sonore d'un reportage.

    Dans le compte rendu du délibéré, le droit de citation invoquée par la défense est rejeté par le juge.
  • [^] # Re: Brun Buisson

    Posté par  . En réponse à la dépêche Taxe Brun-Buisson. Évalué à 10.

    Je répond à tes remarques pertinentes par une anecdocte.
    Il y a assez longtemps, un personnage important à son époque soufrait d'insomnie. Il paya un compositeur de musique pour qu'il écrive une partition qu'un musicien réperterait pendant la nuit "ad libidum" jusqu'à ce que ce notable s'endormît.
    Le compositeur devait être assez habile pour que la musique ne parut pas se répéter mais soit néanmoins jouable simplement par l'interprète pendant des heures.
    Longtemps, cette oeuvre porta le nom du notable qui l'avait achetée. Et on oublia la partition quand le propriétaire s'endormit de son dernier sommeil.
    Un interprète exhuma le chef d'oeuvre car c'en est un, et ces variations porte maintenant son nom : les variations Goldberg.
    De nos jours, l'auteur est néanmoins parfaitement connu et célébré, C'est Jean Sébastien Bach.
    Il a fallu 2 siècles pour reconnaitre l'auteur.
    C'est pour cette raison que je parle de droit fondamental en ce qui concerne le droit de l'auteur.
    Le corrolaire de ce droit que je qualifie de fondamental c'est la diffusion privée par le propriétaire d'une copie ou de l'original qui me parait aussi être un droit fondamental.