Yusei a écrit 4649 commentaires

  • [^] # Re: Proposition

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Cours du collège de France en ligne. Évalué à 3.

    (Toutes mes excuses si j'ai été un peu sec dans mon message, mais la lecture de la discution au dessus avec kowalsky, suivie de la citation sur la "volonté à engendrer l'exclusion sociale" m'ont passablement énervées. Je pense ce que je dis, mais j'aurais dû le présenter d'une manière un peu plus diplomate. Je me Gniarfise avec le temps.)

    (Sympa, l'image qui s'affiche si on se répond à soi-même)
  • [^] # Re: Proposition

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Cours du collège de France en ligne. Évalué à 5.

    En même temps, avec des phrases comme "votre volonté à engendrer l'exclusion sociale", la probabilité que tu obtiennes une réponse est à peine supérieure à la probabilité que tu sois pris au sérieux, qui elle est nulle. Contacter les gens "courtoisement", ça ne veut pas dire faire des phrases ampoulées, ça veut dire éviter de les insulter.

    Soit tu penses que tu peux les convaincre parce qu'il ne font pas exprès d'engendrer "l'exclusion sociale" et tu argumentes, soit tu penses qu'ils le font exprès et tu les insultes. Argumenter puis insulter dans le même message ne sert pas à convaincre, c'est juste du spectacle.

    Quelque chose me dit que tu ne veux pas convaincre les gens, mais plutôt pouvoir jouer les martyres parce que personne ne t'écoute. C'est une bonne technique: tu traites quelqu'un de tyran, de dictateur, il te range dans la case "boulet" et t'ignore, et ensuite tu peux te plaindre parce que tes (bons) arguments sont ignorés en même temps que ton délire.

    Malheureusement, il n'y a que toi qui voit ton armure rutilante de chevalier défenseur des libertés. Tout ce que je vois, c'est que le webmaster qui aurait peut-être pu être convaincu par des arguments calmes et posés sera bien plus difficile à convaincre maintenant qu'il s'est fait traiter de gronazi parce qu'il a choisi la solution de facilité.
  • [^] # Re: Bravo

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche Wormux 0.8 - massacrez vos amis en réseau!. Évalué à 3.

    Une proposition de "solution" à moindre coût:

    Si j'ai bien compris le problème, le sprite est un rectangle, le sol est courbe, et donc le sprite repose sur le coin de rectangle qui est en contact avec le sol, ce qui fait que le reste est "dans l'air".

    Est-ce qu'il ne serait pas plus satisfaisant pour l'oeil si le coin du sprite en contact avec le sol était l'autre pied du personnage ? C'est à dire si une partie du sprite était dessinée sur le sol, et rien en l'air ? C'est dur à expliquer avec des mots, mais disons qu'on trouve le coin en contact avec le sol, puis on décale le sprite dans la direction du sol jusqu'à atteindre l'autre coin du rectangle.

    De cette manière, plutôt que d'avoir des personnages flottants en l'air, on aurait un faux effet de perspective.
  • [^] # Re: Animations amateures

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche Blender 2.46. Évalué à 4.

    Il ne faut pas tout confondre: les utopistes, ce sont ceux qui pensent que leur femme leur appartient.
  • [^] # Re: model économique

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal De retour.... Évalué à 10.

    Ou les hommes polit... euh non, oubliez.
  • [^] # Re: En guise de conclusion

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 3.

    L'origine de notre désaccord provient certainement du fait que je considérais la cafetière comme faisant partie du "logiciel" dans l'analogie, alors que tu considères la cafetière comme du matériel indépendant.

    Dans le cas de Tivo, que je viens d'aller voir, le problème ne vient pas du logiciel utilisé, mais du matériel qui, lui, n'est pas libre, et interdit d'utiliser une version modifiée du logiciel. Je ne vois pas comment on pourrait prétendre que c'est un défaut du logiciel libre, dans la mesure où c'est une restriction externe au logiciel.

    Donc, afin de reformuler plus clairement mon analogie, j'inclue cafetière et dosettes dans ce qui représente le logiciel, et le droit d'utiliser une dosette customisée représente le droit de modifier le logiciel.

    le libre permet de construire des bombes nucléaires (le 4 libertés interdisent d'interdire ça), et on dit que le libre est plus éthique que le proprio (qui lui ne doit pas obéir aux 4 libertés, et peut donc interdire d'utiliser le logiciel pour construire une bombe nucléaire), surprenant non?

    Ce n'est surprenant que si l'on est (plus ou moins) d'accord avec la célèbre citation de je-ne-sais-qui: "pas de liberté pour les ennemis de la liberté".
  • [^] # Re: En guise de conclusion

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 2.

    Je n'ai fait que proposer une version un peu plus cohérente de son analogie cafetière, je n'ai pas prétendu que c'était la panacée. Il y a une limite à la qualité de l'argumentation qu'on peut produire à partir d'une cafetière hypothétique.

    La seule liberté qui n'est pas couverte par cette analogie, c'est la liberté de distribuer ses dosettes (personnalisées ou non) à d'autres personnes, mais tous les problèmes soulevés par l'analogie sont résolus par le logiciel libre.

    interdite par la GPLv3, mais le libre n'est pas que la GPLv3

    Je ne sais pas ce qu'est la "Tivoïsation" exactement, mais il me semble que le sujet de la discution était "le modèle propriétaire est-il mauvais" plutôt que "toutes les licences libres résolvent-elles tous les problèmes".

    Si ce truc est mauvais, alors le modèle propriétaire est mauvais. Les défaillances de la GPLv2 n'y changent rien.
  • [^] # Re: En guise de conclusion

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 4.

    Je vais parodier un peu pour mieux mettre en relief sa situation. J'aime l'idéal de café et je veux que tous les appareils domestiques en fassent : le frigo, la cuisinière, l'aspirateur, tous. Ceux qui n'en font pas, je les déclare anti-éthique car ils me privent de ma liberté de faire du café avec et j'appelle tout le monde ne pas acheter des appareil qui n'en font pas et ceci au nom de l'éthique et de la Liberté.

    Une meilleure analogie à base de café serait la suivante:

    Tu as acheté une machine à café à dosettes qui fait du super café, avec un goût inimitable et très particulier. Il est très difficile de faire du café aussi bon avec une machine d'une autre marque, grâce à la recette secrète du fabricant.

    Le problème, c'est qu'il t'est interdit d'ouvrir la dosette pour regarder ce qu'elle contient, et que tu dois donc accepter potentiellement d'avaler n'importe quoi, parce que c'est bon. Alors, bien sûr, tu n'es pas chimiste, donc même si tu pouvais ouvrir la dosette tu ne pourrais pas vérifier que l'ingrédient secret n'est pas de l'huile de moteur. Mais personne ne peut ouvrir la dosette, même les chimistes.

    Naturellement, tu ne peux pas utiliser de dosettes d'une autre marque non certifiée, ou bien faire tes propres dosettes personnalisées, mais ce n'est pas trop grave puisque les dosettes officielles sont super bonnes.
  • [^] # Re: Exaspérant

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 5.

    Quelqu'un a lâché le terme "attitude dictatoriale" pour qualifier l'action de RMS vis-à-vis du proprio. Ce n'est pas sans raison.

    Une attitude dictatoriale, ça parle de l'attitude d'une personne, pas de ses convictions. Autrement dit, ça parle de la manière dont cette personne veut faire appliquer ses convictions.

    Comment RMS veut-il faire disparaître le modèle propriétaire ? Veut-il que ce modèle soit interdit, ou bien veut-il convaincre les gens que l'alternative qu'il propose est meilleure ?

    Pour faire une analogie, je pense que l'astrologie est une arnaque, et que les astrologues sont des charlatans dont la société devrait se débarrasser. Si j'avais une attitude dictatoriale, je proposerais que le gouvernement édicte une loi interdisant l'astrologie. En réalité, quand je rencontre quelqu'un qui croit en l'astrologie, j'essaye de le convaincre avec des arguments.
  • [^] # Re: Exaspérant

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 3.

    Refuser d'appeler les choses par leur nom juste parceque cela dérange certain, c'est vraiment incroyable!

    Il s'agit plutôt de refuser de mettre dans le même sac des choses de gravités différentes, parce qu'on a envie d'être pris au sérieux.

    Quel est donc cette volonté de vouloir faire de la rareté là où il y a profusion ?

    C'est une question rhétorique, n'est-ce pas ? La rareté entraînant l'augmentation de la valeur des choses, la volonté de vouloir faire de la rareté là où il n'y en a pas n'est en fait que la volonté de faire du pognon.

    Si les gens acceptaient qu'on leur vende de l'air à respirer...
  • [^] # Re: Exaspérant

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 4.

    Je pense qu'il vaudrait mieux éviter de parler de dictature, parce que les gens en face se braque lorsqu'on utilise des gros mots de ce genre. Finalement, même si tu as des arguments, ils ne t'écoutent plus, ils se sont arrêtés à "dictature". Pareil pour "éthique", ça place la discution sur le même plan que des sujets bien plus graves, et du coup tu perds des interlocuteurs qui se disent qu'on se moque d'eux.

    Le modèle propriétaire utilise la loi pour créer de la rareté artificiellement. Contrairement à une pomme, si tu donnes un logiciel, tu possèdes encore l'original. Donc, pour s'assurer de pouvoir en vendre plein lui-même, le vendeur de logiciels essaye de créer de la rareté. Puisque les DRM ne peuvent pas fonctionner, la seule solution qui a l'air de marcher, c'est la loi.

    À moins de défendre un point de vue libéraliste ou anarchiste, il ne s'agit pas plus d'une dictature que les nombreuses autres formes de création de rareté (ou de protection d'une certaine profession) que l'on trouve dans la loi.
  • [^] # Re: L'éthique à l'heure du numérique

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 5.

    Est-ce qu'il suffit que certaines personnes fassent du libre pour des raisons non-éthiques pour qu'il soit impossible que d'autres personnes le fassent pour des raisons éthiques ?

    Au moins dans le cas de la GPL, la licence est là pour essayer de garantir que les vilains capitalistes jouent à peu près fair play avec les bisounours idéalistes. Pour l'instant, ça se passe pas trop mal.
  • [^] # Re: L'éthique à l'heure du numérique

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 4.

    Je crois qu'on peut raisonnablement conclure que le secret est incompatible avec le logiciel libre, oui. De toutes façons, il y aura toujours des gens qui voudront garder le secret sur leur "invention", dans tous les domaines.

    Je ne pense pas que le secret du code fasse le succès d'un jeu, parce que:
    - le gameplay ne découle pas d'algorithmes inventifs mais d'idées qui sont visibles par tous et donc faciles à copier
    - la majorité des éditeurs de jeux réutilisent sans cesse des moteurs qui ont fait leurs preuves en les modifiant un peu, et ne réinventent pas le gameplay.
    - un jeu A n'est pas remplaçable par un jeu B qui utilise le même moteur mais qui contient des graphismes et une histoire différents, alors qu'un logiciel de traitement d'images peut être facilement substitué à un autre, à fonctionnalités égales.

    Il n'y a qu'a voir tous les clones de Warcraft qui ont surgi dans les années 90. Ils incorporaient pour la plupart les mécanismes de jeu de Warcraft, mais n'ont eu que peu de succès. Ceux qui ont eu du succès et dont on se souvient étaient innovants. Est-ce que la disponibilité du moteur de Warcraft aurait permis de faire des clones concurrents ayant du succès ? Ça m'étonnerait beaucoup.
  • [^] # Re: L'éthique à l'heure du numérique

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 6.

    Je ne vois aucun intérêt pour Adobe de libérer Photoshop, mais ça ne veut pas dire qu'une entreprise ne peut pas vivre de logiciel libre, ça veut simplement dire qu'on ne peut pas prendre un modèle propriétaire établi, remplacer seulement la licence du logiciel, et espérer que ça fonctionne.

    Je n'ai pas de business plan révolutionnaire à proposer, et comme il y a peu d'entreprises ayant du succès en vendant du LL, je suppose que c'est soit très difficile, soit impossible, mais la discution reste, à mon avis, ouverte.

    En particulier puisqu'on parle de jeux vidéos ici, un des modèles qui a été proposé plusieurs fois serait de faire un jeu libre mais de vendre les données artistiques. Le code étant libre, on aurait la possibilité de l'étudier et de l'adapter aux besoins, mais vendre les données permettrait de faire vivre les auteurs. Je ne sais pas si ça marcherait et si ça satisferait tout le monde, mais c'est une proposition.
  • [^] # Re: L'éthique à l'heure du numérique

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 9.

    En préambule, je voudrais dire que ça commence à me les briser menues, les petites phrases méprisantes du style "ton monde de bisounours". Ne peut-on pas discuter sans prendre son interlocuteur pour un imbécile ?

    Ceci précisé, répondons au contenu du message: les raisons pour lesquelles Torvalds code Linux, ou les raisons pour lesquelles 95% des gens utilisent GNU/Linux, c'est intéressant pour discuter de la viabilité économique d'un modèle à base de vente de logiciel libre, indéniablement. Mais ce dont parlait le message auquel je répondais, c'était très clairement de gratuité. Ce n'est d'ailleurs pas sa faute, puisque le thread s'est très vite orienté dans cette direction.

    La définition habituelle de "logiciel libre" ne parle pas de gratuité, ce sont des choses indépendantes. Je préfère quand un logiciel est gratuit, comme tout le monde, mais j'accorde plus d'importance au fait de pouvoir l'étudier, le modifier ou le redistribuer. Que je fasse partie des 1% des utilisateurs ou des 99%, ça ne m'intéresse pas spécialement, je n'ai pas proclamé de message politique ou de recommandations pour un business plan, je dis simplement que ce sont deux aspects distincts.

    Je ne suis pas spécialiste des pensées de Saint Ignucius, mais je suppose que quand il parle d'éthique, il ne suggère pas qu'il soit éthique de demander aux développeurs de travailler gratuitement. Quelque chose me dit qu'il parle de la liberté d'étudier, de modifier et d'aider son voisin en lui donnant une copie du logiciel.

    La question de savoir si le droit de copie est compatible avec la rémunération des auteurs est intéressante, et je serais ravi qu'on en parle si ça intéresse d'autre gens, au lieu de partir du principe que c'est incompatible.
  • [^] # Re: L'éthique à l'heure du numérique

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Sur la philosophie de M. Stallman. Évalué à 4.

    Au risque de dire une évidence, tu t'es trompé de mot. Dans tout ton message, quand tu écris "libre", il faut lire "gratuit", puisque tout l'argumentaire semble axé sur l'argent et le fait qu'on puisse obtenir un logiciel gratuitement.
  • [^] # Re: et on a le droit de

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les mésaventures d'un lecteur compulsif. Évalué à 9.

    Et en page 2, une note de kevin89: "il meurt à la page 46 lol !!!"
  • [^] # Re: Captain copyright ...

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les mésaventures d'un lecteur compulsif. Évalué à 2.

    Paradoxalement, j'ai l'impression que le milieu de l'édition d'aujourd'hui pourrait plus facilement proposer des ebooks sans DRM que ce qui sera possible dans le futur si les matériels de lecture s'améliorent.

    Lorsqu'un auteur (par exemple Cory Doctorow ou Charles Stross) diffusent leurs livres gratuitement et sans DRM sur le web, je peux jeter un coup d'oeil, voir si ça me plaît, mais ensuite j'achète le livre parce que je n'aime pas lire sur mon ordinateur. À ce jour j'ai acheté trois romans des auteurs cités, alors que je ne les connaissais pas.

    S'il devenait aussi agréable de lire sur un bidule électronique de poche que sur un vrai livre, je ne suis pas sûr que ce modèle serait viable. Reste à savoir si un modèle par souscriptions comme le nouveau journal de d'Edwy Plenel, ou à base de micro-paiements, pourrait fonctionner et continuer à faire vivre les éditeurs en plus des auteurs.
  • [^] # Re: Mise en perspective

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche Découverte d'une faille de sécurité critique dans OpenSSL de Debian. Évalué à 4.

    Amusant que tu te vexes pour "condescendant" après avoir expliqué qu'on était trop bête pour réfléchir.
  • [^] # Re: Mise en perspective

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche Découverte d'une faille de sécurité critique dans OpenSSL de Debian. Évalué à 8.

    Tu es dégoulinant de condescendance, comme d'habitude, mais en supposant que tu t'intéresses quand même à la discution, je me permettrai de souligner que:

    - un cracker peut très bien décider d'exploiter une faille avant de la rendre publique, puisque la rendre publique revient à aider les gens à la faire disparaître

    - il est difficile pour les mainteneurs de savoir si un cracker connait et exploite une faille. On ne peut donc pas raisonner en se disant "tant que je ne divulgue pas une faille, personne ne peut l'exploiter".
  • [^] # Re: Mise en perspective

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche Découverte d'une faille de sécurité critique dans OpenSSL de Debian. Évalué à 8.

    Ton discours est incohérent. Ta définition de "public" change d'un message à l'autre au sein d'un même fil de discution, en fonction de ce qui t'arrange.

    Au début, tu dis qu'une faille peut être connue par un petit groupe de gens sans être publique. Mais maintenant, tu prétends que si un cracker la découvre, elle est publique.
  • [^] # Re: Et pourquoi pas ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Aïe !! une nouvelle loi à la con en perspective. Évalué à 3.

    C'est pareil pour le net...Internet ne doit diffuser que du contenu licite. Si il y a du contenu illicite sour Internet, ce n'est pas normal, il faut trouver un moyen d'empêcher cela

    Le meilleur moyen pour qu'il n'y ait que du contenu licite sur Internet serait de ne pas avoir de lois interdisant un certain type de contenu.

    Le raisonnement est circulaire. Il semble difficile de justifier une forme de censure par le fait qu'elle existe. La question n'est pas de savoir s'il existe des contenus illicites (qu'il faut donc censurer) mais de savoir s'il faut que que ça existe.
  • [^] # Re: Et pourquoi pas ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Aïe !! une nouvelle loi à la con en perspective. Évalué à 10.

    la simple idée que certains puissent se servir de la liberté qui leur est offerte pour exprimer leur haine et leur connerie me gène toujours un peu.

    Ça m'intrigue beaucoup. Il me semble au contraire que la notion même de liberté implique que certains puissent s'en servir pour exprimer leur connerie (ou autre chose).
  • [^] # Re: ni l'un ni l'autre...

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Ah quoi jouent les journalistes ?. Évalué à 10.

    Plus la démocratie est participative et moins les partis ont d'importance. Ils découlent du fonctionnement par élections et de la nécessité de stéréotyper les idées des candidats pour qu'ils soient clairement identifiables par les électeurs. (C'est à dire que l'on peut voter pour quelqu'un parce qu'il est affilié PS sans jamais avoir entendu ce qu'il dit de son programme.)
  • [^] # Re: Restons un poil objectifs

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Larousse.fr, se met au collaboratif et pourquoi Wikipedia vaincra. Évalué à 1.

    La "Vérité vrai" n'existe pas, tout est question de point de vue.

    C'est ton point de vue, moi je pense que la vérité vraie existe.