Prae a écrit 2839 commentaires

  • [^] # Re: Get The Facts

    Posté par  . En réponse au journal You've been Scroogled!. Évalué à 7.

    Oui, le Get The Facts à-la-Microsoft, on le connait.
    Généralement, c'est de la création de FUD pour mieux vendre un de leurs produits.
    Ah, tiens, c'est quoi ce lien "Outlook.com" en bas de page… ?

  • [^] # Re: taxe sur le chiffre d'affaire

    Posté par  . En réponse au journal TAXONS LES !. Évalué à 2.

    Tu as un coût de fonctionnement d'une société qui fait X et que son CA est de X, alors son "bénéfice" est de 0. (X-X=0) Tu rajoutes une taxe supplémentaire Y, son bénéfice sera de donc de "0-Y", donc là, on passe à un déficit.

    Si une boite payent plus d’impôt avec un impôt sur le CA que sur la masse salarial, soit elle fonctionne très bien

    Ca, c'est ce que tu supposes.
    Penses aux jeunes startups qui ont soit :

    • Aucun CA,
    • Plus de CA que de masse salariale mais pas assez pour payer ses salariés,
    • Plus de masse salariale que de CA,

    Je suis sûr que cela va les intéresser véritablement de payer un impôt supplémentaire sur le peu de CA gagné.

  • [^] # Re: taxe sur le chiffre d'affaire

    Posté par  . En réponse au journal TAXONS LES !. Évalué à 2.

    Aucun, c'est bien pour cela que je l'évoque.

  • [^] # Re: taxe sur le chiffre d'affaire

    Posté par  . En réponse au journal TAXONS LES !. Évalué à 4.

    C'est le jeu de toutes multinationales.

    C'est le jeu, ma pauvre Lucette.
    De toute façon, qu'est ce que tu veux faire ? Soit on prend sur le dos des entreprises et elles se barrent, soit on prend rien et on a une perte de revenu pour l'Etat. Ou alors on remet tout à plat et on se dit que peut-être c'est plus la bonne solution et qu'il faut trouver autre(s) chose(s).

    De plus, est-ce qu'une cotisation fixe

    Ca serait même pire, oui. Si une boite fait aucun chiffre d'affaire, elle devra quand même payer quelque chose. A ce niveau là, autant ne pas créer sa boite.

  • [^] # Re: taxe sur le chiffre d'affaire

    Posté par  . En réponse au journal TAXONS LES !. Évalué à 2.

    Fixer une taxe sur le chiffre d'affaire ne me semble pas pertinent. Ce qui serait pertinent serait de l'appliquer sur les bénéfices. Une entreprise qui a des dépenses à hauteur de son chiffre d'affaire, lui rajouter une taxe sur le chiffre d'affaire lui ferait passer le cap de "stable" à "en perte".

  • [^] # Re: taxe sur le chiffre d'affaire

    Posté par  . En réponse au journal TAXONS LES !. Évalué à 3.

    Le plus simple serait de faire une taxe à taux faible sur le chiffre d'affaire.

    Une entreprise qui fait 1M€ de chiffre d'affaire, mais qui fait 1M€ de perte (frais de fonctionnement par exemple). Si on lui rajoute une taxe en plus sur son chiffre d'affaire, ca risque d'être rapidement drôle.

  • [^] # Re: résumé

    Posté par  . En réponse au journal TAXONS LES !. Évalué à 4.

    Mais on a aussi le chic pour oublier qu'en France, c'est bien souvent le privé qui est incapable de reconnaître les bonnes idées, de fournir les investissements et de retenir les talents avant qu'ils ne se barrent ou ne soient rachetés (par exemple, une start-up Inria (public) rachetée au final par un américain).

    Je vois pas bien ce que vient faire le terme "privé" là-dedans.
    Le public n'a rien a envier à la méconnaissance des bonnes idées (dois-je rappeler l'histoire Internet/Minitel ?)

  • [^] # Re: La vraie question

    Posté par  . En réponse au journal Non à la privatisation du domaine public par la Bibliothèque nationale de France !. Évalué à 2.

    un simple printf("…"); n'est pas une oeuvre d'art.
    Une photographie prise complètement automatiquement sans rien régler et sans recherche n'en est pas une non plus.

    Je peins un printf sur un tableau, est-ce une oeuvre ou du code ?
    Je trouve cela étonnant que tu puisses juger de ce qui est "art" et ce qui ne l'est pas.

  • [^] # Re: La vraie question

    Posté par  . En réponse au journal Non à la privatisation du domaine public par la Bibliothèque nationale de France !. Évalué à 3.

    L'oeuvre en elle-même reste une oeuvre avec son contexte (privé, libre ou du domaine public).
    Le produit de la numérisation est un produit; Ce produit devient donc un contenu.
    L'oeuvre reste unique et libre.
    Le produit, lui, est multiple et peut-être soumis à de nouvelles conditions d'utilisations et d'exploitations - s'il y a lieu d'être.

  • [^] # Re: d'accord mais il manque des infos

    Posté par  . En réponse au journal Non à la privatisation du domaine public par la Bibliothèque nationale de France !. Évalué à 3.

    Et l'État peut pas faire payer pour ça ? Soit à l'usage (ce que je désapprouve) soit à travers l'impôt (non, non, ce n'est pas un gros mot….)

    C'est pas un gros mot, mais ca fait un peu chier, car à force d'en rajouter on va jamais réussir a le combler ce déficit.
    L'Etat a fait un choix: ca sera 23% de financement par eux, 77% pour les partenaires. On se doute bien que les partenaires ne le font pas pour la beauté du geste. Si l'Etat ne paye pas la prestation, ils doivent donc bien se rémunérer quelque part.

  • [^] # Re: Solution

    Posté par  . En réponse au journal Désolé pour hier, j'avais pas le temps. Appelle moi au 0899.... Évalué à 6.

    Les numéro de téléphones ne faisant pas parti d'une liste blanche sont rejeter et arrive sur mon répondeur.

    Et le répondeur qui rappelle toutes les 15 minutes. En gros, on est encore plus emmbété au final.
    Un principe simple: on connait pas le numéro: on recherche sur le net. Fortes chances que les premières occurrences seront sur les mots-clés "arnaques" et "appels surtaxés".

  • [^] # Re: 25 FPS.

    Posté par  . En réponse à la dépêche Apertus lance un site consacré à la future caméra libre Axiom. Évalué à 2.

    La vieille "norme" à 24 FPS est réservée au cinéma argentique et n'a pas grand chose à voir avec le numérique

    kh0f…
    C'est pour cela que la norme cinéma numérique (DCI), le framerate de base est le 24 FPS, 48 FPS pour la 3D ou HFR.
    Source direct: http://dcimovies.com/specification/DCI_DCSS_v12_with_errata_2012-1010.pdf
    Source plus lisible: http://en.wikipedia.org/wiki/Digital_Cinema_Initiatives

  • [^] # Re: yup

    Posté par  . En réponse au journal Une revue d'Haiku. Évalué à 2.

    Je parlais surtout du sandboxing au sein du système. Comme fait MacOS et Android ( http://android-dls.com/wiki/index.php?title=Sandboxing )

  • [^] # Re: yup

    Posté par  . En réponse au journal Une revue d'Haiku. Évalué à 2.

    Oui, en effet, c'est pas tip-top. Quand on voit leur galère, on se demande si le principe de sandboxing ne serait pas plus simple a implémenter dans BeOS.

    Et au niveau sécurité réseau, des infos ?

  • [^] # Re: yup

    Posté par  . En réponse au journal Une revue d'Haiku. Évalué à 4.

    Heu ok, ca serait encore plus pertinent s'il y avait les sources sur le point sécurité (qu'elle soit vraie ou non)

  • [^] # Re: autre voie

    Posté par  . En réponse au journal Quelques pistes pour améliorer le web ?. Évalué à 2.

    Effectivement, et je crois même que Mediapart non plus, mais j'ai un doute.
    Ou alors c'est Rue89… en tout cas, je me souviens qu'un des deux avaient fait un article sur les subventions délivrées aux médias papiers/journalistes et ca avait fait grand bruit.

  • [^] # Re: autre voie

    Posté par  . En réponse au journal Quelques pistes pour améliorer le web ?. Évalué à 8.

    Mediapart est un pure player avec beaucoup-beaucoup de contenu de "première qualité" (on jugera de la qualité) et avec des gens qui savent bien gérer la barque et savent avoir de la publicité dans les médias traditionnels afin de ramener le plus de gens sur leurs sites. Mediapart comme Arrêt-sur-images sont des sites exemples mais ne doivent pas être catégorisé comme "normaux" (ASI a mis beaucoup de temps avant d'être rentable). PCInpact affiche de la publicité s'il n'y a pas d'abonnement (et quelque chose me dit que la majeur partie de leurs revenues vient de la publicité). Pour Wikipedia c'est un site "Tanker", c'est à dire qu'il est devenu référence, donc il peut se permettre de vivre de dons. Mais faut pas se leurrer, Wikipedia a faim chaque année…

    Un exemple résumé ici : http://www.presse-citron.net/free-adgate-un-revelateur

  • [^] # Re: A ce sujet

    Posté par  . En réponse au journal Attention, journal bookmark. Évalué à 2. Dernière modification le 04 janvier 2013 à 20:12.

    Arrrrggggg ! j'appelle mon garde du corps ! :p
    (bon, sinon, dans quel secteur ? dizenplus-nonmé! :)
    (-1 car hors sujet; ps: y'a plus les systèmes de mail sur linuxfr ?!)

  • [^] # Re: 25 FPS.

    Posté par  . En réponse à la dépêche Apertus lance un site consacré à la future caméra libre Axiom. Évalué à 1.

    C'est d'autant plus bizarre que la norme cinéma est le 24FPS, je vois pas trop pourquoi faire du 25 FPS de base: peut-être pour se donner une marge d'erreur ? :)

  • [^] # Re: \o\ .. /o/ Fuuuuuuuuusion! /o/\o\ .... \o/

    Posté par  . En réponse au journal Le patron de l'agence de contrôle nucléaire Belge sceptique sur le nucléaire.. Évalué à 2.

    C'est quoi les points bloquants pour que cela reste au stade de la R&D ?

  • # \o\ .. /o/ Fuuuuuuuuusion! /o/\o\ .... \o/

    Posté par  . En réponse au journal Le patron de l'agence de contrôle nucléaire Belge sceptique sur le nucléaire.. Évalué à 3.

    Au fait, on en est où du nucléaire utilisant le principe de la fusion (et non de la fission). Ca fait pratiquement 15 ans que j'en entends parler mais hormis le Tokamak, je vois encore rien arriver véritablement en production. Des experts dans la salle ?

    (note: mon petit ascii-art en titre est facilement reconnaissable, enfin je crois ;)

  • [^] # Re: SBIG

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'astronomie libre sous Linux : le point fin 2012, début 2013. Évalué à 3.

    sous quelle licence ? GPL-2 j'imagine tout de même ? (à moins que ce soit en userland :/).

    Sous closed-sources. Les sources ne sont pas GPL. Oui, c'est en userland; en fait, les "drivers" ne sont pas des modules kernel, mais une simple librairie qui - à priori car j'ai pas lu l'ensemble des sources - ne fait qu'encapsuler tes commandes, envoyer le tout par Ethernet ou USB et renvoyer le résultat.

    Pour l'instant, mon but n'était pas trop de faire du prosélytisme opensource auprès de SBIG et de son développeur principal, mais je vais y réfléchir. Après tout, ca ne mange pas de pain (même si ca peut bouffer du temps)

  • [^] # Re: A ce sujet

    Posté par  . En réponse au journal Attention, journal bookmark. Évalué à 2. Dernière modification le 03 janvier 2013 à 09:14.

    Oh, t'inquiètes, je suis assez critique avec le CNC (pour l'avoir eu dans les pattes plus d'une fois), et je doute pas que J. Clément défend son bébé :)

    Je vais citer une productrice (note avant la citation: Marie Masmonteil est la productrice de "La Source des femmes" (2010) de Radu Mihaileanu, avec Leïla Bekhti) :

    "Maraval est furieux parce qu'il a perdu beaucoup d'argent", commente la productrice Marie Masmonteil, qui rappelle que Wild Bunch a investi de l'argent dans la plupart des films qu'il cite. La productrice déplore surtout que ce texte laisse croire que le système d'aides publiques est une énorme gabegie alors que "à l'exception de Populaire et d'Astérix, qui ont été préachetés par France Télévisions, ces films sont uniquement financés par l'argent privé. Dans le climat actuel de détestation des nantis, avec la gauche actuelle qui n'est pas du tout favorable au cinéma français, cette tribune pourrait avoir des effets très contre-productifs".
    
    

    Ceci, il y a bien des aides attribuées (faudrait vraiment que je diffuse ma database pour y voir les différents tuyaux directs et indirects);

    Quand on voit le ratio privé/public, on s'aperçoit qu'une production française peut se passer de subventions françaises pures ("pures" dans le sens où ca vient des caisses de l'Etat et non du CNC directement ou indirectement), alors qu'un financement privé (par un Canal+ par exemple), si tu ne l'as pas, tu fais difficilement ton film. Regardons "The Artist" qui a été envoyé promené par le CNC. Je connais un jeune réal (jeune dans le sens, premier film, parce qu'il a plus de 40 ans quand même ;) et qui bossait chez un des plus gros studios jeux-vidéos sur des grosses franchises; Il a fait un magnifique court-métrage (et pas chiant, vraiment prenant, c'était un film de genre, avec des acteurs un peu "connu"), il avait déposé un dossier au CNC auparavant : Envoyé chier. Il a fait son film en fond propre; il a gagné plusieurs prix; Le CNC est même (re)venu le féliciter - en bons hypocrites qu'ils sont.

    Le gros souci du CNC n'est vraiment pas le fait qu'il distribue l'argent, mais plutôt comment ils le font. Regardons les statistiques (tiens, faudrait que je le rajoute dans ma database !), beaucoup de dossiers acceptés sur des scénarios parlant de problème socio ou des comédies/burlesques; et le reste est rejeté là plupart du temps (les films de genre sont la plupart du temps rejetés par le CNC, même pour les court-métrages).

    Tiens, j'y pense, j'ai eu accès à un listing des devis d'une 40ène de film, faudrait que je pense à en faire un tableur pour voir la répartition de chaque secteur. De ce que j'ai vu rapidement, les financements propres (producteurs), pré-achats (chaines/distributeurs) et co-prods (chaînes/studios) sont dans le haut du panier du financement global du film. (note: ce que je devrais faire un jour, c'est un gros tableur avec l'ensemble des flux financiers et voir sur une production classique d'un film moyen, en fin de compte, à combien est la répartition du public en direct et en indirect, par exemple dans le cas d'un achat ou d'un financement FTV)

    Autre élément d'une des chaînes-qui-payent-beaucoup-pour-le-cinéma : Sur les devis de productions, la quote-part pour les comédiens, c'est 12% (tout confondus, comédiens rôles principaux, rôles secondaires, et figurants), cela monte à 13% pour un film un gros budget.

    Autre élément qui me choque: Les coût du scénario et du scénariste sont assez ridicules. Quand on sait que c'est grâce au scénario (entre autres) qu'on enclenche le projet et les financements, je trouve cela plus qu'étonnant.

    PS: detail_pratique: de l'ensemble des commentateurs, tu es le seul a donner des chiffrages, des statistiques, des informations pertinentes sur le milieu, tu es dans le milieu ? ou tu as juste fait un travail que tous devrait faire: vérifier ces infos :)

  • [^] # Re: A ce sujet

    Posté par  . En réponse au journal Attention, journal bookmark. Évalué à 2.

    Je rajoute cela car il a été publié aujourd'hui et que voila quoi, je ne pouvais pas faire l'impasse dessus :-)

    Le texte a été écrit par Jérome Clément, ancien président du CNC et d'Arte, donc on peut dire que le personnage doit s'y connaitre sur le fonctionnement du CNC.

    Je ne citerais que deux passages :

    Non, les acteurs français ne sont pas riches de l'argent public : ce n'est certainement pas FTV et Arte qui pèsent financièrement sur le "star system" mais plutôt TF1, Canal+ et M6 qui exigent les fameux acteurs têtes d'affiche, les si bien nommés "bankable", dans les films qu'ils coproduisent.
    
    Est-ce de l'argent public ? Non. Est-ce rentable ? Oui : les multiples diffusions de ces mêmes films permettent aux régies publicitaires d'engranger de sérieuses rentrées financières. Pourquoi ces acteurs ne toucheraient-ils pas une rémunération, eux aussi, à condition qu'elle soit raisonnable, sur la valeur qu'ils ont ainsi pu créer sur leur nom ?
    
    

    Et enfin :

    Non, le cinéma français ne repose pas sur une économie de plus en plus subventionnée : le génie collectif de ceux qui ont conçu cette économie repose sur l'idée que nos films ne peuvent se satisfaire du seul marché en salles, trop étroit. La diffusion à la télévision est devenue vitale et, à ce titre, la relation entre la télévision et le cinéma a été régulée. Les moyens dégagés par FTV, Arte, TF1, M6 et Canal+ pour le cinéma ne sont pas des subventions mais des moyens mis en commun : c'est un jeu gagnant-gagnant pour les deux parties car les films, à force de diffusion, s'amortissent très bien à la télé.
    
    

    Origine: http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/01/02/vive-l-exception-culturelle_1812074_3232.html

  • # SBIG

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'astronomie libre sous Linux : le point fin 2012, début 2013. Évalué à 6.

    Pour un de nos projets cinéma, nous utilisons une caméra SBIG.

    Vu nos deals avec le constructeur, j'ai accès aux sources des "pilotes" des caméras SBIG (en NDA malheureusement). J'en assure le portage sous les architecture ARM.

    De mon expérience, les caméras SBIG sous Linux marche sans trop de soucis, il arrivait parfois que nous ayons eu des problèmes qui nécessitait un reboot de la caméra, mais à priori, c'est un truc qui a été corrigé avec les derniers "pilotes". La caméra est pilotable par USB et Ethernet. Certaines caméras SBIG intègrent leurs firmwares en interne et d'autres nécessitent l'injection du firmware à chaque boot de la caméra.

    Au niveau des sources du pilote, nous avons une petite 30ène de fichier écrit en C (+40ène de headers).
    De ce que je vois dans les sources, les pilotes sont compatibles Windows, Linux, MacOSX & co.

    #ifndef TARGET
     #define ENV_WIN        1            /* Target for Windows environment */
     #define ENV_WINVXD     2            /* SBIG Use Only, Win 9X VXD */
     #define ENV_WINSYS     3            /* SBIG Use Only, Win NT SYS */
     #define ENV_ESRVJK     4            /* SBIG Use Only, Ethernet Remote */
     #define ENV_ESRVWIN    5            /* SBIG Use Only, Ethernet Remote */
     #define ENV_MACOSX     6            /* SBIG Use Only, Mac OSX */
     #define ENV_LINUX      7            /* SBIG Use Only, Linux */
     #define ENV_NIOS       8            /* SBIG Use Only, Embedded NIOS */
     #define TARGET         ENV_WIN      /* Set for your target */
    #endif
    
    

    Au niveau du développement, la caméra est pilotable grâce au librairie livré avec le SDK. Puis utilisation du fichier header sbigudrv.h et de la librairie compilée (x86 uniquement délivré par le constructeur) libsbigudrv.so, et à l'aide de la fonction SBIGUnivDrvCommand(), vous envoyez des commandes à la caméra qui va répondre ou interagir.