Matthieu Weber a écrit 612 commentaires

  • [^] # Re: 13 - Le Oui, le Non, et les brevets logiciels.

    Posté par  . En réponse au journal Le traité de Nice, le TCE, la majorité politique actuelle et l'Europe que nous voulons.... Évalué à 3.

    Si ce n'est que l'histoire des brevets logiciels est un exemple du fonctionnement des institutions européennes et en particulier de la procédure de codécision, qui est justement entérinée par le TCE. Des exemples, il y en a probablement plein, mais c'est celui-ci qu'on connait sur DLFP.
  • [^] # Re: 09 - Un texte trop long et trop compliqué ?

    Posté par  . En réponse au journal Le traité de Nice, le TCE, la majorité politique actuelle et l'Europe que nous voulons.... Évalué à 3.

    Trop long pour être assimilé dans son intégralité par un lecteur qui n'est pas juriste/économiste/politicien. Trop compliqué pour être compris par le français moyen, à qui on demande pourtant d'endosser la responsabilité, par referendum, de son acceptation ou son refus. D'ailleurs, ce referendum : souci de transparence et de démocratie, ou moyen de soulager les dirigeants actuels de la responsabilité d'un refus (« c'est pas ma faute, ce sont les français qui ont décidé ») ?

    L'argument suivant vaut ce qu'il vaut, mais le voila quand même : le TCE contient plusieurs fois le mot « nonobstant ». Quel fraction de la population française connait le sens de ce mot ? Quel fraction des lecteurs de DLFP en connait le sens ? Est-il raisonnable de demander au citoyen moyen de comprendre un texte écrit en jargon juridique ? Serait-il d'une manière générale raisonnable de demander au citoyen moyen d'accepter ou refuser un texte utilisant un jargon technique quelconque ? Pour information, la constitution française ne contient pas le mot nonobstant (cet indicateur vaut ce qu'il vaut). Après avoir survolé le TCE et la constitution française, je trouve que cette dernière est rédigée de manière plus lisible, avec des phrases plus courtes. Les phrases longues et le jargon permettent peut-être une plus grande précision dans les propos, mais se fait au détriment de la compréhension pour les personne qui ne sont pas « de l'art ». À qui on demande justement de décider.
  • # *La* jeunesse ?

    Posté par  . En réponse au journal Ne demandez pas ce que l'Europe peut faire pour vous mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour l'Europe. Évalué à 3.

    Je n'ai pas vu cette émission (TF1 n'arrive pas jusqu'en Finlande, heureusement), même si j'en ai lu des comptes rendus dans le journal.
    Ce que j'y vois, c'est un plateau télé de TF1 avec Chirac, trois militants du [OUI] au referendum. J'ai du mal à croire que le public de l'émission soit représentatif de la jeunesse en France, et je ne serais pas du tout étonné que ces gens aient subi un casting (ou un entretien, peu importe) avant d'être acceptés sur le plateau. Selon quels critères ont-ils été choisis ? Pour en faire un échantillon représentatif de la population ? Connaissant les les militants ci-dessus, je pense plutôt qu'ils ont été soigneusement sélectionnés pour donner une image favorable au [OUI].
  • # Et la RFC du 1er avril alors ?

    Posté par  . En réponse au journal Vos poissons d'avril glanés sur le web. Évalué à 5.

    UTF-8 et UTF-16 sur des architectures utilisant des mots de 9 bits au lieu de 8 bits (comme le PDP-10 et le Honeywell 9000), c'est pas efficace, on définit donc UTF-9 et UTF-18 : http://www.faqs.org/rfcs/rfc4042.html(...)
  • [^] # Re: Peut être aussi ...

    Posté par  . En réponse au journal Arghh !! (copie d'une discution avec mon frere qui utilise thunderbird/win). Évalué à 2.

    Mon vim fait ça quand je réponds à un mail depuis mutt (et il enlève la signature de mon interlocuteur).
  • [^] # Re: MiniMac

    Posté par  . En réponse au journal Mac Mini et Ubuntu. Évalué à 2.

    Est-ce que certains d'entre vous ont le même problème que moi : une session X (XFree86 4.1 ou 4.3) ouverte en permanence, un Mozilla ouvert en permanence, et hop X gonfle jour après jour jusqu'à remplir la moitié du swap. Je sais que Netscape 3 avait nombre de fuites de mémoires et faisait planter mon terminal X en stage parce que le serveur X gonflait (et avec 12 Mo de RAM sans swap bien sûr, ça dure pas longtemps), mais est-ce que Mozilla (ou XFree ?) sont connus pour de tels problèmes ? Fermer mozilla résout parfois le problème (c-à-d libère plein de mémoire) mais pas toujours.

    Des idées, des pointeurs ?
  • [^] # Re: L'argent et les USA

    Posté par  . En réponse au journal La BSA raconte des conneries, mais repart en guerre. Évalué à 4.

    Je ne sais pas si c'est le cas pour Microsoft France, mais j'en connais certaines dans d'autres secteurs pour lesquelles c'est le cas.


    Coca-Cola et ses usines d'embouteillage qui achètent à prix d'or le concentré à la maison mère, et qui ne font pas de bénéfices sur place. L'État y gagne tout de même quelque chose (impôt sur le revenu des employés), mais nettement moins que si la boite jouait le jeu honnetement.
  • [^] # Re: Donc pour résumer ...

    Posté par  . En réponse au journal Enfoncer le clou sur le téléchargement. Évalué à 2.

    sinon, comme je l'ai dit plus haut, dans ce cas la RIEN n'est protege puisque tout est paquet de bits, meme psa le code source de linux, la GPL n'a aucune raison d'etre et personne ne peut faire valoir aucun droit des que des moyens informatique interviennent.


    Tant que tu considères le source de Linux (ou quoi que ce soit d'autre) comme un paquet de bits, où est le mal ? À partir du moment où tu le compiles, tu l'utilises, tu le revends, tu changes le nom de l'auteur pour mettre le tien, là il y a matière à protection. Mais un paquet de bits ?

    Quand on a fait le choix de tout numériser, on a fait le choix (pas forcément délibéré) de tout réduire à des nombres. On se retrouve alors en face du paradoxe suivant : toute donnée numérique est un nombre (non protégeable) et aussi en même temps une oeuvre de l'esprit (protégeable). Comme « protégeable » et « non-protégeable » sont mutuellement exclusifs, comment est-ce que tu comptes résoudre le paradoxe ? Ce n'est pas en niant le fait que les données numériques sont des nombres que ça va changer quoi que ce soit : tu ne peux pas nier l'évidence. De quel droit est-ce que tu décides que l'aspect « oeuvre de l'esprit » l'emporte sur l'aspect « nombre » ? Parce que l'oeuvre de l'esprit, c'est du business, donc c'est plus important que n'importe quoi d'autre ? Je ne nie pas que copier un disque et le mettre en partage c'est contraire à la loi. Ce que je soutiens, c'est que ce qui doit être protégé c'est l'oeuvre en elle-même, pas sa représentation sous forme manipulable. À l'époque du tout analogique, la représentation physique de l'oeuvre était fortement liée au support, donc appliquer les lois au support plutôt qu'à l'oeuvre elle-même pouvait se comprendre. Aujourd'hui, avec le tout numérique, ce n'est plus le cas. Le modèle commercial fondé sur la rareté du support de l'oeuvre n'est plus appropríé lorsque le support n'importe plus et que l'oeuvre est reproductible à l'infini pour un coût quasi nul.

    En physique, quand on a fini par admettre que la lumière était à la fois ondulaire (continue) et corpusculaire (discrète), on a fait un pas en avant vers la compréhension de l'univers. Là, on est face à un problème similaire (une chose, deux aspects contradictoires). Quant à la solution de ce paradoxe, je ne la connais pas. La solution actuelle consiste à nier la dualité, et à se concentrer sur ce qui rapporte de l'argent.
  • [^] # Re: Donc pour résumer ...

    Posté par  . En réponse au journal Enfoncer le clou sur le téléchargement. Évalué à 2.

    C'est surtout pour illustrer le fait que des données binaire toutes seules ne sont rien d'autre que des chiffres (qui, faut-il le rappeler, ne sont pas soumis au droit d'auteur). Pour extraire de la musique, des images, du texte ou de la video d'un paquet de bits, il faut un format, un outil capable de lire ce format et d'afficher/jouer ce qui est codé dans les données binaires.

    Le binaire, c'est le niveau d'abstraction ultime : tout (ou presque) est codable en binaire, et il est impossible à l'oeil nu de reconnaitre quoi que ce soit dans un paquet de bits. Et on peut appliquer n'importe quel format aux bits pour en extraire ce qu'on veut. Faut-il en conclure que le paquet de bits aléatoires est soumis au droit d'auteur, parce qu'il est possible d'écrire un logiciel qui joue du Lorie (ou tout autre oeuvre d'art soumise au droit d'auteur) quand on lui donne en entrée des bits aléatoires ?

    Pourquoi est-ce qu'un paquet de bits, qui n'est rien d'autre qu'un nombre, serait soumis au droit d'auteur ?
  • [^] # Re: Mort aux légendes

    Posté par  . En réponse au journal Enfoncer le clou sur le téléchargement. Évalué à 2.

    En Finlande ça semble un peu différent (vu mon niveau de finnois, je n'ai pas lu l'article de loi moi-même) : il faut faire la copie soi-même, mais je ne crois pas qu'il faille être propriétaire de l'outil servant à effectuer la copie.
  • [^] # Re: Le Net rendu à son concept

    Posté par  . En réponse à la dépêche Vers un accès libre aux résultats de la recherche…. Évalué à 4.

    La modulation delta-sigma donne de moins bons résultats que PCM pour les fréquences élevées.

    Par ailleurs, le SACD est surtout un concentré de dispositifs anti-copie, qui utilise entre autres la variation de largeur des cuvettes (celles qui codent les 0 et le 1, comme sur un CD) pour stocker la moitié de la clé qui permet de déchiffrer les données codées sur le disque (l'autre moitié étant stockée au tout début du disque). Si c'est pas pervers, tout ça...
  • [^] # Re: éternel problème...

    Posté par  . En réponse au journal Médicaments et brevets. Évalué à 4.

    \begin{troll}

    des brevets, sur les logiciels, les médicaments, les plantes, et les gènes... Il y a trop d'abus pour les justifier.


    Les systèmes P2P de partage de fichiers servent essentiellement à distribuer en toute illégalité des oeuvres protégées par le droit d'auteur. Il y a trop d'abus, on devrait interdire le P2P.

    Attention aux conclusions hâtives...

    \end{troll}
  • [^] # Re: Toujours les langues

    Posté par  . En réponse à la dépêche Vers un accès libre aux résultats de la recherche…. Évalué à 4.

    L'ideal serait d'utiliser une langue commune, autre que l'anglais, de manière à mettre tout le monde sur un même pied d'égalité.


    Je propose le finnois. C'est parlé par seulement 6 millions de personnes dans le monde (il y a donc 5 994 000 000 personnes dans le monde qui ne seront pas avantagées), c'est une langue qui ne prend pas ses racines dans l'indo-européen et donc n'avantage pas les personnes parlant déjà des langues indo-européennes (c-à-d les langues latines, germaniques et slaves en Europe), et en plus, c'est une langue naturelle, qui a de véritables racines linguistiques (au contraire de l'Espéranto qui a été créé de toutes pièces et que certains n'aiment pas pour son parfum artificiel). Enfin, le finnois est une langue très régulière (la conjugaison de son verbe être contient une seule forme irrégulière), qui ne connait pas de genre (les anglophones ne seront pas perdus), et qui s'écrit à 99,9% comme elle se prononce (on ne peut pas en dire autant de l'anglais, du français ou du chinois).

    Bref, tout le monde devrait se mettre au finnois.

    Répétez après moi le mantra de l'étudiant en finnois:
    Suomi on helppo, suomi on helppo, suomi on helppo...
  • [^] # Re: Et bien ....

    Posté par  . En réponse au journal Open Office et le libre dans ma société : bientôt fini :(. Évalué à 9.

    allez proposer à une entreprise de bosser avec une version bêta


    Ils utilisent bien Windows...
  • [^] # Re: Donc pour résumer ...

    Posté par  . En réponse au journal Enfoncer le clou sur le téléchargement. Évalué à 1.

    Un paquet de bits ne sera jamais rien qu'un paquet de bits si on n'a pas de format de données à y associer de manière à en extraire des données. Si on n'a que les bits pairs d'un fichier MPEG, il est impossible d'en extraire quelque video que ce soit. Qui peut alors démontrer que c'est une reproduction partielle d'une oeuvre protégée ? De même si tu chiffres un fichier avec une clé que toi seul connais, qui peut affirmer que le fichier chiffré est autre chose qu'un paquet de bits (à part celui qui possède la clé) ?

    Par ailleurs, quel mal cela fait-il aux ayant-droits d'une oeuvre que des copies de leurs oeuvres circulent sur le réseau, tant que personne ne regarde/écoute/lit l'oeuvre en question (toute question de droit/légalité mise à part) ? On peut pousser plus loin : il y a des gens qui amassent des films ou de la musique, gravent les fichier et stockent les CD sans jamais les écouter. En quoi est-ce que ça lèse les ayant-droits des oeuvres ainsi copiées ?
  • [^] # Re: Donc pour résumer ...

    Posté par  . En réponse au journal Enfoncer le clou sur le téléchargement. Évalué à 5.

    Le problème, c'est que la loi interdit (grosso-modo) une diffusion même partielle de l'oeuvre.

    Le principal problème technico-philosophique qui se pose ici, c'est le probleme du format de fichier : des données binaires sans format sont inutilisables. Donc, si on partage des données binaires qui ne sont pas utilisables tant que le fichier n'est pas complet, on ne partage pas l'oeuvre, donc on n'est pas dans l'illégalité (théoriquement :).

    Exemple : BitTorrent découpe le fichier en blocs de (par exemple) 1 Mo et partage ces blocs indépendament. Une video au format mpeg peut être resynchronisée même si des morceaux manquent, donc si on partage, en cours de téléchargement, des blocs contigüs, un lecteur de mpeg pourra lire le morceau de fichier, ce qui constitue une reproduction partielle de l'oeuvre. En revanche, si au lieu de découper des blocs on partageait en un groupe les bits pairs, et en un autre groupe les bits impairs (pour simplifier, en fait ce serait mieux de faire N groupes et de mettre dans chaque groupe les bits qui ont des adresses égales modulo N), aucun logiciel ne pourrait lire le fichier tant que tous le bits n'ont pas été téléchargés, donc le fichier en cours de téléchargement ne peut pas constituer une reproduction partielle de l'oeuvre, donc on devrait pouvoir le partager.

    Quand les gens auront compris que le problème ce n'est pas de partager des bits, mais d'utiliser ces bits avec un logiciel capable d'y reconnaître un format et d'en extraire alors de données, la société de l'information aura fait un pas de géant en avant.
  • [^] # Re: Mort aux légendes

    Posté par  . En réponse au journal Enfoncer le clou sur le téléchargement. Évalué à 2.

    Pas tous les systèmes (Napster ne faisait pas de téléchargement multi-source). La plupart des systèmes modernes, en revanche, comptent sur un cache local des informations.

    Mais le problème est plus vaste que ça : si on télécharge une image soumise au droit d'auteur sur un site web (l'auteur du site autorise de télécharger les images pour pouvoir les voir dans le navigateur, mais pas de redistribuer ces images par exemple), et que la connexion, en pratique, passe par un proxy : le proxy rediffusera l'image à quiconque fera une requête, jouant ainsi le rôle de méchant pirate qui diffuse oeuvres protégées.

    Si on considère que le proxy a le droit de rediffuser les oeuvres protégées parce que c'est une mesure technique nécessaire, alors pourquoi est-ce que partager une oeuvre tout en la téléchargeant (ce que fait eDonkey ou BitTorrent) ne serait pas assimilé à une mesure technique nécessaire (dans la mesure où on cesse de partager le fichier une fois que le téléchargement est terminé -- je sais, ce n'est pas éthique du point de vue du réseau, mais c'est la chose à faire légalement) ?
  • [^] # Re: Mort aux légendes

    Posté par  . En réponse au journal Enfoncer le clou sur le téléchargement. Évalué à 2.

    Ça répond clairement à une question que je m'étais posée il y a quelques temps de ça : on n'est pas obligé de détenir la source de la copie pour que la copie soit légale. Il y a eu une discussion en Finlande à ce propos il y a quelques années, et le résultat a été le même.
  • [^] # Re: Même famille

    Posté par  . En réponse au journal Merci Microsoft. Évalué à 2.

    Si je me souviens bien, HTML 4.0 dit que les balises comme <br> et <link> ne doivent pas être fermées. Par contre, dans XHTML 1.0, comme c'est du XML, il *faut* fermer toutes les balises. Et pour être tout à fait précis, en XML, <truc></truc> c'est équivalent à <truc/>.
  • [^] # Re: Un lien?

    Posté par  . En réponse au journal EPIA MII6000 et port compact flash. Évalué à 2.

    J'ai acheté il y a peu un Lex Neo (Eden 1 GHz, refroidissement passif par le boitier en alu) chez www.mini-itx.de (http://www.mini-itx.de/shop/index.htm).(...) C'est en allemand, mais c'est carrément moins cher que chez les anglais (351 EUR pour le Neo de base contre ~410 EUR chez linitx.com). Le site Web est en allemand (avec quelques bouts en anglais dedans, mais ils répondent aux mails en anglais), le payement se fait par virement international (mais comme c'est la zone Euro, ça ne coûte pas plus cher qu'un virement national), et la livraison par UPS (25 EUR).

    Ils vendent aussi de la SRDAM PC133 low profile pour mettre dedans, ainsi que des disques durs 2.5" (moi j'ai acheté le DD en Finlande, mais j'ai acheté la RAM chez mini-itx.de). Les disques 2.5" ça coûte cher, mais c'est pas bruyant.

    Le résultat, c'est que j'ai une machine pas très rapide mais ô combien silencieuse (on entend à peine le DD ronroner) et de très basse consommation (environ 20W), mais amplement suffisante pour mes besoins (surfer sur le net, coder en perl, en gros :)

    Pour y installer Linux, on peut mettre Debian Installer sur un module flash USB, ça bootera. J'y ai installé Debian unstable, tout marche du premier coup.

    Petit vocabulaire Allemand-Français pour ceux qui veulent y jeter un oeil:
    Motherboard : carte-mère
    Barebone : barebone :)
    Mit CPU : avec CPU
    Speicher : mémoire
    Festplatte : disque dur
    Bestellung : commande
  • [^] # Re: re

    Posté par  . En réponse au journal Démontrer l'intérêt du libre à un néophyte. Évalué à 3.

    Le but, justement, ce n'est pas de les faire venir pour un séminaire, mais plutôt pour une « expo ». Pas de cours magistral pour leur asséner les bienfaits du libre :)
  • [^] # Re: re

    Posté par  . En réponse au journal Démontrer l'intérêt du libre à un néophyte. Évalué à 8.

    C'est pas tout à fait exact. Cependant, Microsoft est propriétaire du format qui enferme tes données, donc si tu veux lire les données en question, tu dois recevoir la bénédiction de Microsoft (en payant la license et en te conformant au CLUF). Microsoft n'est pas propriétaire des données, mais peut t'empêcher d'y accéder.
  • [^] # Re: ce que linux peut faire

    Posté par  . En réponse au journal Démontrer l'intérêt du libre à un néophyte. Évalué à 5.

    La diversité c'est bien, mais avoir le choix implique qu'il faut choisir, et ça c'est difficile. D'autant plus que KDE et Gnome, c'est tout pareil, alors pourquoi il y en a deux ? :)

    Quant aux performances techniques (X2X par exemple), d'autres que moi se chargent d'en faire la promotion.
  • [^] # Re: les fiches libres?

    Posté par  . En réponse au journal Démontrer l'intérêt du libre à un néophyte. Évalué à 3.

    C'est pas ce que je cherche. 2 des 4 libertés fondamentales ne sont intéressantes que pour les développeurs. Les formats ouverts, les gens s'en foutent (la plupart ne font pas la différence entre le fichier et le format, de toutes façons), l'art libre on va essayer d'en parler aussi, mais c'est pas le but principal, Linux/BSD c'est trop technique, et l'histoire du logiciel libre, c'est pas non plus ce que je veux.

    Mais je me garde le site sous la main, ça pourra peut-être servir dans un autre contexte.
  • [^] # Re: La portabilité

    Posté par  . En réponse au journal Démontrer l'intérêt du libre à un néophyte. Évalué à 1.

    Le visiteur moyen a un seul Intel/AMD à la maison, donc le multi-plateforme, il s'en fout. Le jour où on pourra installer Firefox sur le PC et sur le téléphone Nokia, ça commencera peut-être à intéresser les gens (en fait, on a Opera pour Linux, Win et SymbianOS, mais c'est pas libre), mais pour l'instant, ils s'en tapent.