Ysabeau 🧶 🧦 a écrit 6371 commentaires

Contenu acheté à bas prix via un site du type redacteur.com je présume et pas relu.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Faudrait lui conseiller de changer de conseiller en com' :-)

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

On peut démonter le truc et relever ce qui cloche. Mais il faut faire attention à la formulation et ne pas employer des mots qui fâchent.

Ce que tu écris, par exemple n'est pas spécialement injurieux, ni insultant, ni diffamatoire. C'est un simple constat.

Et tu as eu des suites de la mise en demeure ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

C'était juste pour réunir des liens sur un sujet d'actualité (et susciter une vocation éventuellement) et éviter quarante-douze-mille "liens" différents.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Le titre pouvant être susceptible d'être interprété comme étant diffamatoire, il a été modifié en accord avec son auteur. Et la mention du journal en capitales a été passée en bas de casse.

Soit dit en passant, vous seriez bien urbains de modérer vos propos dans vos commentaires en évitant les mots susceptibles de fâcher dangereusement et de provoquer des ennuis judiciaires à votre site favori. Merci.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

https://linuxfr.org/users/ysabeau/liens/les-logiciels-libres-comme-espaces-de-collaboration-echange-avec-bastien-guerry

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Merci. Oui c'est mieux de regrouper quand c'est possible :-) Et ça a plus de visibilité aussi.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je cite, de son site :

L’expérience d’Hugo est liée à la Méthode utilisée par le Village de l’Emploi.

Il serait l'auteur de la méthode d’apprentissage informatique « Village de l’emploi ».

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ce n'était pas possible de le mettre à la place de la Petite Ceinture. Un certain nombre de tronçons ne pouvaient être réutilisés pour ça. En outre, la Petite Ceinture a des endroits qui la rendent inaccessible des personnes à mobilité réduite. Ce n'est pas le cas du tramway.

Le trajet du tramway suit, grosso modo, celui de l'ancien bus PC qu'il remplace. Le trajet de la Petite Ceinture ne l'aurait pas remplacé du tout.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Son site : hugo-sbai.fr
Il est sans doute polytechnicien, mais de l'École polytechnique fédérale de Lausanne de Lausanne, pas de l'X.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Avec ou sans tramway, ça a toujours été le cas !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Connaît pas, mais je voulais en savoir plus sur l'une des personnes de l'équipe. Elle aurait écrit un article sur C++. Belle performance de rédaction en mode SEO. En revanche, pour ce qui est du langage, je reste sur ma faim. Bon y'a LinuxFr pour ça (C++ et la faim).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Les tramways à Paris ont remplacé les bus qui en faisaient le tour. Ils transportent plus de monde, fonctionnent à l'électricité, et, comme ils circulent en site propre, ont une meilleure régularité. Et, évidemment, ils sont beaucoup plus accessibles des personnes à mobilité réduite. En fait, aussi curieux que cela puisse paraître, les tramways ont permis de mieux fluidifier le trafic sur les maréchaux.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je ne fais pas le parallèle entre l'imprimerie et internet car on a vraiment affaire à des domaines différents. Mais j'ai déjà traité en partie ça.

Et non, imprimer n'était pas à la portée de n'importe qui, pas avant l'arrivée des linotypes. Mais, effectivement, il devenait plus facile de diffuser soi-même un écrit en grand nombre.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et non, on ne parle pas d'Alfred, mais de Louis (1937-1898), membre d'une famille d'érudits du Loiret dont les précieuses archives sont conservées aux Archives du Loiret.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Le droit d'auteur, de mon point de vue n'est pas une invention frauduleuse. En revanche, les applications et législations actuelles peuvent l'être en donnant trop d'importance aux ayants-droits.

Y a d'autres inventions qui ont aussi plus profité au premier qui brevete qu'à l'inventeur initial.

Ce n'est pas moi qui vais répondre, mais le libraire parisien Anatole Claudin (1833 - 1906) par le biais de son opuscule : Un nouveau document sur Gutenberg. Témoignage d’Ulrich Gering, le premier imprimeur parisien et de ses compagnons en faveur de l’inventeur de l’imprimerie.

Plus l’invention sera merveilleusement appliquée, plus ceux qui ne pouvaient arriver à aucun résultat pratique lui en disputeront le mérite.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Faire de l'argent facile, c'est vite dit ! Monter une imprimerie ça coûtait très cher (ça a mis Gutenberg sur la paille) et le plomb des caractères n'est pas très bon pour la santé. En outre, en France, tout du moins, aux débuts de l'imprimerie, c'était assujetti aux universités dont les conditions pouvaient être plutôt léonines et les imprimeurs pouvaient risquer leur vie (avec tortures préalables).

Bref rien à voir avec la facilité avec laquelle un gros actionnaire d'une grande entreprise gagne ses dividendes.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ah zut :-) Mais c'est de la triche ! Je me demandais à quoi vous auriez pu penser (bon, 'videmment, venant de moi…).

Tout le paragraphe :

Il faut considérer, en seconde ligne, la question purement commerciale. Cette superbe découverte a une origine un peu trouble, et une intention frauduleuse préside évidemment à sa naissance. On cherchait le moyen de multiplier les manuscrits et il semble hors de doute que, sous cette menteuse étiquette, on mit en vente les premiers livres imprimés. On imitait donc les caractères de ces manuscrits, c’est tout naturel ; mais on copia de même leur disposition matérielle, de manière à tromper l’acheteur on reproduisit aussi leurs rubriques. Enfin, un espace blanc fut réservé, comme aux petites miniatures dans les manuscrits précieux, afin d’y placer à la main les capitales, souvent sans y joindre aucun ornement, et dans le seul but de tromper.

Juste avant, il y a un passage très contemporain sur le coût des études :

Les ressources de ces jeunes gens n’étaient pas grandes ; si la vie se trouvait à bon marché, les livres surtout coûtaient horriblement cher. Dans les registres des notaires on voit les bons parents se livrer à mille expédients pour constituer aux étudiants des revenus ou une pension. La même formule revient sous la plume du rédacteur de l’acte ; c’est toujours « pour subvenir et aider audit estudiant à avoir et quérir ses vivres, livres et autres nécessitez oudit estude. »

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je suggérerais bien pour simplifier de faire un signet sur la table des matières puisqu'elle a des liens cliquables. Ça fera moins de boulot et ça te permettra de naviguer tout de même plus vite.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ce qu'il veut avoir, ai-je présumé, c'est la table des matières qui s'affiche sur une colonne à côté du document au lieu d'avoir à naviguer pour aller dessus.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

À ma connaissance ce n'est pas possible. Dans Okular tu peux ajouter des signets (Ctrl + B) : l'avantage, tu les mets où tu veux, l'inconvénient, si tu veux ainsi naviguer par chapitre dans un document long, ça prend du temps.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je n'ai pas dit qu'ils ne l'étaient pas mais que c'était une excuse inadmissible.

Après, oui, il y a énormément de boulot en matière d'éducation à faire des deux côtés.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ça ne leur donne pas le droit de "draguer" une personne parce que c'est une femme, ni de la violer, ni de l'ajouter à son tableau de chasse qu'il y ait eu ou pas quelque chose entre eux.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je n'en suis pas sûre justement dans ce cas de figure. Parce que ce que dit Leporello là c'est qu'en fait pour Don Giovanni, ce qui compte c'est la quantité : aligner sur son tableau de chasse le plus grand nombre de femmes possibles. Vu la quantité, à mon avis, il y a pas mal de vantardises aussi (disons, elles ont peut-être, de son point de vue, succombé à son charme, mais je doute que ça soit forcément allé plus loin).

On se retrouve donc dans une logique très actuelle.

Et Don Giovanni finit mal. Musicalement, il n'est pas aussi bien traité par Mozart, si je ne m'abuse, il est le seul à ne pas avoir son air à lui tout seul.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

La logique : filer tout au privé !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.