raum_schiff a écrit 182 commentaires

  • # Tous les moyens sont bons

    Posté par  . En réponse au sondage Vos sources de lecture de livre. Évalué à 3 (+2/-0).

    Je de fais pas de classification de mes sources, du moment que je peux me renseigner ensuite sur les sujets et les auteurs; tout ce qui me tombe dans les yeux ou les oreilles est bon à prendre, le seul filtre de départ étant mes centres d'intérêt.
    Après le prise de note sur les bouquins cités, c'est la recherche qui suit qui qui est la plus intéressante, fouiner sur le web ou dans les bibliothèques me permet d'écarter les ouvrages ou d'en découvrir d'autres. Je me demande même si je passe pas plus de temps à lire sur des livres, que lire des livres … IMHO.

  • [^] # Re: contextualisation avec l'intro de l'article

    Posté par  . En réponse au lien Un article approfondi sur les réseaux de proximité visuelle. Évalué à 2 (+1/-0).

    J'ai lu l'article, même si j'ai pas tout compris; ça donne des tas de nouvelles pistes pour approcher les sites archéologiques; ça m'a fait penser un reportage où ils utilisaient la théorie des graphes pour mapper les chemins les plus courts dans des palais de la Grèce antique afin d'estimer l'importance des salles et orienter les fouilles.

    Vu que les traces matérielles sont la plupart du temps les seules indices qu'ont les archéologues, tous les outils qui peuvent orienter ou renforcer les hypothèses sont les bienvenus.

    Comme ils le soulignent dans l'article, leurs modèles de réseaux de proximité visuelles se "heurtent" à d'autres nécessités ou réalités de l'époque (ville située sur un site avec une mauvaise visibilité, mais le long d'un fleuve; nécessités sociales pour les monuments ostentatoires ou commémoratifs etc.).
    Bref, chouette article.

  • # In the future there is only war

    Posté par  . En réponse au lien L’hyperstition, un concept au cœur de la vision de Nick Land, idéologue des Lumières sombres. Évalué à 3 (+2/-0).

    Bon, WH40K c'est drôle … sauf en vrai.

  • [^] # Re: Les devs complexifient tout à force de vouloir simplifier.

    Posté par  . En réponse au lien Free software scares normal people. Évalué à 5 (+4/-0).

    Je plussoie !

    Et encore, je croise beaucoup d'utilisateurs qui n'ont aucune idée de ce qu'ils veulent faire. Je dois les faire reformuler pour avoir une idée de comment les aider. Donc pour ce genre de personnes une application avec un bouton "! J'ai gagné !" n'existe que si ils savent formuler leur demande pour la chercher.

    Avec LLMs c'est plus facile; mais (en étant pessimiste) le monde futur des 99% d'utilisateurs de la "tech" se limitera a des agents humains qui ne savent pas ce qu'ils veulent, et qui le demandent à des agents logiciels qui ne savent pas ce qu'ils font.

  • [^] # Re: gimp

    Posté par  . En réponse au lien Free software scares normal people. Évalué à 6 (+5/-0).

    Déléguer une tâche qui me barbe à une machine me semble justement faire partie des choses agréables que le progrès permet.

    Tu as tout à fait raison; et par cela tu soulèves un paradoxe:

    L'automatisation par des techniques et des machines qui en ont hérité, a fait avancer notre espèce tout au long de son histoire pour faire des tâches à notre place. Mais sans technique il n'y a pas de machine.
    La technique étant tributaire de l'apprentissage, cela fait que socialement nos sommes enclins à essayer acquérir des compétences … pour mieux s'en passer, par les machines.

    L'idée de la machine "intelligente" semble briser ce paradoxe, quand la machine créera des techniques, qui optimiseront et fabriqueront des machines qui etc.

    Je fais partie déjà de ces "vieux" dont tu parles, mais ces "vieux" ont plutôt tendance à se poser la question du "pourquoi" avant celle du "comment".
    C'est utile, le "pourquoi", ça évite de croire au solutionnisme et ça permet de discuter /façonner l'idée d'un avenir commun.

    Les "jeunes" ne sont pas "stupides", ils sont juste jeunes.

  • [^] # Re: gimp

    Posté par  . En réponse au lien Free software scares normal people. Évalué à 4 (+3/-0).

    J'ai eu le même sentiment récemment quand j'ai tenté d'utiliser Blender.

    Si tu n'as pas de notion de modélisation 3D, ou tu ne commences pas par regarder ce genre de vidéo (en plus elle a été traduite par l'IA de youtube pour les anglophobes); et tu veux juste faire des trucs yolo, c'est sur que tu vas pleurer … Pour juste commencer y'a Wings3D, ou même LeoCAD (il est très fun celui-là). Pour Blender No RTFM = no fun.

    ne peut absolument pas apprendre par essai et erreur (puisque la plupart des actions ne font rien ou plantent le logiciel).

    La majorité des commandes, si il y a erreur ou attente d'action, ont un tooltip en bas à gauche qui indique quoi faire (faut le voir, mais bon les yeux c'est fait pour ça).
    Moi aussi je fait planter souvent Blender, mais j'aime ça (je bosse souvent avec des versions alpha). Puis se dire qu'avec un système de particules on va faire neiger 10 000 Suzannes dont on a fait 10 subdivisions pour faire; joli ça fait: 9680 triangles * 10 000 à calculer chaque frame … j'ai fait ça au début et puis j'ai arrêté. (La quantité de RAM et VRAM utilisée est affichée constamment en bas à droite)
    L'essai et l'erreur fait partie du deal avec Blender, faut juste essayer petit, et ranger son ego de consommateur tout puissant au placard.

  • [^] # Re: ah oui, mais non

    Posté par  . En réponse au journal Les irresponsables. Évalué à 3 (+2/-0).

    XKCD a plus tendance à me faire sourire quand je comprends le sujet, et si je ne le comprends pas, à provoquer un sérieux grattage de crâne suivit de recherches sur Wikipédia pour espérer éventuellement comprendre le contexte; et la plupart du temps c'est un échec, même si entre temps j'ai appris des choses.

    Il doit y avoir sûrement un côté drôle à l'exercice même si la blague se fait un peu à mes dépens … ¯\(ツ)

  • [^] # Re: ah oui, mais non

    Posté par  . En réponse au journal Les irresponsables. Évalué à 6 (+5/-0).

    Drôle érudit et concis.

    Le bouquin de Chapoutot est aussi érudit (c'est pas du Stéphane Bern) et concis (304 pages); pour le versant drôle, ça peut se discuter … mais les tergiversations des dirigeants de Weimar qui se sont accrochés comme des tiques à leur pseudo-légitimité quitte à porter le moustachu au pouvoir a un côté très comique.

    L'humour c'est subjectif. Pour moi par exemple:
    Navier-Stokes

    Est loin de me rendre hilare.

  • [^] # Re: meilleur bande son

    Posté par  . En réponse au journal Alex Pilot lance un projet de film sur les demomakers 16/32 bits. Évalué à 2 (+1/-0).

    A noter qu'en 87 Psygnosis sortait un autre "Barbarian" avec une pochette "Plus Classe" :

    Psygnosis-Barbarian

    De toute façon, dans les années 80's avec la sortie du film de Milius, c'est toute une période des années 70's du Conan version BD (+ Frazzeta) qui remontait à la surface, plus évidemment les écrits de Howard.

    Et la seule chose qui n'avait pas changé depuis les années 30 c'était le côté putassier du thème hérité des pulps-magazines … bon faut dire que même maintenant ça a pas beaucoup évolué.

    A tout prendre, la version la moins décérébrée, c'est celle de R.E.Howard.
    IMHO …

  • # Réponse à l'exercice du vendredi

    Posté par  . En réponse au lien Les « IA bros » ne comprennent rien à la création – une erreur indépendante de l’état actuel des IA. Évalué à 3 (+2/-0).

    Ben oui je me réponds, mais en même temps j'essaie d'éclairer le post initial de SpaceFox sur la rentabilité et la vision artistique (je vais faire court et non-exaustif, donc imparfait … ) :

    Les deux peintures sont de Goya et représentent la prairie de Saint-Isidore du côté de Madrid un jour de fête / procession.

    Elles ont été peintes à deux périodes différentes :

    La première à une époque où ça marchait bien pour Goya au niveau financier et au niveau de la reconnaissance, avec beaucoup de clients et beaucoup de commandes.
    Oui, peindre à l'époque ça coûte cher, et peindre veut dire se faire financer par des commandes de gens riches (nobles, bourgeois,ecclésiastiques) avec pour le peintre un statut d'exécutant dont une parie du "capital" artistique tient à sa maîtrise d'exécution et de l'attendu social de ses commanditaires.

    La deuxième vient bien après après la révolution Française et surtout après la guerre d'indépendance espagnole. Goya est reconnu, riche et surtout son statut lui permet de sortir de ses travaux de commande (il en fait encore, il faut manger et garder son statut).

    Goya himself :

    "… je me suis rendu compte qu'en général il n'y a pas, avec les commandes, de place pour le caprice et l'invention."


    Résumé très, très, très rapide :
    Le lien rentabilité / production artistique dans un contexte marchand tient d'un rapport de domination qui ne peut être brisé que si l'artiste est reconnu, ou (sinon) choisit de crever de faim.

    Le paradigme a bien sur changé de nos jours (diffusion, technique, cercles artistiques, auto-financement, etc..), mais revenir aux fondamentaux de la relation rentabilité/art fait toujours du bien.

    Si vous voulez creuser plus profond sur le sujet je vous conseille ce bouquin :

    Ceci n'est pas qu'un tableau Essai sur l’art, la domination, la magie et le sacré

    Pour le reste je vous laisse juges de la qualité esthétique de ces deux tableaux.

  • [^] # Re: controle sur le résultat : côté AI

    Posté par  . En réponse au lien Les « IA bros » ne comprennent rien à la création – une erreur indépendante de l’état actuel des IA. Évalué à 3 (+2/-0).

    Écrivain ou commanditaire :

    Écris un texte d'une dizaine de phrases racontant
    que hier à 18h je regardais un coucher de
    solail quand je me souviens d'un coup
    que j'avais oublié de faire les courses

    Félin Félautre :

    Dix phrases ! Dis-moi, pour un truc comme ça, dis c'est trop.
    Trop qu'à 18 heures je lorgnait encore une solution dans ce coucher So laid (on m'a dit de faire une faute d'orthographe j'y peut rien) !
    Bon faut bouffer aussi … et là pas courses car 18 égal: les supers sont fermés.
    Donc ventre creux, texte creux, ça colle.


    Pas besoin de re-prompter car je suis trop fort, ben oui j'ai le melon car je suis un artiste et pas une putain de machine.

    Tient, ça me donne faim toussa !

  • [^] # Re: bof

    Posté par  . En réponse au lien Les « IA bros » ne comprennent rien à la création – une erreur indépendante de l’état actuel des IA. Évalué à 4 (+4/-1).

    Et bien rendez-vous dans 5 ans quand un film entièrement réalisé par IA recevra un prix.

    2 ans après, les canons de la création artistique se focaliseront sur le fait pour l'auteur de fournir ses sources de création ainsi que la validation de X personnes physiques témoins du processus créatif unique et humain de l'artiste.

    Alors l'IA n'aura plus aucun prix.

    Mais ne t'inquiète pas il se formera des communautés d'IArtistes qui se congratuleront mutuellement de l'artificialité de leurs créations.

    L'IA est juste un artefact humain.

    L'artefact qui fait l'art est humain, mais dire que l'artefact est un humain (et l'inverse) nous ferait glisser vers des coins sombres qui sentent le brun foncé.

  • # Yop, next ...

    Posté par  . En réponse au lien L'Inde interdit une bonne partie des jeux d'argent en ligne. Évalué à 10 (+10/-0).

    Bonne initiative, l'étape suivante: Interdire la Bourse; qui est un jeu d'argent (en ligne ou pas) comme un autre !

  • [^] # Re: bof

    Posté par  . En réponse au lien Les « IA bros » ne comprennent rien à la création – une erreur indépendante de l’état actuel des IA. Évalué à 1 (+0/-0).

    Autre problème :

    L’intérêt de la création peut être aussi dans ses propres contraintes.

    Car les "tripes créatives" se trouvent alors dans la façon personnelle de contourner la limitation.

    J'ai toujours été bluffé par le 10-Cube-Challenge de Blender; Le faire avec une IA serai évidement … ridicule.

  • # Petit exercice du vendredi

    Posté par  . En réponse au lien Les « IA bros » ne comprennent rien à la création – une erreur indépendante de l’état actuel des IA. Évalué à 1 (+0/-0).

    Sur la qualité artistique et l'argumentation qu'on peut en faire :

    Je propose 2 peintures :

    Exercice :
    - Qui les a peintes ?
    - Quel lieu représentent-elles ?
    - Attribuer une note de 1 à 9 à chacune sur leur qualité artistiques. (avec justification en 1 phrase).
    - Indiquer en une phrase le ressentit personnel suite à l'éxecution de cet exercice.

    Utilisation de LLM autorisée (indiquer dans la réponse).

    Meta-Exercice bonus :
    Faire l'exercice avec et sans LLM et noter le temps de résolution pour chaque.
    Noter pour chaque résolution (en une phrase) le ressentit personnel de la résolution de l'exercice.

    C'est vendredi, lâchez vous, je ne serais pas sévère sur les corrections 😜.

    (NB: Je ne suis pas artiste, juste un type lambda avec un cerveau lambda qui a des capacités intellectuelles et émotionnelles lambda; comme vous).

  • [^] # Re: History

    Posté par  . En réponse à la dépêche Perl 5.42 est sorti. Évalué à 3 (+2/-0).

    Pour faire de l'histoire :

    Il était clair à partir de la beta de 2015 (mais on s'en doutait déjà avant), qu'il n'y aurait pas de rétro-compatibilité.

    A partir de là, et considérant la pile de code monstrueuse produite antérieurement (plus le CPAM évidemment); le passage de version de façon "automatisable" devenait quasiment impossible; même si le P6 de l'époque pouvait encapsuler du code P5.

    Le changement de nom a eut lieu en 2019, avec entre temps de gros remous dans la communauté.

    Le monde de la programmation préfère les changements rapides et "lisses" de paradigmes plutôt que les changements lents d'adoption. Ici le coût de changement rapide était trop grand, et le changement lent a fait peur (pourquoi ?).

    Pour les "jeunes programmeurs" qui se focalisent sur le numéro de version cela peut paraître troublant. Mais soyons honnêtes, en 2015 la majorité des Perlistes-juniors n'étaient pas des devs rentrant dans le langage par curiosité mais plutôt des devs intégrant des équipes de Perlistes barbus travaillant sur des grosses bases de code.

    Donc parler d'un doute handicapant pour le langage à la période tenait plus de la panique injustifiée.

    En 2025 Perl se porte bien au niveau de son architecture, il est encore utilisé et peut avoir son utilité dans de nouveaux projets. Pour ce qui est de sa communauté et de son taux d'utilisation, je ne vais pas me prononcer car ayant arrêté de coder du Perl de façon pro en 2017.

  • [^] # Re: History

    Posté par  . En réponse à la dépêche Perl 5.42 est sorti. Évalué à 1 (+0/-0).

    Il y avait déjà des tensions avant (révision du modèle objet, feature-lock, etc.).

    Le fait que P6 soit devenu Raku (décision qui a été prise de façon collégiale) et vu le peu de membres de la communauté Raku; cela n'a pas eut plus d'impact que ça sur Perl.

  • [^] # Re: wire un fork des Sex-Pistols !

    Posté par  . En réponse au lien Matrix Is Not Safe for EU Data Privacy. Évalué à 2.

    Commenter sur ça c'est toujours mieux que commenter le lien …

    C'est fou comment le punk a muté sur une période de 3/4 ans à l'époque; une bonne fermentation qui a fait pousser: Crass, Suicide ou Swans aux U.S, Amebix, Killing Joke … entre autres.

  • # Food for thoughts

    Posté par  . En réponse au lien L'impasse informationnelle. Évalué à 3.

    Merci pour le lien.

    Le raccord avec McLuhan est très pertinent. Même si la pensée de McLuhan ne s'est jamais solidifiée en théorie, c'est un bon angle d'attaque (qui vaut pour également pour les "réseaux sociaux") pour juger la qualité informationnelle des LLM.

    Mais le rapport signal/bruit est plus dur à quantifier, et reste un peu flou dans leur article, à part pointer le côté "boite noire" du média.

    Quoi qu'il en soit, leur papier (oui c'est de l'écrit transmit via réseau … :-p), appuie au bon endroit sur la question de la pertinence d'un outil utilisé pour l'information; qui n'est pas, en temps que média, fait pour cette tâche.

  • [^] # Re: On en parlait justement dans la section liens y a quelques jours

    Posté par  . En réponse au journal [réflexion sur l'IA] Que nous dit le mois des fiertés raté de Microsoft ("Notre amour ne suce pas”)?. Évalué à 2.

    L'idée de base du slogan était de base bancale; donc l'idée de "partir en sucette" colle bien à l'illustration sans faire vieillot, ça reste une interprétation.

    La traduction (idéale) vise à être exhaustive, ce qui est plus facile dans un cadre technique, en dehors de ce cadre, c'est de l'interprétation (c'est en partie le plaisir de l'exercice), donc en somme une trahison inévitable.

    C'est pas une question de bon goût ou pas, même le mauvais goût se traduit

  • [^] # Re: On en parlait justement dans la section liens y a quelques jours

    Posté par  . En réponse au journal [réflexion sur l'IA] Que nous dit le mois des fiertés raté de Microsoft ("Notre amour ne suce pas”)?. Évalué à 6.

    est simplement intraduisible (ou très difficilement — mais peut-être qu'un traducteur expérimenté pourrait trouver ou même déjà connaître une astuce adéquate?).

    La difficulté est de savoir si il faut garder le jeu de mots quitte à déformer le propos ou garder le propos et évacuer le jeu de mots, ou alors garder les deux (l'idéal étant de combiner sens et forme).

    Et comme le propos est ici très interprétable, ben c'est le boulot d'un traducteur … alors zou: Négativité de la fellation vu comme rapport de domination associé au mot "suck" = nul.
    Le "Our" vient en opposition, il faut le garder (et ça peut servir après).

    Si on veut conserver le sens et le jeu, le seul mot français qui me vient à l'esprit est l'expression "en sus". Très peu usitée de nos jours, mais disons que je me fous de la perte de clarté, car les curieux chercheront le sens dans un dico et/ou sur le net.

    Reste que "en sus" apporte une idée de positivité qui va à l'encontre du message initial, donc il faut aménager la phrase, et pour cela je regarde l'illustration associée (bonbon + coeur + cliché de la sucette) qui elle aussi est ambivalente. Mais garder l'ambivalence pourrait amener, avec une expression positive, à désamorcer le but militant de la chose. Donc j'opte pour la re-contextualisation quitte à faire docte, puis j'utilise la double négative ici pour appuyer le message positif tout en contrant le message négatif réactionnaire qui pose l'homosexualité comme déviante donc inférieure :

    Notre amour, ni en moins ni en sus

    Je suis ouvert à toute correction argumentée venant d'un être humain.

  • [^] # Re: Excellent, merci.

    Posté par  . En réponse au lien France culture: Intelligence artificielle et imitation. Évalué à 2.

    A lire tes réponses vis-à-vis de mes commentaires, je pense vraiment que tu ne les lis pas; tu semble partir dans des diatribes de justifications qui tiennent plus du prêche que d'autre chose.

    Comme quoi le dogme se trouve là où tu ne l'attendais pas.

    Sur-ce c'est l'heure de l'apéro, et je pense qu'une bière et des chips seront plus nutritifs pour mon intelligence que cette "conversation".

  • [^] # Re: Excellent, merci.

    Posté par  . En réponse au lien France culture: Intelligence artificielle et imitation. Évalué à 1.

    (parce que j'ai du mal à identifier le dogme sous-jacent)

    Tout simplement car il n'y a pas de dogme.

    Je n'ai jamais dit qu'on pouvait définir "l'intelligence" comme "relative à l'intelligence humaine".

    Le problème c'est qu'en temps qu'humain, imaginer une autre forme d'intelligence est très compliqué.
    Juste que dans le cas de l'IA on connait la forme d'intelligence qui a conçut leurs modèles.
    Je suis plus intéressé par l'intelligence animale, mais c'est un choix.

    Je n'ai aucune angoisse de me faire dépasser par une machine, car c'est déjà le cas.

    J'ai l'impression que tu me porte des propos que je n'ai pas, ou que tu as mal lu ce que j'ai écrit.

    En tout cas, bref, j'ai de plus en plus de mal à supporter l'argument de la cible mouvante pour l'IA.

    C'est parce que la cible de l'intelligence bouge constamment au fil de nos découvertes, ce qui est une bonne chose.

  • [^] # Re: Excellent, merci.

    Posté par  . En réponse au lien France culture: Intelligence artificielle et imitation. Évalué à 3.

    Comme le précise Maderios dans son commentaire, ces termes d'intelligence sont distincts. Pour l’IA on peut même parler d'intelligences au pluriel, différentes suivant les tâches qu'on lui assigne.

    Et fonctionnellement, ça marche. Les résultats sont là … pour les tâches données et grâce à l'orientation et les corrections apportées.

    J'emploie le mot "tâche" car il est au centre du concept, et il est là pour valider la sortie fonctionnaliste qui conditionne sa réussite.

    La validation par réussite s'applique très bien aux machines, pour comprendre l’intelligence du vivant; il faut partir sur d'autres bases (c'est juste une partie de la discussion porté par l'émission de RF).

    Pointer de façon critique les limites d'un concept ce n'est pas le refuser.
    Taxer cette critique de "dogmatisme", par contre, relève d'un terme que je te laisse nommer, parce que je suis poli.

  • [^] # Yes Yes ... or No

    Posté par  . En réponse au lien La demande d’électricité pour les centres de données devrait plus que doubler d’ici 2030 . Évalué à 0.

    Questions are a burden to others; answers are a prison for oneself.

    Patrick McGoohan