Claude SIMON a écrit 539 commentaires

  • [^] # Re: Précision sur les notebook

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Django + Jupyter Lab = ❤️. Évalué à 6.

    Puisqu'on en est à enjoliver les notebooks Jupyter, j'ai commis une petite bibliothèque qui permet de créer des interfaces graphiques un peu plus sophistiquées qu'avec ipywidgets.

    Exemple :

    Animation montrant un notebook Jupyter utilisant le toolkit Atlas

    Une autre interface crée avec un notebook Jupyter (cliquer sur l'image pour voir le notebook correspondant) :

    L'application 'Contacts' tel qu'affichée dans un noteobok Jupyter

    Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !

  • [^] # Re: Quelques nuages libres

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Pour les esthètes des "clouds". Évalué à 6.

    Titre de l'image

    Nuages en feu - OnePlus 6 de récup.

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  • [^] # Re: Finalement c'est 300 000 !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Cent mille dollars pour un navigateur. Évalué à 6.

    Antique Bug Collection

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  • [^] # Que nenni !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Gimp 2.99.16 (développement) vient de sortir. Évalué à 3. Dernière modification le 07 juillet 2023 à 13:14.

    Et sinon j'en profite pour rappeler que GIMP n'est pas sur Github!

    Si si, comme miroir en lecture seule du dépôt GitLab !

    Et pour attraper le troll au vol :
    - https://gitlab.gnome.org/GNOME/gimp : 124 stars ;
    - https://github.com/GNOME/gimp : 4k stars.

    Ça peut être un élément de réponse à ton P.S.

    Sinon, tu peux aussi interroger celui qui a crée le miroir…

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  • [^] # Re: Informix 4G

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Écrire une appli web en une journée avec SQLPage. Évalué à 3.

    Il y avait aussi ce qui s'appelait à l'époque Progress 4GL.

    Ils sont aussi passé au web depuis…

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  • [^] # Re: Ca me fait sourire cet article .....

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Le futur, c'est XML. Évalué à 2.

    C'est que YAML ou JSON sont souvent présentés comme une alternative à XML pour les fichiers de configuration. En ce qui me concerne, je trouve l'écriture de fichiers de configuration beaucoup plus simple en XML qu'en YAML ou JSON à cause de XPPq. Or, mettre en œuvre l'équivalent de XPPq pour YAML ou JSON me semble certes pas impossible, mais beaucoup plus compliqué à cause de l'absence d'espaces de noms.

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  • [^] # Re: Ca me fait sourire cet article .....

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Le futur, c'est XML. Évalué à 1.

    https://epeios.q37.info/tools/xppq/

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  • [^] # Re: Ca me fait sourire cet article .....

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Le futur, c'est XML. Évalué à 3.

    Ça a été remplacé par JSON et YAML qui font… la même chose en moins bien.

    Ca veut dire quoi "en moins bien ?"

    Ben déjà il leur manque les espaces de noms

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  • [^] # Re: 2013

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Justin et la légende des chevaliers. Évalué à 4.

    Présent ! Mais c'est avec des dépôts sur lesquels je suis le seul à travailler.
    Et ça pourrait être pire : j'aurais pu encore utiliser CVS
    Blague à part, autant il y a de grosses différences entre CVS et Mercurial, autant je n'en vois pas vraiment à l'utilisation entre Mercurial et Git, pour l'usage que j'en ai.
    Ils sont tous deux nés à quelques jours d'intervalle, avec le même objectif, à savoir remplacer BitKeeper dans son utilisation avec le noyau Linux. Tous deux sont encore activement maintenus à ce jour, Mercurial par sa créatrice, contrairement à Git, dont l'illustre créateur a passé la main…

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  • [^] # Re: Migration

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Gandi, passe de « no bullshit » à « bait and switch » ?. Évalué à 6.

    Pour ma part, j'ai gardé le même registrar, mais j'ai transféré la gestion des zones DNS du nom de domaine vers mon prestataire mail. En d'autre termes, je n'ai pas modifié les zones DNS chez mon registrar, mais juste les serveurs DNS pour utiliser ceux de mon prestataire mail. Par conséquent, la gestion des zones DNS de mon nom de domaine ne se fait plus chez mon registrar, mais chez mon prestataire mail.
    Du coup, changer de registrar est beaucoup plus simple, puisque je n'aurais qu'à définir les serveurs DNS de mon nouveau registrar comme étant ceux de mon prestataire mail.

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  • [^] # Re: Le même en français

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Publication de Debian 12 « Bookworm ». Évalué à 3.

    Effectivement, ça fonctionne avec Firefox. Il y a cependant quand même une bizarrerie avec ce dernier. Si on met fr-fr seul, on a la page en français, mais si on met fr-fr suivi de en (donc en priorité moindre), on a la page en anglais. Mais fr suivi de en donne bien la page en français. Après, pourquoi pas, mais pourquoi est-ce que tous les navigateurs ne suivent pas la même logique ? Il n'y a pas de norme en la matière ? Ceci dit, c'est peut-être la faute du site…

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  • [^] # Re: Le même en français

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Publication de Debian 12 « Bookworm ». Évalué à 3.

    Étrange.
    Avec Firefox en fr-fr, j'ai la page en anglais, alors qu'en fr, j'ai la page en français.
    Avec Chromium, sur lequel Brave est basé, j'ai la page en français dans les deux cas…

    À titre de comparaison, https://zelbinium.q37.info/, un site à moi configuré pour être affiché en anglais par défaut sauf si la langue demandée est le français, la version en français est affichée quel que soit le navigateur et qu'il soit configuré en fr-fr ou fr. La bascule en français est assurée par un script qui teste si langue du navigateur contient fr

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  • [^] # Re: Pyodide c'est très bien, et replit non RGPD

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les jeunes aiment les smartphones, mais pas le numérique. Évalué à 2.

    Zelbinium s'appuie sur le toolkit Atlas, qui utilise les sockets. Or, les socket ne sont pas fonctionnels dans Pyodide. Ainsi, le code suivant provoque une erreur dans Pyodide :

    import socket
    socket = socket.socket(socket.AF_INET, socket.SOCK_STREAM)
    socket.connect(("linuxfr.org",80))

    BlockingIOError: [Errno 26] Operation in progress

    C'est pour cela que l'utilisation de Pyodide est inenvisageable dans le cadre de Zelbinium.

    Concernant Replit, d’après ce document (point 7), il semblerait bien que ce service soit conforme avec le RGPD

    Concernant le site, il est intéressant pour consolider les connaissances, mais j'y vois deux problèmes.

    D'une part, le fond. Aborder de manière frontale les différents concepts de programmation est intéressant pour consolider des connaissance, mais me semble un peu trop abrupt comme première approche. Je préfère introduire les concepts dans le cadre de la programmation d'une application plus générale au fur et à mesure que le besoin s'en fait sentir.

    Pour la forme, même si Pyodide permet d'utiliser un smartphone pour travailler sur les exercices, cela reste tellement éloigné du numérique tel qu'ils sont habitués a le pratiquer avec leur smartphone que je pense qu'ils vont peut-être avoir du mal à accrocher.

    C'est pour cela que j'ai crée une bibliothèque s'appuyant sur le toolkit Atlas qui permet de créer des exercices s'exécutant dans un environnement graphique tout en ne nécessitant pas la manipulation de cette interface pour résoudre l'exercice. J'ai écrit une dépêche à ce sujet, où l'on s'est d'ailleurs déjà croisé.

    J'ai depuis crée deux sites, un à destination des professeurs, l'autre des élèves, pour montrer à quoi ressemblerai un exercice s'appuyant sur cette bibliothèque. Cependant, cette approche ne semble pas être partagée par les personnes concernées car, malgré la présentation du projet via plusieurs canaux ainsi qu'une proposition de collaboration pour améliorer et enrichir les sites afin de mieux répondre à leurs attentes, je n'ai jamais reçu de retour de leur part…

    Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !

  • [^] # Re: Rien de nouveau sous le soleil

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les jeunes aiment les smartphones, mais pas le numérique. Évalué à 4.

    Comme mentionné dans le journal cité, est-ce vraiment pire que de programmer avec le clavier à membrane du Sinclair ZX81 ?

    Et puis, ils pourront toujours utiliser les ordinateurs personnels qui sont mis à disposition dans les établissements scolaires, les médiathèques, les CSC… pour réaliser le gros du travail de programmation pour ensuite l'utiliser sur leur smartphone à l'aide de Replit et/ou Termux/iSH et/ou les forges logicielles.

    Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !

  • [^] # Re: Rien de nouveau sous le soleil

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les jeunes aiment les smartphones, mais pas le numérique. Évalué à 2.

    • Les jeunes qui veulent un jeux vidéo, c'est pour y jouer ;
    • les jeunes qui veulent une BD, c'est pour la lire ;
    • les jeunes qui veulent une voiture, c'est pour ce déplacer ;
    • etc.

    Les jeunes qui veulent un smartphone, c'est pour… en fait, c'est juste parce que presque tous leurs petits camarades en ont un.

    Les jeunes, il utilisent leur smartphone pour aller sur les réseaux sociaux, regarder des vidéos, relever des défis complètement stupides voire carrément dangereux… simplement parce que c'est ce que la plupart des jeunes font avec leur smartphone, et que ce sont donc les choses à faire pour s'intégrer.

    Pourquoi est-ce que la programmation ne ferait pas partie de ces choses que les jeunes font avec leur smartphone ? Peut-être pour quantité de raisons, mais si de telles raisons existent, j'espère que Zelbinium en a rendues quelques-unes caduques….

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  • [^] # Re: leur fameux :

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Données de santé et utilisation des cookies : DOCTISSIMO sanctionné par une amende de 380 000 euros. Évalué à 4. Dernière modification le 19 mai 2023 à 15:46.

    Ça a fait l'objet d'une petite discussion ici-même : https://linuxfr.org/users/epeios/liens/ovh-rgpd-vos-backups-sont-perdus-il-faut-le-signaler-a-la-cnil

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  • [^] # Re: sommes nous davantage que des synthétiseurs textuels ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le vocable « intelligence artificielle » vs synthétiseur de texte ?. Évalué à 2.

    Énoncé : Soit f:R→R telle que ∀x∈R:f(7x−3)=x+80. Calculer la dérivée de f.

    Réponse avec GPT-3.5 :

    Pour calculer la dérivée de la fonction f(x), nous allons utiliser la règle de la chaîne. La règle de la chaîne stipule que si nous avons une fonction composée, par exemple g(h(x)), alors la dérivée de cette fonction composée peut être calculée en multipliant la dérivée de g(h(x)) par la dérivée de h(x).

    Dans notre cas, nous avons f(7x - 3) = x + 80. Nous pouvons considérer la fonction g(u) = u + 80 et la fonction h(x) = 7x - 3.

    La dérivée de g(u) par rapport à u est simplement 1, car u + 80 est une fonction linéaire de coefficient 1 devant u.

    Maintenant, nous devons calculer la dérivée de h(x). La dérivée de 7x - 3 par rapport à x est simplement 7, car la dérivée d'une fonction linéaire est égale au coefficient devant x.

    En utilisant la règle de la chaîne, nous pouvons maintenant calculer la dérivée de f(x) comme suit :

    f'(x) = g'(h(x)) * h'(x)

    Dans notre cas, g'(u) = 1 et h'(x) = 7, donc :

    f'(x) = 1 * 7 = 7

    Ainsi, la dérivée de la fonction f(x) est égale à 7.

    Je lui ai demandé de déterminer spécifiquement f(x), et après 4 réponses incorrectes :

    Je m'excuse encore une fois pour les réponses incorrectes précédentes. Reprenons l'énoncé initial et essayons de déterminer correctement la fonction f(x) :

    Soit f: R → R telle que ∀x ∈ R : f(7x - 3) = x + 80.

    Pour trouver la fonction f(x), nous devons exprimer x en termes de 7x - 3. Nous avons :

    7x - 3 = y

    En isolant x, nous obtenons :

    7x = y + 3

    x = (y + 3)/7

    Maintenant, nous pouvons exprimer f(x) en termes de y :

    f(y) = (y + 3)/7 + 80

    Donc, la fonction f(x) correspondante est f(x) = (x + 3)/7 + 80.

    Encore une fois, je m'excuse pour les réponses incorrectes précédentes et j'espère que cette réponse correspond correctement à l'énoncé initial.

    Ouf !

    Il a l'air d'apprendre, car avec un nouveau chat :

    Pour calculer la dérivée de la fonction f, nous devons utiliser la règle de la chaîne. Tout d'abord, nous exprimons la fonction f(7x - 3) en termes de x :

    f(7x - 3) = x + 80

    Maintenant, nous dérivons les deux côtés de cette équation par rapport à x. La dérivée de la fonction f(7x - 3) par rapport à x peut être calculée en utilisant la règle de la chaîne :

    [f(7x - 3)]' = (x + 80)'

    Maintenant, nous devons calculer les dérivées individuelles des deux côtés de l'équation. La dérivée de x par rapport à x est simplement 1, et la dérivée constante 80 par rapport à x est égale à 0. Pour la dérivée de f(7x - 3), nous utilisons la règle de la chaîne :

    [f(7x - 3)]' = f'(7x - 3) * (7x - 3)'

    La dérivée de (7x - 3) par rapport à x est simplement 7. En substituant toutes ces valeurs, nous avons :

    f'(7x - 3) * 7 = 1

    Maintenant, nous pouvons isoler f'(7x - 3) :

    f'(7x - 3) = 1/7

    Donc, la dérivée de la fonction f par rapport à x est f'(x) = 1/7.

    Je me demande si la version 4 aurait tout de suite trouvé la bonne réponse…

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  • # Pour rester dans le sujet…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Jupyter - « Libre à vous ! » du 4 avril 2023 - Podcasts et références . Évalué à 4. Dernière modification le 12 avril 2023 à 09:17.

    …un peu de pub éhontée pour un projet open source, des fois que cela pourrait se révéler utile…

    Pour ajouter un peu d'interactivité aux notebook Jupyter, il existe ipywidget qui permet d'obtenir ceci :

    Pour ceux qui ont besoin de widgets plus évolués, ben il y a mon projet qui permet de mettre en œuvre n'importe quel composant HTML.

    À titre d'exemple, voici l'équivalent du Hello world :

    Le notebook correspondant est visible à l'adresse https://github.com/epeios-q37/atlas-python/blob/master/tutorials/Hello.ipynb.

    Un exemple un peu plus sophistiqué, dont le notebook est visible à l'adresse https://github.com/epeios-q37/atlas-python/blob/master/tutorials/Contacts.ipynb :

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  • [^] # Re: Utiliser localement ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Lilypond + Frescobaldi + … (aka «En avant la musique !»). Évalué à 3.

    L'application s'appuie, pour l'interface graphique, sur le toolkit Atlas dont le but, en gros, est de pouvoir profiter de certaines technos web (HTML/CSS) sans en subir les inconvénients (JavaScript, nécessité de disposer d'un serveur web).

    L'ancêtre du toolkit Atlas s’appuyait sur Electron et, avant cela, sur XULRunner. C'est pour éviter cela que le toolkit s'appuie sur un serveur, avec lequel il communique à l'aide d'un protocole maison. L'URL affichée au démarrage de l'application lance une connexion à ce même serveur, mais en utilisant le protocole HTTP(S), donc avec un navigateur web comme client.

    Voici le schéma correspondant :

    On peut mettre en place son propre serveur en suivant la procédure à l'adresse https://q37.info/s/hxkfph74.

    L'application fonctionne également en HTTP, mais j'ai remarqué que certains opérateurs téléphoniques bloquaient les WebSockets en HTTP, d'où l'utilisation de HTTPS par défaut.

    Il y a déjà eu ici même quelques publications concernant cette architecture : https://linuxfr.org/tags/atlas_toolkit/public. Mais s'il y a des aspects à approfondir, je le ferais bien volontiers, éventuellement sous forme de journal…

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  • [^] # Re: Encore un cocorico

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien L'internet Archive perd en première instance contre le groupe Hachette aux US. Évalué à 4.

    Sur le même sujet, en un peu plus détaillé… : https://maliki.com/strips/a-croisee-chemins/

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  • [^] # Re: Saisie des notes puis durée

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Lilypond + Frescobaldi + … (aka «En avant la musique !»). Évalué à 2.

    Comme montré dans la vidéo mentionnée dans mon précédent commentaire, Denemo offre la possibilité de saisir le rythme au clavier d'ordinateur, puis de saisir les notes au clavier MIDI. Ça peut être une solution, sauf que je ne vois pas trop comment récupérer de manière simple ce qui a été saisi pour l’intégrer à MuseScore.

    Avec mon outil, c'est l'inverse : on saisit d'abord les notes, puis les durées correspondantes. Ceci dit, il serait relativement simple d'implémenter la saisie à la sauce Denemo. On récupère ensuite ce qui a été saisi au moyen d'un copier/coller de ce qui est généré par un appui sur le bouton .ly. C'est au format LilyPond, mais on peut générer n'importe quel format textuel avec le fichier XSL et le script adéquats, sur le modèle de ce qui est fait avec le format LilyPond. Mais, là encore, je ne vois pas trop quel format utiliser pour MuseScore et comment y intégrer les données.

    Pour les silences, on saisit une note quelconque à la place du silence. Ensuite, quand on est dans la phase de saisie des durées, une fois le curseur positionné sur la note, on la marque comme un silence (touche 0), on revient sur la note (on peut utiliser la flèche gauche du clavier), puis on saisit la durée du silence. Ou inversement : on saisit la durée, on revient sur la note, puis on la marque comme silence. Ce n'est pas très optimisé ; peut-être que le mieux c'est que le fait de marquer une note comme silence ne fasse pas avancer le curseur…

    Personnellement, je préfère travailler directement avec des fichiers texte, comme l'autorise LilyPond, plutôt qu'avec des applications WYSIWYG comme MuseScore ou Finale. On a beaucoup plus de liberté : on peut créer des petits utilitaires comme mon outil, ou des logiciels plus complets comme Frescobaldi, voire Denemo et ainsi créer son propre flux de travail. J'avais déjà eu la même démarche avec Markdown/Marp.

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  • [^] # Re: Et Frescobaldi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Lilypond + Frescobaldi + … (aka «En avant la musique !»). Évalué à 7.

    Puisque l'occasion m'en ai donné, un grand merci, qui englobe naturellement tout les autres contributeurs, pour ce fantastique logiciel. En tant que musicien, j'ai souvent affaire à des partitions vendues fort chers par des éditeurs ayant pignon sur rue, et souvent, quand je vois leur rendu, je me demande «Pourquoi diable n'utilisent-t-ils pas LilyPond ?».

    Lilypond a déjà fait l'objet de plusieurs publications ici-même, mais c'est quand même un logiciel dont la plupart des personnes fréquentant ce site, comme dans le reste de la population, n'ont pas l'usage.

    Concernant Frescobaldi, celui-ci ne gère que la saisie des notes, ce qui n'est qu'une des fonctionnalités de mon outil. Avec ce dernier, une fois les notes saisies, on se repositionne sur la première note, puis on saisit la durée de chaque note, à l'aide du clavier ou des boutons adéquats. Cette fonctionnalité n'est pas disponible avec Frescobaldi, comme semble le confirmer cette entrée GitHub non close.

    Ceci dit, il y a une fonctionnalité qui s'en rapproche, avec Tools/Rythm/Apply rythm…, qui ouvre une boîte de dialogue dans laquelle on saisit les durées au format Lilypond, qui sont alors appliquées une à une aux notes sélectionnées. Mais c'est un peu moins pratique parce que, par exemple, une noire suivie d'une croche suivie d'une double-croche nécessitent de taper la séquence de touches 4[espace]8[espace]16, alors qu'avec mon outil il suffit de la séquence 345 (ou de cliquer sur les boutons correspondants).

    Je viens de trouver une vidéo qui montre comment fonctionne Denemo. Si j'avais vu cette vidéo plus tôt, peut-être que je n'aurais pas crée mon outil. Ce qui m'avait échappé avec Denemo, c'est qu'il faut d'abord saisir le rythme, puis les notes, alors que j'étais parti sur principe de d'abord saisir les notes, puis le rythme, principe appliqué dans mon outil.

    Cependant, Denemo est conçu pour prendre en charge l'intégralité de l'écriture d'une partition, dans l'idée, je pense, de se positionner comme alternative à Finale. Il a son propre format de fichier, et LilyPond ne lui sert que de moteur de rendu. Or, je préfère travailler directement sur des fichiers LilyPond, ce qui est facilité avec Frescobadi, et mon outil, comme le suggère le titre du journal, est conçu dans l'idée être utilisé en complément.

    Et encore merci pour ce logiciel :-) !

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  • [^] # Re: Copieurs!

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Docker supprime l'accès gratuit aux groupes et organisations. Évalué à 4.

    Certes, mais depuis : https://linuxfr.org/users/epeios/journaux/enfin-un-successeur-a-freecode-ex-freshmeat (notez le score exemplaire !).

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  • # Parallèle avec un autre déclin

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Différentes approches informatiques.. Évalué à 6.

    Quelque soit la cause de la baisse de niveau concernant l'utilisation de l'informatique, c'est peut-être également à l'origine du même phénomène qui touche les aspirants développeurs. Et ça ne date pas d'aujourd'hui, puisque c'est pour tenter de contrer cette tendance que le Raspberry Pi a été conçu.

    Le Raspberry Pi connaît un succès phénoménal, pas en tant qu'outil éducatif, mais en tant que plateforme d’expérimentation plébiscitée, grâce à son faible coût, par des personnes qui sont généralement déjà à l'aise avec l'informatique (je plaide coupable).

    On pourrait se dire que ce n'est pas grave que le Raspberry Pi soit passé à coté de son objectif premier : à quoi bon un Raspberry Pi pour découvrir l'informatique, alors que le taux d'équipement en smartphone atteint un niveau stratosphérique ? Sauf que cette omniprésence des smartphones n'a pas vraiment amélioré la situation. Á qui la faute ?

    Beaucoup reçoivent leur premier smartphone alors qu'ils sont au collège. Dans mon cas, les smartphones n'existant pas encore à l'époque, ce fût un ordinateur. Les fonctions trigonométriques étant étudiées au collège, l'un de mes premiers programmes avait pour finalité de dessiner un bête cercle à l'aide des fonctions sinus et cosinus vues en cours. Essayez d'écrire un tel programme avec et pour un smartphone…

    Mais ce qui a été tenté au niveau matériel avec le Raspberry Pi, il y a peut-être moyen de le réaliser au niveau logiciel, comme je l'ai évoqué dans ce journal, et développé

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  • [^] # Re: Les automobilistes grillent des feux pour aller plus vite, les cyclistes pour sauver leur peau

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien These Stupid Trucks are Literally Killing Us. Évalué à 4. Dernière modification le 14 mars 2023 à 18:09.

    C'est surtout que c'est ch…ant de freiner en changeant en même temps de vitesse à chaque feu rouge pour pouvoir redémarrer dans de bonnes conditions au vert.

    En voiture, tu anticipes mal, ben tu débrayes et tu freines à la pédale. Puis tu mets tranquillement la première au vert.

    En vélo, tu te loupes, bonjour le redémarrage, à moins de changer de vitesse en soulevant la roue arrière par la selle, ce qui n'est pas une manœuvre très agréable à réaliser.

    Pour nous émanciper des géants du numérique : Zelbinium !