Comme je suis rentré à la maison et que j'ai le magazine sous les yeux, voici le décompte. Hors l'éditorial, Fleur Brosseau signe quatorze articles et en cosigne un avec Denis Bodor qui, lui, signe seul l'article sur les réseaux TCP-IP. Irasema Pierret signe trois articles excellents dont l'indispensable Une PME sous GPL : mode d'emploi. Après avoir été très orienté Education Nationale et collectivités locales, Linux Pratique s'ouvre sur les PME et le déploiement en milieu professionnel, c'est une très bonne chose.
Parmi les autres contributeurs, Jean-Noël Pierron signe quatre articles, Nicolas Pierron, Hélène Sirantoine, Franck Barnier, Olivier Saraja, Kiki Novak et Albert Bruc chacun un et Serge Stinckwich et Stéphane Ducasse ont produit ensemble l'article sur SmallTalk.
Soit en tout trente articles signés, dont quinze par Fleur Brosseau, plus l'éditorial, soit plus de la moitié. Fleur Brosseau, Irasema Pierret et Hélène Sirantoine ont produit ou contribué à dix-neuf articles. On peut dire qu'au lieu de troller sur DLFP (humour, je préfère prévenir...), les femmes impliquées dans le Logiciel Libre écrivent des articles dans Linux Pratique. Et elles ne sont que trois sur douze rédacteurs. Pour rester dans les chiffres, on peut dire que le quart des rédacteurs sont des femmes, qui produisent les deux tiers des articles.
Enfin, pour donner mon avis, sans vouloir en rien diminuer l'intérêt de Linux Magazine, l'autre revue à laquelle je suis abonné, je dois dire que je suis désormais encore plus intéressé par le contenu de Linux Pratique ; c'est récent, depuis deux ou trois numéros. C'est dû aux sujets abordés, mais aussi au style des rédacteurs, en particulier celui de Fleur Brosseau (encore elle !), Irasema Pierret et Kiki Novak. J'espère que le magazine a trouvé son lectorat, car si ce lectorat existe, c'est à dire des gens intéressés par le déploiement pratique de solutions basées sur les logiciels libres, cela voudrait dire que les choses sont en train de vraiment bouger.
La majorité des articles publiés ce mois-ci dans Linux Pratique sont signés de Fleur Brosseau, la rédac-chef. On ne va pas s'en plaindre car ces articles sont très bons ; par contre on est en droit d'espérer que les éditions Diamond ont pris à leur charge la vaccination contre la grippe de Fleur...
A propos de SmartEiffel, il faut signaler que l'équipe qui s'en occupe a délibérément décidé d'ignorer les spécifications officielles du langage, désormais édictées par l'ECMA. A l'URL http://www.ecma-international.org/publications/files/ECMA-ST(...) on peut les trouver, et remarquer leur byzantine complication. A côté de ça le seul manque vraiment criant du langage, l'absence de spécifications sur la concurrence, n'est pas abordé.
Le compilateur propriétaire d'Eiffel Software, fondée par Bertrand Meyer (et non Meier... Bertrand Meyer semble avoir pris de la distance par rapport à la compagnie qu'il a créée et occupe désormais une position académique en tant que président du département de Génie Logiciel de l'ETH, alias l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich, dont est issu un certain Albert Einstein, mais c'est une autre histoire...) dispose d'une gestion des threads, mais celle-ci est une particularité de ce compilateur lui-même particulier, bref n'est pas issu d'une norme et n'en crée pas une.
On peut noter que Bertrand Meyer dans Object Oriented Software Construction deuxième édition, dont on peut trouver chez Eyrolles une traduction française sous le titre Conception et Programmation Orientées Objethttp://www.eyrolles.com/Informatique/Livre/9782212091113/liv(...) propose une conception de la concurrence, SCOOP (Simple Concurrent Object-Oriented Programming) d'une remarquable simplicité pour l'utilisateur. Cette simplicité est à rapprocher de la simplicité d'utilisation des autres concepts réunis dans Eiffel (héritage multiple et répété, généricité simple et contrainte, conception par contrats). Simple pour l'utilisateur, certes, une autre paire de manches quand il s'agit de construire un compilateur ! Les concepts d'Eiffel définis dès 1984 ont attendu une dizaine d'années pour voir leurs premières implémentations. Il est à craindre que l'implémentation de SCOOP dans un compilateur soit d'un ordre de difficulté encore supérieur à celui de la totalité de celle des précédents concepts. Autant dire, surtout que (malheureusement) le succès d'Eiffel n'est pas de nature à submerger le reste, ce sera probablement pour une prochaine fois et pour un autre langage. On peut cependant noter avec espoir que l'équipe de SmartEiffel continue de faire figurer l'implémentation de SCOOP dans la liste des future improvementshttp://smarteiffel.loria.fr/papers/future.html sur leur site.
Il reste désormais trois compilateurs Eiffel (quatre si l'on considère à part le compilateur pour Mac d'Object Tools) : ISE Eiffel http://eiffel.com/ , SmartEiffel qui est le sujet de cette nouvelle et celui d'Object Tools, Visual Eiffel http://www.visual-eiffel.com/front_content.php qui est depuis juillet, dans l'indifférence générale, passé en GPL. Visual Eiffel a les caractéristiques suivantes : il respecte la troisième version du langage, antérieure, celle avant que soit définie la notion (mal nommée) d'agent. Il semble par contre qu'il respecte avec une grande rigueur cette spécification. La deuxième particularité est qu'il engendre directement un fichier exécutable, à la différence des deux autres qui utilisent le C comme langage intermédiaire. La troisième particularité est qu'il ne supporte que l'architecture i386, et c'est une grosse restricition.
Pour de plus amples informations, plongez dans les liens. Je ne peux toutefois pas m'empêcher de paraphraser Frank Zappa : Eiffel is not dead, but it smells ffunny.
La Pravda de l'orthographe et la sous-commission "écrire en français" Comité Central du Logiciel Libre te disent qu'il faut écrire dythirambique. Sinon, les mines de sel.
Super tu viens de réinventer les brevets logiciels. Avec ce genre de raisonnement, ce qui est utilisé dans un programme propriétaire doit y rester ou être revendu.
Dans Linux Pratique il y a un article très laudatif sur un clavier ergonomique fait par un petit constructeur très méritant : Microsoft. Il ne faut pas craindre d'encourager ce genre d'initiatives qui permettent de sortir de l'ombre des acteurs méconnus. Et puis c'est un test à la Superdupont goûtant des pâtes françaises (98 % de bon, 2 % de sel), ou comme la publicité sur le camembert Président, avec le crétin qui fait ses courses connecté à sa moitié par téléphone portable : les arguments ergonomiques sont d'une acuité et d'une pertinence extrêmes. Le clavier Microsoft c'est bon, mangez-en !
Certains voient des nains partout, toi c'est matiasf ! A part Pourquoi avoir laisser passer un dépêche et Tout les faits dont il est question je n'ai pas vu d'autres fautes d'orthographe ou de français dans ce commentaire. D'après mes souvenirs ce score était hors de portée du personnage.
Morris avait commencé les Lucky Luke en faisant les scénarios lui-même. Il connaît donc les difficultés de l'exercice... Il doit être moins près de ses sous, aussi.
Question (sincère) : y a-t-il eu un seul bon album d'Astérix depuis que Goscinny, décédé, n'en fait plus les scénarios ? J'en ai lu un ou deux et ça ne m'a pas incité à lire le reste...
Chez moi : Madame, Monsieur, quatre enfants, cela donne sept comptes (administrateur plus six comptes perso) que ce soit sous Linux ou sous Windows 2000 ; et c'est d'une banalité affligeante. Entre parenthèses, depuis que chaque compte utilisateur ne dispose plus de privilèges particuliers, je n'ai plus eu à réparer ou même réinstaller Windows 2000. Mes charmants bambins (plus particulièrement les ados) avaient tendance à me l'embourber jusqu'au moyeu...
Et comme j'ai un PC qui fonctionne sous Linux et Windows 2000 avec les mêmes règles de base, je confirme ce qu'ont raconté en beaucoup d'occasions pas mal d'intervenants : Linux est bien plus simple à administrer dans ce cas de figure. Il semble qu'un compte utilisateur simple sous Windows se comporte comme s'il était orphelin du compte administrateur. Des tas de softs qui fonctionnent sans problème sur le compte admin (outils de développement, de gravage de CD, jeux) fonctionnent mal ou pas du tout sur les comptes utilisateurs. Les softs équivalents (sauf pour les jeux) fonctionnent nickel dans les mêmes conditions sous Linux.
Excuse-moi de te le faire remarquer, mais Mobutu pour Ubuntu, premièrement ce n'est pas drôle, deuxièmement, c'est vraiment proche du calembour raciste, et c'est d'autant plus dommage que ce n'est pas drôle.
Traduction plus fidèle : Q : Est-ce que le marron sera toujours la couleur de fond d’écran par défaut ?
R : Il est peu probable que quoi que ce soit reste immuable, sachant que nous comptons qu'Ubuntu soit là pour longtemps.
La traduction n'est pas parfaite mais elle a le mérite d'exister. Par contre il faut se garder de se fonder dessus pour faire des critiques un peu pointues sur les propos de Mark Shuttleworth.
J'ai un reproche à faire à l'excellent article sur les algorithmes génétiques : pourquoi avoir gardé le terme anglais de fitness au lieu de sa traduction adaptation qui, elle, rappelle mieux le lien à la théorie de Darwin à un lecteur francophone ?
[^] # Re: Une rédactrice très travailleuse à LP
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Janvier 2006. Évalué à 3.
Parmi les autres contributeurs, Jean-Noël Pierron signe quatre articles, Nicolas Pierron, Hélène Sirantoine, Franck Barnier, Olivier Saraja, Kiki Novak et Albert Bruc chacun un et Serge Stinckwich et Stéphane Ducasse ont produit ensemble l'article sur SmallTalk.
Soit en tout trente articles signés, dont quinze par Fleur Brosseau, plus l'éditorial, soit plus de la moitié. Fleur Brosseau, Irasema Pierret et Hélène Sirantoine ont produit ou contribué à dix-neuf articles. On peut dire qu'au lieu de troller sur DLFP (humour, je préfère prévenir...), les femmes impliquées dans le Logiciel Libre écrivent des articles dans Linux Pratique. Et elles ne sont que trois sur douze rédacteurs. Pour rester dans les chiffres, on peut dire que le quart des rédacteurs sont des femmes, qui produisent les deux tiers des articles.
Enfin, pour donner mon avis, sans vouloir en rien diminuer l'intérêt de Linux Magazine, l'autre revue à laquelle je suis abonné, je dois dire que je suis désormais encore plus intéressé par le contenu de Linux Pratique ; c'est récent, depuis deux ou trois numéros. C'est dû aux sujets abordés, mais aussi au style des rédacteurs, en particulier celui de Fleur Brosseau (encore elle !), Irasema Pierret et Kiki Novak. J'espère que le magazine a trouvé son lectorat, car si ce lectorat existe, c'est à dire des gens intéressés par le déploiement pratique de solutions basées sur les logiciels libres, cela voudrait dire que les choses sont en train de vraiment bouger.
# Une rédactrice très travailleuse à LP
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Janvier 2006. Évalué à 3.
[^] # Re: En évoquant Eiffel...
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Sortie de SmartEiffel 2.2. Évalué à 2.
# En évoquant Eiffel...
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Sortie de SmartEiffel 2.2. Évalué à 7.
Le compilateur propriétaire d'Eiffel Software, fondée par Bertrand Meyer (et non Meier... Bertrand Meyer semble avoir pris de la distance par rapport à la compagnie qu'il a créée et occupe désormais une position académique en tant que président du département de Génie Logiciel de l'ETH, alias l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich, dont est issu un certain Albert Einstein, mais c'est une autre histoire...) dispose d'une gestion des threads, mais celle-ci est une particularité de ce compilateur lui-même particulier, bref n'est pas issu d'une norme et n'en crée pas une.
On peut noter que Bertrand Meyer dans Object Oriented Software Construction deuxième édition, dont on peut trouver chez Eyrolles une traduction française sous le titre Conception et Programmation Orientées Objet http://www.eyrolles.com/Informatique/Livre/9782212091113/liv(...) propose une conception de la concurrence, SCOOP (Simple Concurrent Object-Oriented Programming) d'une remarquable simplicité pour l'utilisateur. Cette simplicité est à rapprocher de la simplicité d'utilisation des autres concepts réunis dans Eiffel (héritage multiple et répété, généricité simple et contrainte, conception par contrats). Simple pour l'utilisateur, certes, une autre paire de manches quand il s'agit de construire un compilateur ! Les concepts d'Eiffel définis dès 1984 ont attendu une dizaine d'années pour voir leurs premières implémentations. Il est à craindre que l'implémentation de SCOOP dans un compilateur soit d'un ordre de difficulté encore supérieur à celui de la totalité de celle des précédents concepts. Autant dire, surtout que (malheureusement) le succès d'Eiffel n'est pas de nature à submerger le reste, ce sera probablement pour une prochaine fois et pour un autre langage. On peut cependant noter avec espoir que l'équipe de SmartEiffel continue de faire figurer l'implémentation de SCOOP dans la liste des future improvements http://smarteiffel.loria.fr/papers/future.html sur leur site.
Il reste désormais trois compilateurs Eiffel (quatre si l'on considère à part le compilateur pour Mac d'Object Tools) : ISE Eiffel http://eiffel.com/ , SmartEiffel qui est le sujet de cette nouvelle et celui d'Object Tools, Visual Eiffel http://www.visual-eiffel.com/front_content.php qui est depuis juillet, dans l'indifférence générale, passé en GPL. Visual Eiffel a les caractéristiques suivantes : il respecte la troisième version du langage, antérieure, celle avant que soit définie la notion (mal nommée) d'agent. Il semble par contre qu'il respecte avec une grande rigueur cette spécification. La deuxième particularité est qu'il engendre directement un fichier exécutable, à la différence des deux autres qui utilisent le C comme langage intermédiaire. La troisième particularité est qu'il ne supporte que l'architecture i386, et c'est une grosse restricition.
Pour de plus amples informations, plongez dans les liens. Je ne peux toutefois pas m'empêcher de paraphraser Frank Zappa : Eiffel is not dead, but it smells ffunny.
[^] # Re: Sexiste !
Posté par Philip Marlowe . En réponse au sondage Mon sport préféré se joue. Évalué à 5.
[^] # Re: L'effet Lemming
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Les Européens de l'année sont.... Évalué à 3.
[^] # Re: L'effet Lemming
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Les Européens de l'année sont.... Évalué à 2.
[^] # Re: Protection par l'obscurantisme
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Lisaac 0.84 est sorti. Évalué à 3.
[^] # Pendant qu'on y est
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Sortie PHP 5.1.0. Évalué à 10.
les nouveautés du moteur Zend2 devraient permettre d'obtenir d'encore de meilleures performances
ou
des performances encore meilleures, ça sonne même mieux.
[^] # Re: Un petit constructeur méritant
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 5.
# Un petit constructeur méritant
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 2.
[^] # Re: mauvaise dépeche: polémique plutôt que factuelle
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Que se passe-t-il entre Novell et SUSE?. Évalué à 2.
[^] # Au courant de tout...
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Les éditions Albert René font encore parler d'elles.... Évalué à 3.
[^] # Re: Franchement, ils feraient mieux d'aller se cacher...
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Les éditions Albert René font encore parler d'elles.... Évalué à 3.
[^] # Re: Franchement, ils feraient mieux d'aller se cacher...
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Les éditions Albert René font encore parler d'elles.... Évalué à 9.
[^] # Re: Audicity
Posté par Philip Marlowe . En réponse au message Fusion de pistes musicales. Évalué à 2.
[^] # Re: Audicity
Posté par Philip Marlowe . En réponse au message Fusion de pistes musicales. Évalué à 2.
S'il y a des méthodes plus rapides, je suis aussi preneur. Mais j'en tiens déjà une qui marche.
[^] # Re: Audicity
Posté par Philip Marlowe . En réponse au message Fusion de pistes musicales. Évalué à 1.
[^] # Re: nan rien...
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Réactions au site pecephobie.be. Évalué à 6.
Et comme j'ai un PC qui fonctionne sous Linux et Windows 2000 avec les mêmes règles de base, je confirme ce qu'ont raconté en beaucoup d'occasions pas mal d'intervenants : Linux est bien plus simple à administrer dans ce cas de figure. Il semble qu'un compte utilisateur simple sous Windows se comporte comme s'il était orphelin du compte administrateur. Des tas de softs qui fonctionnent sans problème sur le compte admin (outils de développement, de gravage de CD, jeux) fonctionnent mal ou pas du tout sur les comptes utilisateurs. Les softs équivalents (sauf pour les jeux) fonctionnent nickel dans les mêmes conditions sous Linux.
[^] # Re: Et ubuntu ?
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Pour Microsoft, l'Afrique ne saura pas utiliser le logiciel libre.... Évalué à 1.
[^] # Re: Faudrait voir a lire ce qui est ecrit plutot que lire ce que vous vo
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Pour Microsoft, l'Afrique ne saura pas utiliser le logiciel libre.... Évalué à 1.
[^] # Re: J'ai la berlue
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Quand Mark Shuttleworth fait le point sur Ubuntu. Évalué à 10.
[^] # Re: Ca commence mal
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Quand Mark Shuttleworth fait le point sur Ubuntu. Évalué à 10.
Q : Est-ce que le marron sera toujours la couleur de fond d’écran par défaut ?
R : Il est peu probable que quoi que ce soit reste immuable, sachant que nous comptons qu'Ubuntu soit là pour longtemps.
La traduction n'est pas parfaite mais elle a le mérite d'exister. Par contre il faut se garder de se fonder dessus pour faire des critiques un peu pointues sur les propos de Mark Shuttleworth.
[^] # Re: GLMF
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Octobre 2005. Évalué à 2.
[^] # Re: Un pour cent ?
Posté par Philip Marlowe . En réponse à la dépêche Le point sur le traitement graphique sous Linux. Évalué à 2.