🚲 Tanguy Ortolo a écrit 12252 commentaires

Pas bête, pour accéder facilement aux informations et conserver les tickets de caisse à impression thermique en effet.

En revanche contre le vol et l'incendie, bof, à moins d'avoir son ordinateur dans une autre maison, ce qui n'est pas mon cas…

Eh bien à ce prix-là, j'aurais trop de méfiance pour acheter. C'est inférieur au prix normal d'une cartouche pour 2000 pages (60 euros pour ma laser noir et blanc Lexmark), ce qui laisse soupçonner une entourloupe.

Mon scan sert très souvent pour numériser les documents administratifs : bulletin de salaires, feuilles d'impôts…

Et tu les jettes, les versions papier, après ? Moi je garde tout ça dans des dossiers…

Et si, un combo scanner imprimante apporte beaucoup : gain de place, facilité pour photocopier un truc

On ne doit vraiment pas avoir les mêmes usages, photocopier c'est quelque chose que je fais moins d'une fois par an…

machin qui se ferme donc l'imprimante se salit moins vite

Lapin compris.

et le coût, souvent moins cher que deux appareils.

Tu as pris en compte le coût du renouvellement de l'ensemble quand seul le scanner est hors service ?

Quant au prix du scanner, on pourra dire qu'il a généralement une durée de vie supérieure à celui d'une imprimante ?

Je ne sais pas, mais en tout cas l'inconvénient à avoir les deux ensemble, c'est que lorsqu'il y a une panne sur l'un des deux il faut changer les deux…

Et c'est vrais qu'un scanner seul coûte souvent plus cher qu'un multifonction

Je ne sais pas où tu achètes tes scanner, mais c'est plutôt le genre d'appareil qui se trouve à moins de 50 euros.

Totalement d'accord pour le couple Beamer et Impress!ve, encore qu'Impress!ve soit plutôt un gadget.

Beamer a un avantage majeur sur tous les autres logiciels de présentation : c'est à ma connaissance le seul qui permette de réaliser une présentation structurée, ce qui est indispensable pour que les auditeurs puissent noter et retenir quelque chose. On peut ainsi définir une structure, ce qui est déjà une fonctionnalité unique, mais également l'afficher au début, à chaque partie, ou de façon plus ou moins synthétique sur chaque transparent.

Par contre, il n'y a pas beaucoup d'imprimante multifonctions noir & blanc et bon marché.

Bah, deux choses :

1. un scanner ça sert vraiment très rarement, assez pour pouvoir se contenter de celui du travail quand on en a besoin, une ou deux fois par an ;
2. le fait de rassembler l'imprimante et le scanner dans un même ensemble n'apporte pas grand chose d'utile, quand on y réfléchit.

Je ne sais pas dans quel domaine il est ingénieur, mais des schémas en couleur il peut en avoir besoin plus souvent qu'une fois par an.

Je pensais à une utilisation personnelle : au travail, j'ai bien une imprimante couleur, quoique je ne me serve pas beaucoup de la couleur non plus.

Souvent, on a tendance à utiliser les mêmes couleurs pour tous nos rapports

Souvent on a tendance à ne pas utiliser du tout de couleur pour nos rapports, ou du moins à ne pas en avoir réellement besoin. Donc imprimante noir et blanc : c'est plus léger, moins encombrant, moins cher, plus fiable et plus simple. Et quand on a :

• des photos à faire tirer, on va chez le photographe du coin parce que les tirages perso c'est plus cher et de moins bonne qualité ;
• des documents où il faut vraiment de la couleur, à peu près une fois par an en somme, on va chez l'imprimeur du coin.

Un truc super ultra rare, comme un partitionnement EFI ?

Tu veux sans doute parler d'une GUID Partition Table, plutôt ? Ce n'est pas rare du tout.

Je ne comprends pas : c'est de la culture destinée à qui veut aller y assister… Il faut pouvoir payer sa place évidemment, mais à ce compte là toute la culture est destinée aux riches.

Vu les illustrations du site, j'imagine que vous avez parmi vous des amateurs des dessins de Randall Munroe ?

Tu as l'air de bien savoir de quoi tu parle avec ces « no waste », « hydroponique », « DTW », « table à marée », mais pour quelqu'un qui ne connais pas ces notions, ton message est à peu près incompréhensible.

Des planètes, ou agrégateurs de blogs, à suivre de préférence par leurs flux de syndication, par exemple :

• command line.
• Debian ;
• utilisateurs et développeurs Debian en français ;
• Libre ;
• auto-hébergement ;

C'est très bien expliqué ici:

http://www.gnu.org/software/make/manual/html_node/Eval-Function.html#Eval-Function

Oh bon sang ! C'est ça que je n'ai jamais aimé avec make, dès qu'on sort des cas simple où on écrit les règles à la main, ou à la rigueur avec des règles génériques : ça devient absolument illisible. Plus abscons, tu meurs.

Les autotools

Inconvénients :

• dépendance à la présence d'un shell bourne (ou compatible), m4, et perl

D'accord pour la complexité d'utilisation, mais ces dépendances, c'est une blague : les autotools sont faits pour que, côté utilisateur, il n'y ait qu'une dépendance au shell. Côté auteur, il faut un shell, m4 et Perl en effet, mais il semble évident que, pour utiliser un système de construction, il faut l'avoir installé, ou du moins ce qui le constitue, non ?

Est-ce juste parce que chez La Poste Bancale, ils ne connaissent rien d'autre ou cela fait-il réellement appel à un protocole MS-only ?

Vaudrait mieux pas, parce que MS Money, ce n'est plus maintenu…

Ça dépend des banques, mais c'est sûr que chez des boulets (la Poste) ou des fossiles (Caisse d'Épargne…) tu ne trouveras aucune fonctionnalité de ce genre. Il faut aller voir dans une banque moderne ou dynamique pour cela. Au CIC ils proposent le téléchargement des historiques dans des formats plus ou moins standards.

Ceci dit, il est très amusant de constater que les éditeurs de livres sont en train de foncer dans le mur malgré l'exemple éclatant de l'industrie musicale qui les a précédé en fonçant à pleine vitesse dans le mur des verrous numériques.

Oh, sur ce point-là, je ne pense pas qu'il y ait trop de souci à se faire, les DRM pour les livres numériques feront long feu, comme pour la musique : le livre numérique ne décollera pas tant qu'il restera des verrous.

Certains éditeurs en sont conscient et on déjà décidé de ne pas utiliser de verrous. D'autres non, et ils y viendront tardivement, par la contrainte du marché, après y avoir perdu des plumes et constaté que leurs concurrents marchent mieux qu'eux, c'est tout…

Ce qui est amusant, avec ces autorités nationales, c'est qu'elles donnent aux États la possibilité d'émettre pour leur propre usage des certificats usurpant l'identité d'autres acteurs. Autrement dit, de jour à l'homme du milieu sans que cela puisse être détecté par les utilisateurs. Mais après tout, les autorités de certification privées ont aussi ce pouvoir… :-)

Oui, en effet : ce n'est pas de cela qu'on parlait ? J'avais cru comprendre qu'on discutait de la possibilité de remplacer les claviers par des écrans LCD tactiles. Et ça, oui, c'est un truc à perdre énormément en vitesse de frappe, puisqu'on n'a plus aucun repère tactile, et à se faire mal aux doigts, parce qu'il n'y a aucun amorti.

Maintenant si tu veux, essai pour une fois un clavier mac (même un clavier de macbook)

J'ai essayé. Je n'aime pas, mais alors pas du tout, ça me fait faire des frappes involontaires et ça me donne l'impression de taper sur une planche dure.

Exactement pour la même raison : parce que ça fait vendre, pas effet bling-bling. Mais c'est moins bien.

Je souhaite même de toutes mes forces que l'Europe résiste le plus longtemps possible à l'invasion de l'édition électronique.

Outre les avantages et inconvénients physiques et techniques des liseuses électroniques (masse, possibilité d'adapter la taille d'écriture, difficulté à feuilleter…), il y a un avantage qui t'intéressera peut-être, toutefois : en se libérant du support physique et en annulant presque le coût marginal de production, le livre numérique permet de se libérer des contraintes de distribution. En particulier, il ne peut pas exister de pénurie d'un ouvrage.

Avec le papier, si un éditeur cesse d'effectuer des tirages d'un ouvrage, il devient introuvable, ce qui constitue une perte sèche pour la culture. S'il ferme boutique en revanche, l'auteur peut aller se faire éditer ailleurs. Avec la dématérialisation, rien de tel : un éditeur n'a aucun intérêt à cesser de distribuer un livre puisque les exemplaires produits ne coûtent rien. Même s'il décide de le faire, les lecteurs ne sont plus soumis à ses diktats et peuvent continuer à le distribuer hors marché : c'est illégal, mais moral, donc tout le monde s'en moque et je doute qu'un éditeur puisse se permettre d'aller se plaindre qu'on distribue sans lui un ouvrage orphelin.