🚲 Tanguy Ortolo a écrit 12407 commentaires

Il est très bien que le logiciel libre apparaisse dans les bibliothèques, parce que, pour autant que j'ai pu le voir, le propriétaire concurrent, c'est du gros qui tache.

Je veux dire que ce que j'ai pu voir, c'était du propriétaire qui réunissait tout ce que cela pouvait avoir de négatif, formats fermés, non documenté, non extensible, obsolescent, totalement dépendant d'entreprises dont on ne peut qu'espérer qu'elle ne laisseront pas tomber leurs clients, etc.

Ce film est-il sorti en DVD ? Parce que si c'est le cas, il peut bien avoir été acheté puis copié de façon privée, non ?

Et qu'on avait besoin d'un troll GTK+ contre Qt ?

Oui, sauf que Microsoft remporte aussi le marché juteux de la grande consommation parce qu'il est obligatoire d'être client. Dans le genre distorsion de concurrence, ce n'est pas mal.

contrecarrer le monopole de fait de quelques entreprises américaines

Le « de fait » me semble de trop, ça donne l'impression que, de fait, Microsoft est en situation de monopole, alors que c'est plus que ça, puisqu'on est forcé d'être client.

Non. Share alike, c'est partage à l'identique du point de vue de la licence, c'est à dire copyleft ou viralité de la licence. Rien à voir avec l'option No derivatives

Et si ce n'est pas compatible avec les DFSG, c'est pour des points de détails, qui rendent ces licences presque libres au sens de Debian.

35 heures. La journée de 35 heures, c'est l'avenir.

Et puis, les utilisateurs de Linux, très nombreux, ne sont pas pénalisé car openoffice marche aussi très bien.

Et marche même certainement mieux que Microsoft Office, dans un environnement aussi disparate. Autant que je sache, OpenOffice.org prend beaucoup mieux en charge les formats des différentes versions de Microsoft Office que Microsoft Office lui-même.

Désolé, je maintiens que les différences entre OOo 2.x et 2.y, pour le genre de choses qu'on apprend en formation, ça reste deux ou trois options qui ont changé de menu. Et si le formateur n'est pas capable d'apprendre aux gens à ne pas être perdus quand one fonctionnalité est dans le menu Format au lieu d'Édition, et bien il ne faut pas y aller, à sa formation.

Pas d'accord, pour deux raisons :
- les différences entre les versions actuellement proposées par les distributions ne sont pas énormes, ni insurmontables ;
- http://fr.openoffice.org/about-downloads.html

Fichier > Ouvrir, Format : OpenXML.

Je crois que le Netbook qui a permis de travailler à ce projet dans le train, d'où l'accélération.

Il faut reconnaître que ce nom, qui est un mot-valise forcé, laisse intacts plusieurs parties qui suffisent à deviner les mots qui le compose, et provoquent des erreurs de lecture.

Moi, j'ai lu « vidéopanorama », alors qu'il s'agirait plutôt de « vidéo » et « diaporama ».

Ce qui est déjà pas mal, parce que ça fait une base d'article assez impressionnante, je trouve.

Ah, oké.

Bon, à une époque, OLPC s'était tourné vers Microsoft, dans le sens : « finalement, on va mettre du Windows sur ces XO, pas du GNU/Linux ». N'était-ce pas plutôt à cette trahison-là, car c'en était bien une, que RMS avait réagi ?

Gné, clavier UTF-8 ? Qu'est-ce que c'est que cette bête-là ?

Il me semble qu'un clavier, c'est un objet qui parle PS/2 et envoie un scancodes quand on appuie sur une touche. Je ne vois vraiment pas ce qu'UTF-8 vient faire là-dedans.

J'aurais plutôt mis en évidence ainsi :
Avec une Mandriva qui est économe en RAM grâce à KDE,

Parce que 512 Mo, ce n'est pas assez ? C'est nouveau, ça.

Non, il y a Windows Mobile qui prend en charge pas mal d'architectures.

Bon, je complète : la première fois que je les vois critiquées parce que ne permettant pas facilement d'améliorer le logiciel. :-)

Dans Ubuntu et Debian, ce sont des Go-oo très discrets, je crois. Le seul moyen que j'ai trouvé de vérifier que c'étaient des Go-oo, c'est dans le dialogue d'ouverture d'OpenXML.

C'est bien la première fois que je vois une critique d'un logiciel parce qu'il utilise une licence trop permissive !

Ah ouais, Edvige sous GPL !

1. Quand et comment avez-vous connu DLFP ?

Au hasard d'Internet, je suis plusieurs fois tombé dessus. Je n'ai alors jamais accroché, jusqu'à ce qu'un jour…

2. Quel est votre niveau de fréquentation ?

Quotidien.

3. Quels sont les contenus que vous lisez ? Ceux que vous ne lisez jamais ?

Dépêches et journaux (depuis qu'ils sont visibles en première page). Ce que je ne lis pas : tout le reste.

4. Quelle est votre opinion personnelle sur DLFP ?

Excellent site pour rester au courant de l'actualité liée à l'informatique libre. Mieux que ça : indispensable, irremplaçable… :-)

5. Quels sont, selon, vous les points forts de DLFP ? Les raisons de son succès ? Ce que vous appréciez le plus ?

Le moteur de gestion de contenu et l'équipe de modération. Les dépêches sont vraiment de bonne qualité.

6. A contrario, les faiblesses de votre point de vue ?

Trop élitiste, je pense. Au début je n'aimais pas du tout, et j'ai mis des années avant d'accrocher. C'est aussi lié au style des pages, un peu frustre, il faudrait que je me mette à en rédiger un qui me plaise.

7. Comment percevez-vous l'influence de DLFP dans le monde du logiciel libre ?

Je ne sais pas, mais un effet que je vois, c'est la montée impressionnante des sites qui y sont liés, dans les moteurs de recherche Web.

8. Votre meilleur souvenir/troll/discussion sur LinuxFr (avec un lien si possible) ?

Je passe.

9. Avez-vous déjà posté/proposé du contenu sur DLFP ?

Oui. J'ai mis longtemps avant de me décider à le faire, mais je le referai volontiers.

10. DLFP, LinuxFr ou GNU/LinuxFr ?

J'utilise uniquement LinuxFr, mais maintenant que j'y pense, GNU/LinuxFr me semblerait plus correct vis-à-vis de GNU (je suis tout à fait sensibles aux arguments de Stallman sur le sujet). Sauf que GNU/LinuxFr, c'est moche.

L'idéal, en fait, ce serait DGLFP (Da GNU/Linux french page), c'est bien cryptique comme il faut. C'est le genre de chose que je reprochais avant de devenir un inconditionnel, mais que j'apprécie maintenant…

Ou alors, TrollFr, même si je n'ai pas encore bien compris comment fonctionnait la promotion de certaines dépêches sur cet autre côté du miroir.