Je ne connais pas Matplotlib plus que ça, mais il me semble que l'image n'est pas exportée au format SVG.
D’après la documentation de la méthode savefig, comme il n'y a pas de paramètre format et que le format ne peut pas être déduit du paramètre fname, alors c'est le format par défaut qui est utilisé, à savoir png.
Voici la fonction que j'utilise pour exporter un graphique Matplotlib en SVG :
Faire un truc rapide sans avoir de compréhension de la lib standard, peut importe le langage, ça me semble très… disons difficile.
Soit-dit en passant, le C++ est probablement le langage (avec le C, parmi les plus populaires) avec lequel on peut le plus facilement faire des trucs rapides sans rien connaître de la bibliothèque standard. Le C++ donne en effet directement accès à la bibliothèque C standard, aux bibliothèques systèmes, voire à l'assembleur. De quoi court-circuiter la bibliothèque C++ standard sans nécessairement perdre en performances. Il faut être motivé et avoir les compétences nécessaires, mais c'est plus facile qu'avec la plupart des autres langages, car on n'a pas besoin de changer d'environnement de développement pour ce faire …
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
Ce n'est pas dans un menu, c'est un élément de la listbox affichée à gauche du champ contenant, au-dessus à gauche de la liste des évènements. Et elle est présente dans la version 91.12.0.
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
Qu'est-ce qui ne va pas, dans Thunderbird, avec : onglet Agenda / Affichage Tous les évènements / Tri par dates croissantes / Sélection de l'évènement le plus récent à supprimer / Shift + Début / Suppr ? En plus, on peut annuler…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
On voit que, par rapport à la transcription naïve du pseudo-code, on a a doublé le nombre de if à cause de la gestion d'erreurs. Sans compter que j'ai fait l'impasse sur la gestion d'erreurs des fonctions ActionX !
On voit que le code entre le try et le catch correspond presque ligne à ligne avec le pseudo-code correspondant. Je précise que l'ensemble du code ci-dessus est quand même une énorme simplification de la manière dont j'utilise les exceptions.
Pour résumer, j'utilise les exceptions afin que mon code soit très proche du pseudo-code que l'on pourrait écrire pour l'algorithme correspondant, ce qui, d’après moi, facilite grandement sa compréhension, sa maintenabilité et son évolutivité, en évitant qu'il ne soit pollué par le code dédié à la gestion des erreurs.
Cette approche, je l'ai mise en œuvre alors que je programmais encore en C, lorsque je ne connaissais ni le C++, ni son mécanisme d'exceptions. Les throw, try, catch étaient simulés à l'aide de macros s'appuyant sur la bibliothèque setjmp. Ces macros garantissaient par ailleurs que toutes les ressources étaient correctement libérées lors de la survenue d'une «exception» (en fait, un appel à longjmp).
Lorsque je suis passé au C++, j'ai réimplémenté ces macros en m'appuyant sur les exceptions, tout en conservant leur implémentation originale, les premiers compilateurs C++ n'implémentant pas tous les exceptions.
Avec cette approche, je n'ai jamais rencontré de problèmes particuliers avec les exceptions. Pour autant, je n'irais pas jusqu'à affirmer qu'elle n'a pas son lot d'inconvénients qui la rendrait inapplicable dans certaines situations…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
Ce n'est pas parce que les exceptions posent problèmes avec certains types de projets qu'il faut les bannir de tous les projets.
Tu fais part de ton expérience, que je ne remets aucunement en question, pour justifier ta position sur les exceptions. Du coup, je vais te faire part de la mienne.
J"ai travaillé sur des projets assez conséquents, bien que probablement sans commune mesure avec ceux des organismes que tu cites. Il n'en reste pas moins que, pour ma part, les exceptions ne m'ont jamais, au grand jamais, posé de problèmes, même en ce qui concerne la taille des exécutable ou leurs performances.
Dans le cas notamment des daemon, des programmes qui sont censés être particulièrement fiables, je trouve personnellement que ce sont les exceptions (ou mécanisme similaire) qui permettent le plus facilement d'assurer cette fiabilité.
Bref, il en va des exceptions comme de toutes les technologies : il faut les utiliser à bon escient ; certaines projets s’accommodent parfaitement de leurs inconvénients, d'autres non…
Par conséquent, je n'ai aucun scrupule à les utiliser dans mes logiciels, et j'écris ceci tout en reconnaissant qu'elles ne sont pas exemptes de défauts…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[…] lire des milliers de page de code bien écrit pour apprendre à produire du code de qualité […] c'est ce que tous les bons programmeurs font.
Ce n'est pas la première fois que je vois ce genre d'affirmation. Le seul autre code source que le mien que j'examine à l'occasion sont de courts exemples d'utilisation d'une API. Ça fait de moi un mauvais programmeur ?
Quand je me suis lancé dans l'informatique en général et la programmation en particulier, le web n'existait pas encore, l'accès à Internet était hors de prix, et je n'avais donc pas accès à une grande quantité de code source. Je pense que nous fûmes beaucoup dans cette situation.
Du coup, le code source que je produis est probablement atypique. Bien qu'étant disponible sous licence libre sur des forges logicielles populaires, il ne doit pas être d'un grand intérêt pour ce genre de projets…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[…] (je pense que le pare-feu de mon entreprise bloque les websockets).
À ce sujet, j'ai eu l'occasion d'essayer une application utilisant des websockets sur quelques réseaux d'entreprises, et j'ai remarqué que beaucoup bloquaient les websockets avec http://, mais pas avec https://…
Les femmes sont peu représentées dans les métiers du numérique (29 % dans le secteur du numérique), une absence de diversité de profils qui commence dès la formation… Cet accès au numérique et à la maîtrise des outils est ainsi un frein pour les femmes en recherche d’emploi, encore plus pour celles qui ont envie d’entreprendre dans le numérique.
À l’aide de témoignages de personnalités du secteur, d’analyses et d’ateliers pratiques, découvrez les enjeux du numérique au féminin.
Utilisateurs, administrateurs, néophytes, donnez votre avis pour orienter les prochaines fonctionnalités en répondant à ce sondage avant le 30 avril 2022.
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
En ce qui me concerne, je me suis intéressé à l'informatique lorsque l'on m'a mis un ordinateur entre les pattes. Cadeau de Noël.
À l'époque, il aurait paru incongru de faire pareil cadeau à une fille.
De nos jours, d’après une rapide recherche, et ce que j'ai pu observer dans les transports en commun, rares sont les adolescents et adolescentes qui ne possèdent pas de smartphone.
Filles ou garçons, ils ont le matériel, et, grâce au web, la documentation. Reste à trouver les bons outils (Scratch, Snap! ou autres), et la bonne manière de leur les présenter pour les intéresser à la programmation en particulier et le numérique en général.
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
Contrairement aux précédents, ces jeux-là se jouent seuls. Néanmoins, pour rendre les choses plus fun, on peut y jouer à plusieurs, chacun sur son propre smartphone, en récupérant l'URL de l'application, éventuellement à l'aide du code QR dédié. Les différents protagonistes jouent alors à tour de rôle, ceux ne jouant pas voyant en temps réel, sur leurs smartphones, le déroulé de la partie de celui qui joue.
Pour essayer en ligne, sans rien installer, cliquez sur ce bouton :
Et, dans le même esprit, la tortue du Logo, mais utilisable sur smartphone :
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
Avant la pandémie, j'ai eu l'occasion de passer dans un CSC qui disposait de Poppy Ergo Jr, qui sont des bras robotisés pilotés par des Raspberry Pi. Sur ces RPi tournait un daemon qui permettait d'écrire des programmes pilotant ces bras à l'aide d'une version modifiée de Scratch, et qui faisaient l'objet d'ateliers proposés par ce CSC.
J'ai découvert, par ailleurs, que ces bras pouvaient également être pilotés à l'aide d'un module Python. Ni une, ni deux, j'ai écrit un petit programme qui, en utilisant le toolkitAtlas, affichait un ensemble de curseurs, chacun de ces curseurs permettant d'actionner l'un des six moteurs du bras.
J'ai lancé ce programme sur l'un des RPi connecté à un bras, et affiché l'interface correspondante dans le navigateur web de l'un des ordinateurs présents dans la salle. J'ai ensuite manœuvré le bras grâce à cette interface, ce qui m'a valu quelques commentaires polis : « Ouais ! Pas mal ! Sympa ! …».
J'ai ensuite demandé à l'un des jeunes de scanner le code QR prévu à cet effet avec son smartphone, ce qui lui a permis de manipuler le bras directement de ce smartphone. Là, j'ai eu droit à des appréciations nettement plus enthousiastes : «Ah ouais !!! Super !!! Génial !!! … ».
Bref, je pense que, de nos jours, même si le smartphone n'en est pas l'élément essentiel, il est vraiment devenu un élément qui peut considérablement booster l'intérêt des jeunes pour une activité donnée…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
La documentation du toolkitAtlas est disponible en français. Le livre dont sont tirés les programmes de ce projet est diffusé sous licence CC-BY-NC-SA, ce qui ouvre la voie à la traduction des commentaires explicatifs accompagnant les programmes, voire du livre entier. Il y a donc possibilité de rendre ce projet plus abordable pour ceux qui ont des difficultés avec l'anglais, sans compter qu'il existe par ailleurs quantité de ressources en français concernant Python, HTML, CSS…
Sauf que je suis personnellement plus attiré par la partie technique du projet, à savoir l'amélioration des outils et le développement de programmes les mettant en œuvre, et que ma remarque concernant l'anglais n'est qu'une pitoyable tentative de me donner bonne conscience de négliger ce genre de problématiques :-) !
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
J'ai eu l'occasion d'accompagner des jeunes dans leurs démarches pour trouver un emploi. Pour certains, cela consistait à leur apprendre à utiliser un ordinateur portable, afin d'être en mesure de rédiger CV, lettres de motivation et autres joyeusetés permettant de postuler à des offres d'emploi.
Ils (je n'ai eu, jusqu'à présent, affaire qu'à des garçons) disposaient tous d'un ordinateur portable, mais certains ne savaient même pas saisir une majuscule ou accentuer une lettre avec une touche morte (sans utilisation de la touche compose). Ceux-la mêmes qui, pourtant, n'avaient absolument aucune difficulté pour utiliser leur smartphone ; ils ne comprenaient pas toujours ce qu'ils faisaient, mais ils arrivaient toutefois toujours à leurs fins.
Pourquoi une telle désaffection pour leur portable, et un tel attachement pour leur smartphone ?
À mon sens, parce que le smartphone est l'ordinateur qu'ils utilisent pour leurs loisirs (jeux, vidéos, musique…), et qui leur permet d'interagir avec leurs amis, voire de nouer des relations amoureuses. L'ordinateur portable, à contrario, c'est l'ordinateur pour les études et, plus largement, pour tout ce qui touche à leurs (futurs) boulots. Bref, pour toutes ces choses que l'on fait généralement par obligation, et non par inclination.
Comment donc faire pour motiver ces jeunes à utiliser leur ordinateur portable ?
Influencé par ma propre histoire, j'ai pensé à la programmation, à condition que cela implique leur smartphone. Parce que apprendre à faire des programmes avec lesquels on n'interagit qu'au travers d'une interface textuelle, je pense que cela ne motivera la plupart que très moyennement. D'où l'idée des les initier à des outils qui permettent de programmer avec leur smartphone, pour leur smartphone.
À terme, si ils/elles (j'espère bien que cela concernera également des filles) accrochent à la programmation, ils/elles finiront sans doute par utiliser leur ordinateur portable, car c'est nettement plus pratique pour programmer qu'un smartphone. Apprendre à utiliser un ordinateur portable ne sera plus une fin en soi, mais un moyen qui facilitera l'exercice d'une activité qui, je l'espère, les intéressera, à savoir l'écriture de programmes pour leurs smartphones…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
Il manque, à ma connaissance, un format standard et largement supporté pour envoyer une page HTML et les ressources dont elle dépend dans un fichier unique auto-suffisant.
Et en utilisant les data URI scheme pour embarquer lesdites ressources ?
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
Le seul truc un peu relou, ce sont les tests de retours des fonctions (absence de mécanismes d’exceptions).
Moi aussi c'est ce qui m'embêtait le plus avec le C, mais, grâce à la bibliothèque setjmp, je pouvais gérer les erreurs via un mécanisme d'exceptions proche de celui du C++… Ceci dit, cela nécessite de créer une surcouche à la bibliothèque standard si on veut pleinement profiter de ce mécanisme.
Pour ma part, comme j'ai rapidement délaissé les bibliothèques standards au profit des bibliothèques systèmes, je passais de toute manière par des bibliothèques maisons qui prenaient en charge de manière transparente la portabilité de mes programmes (merci le préprocesseur !), et j'y avais bien entendu inclus ce mécanisme d'exceptions.
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
J'aurais bien envie de dire que l'HP-48 c'est pour les Kévins […]
Il me semblait que la série des HP-48 était le nec plus ultra en la matière à l'époque ; c'est d'ailleurs pour cela que je l'avais achetée. Un de mes profs de math l'avait d'ailleurs qualifiée de « Rolls-Royce des calculatrices ». Du coup, ça m’intéresserait d'avoir plus de détails…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Interfaçage avec autres libs ?
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal htag : realiser des UI en python3 sur web, mobile et desktop.. Évalué à 3.
Je ne connais pas Matplotlib plus que ça, mais il me semble que l'image n'est pas exportée au format SVG.
D’après la documentation de la méthode savefig, comme il n'y a pas de paramètre format et que le format ne peut pas être déduit du paramètre fname, alors c'est le format par défaut qui est utilisé, à savoir png.
Voici la fonction que j'utilise pour exporter un graphique Matplotlib en SVG :
Pour voir ce code en action : https://replit.com/@Q37Info/MatplotlibSVG#main.py (ligne 42).
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Juste mon point de vue
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal De l'influence néfaste de Google sur les développeurs C++. Évalué à 3.
Soit-dit en passant, le C++ est probablement le langage (avec le C, parmi les plus populaires) avec lequel on peut le plus facilement faire des trucs rapides sans rien connaître de la bibliothèque standard. Le C++ donne en effet directement accès à la bibliothèque C standard, aux bibliothèques systèmes, voire à l'assembleur. De quoi court-circuiter la bibliothèque C++ standard sans nécessairement perdre en performances. Il faut être motivé et avoir les compétences nécessaires, mais c'est plus facile qu'avec la plupart des autres langages, car on n'a pas besoin de changer d'environnement de développement pour ce faire …
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Interfaçage avec autres libs ?
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal htag : realiser des UI en python3 sur web, mobile et desktop.. Évalué à 3.
Matplotlib est aussi capable de générer du SVG et, vu les affinités de SVG avec HTML, il doit y avoir moyen d'injecter ça avec htag.
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Merci
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au lien CalCleaner : J'ai développé un petit outil pour supprimer les vieux événements des calendriers. Évalué à 3.
Ce n'est pas dans un menu, c'est un élément de la listbox affichée à gauche du champ
contenant
, au-dessus à gauche de la liste des évènements. Et elle est présente dans la version 91.12.0.Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Merci
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au lien CalCleaner : J'ai développé un petit outil pour supprimer les vieux événements des calendriers. Évalué à 4.
Qu'est-ce qui ne va pas, dans Thunderbird, avec : onglet Agenda / Affichage Tous les évènements / Tri par dates croissantes / Sélection de l'évènement le plus récent à supprimer / Shift + Début / Suppr ? En plus, on peut annuler…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
# Une autre vision des exceptions
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal De l'influence néfaste de Google sur les développeurs C++. Évalué à 7.
Ma modeste contribution au débat…
Soit le pseudo-code suivant :
Transcription naïve en C, en utilisant getc (j'écarte volontairement l'utilisation de
switch
…case
) :Avec ce code, s'il y a le moindre problème avec le flux lu par
getc(…)
, on rentre dans une boucle infinie.Implémentons maintenant une gestion d'erreurs à la C.
On voit que, par rapport à la transcription naïve du pseudo-code, on a a doublé le nombre de if à cause de la gestion d'erreurs. Sans compter que j'ai fait l'impasse sur la gestion d'erreurs des fonctions ActionX !
Utilisons maintenant les exceptions :
On voit que le code entre le
try
et lecatch
correspond presque ligne à ligne avec le pseudo-code correspondant. Je précise que l'ensemble du code ci-dessus est quand même une énorme simplification de la manière dont j'utilise les exceptions.Pour résumer, j'utilise les exceptions afin que mon code soit très proche du pseudo-code que l'on pourrait écrire pour l'algorithme correspondant, ce qui, d’après moi, facilite grandement sa compréhension, sa maintenabilité et son évolutivité, en évitant qu'il ne soit pollué par le code dédié à la gestion des erreurs.
Cette approche, je l'ai mise en œuvre alors que je programmais encore en C, lorsque je ne connaissais ni le C++, ni son mécanisme d'exceptions. Les throw, try, catch étaient simulés à l'aide de macros s'appuyant sur la bibliothèque setjmp. Ces macros garantissaient par ailleurs que toutes les ressources étaient correctement libérées lors de la survenue d'une «exception» (en fait, un appel à longjmp).
Lorsque je suis passé au C++, j'ai réimplémenté ces macros en m'appuyant sur les exceptions, tout en conservant leur implémentation originale, les premiers compilateurs C++ n'implémentant pas tous les exceptions.
Avec cette approche, je n'ai jamais rencontré de problèmes particuliers avec les exceptions. Pour autant, je n'irais pas jusqu'à affirmer qu'elle n'a pas son lot d'inconvénients qui la rendrait inapplicable dans certaines situations…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Qt
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal De l'influence néfaste de Google sur les développeurs C++. Évalué à 10.
Ce n'est pas parce que les exceptions posent problèmes avec certains types de projets qu'il faut les bannir de tous les projets.
Tu fais part de ton expérience, que je ne remets aucunement en question, pour justifier ta position sur les exceptions. Du coup, je vais te faire part de la mienne.
J"ai travaillé sur des projets assez conséquents, bien que probablement sans commune mesure avec ceux des organismes que tu cites. Il n'en reste pas moins que, pour ma part, les exceptions ne m'ont jamais, au grand jamais, posé de problèmes, même en ce qui concerne la taille des exécutable ou leurs performances.
Dans le cas notamment des daemon, des programmes qui sont censés être particulièrement fiables, je trouve personnellement que ce sont les exceptions (ou mécanisme similaire) qui permettent le plus facilement d'assurer cette fiabilité.
Bref, il en va des exceptions comme de toutes les technologies : il faut les utiliser à bon escient ; certaines projets s’accommodent parfaitement de leurs inconvénients, d'autres non…
Par conséquent, je n'ai aucun scrupule à les utiliser dans mes logiciels, et j'écris ceci tout en reconnaissant qu'elles ne sont pas exemptes de défauts…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Libre ou pas libre, telle n'est pas la question.
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au lien FauxPilot - Clone de GitHub Copilot libre et hors-ligne. Évalué à 2.
Ce n'est pas la première fois que je vois ce genre d'affirmation. Le seul autre code source que le mien que j'examine à l'occasion sont de courts exemples d'utilisation d'une API. Ça fait de moi un mauvais programmeur ?
Quand je me suis lancé dans l'informatique en général et la programmation en particulier, le web n'existait pas encore, l'accès à Internet était hors de prix, et je n'avais donc pas accès à une grande quantité de code source. Je pense que nous fûmes beaucoup dans cette situation.
Du coup, le code source que je produis est probablement atypique. Bien qu'étant disponible sous licence libre sur des forges logicielles populaires, il ne doit pas être d'un grand intérêt pour ce genre de projets…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: En parlant de Minitel
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au lien OS pour Minitel. Évalué à 2.
À ce sujet, j'ai eu l'occasion d'essayer une application utilisant des websockets sur quelques réseaux d'entreprises, et j'ai remarqué que beaucoup bloquaient les websockets avec
http://
, mais pas avechttps://
…Ceci dit, http://3611.re fonctionne chez moi, mais pas https://3611.re…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: re: Adieu Atom :(
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal Adieu Atom :(. Évalué à 2.
N'oublions pas que VSCode, c'est aussi https://vscode.dev. Mais c'est peut-être faisable avec https://www.rust-lang.org/fr/what/wasm …
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
# Table ronde / atelier « L’emploi dans le numérique – Femmes et Numérique »
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au lien étude : les freins à l'accès des filles aux filières informatiques et numériques. Évalué à 2.
Ça se passe demain (jeudi 2 juin) à Strasbourg. Inscription nécessaire, mais il y a encore de la place : https://numerique-responsable.strasbourg.eu/event/emploi-dans-le-numerique-femmes-et-numerique/
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: « nouveau »
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au lien Mohammed Adnène Trojette, développeur Debian, nouveau conseiller au numérique de l'Elysée. Évalué à 2.
Le bon titre est : Mohammed Adnène Trojette, développeur Debian, à nouveau conseiller au numérique de l'Elysée
Déjà à ce poste sous Castex, il a été reconduit à ce même poste sous Borne.
Je n'avais pas trouvé l'info sur LinuxFR…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
# 24/05/2022 > 30/04/2022 !
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse à la dépêche happyDomain - On devrait tous avoir un nom de domaine. Évalué à 3.
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
# Une lueur d'espoir ?
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au lien Conférence "Les freins à l’accès des filles aux filières informatiques et numériques du Lycée". Évalué à 3.
En ce qui me concerne, je me suis intéressé à l'informatique lorsque l'on m'a mis un ordinateur entre les pattes. Cadeau de Noël.
À l'époque, il aurait paru incongru de faire pareil cadeau à une fille.
De nos jours, d’après une rapide recherche, et ce que j'ai pu observer dans les transports en commun, rares sont les adolescents et adolescentes qui ne possèdent pas de smartphone.
Filles ou garçons, ils ont le matériel, et, grâce au web, la documentation. Reste à trouver les bons outils (Scratch, Snap! ou autres), et la bonne manière de leur les présenter pour les intéresser à la programmation en particulier et le numérique en général.
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
# Ajouts.
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal Le smartphone comme vecteur d'initiation à la programmation. Évalué à 2.
Deux jeux ont été rajoutés, Blackjack et Flooder.
Contrairement aux précédents, ces jeux-là se jouent seuls. Néanmoins, pour rendre les choses plus fun, on peut y jouer à plusieurs, chacun sur son propre smartphone, en récupérant l'URL de l'application, éventuellement à l'aide du code QR dédié. Les différents protagonistes jouent alors à tour de rôle, ceux ne jouant pas voyant en temps réel, sur leurs smartphones, le déroulé de la partie de celui qui joue.
Pour essayer en ligne, sans rien installer, cliquez sur ce bouton :
Et, dans le même esprit, la tortue du Logo, mais utilisable sur smartphone :
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: OK jeunot
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal Hey, les quadra, vous êtes obsolètes. Évalué à 7.
Avant la pandémie, j'ai eu l'occasion de passer dans un CSC qui disposait de Poppy Ergo Jr, qui sont des bras robotisés pilotés par des Raspberry Pi. Sur ces RPi tournait un daemon qui permettait d'écrire des programmes pilotant ces bras à l'aide d'une version modifiée de Scratch, et qui faisaient l'objet d'ateliers proposés par ce CSC.
J'ai découvert, par ailleurs, que ces bras pouvaient également être pilotés à l'aide d'un module Python. Ni une, ni deux, j'ai écrit un petit programme qui, en utilisant le toolkit Atlas, affichait un ensemble de curseurs, chacun de ces curseurs permettant d'actionner l'un des six moteurs du bras.
J'ai lancé ce programme sur l'un des RPi connecté à un bras, et affiché l'interface correspondante dans le navigateur web de l'un des ordinateurs présents dans la salle. J'ai ensuite manœuvré le bras grâce à cette interface, ce qui m'a valu quelques commentaires polis : « Ouais ! Pas mal ! Sympa ! …».
J'ai ensuite demandé à l'un des jeunes de scanner le code QR prévu à cet effet avec son smartphone, ce qui lui a permis de manipuler le bras directement de ce smartphone. Là, j'ai eu droit à des appréciations nettement plus enthousiastes : «Ah ouais !!! Super !!! Génial !!! … ».
Bref, je pense que, de nos jours, même si le smartphone n'en est pas l'élément essentiel, il est vraiment devenu un élément qui peut considérablement booster l'intérêt des jeunes pour une activité donnée…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: À propos de l'anglais
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal Le smartphone comme vecteur d'initiation à la programmation. Évalué à 3. Dernière modification le 02 mai 2022 à 19:51.
La documentation du toolkit Atlas est disponible en français. Le livre dont sont tirés les programmes de ce projet est diffusé sous licence CC-BY-NC-SA, ce qui ouvre la voie à la traduction des commentaires explicatifs accompagnant les programmes, voire du livre entier. Il y a donc possibilité de rendre ce projet plus abordable pour ceux qui ont des difficultés avec l'anglais, sans compter qu'il existe par ailleurs quantité de ressources en français concernant Python, HTML, CSS…
Sauf que je suis personnellement plus attiré par la partie technique du projet, à savoir l'amélioration des outils et le développement de programmes les mettant en œuvre, et que ma remarque concernant l'anglais n'est qu'une pitoyable tentative de me donner bonne conscience de négliger ce genre de problématiques :-) !
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: OK jeunot
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal Hey, les quadra, vous êtes obsolètes. Évalué à 10. Dernière modification le 01 mai 2022 à 18:11.
J'ai eu l'occasion d'accompagner des jeunes dans leurs démarches pour trouver un emploi. Pour certains, cela consistait à leur apprendre à utiliser un ordinateur portable, afin d'être en mesure de rédiger CV, lettres de motivation et autres joyeusetés permettant de postuler à des offres d'emploi.
Ils (je n'ai eu, jusqu'à présent, affaire qu'à des garçons) disposaient tous d'un ordinateur portable, mais certains ne savaient même pas saisir une majuscule ou accentuer une lettre avec une touche morte (sans utilisation de la touche compose). Ceux-la mêmes qui, pourtant, n'avaient absolument aucune difficulté pour utiliser leur smartphone ; ils ne comprenaient pas toujours ce qu'ils faisaient, mais ils arrivaient toutefois toujours à leurs fins.
Pourquoi une telle désaffection pour leur portable, et un tel attachement pour leur smartphone ?
À mon sens, parce que le smartphone est l'ordinateur qu'ils utilisent pour leurs loisirs (jeux, vidéos, musique…), et qui leur permet d'interagir avec leurs amis, voire de nouer des relations amoureuses. L'ordinateur portable, à contrario, c'est l'ordinateur pour les études et, plus largement, pour tout ce qui touche à leurs (futurs) boulots. Bref, pour toutes ces choses que l'on fait généralement par obligation, et non par inclination.
Comment donc faire pour motiver ces jeunes à utiliser leur ordinateur portable ?
Influencé par ma propre histoire, j'ai pensé à la programmation, à condition que cela implique leur smartphone. Parce que apprendre à faire des programmes avec lesquels on n'interagit qu'au travers d'une interface textuelle, je pense que cela ne motivera la plupart que très moyennement. D'où l'idée des les initier à des outils qui permettent de programmer avec leur smartphone, pour leur smartphone.
À terme, si ils/elles (j'espère bien que cela concernera également des filles) accrochent à la programmation, ils/elles finiront sans doute par utiliser leur ordinateur portable, car c'est nettement plus pratique pour programmer qu'un smartphone. Apprendre à utiliser un ordinateur portable ne sera plus une fin en soi, mais un moyen qui facilitera l'exercice d'une activité qui, je l'espère, les intéressera, à savoir l'écriture de programmes pour leurs smartphones…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Évolutions techniques
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse à la dépêche Marion Créhange, l’informatique au service des sciences humaines. Évalué à 5.
Et on peut aussi citer la musique, qui permettrait d'améliorer ses notes en maths et en sciences…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Il date de quant ce dvd/Blu-ray ?
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal Harmonia Mundi contre la copie privée. Évalué à 2.
J'avais associé sa parenthèse sur le FLAC à
…ensuite de les envoyer "brutes"…
.Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Il date de quant ce dvd/Blu-ray ?
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal Harmonia Mundi contre la copie privée. Évalué à 3.
Le FLAC, c'est compressé, sans pertes, certes, mais compressé. Un DAC ne pourrait rien en faire…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Page Wikipedia en cours
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au lien Marion Créhange, 1e thèse en informatique française en 1961, vient de mourir à 85 ans. Évalué à 4.
Un peu de grain à moudre pour la page Wikipédia (et la dépêche) : https://www.numerama.com/tech/905907-elle-apparaissait-comme-un-personnage-decouvrez-marion-crehange-pionniere-francaise-de-linformatique-longtemps-oubliee.html ?
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Utilité d'un traitement de texte aujourd'hui ?
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au lien Les indices qui montrent que vous ne maîtrisez pas le traitement de texte. Évalué à 5.
Et en utilisant les data URI scheme pour embarquer lesdites ressources ?
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Survivor
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal C, un âge remarquable. Évalué à 5.
Moi aussi c'est ce qui m'embêtait le plus avec le C, mais, grâce à la bibliothèque setjmp, je pouvais gérer les erreurs via un mécanisme d'exceptions proche de celui du C++… Ceci dit, cela nécessite de créer une surcouche à la bibliothèque standard si on veut pleinement profiter de ce mécanisme.
Pour ma part, comme j'ai rapidement délaissé les bibliothèques standards au profit des bibliothèques systèmes, je passais de toute manière par des bibliothèques maisons qui prenaient en charge de manière transparente la portabilité de mes programmes (merci le préprocesseur !), et j'y avais bien entendu inclus ce mécanisme d'exceptions.
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !
[^] # Re: Poubelle
Posté par Claude SIMON (site web personnel) . En réponse au journal TI-92 à donner. Évalué à 4.
Il me semblait que la série des HP-48 était le nec plus ultra en la matière à l'époque ; c'est d'ailleurs pour cela que je l'avais achetée. Un de mes profs de math l'avait d'ailleurs qualifiée de « Rolls-Royce des calculatrices ». Du coup, ça m’intéresserait d'avoir plus de détails…
Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !