Sylvain Sauvage a écrit 2933 commentaires

Pour le point 2, il n’y a pas vraiment d’autre solution que de regarder la doc et les exemples des différents paquets, de voir ceux qui se rapprochent de ce que tu veux et de regarder si tu peux les comprendre suffisamment pour les modifier.

Pour le marginpar, la taille est définissable par geometry, pour le style, tu peux l’emballer dans une commande (genre \textemarge{blabla} définie par \newcommand\textemarge[1]{\it…#1}). Ensuite, même si tu utilises une minipage (ce qui serait aussi fait par l’intermédiaire d’une commande : \newcommand\textemarge[1]{\begin{minipage}…#1\end{minipage}}), je te conseillerais de ne pas mettre Objet, Références dans des minipages, juste de positionner ta marge pour le texte normal et de déplacer le blabla dans la marge par une boîte de taille nulle :

\newcommand\textemarge[1]{%
  \makebox[0pt][r]{%
    \parbox{4cm}{%
      #1%
    }%
  }%
}
\newcommand\objet[1]{Objet : #1}

et de l’utiliser comme ça :
\textemarge{blabla}
\objet{…}
\refs{…}

Pour les [vh]space, utilise les versions avec * : elles ne seront plus « facultatives ».

Autre chose, n’utilise pas tabbing (c’est vraiment primitif et difficile à lire/gérer). Fais des \parbox/minipage que tu déplaces à droite par des \hspace*. Fais une seule boîte pour l’auteur et le destinataire et change la longueur \parskip pour espacer les lignes.

Enfin, même pour des tests, et même si ça ne doit servir qu’une fois par fichier, fais des commandes simples (genre \objet, \refs, \auteur, etc.) pour que tes fichiers soient clairs, faciles à lire, et que l’on repère facilement ce qui fait partie du texte et ce qui fait partie du code (ce qui peut/doit être changé pour faire une nouvelle lettre).

« Toujours par deux ils vont, ni plus, ni moins : le maître et son apprenti. »

Ah, et, heu, bon courage !

Bon, certaines de tes remarques me font penser que tu n’es pas très versé en LaTeX. Je vais donc rester dans les conseils généraux et les pistes :

1. Lis la doc livrée avec LaTeX, va voir sur le CTAN, achète-toi un bouquin…

2. Regarde les classes existantes. Il est souvent plus facile de paramétrer/modifier une classe que d’en écrire une.

3. Pour le placement du logo, regarde la commande \put de l’environnement picture (sans doute à placer dans les entêtes, voir fancyhdr, il simplifie leur définition).

4. Pour gérer des blocs de texte, regarde les minipages. Il faut comprendre le système de boîtes verticales et horizontales de TeX pour bien maîtriser tous les placements.

5. Pour le bloc de blabla à gauche, tu peux aussi regarder la marginpar.

Tu veux dire « consistent » à la place de « cohérent »…

Hum, souple et masochiste…

Ben ouais, faut arrêter de bourrer les urnes avec Montcuq !

(Dans la série « contrepètons avec Montcuq »…)

Je ne vois pas en quoi la mort d’un homme empêcherait qu’il soit utilisé comme exemple, inspiration…

 Pour les trolls je n'étais pas au courant, je devais être en vacances... 

T’as passé six ans dans une cave¹ ?

¹ en Afghanistan peut-être ?

Bien qu’ils soient limités¹ (notamment en RAM), les petits routeurs (genre Wrt²) sont parfois équipés d’un vrai commutateur (switch), c’est-à-dire que tous les ports ethernet peuvent êtres considérés séparément. Et c’est moins cher qu’une carte multi-port (surtout que la machine est complète).

¹ il y a déjà eu une enfilade dans un autre journal sur les serveurs domestiques, enfilade dans laquelle il a été discuté de ces limites. Pas la peine de la refaire ici.
² d’ailleurs, on peut facilement trouver lesquels sur openwrt.org

On a plus facilement 100% de participants à Hawaï, qu'a Nancy :-)

Ça dépend : elle a combien de places Nancy ? (Daniella, on pouvait y aller à trois…)

Gdc, le compilateur D de la collection de compilateurs GNU (GCC), est distribué depuis peu dans Debian Sid. Le fait que ce soit maintenant un paquet apporte plusieurs avantages :
— installation et mises à jours simplifiées ;
— visibilité accrue : il est présenté dans la liste de paquets ;
— la possibilité de compiler des programmes en D dans Debian (il y a plusieurs jeux en D qui viennent d’arriver dans la foulée), donc d’augmenter leur visibilité (notamment en tant qu’exemples) et celle du D.

Cette école à 3000 ¤ n’est financée que par les frais de scolarité ?…

s/sélectionner les élèves/sélectionner les parents/

En passant, là comme ça, c’est fait exprès l’accent sur le o d’école dont tu parsèmes tes commentaires ? Parce que si c’est fait exprès, je ne vois pas trop à quoi ça correspond. Une accentuation (sonore, celle-là) propre à un snobisme mal placé ?

D’après ce que je sais, c’est-à-dire pas grand-chose mais ça peut se vérifier p.ex. sur les récepteurs où on peut changer la norme (TV ou carte d’acquisition), quand la norme n’est pas la bonne, ça ne fonctionne pas ou en tout cas c’est plus perturbé qu’un simple passage au noir et blanc.

(Et puis c’est encore un coup du francocentrisme : le SECAM c’est _le_vrai_format_. Les autres, personne n’en a parce que c’est tout pourri. Na !)

Pas trop gênants les avions perdus ?

http://fr.wikipedia.org/wiki/A%E9roport_international_Montr%(...) (Rahh mais ! schcromeugneu d’accents dans Templeet/Wikipedia)

Hum, le « 1600x900 » est en fait du 1280x720. Enfin c’est ce que me dit mplayer (et la place que ça prend sur mon écran). Publicité mensongère. Remboursez !

Sinon, c’est là qu’on voit que le Theora/Vorbis, ça compresse mieux que le mpeg2dvd (qui, en plus, est du 720x576 élargi en 768x576) : un rapport de 6.

Ben tu fais comme il faut le faire avec les motifs de conception : tu les mets côte à côte, notamment les parties conséquences et problèmes, et, en plus de regarder ce qui est plus facile pour le moment, tu évalues suivant ce que tu penses qu’il pourrait arriver à ton programme, ses évolutions futures.

(Perso, je préfèrerais Factory : sinon, une forme est liée à un outil et, plus on vieillit, moins on aime les liens…)

D’après mon expérience, le noir et blanc peut avoir deux raisons (proches en fait) :
— tu envoies du PAL sur une télé SECAM ;
— la norme est la bonne mais l’impédance trop faible (certaines TV sont plus sensibles et auront de la couleur, d’autres non).

Vi vi, à l’instant : je recharge une page et hop, je peux de nouveau pertinenter.

Merci au(x) débogueur(s) !

qui qui qui mais qui ? ♫♬

Ça dépend de ce que l’on entend par « fin du monde » :
— fin de notre société ;
— fin de l’espèce humaine ;
— fin de l’écosystème tel que nous le connaissons ;
— fin de la planète ;
— fin de l’univers…

Étant donné que les trois premières versions peuvent s’appliquer et que le titre se veut accrocheur et polémique (alors que le journal est plus mesuré), je pense que oui, je suis sûr.

C’est pour ça que j’ai utilisé le conditionnel (et les parenthèses) là où l’article utilise l’indicatif.

Je reprends le raisonnement :
1. « eugénisme » a d’abord été utilisé pour une politique délibérée visant une « pureté » de l’espèce humaine ;
2. mais « eugénisme » ne signifie que « faire de la “bonne“ sélection génétique » ;
donc :
— d’après le 2., croiser et sélectionner dans un but d’amélioration est de l’eugénisme ;
— mais l’on pourrait être gêné par le fait que l’eugénisme humain est vu comme une horreur par nos sociétés (ce n’était pas le cas de Spartes ni de Nietsche), ce qui confère une mauvaise connotation au mot et le rend porteur d’un jugement moral ;
— donc le terme s’appliquerait surtout si les critères du « mieux » ont un objectif d’une éthicité discutable ;
— or, d’aucuns estiment que les croisements pour améliorer les caractéristiques combattantes des chiens sont d’une éthicité plus que discutable (dans quel but fait-on des chiens de combat ? Pour le combat. Et les combats avec/entre des animaux, ça plaît à de moins en moins de gens.)

Donc, oui, ton exemple est de l’eugénisme. Et tuer, castrer ou empêcher les porteurs de tares de se reproduire aussi.