Un utilisateur de RTAI, le fameux patch linux temps réel dur en GPL, a sorti un Live CD permettant de tester sa plateforme en démarrant sur un CD.
Différents tests peuvent être effectués (espaces noyau et utilisateur avec LXRT) et il est possible d'envoyer les résultats sur une base en ligne pour alimenter et enrichir une base de données de résultats.
Voilà une bonne occasion de tester RTAI.
FreeRadius 1.0.1
Le plus célèbre des serveurs RADIUS libres est maintenant considéré comme stable. Après la sortie de la version 1.0 finale, la 1.0.1 corrige des petits bugs applicatifs.
RADIUS est un protocole client/serveur qui permet de centraliser l'authentification des utilisateurs, l'accès aux ressources, et la comptabilité des informations des utilisateurs distants et des ressources utilisées. C'est ce que l'on nomme AAA (Authentication, Authorization Accounting).
Ce type de serveur est très utilisés chez les FAI pour pouvoir autoriser la connexion ou non à tel utilisateur. Mais il permet aussi pour son réseau sans fil domestique d'utiliser l'authentification 802.1X qui permet de restreindre l'accès au réseau de façon beaucoup plus sécurisée qu'une clé WEP.
NdMR : Radius est un standard IETF, voir les nombreuses RFC du 3ème lien.
RADIUS est un protocole client/serveur qui permet de centraliser l'authentification des utilisateurs, l'accès aux ressources, et la comptabilité des informations des utilisateurs distants et des ressources utilisées. C'est ce que l'on nomme AAA (Authentication, Authorization Accounting).
Ce type de serveur est très utilisés chez les FAI pour pouvoir autoriser la connexion ou non à tel utilisateur. Mais il permet aussi pour son réseau sans fil domestique d'utiliser l'authentification 802.1X qui permet de restreindre l'accès au réseau de façon beaucoup plus sécurisée qu'une clé WEP.
NdMR : Radius est un standard IETF, voir les nombreuses RFC du 3ème lien.
Conversation sur le logiciel libre à la FNAC Digitale
Demain, vendredi 22 octobre, à 17h30 se tiendra à la FNAC Digitale (Paris) une conversation animée par Jérôme Bonaldi, intitulée "Qui peut encore concurrencer Microsoft ?", qui portera essentiellement sur les logiciels libres.
La description de la "conversation" semble assez prometteuse, mettant d'emblée en exergue une discussion sur le libre et l'opensource :
Conversation avec Jérôme Bonaldi pour mieux comprendre les dérives et les enjeux de l'industrie informatique. Pourquoi défendre l'accès libre au code source des programmes ? Free Software versus Open Source : une simple distinction terminologique ?...
La FNAC Digitale et au 77-81 boulevard Saint-Germain dans le 6e arrondissement, métro Cluny-La-Sorbonne (10).
La description de la "conversation" semble assez prometteuse, mettant d'emblée en exergue une discussion sur le libre et l'opensource :
Conversation avec Jérôme Bonaldi pour mieux comprendre les dérives et les enjeux de l'industrie informatique. Pourquoi défendre l'accès libre au code source des programmes ? Free Software versus Open Source : une simple distinction terminologique ?...
La FNAC Digitale et au 77-81 boulevard Saint-Germain dans le 6e arrondissement, métro Cluny-La-Sorbonne (10).
La spatialisation libre avance : tour d'horizon
La spatialisation de l'information est un thème à la mode depuis quelques années, et progressivement on voit poindre et évoluer pour nos OS libres des logiciels efficaces, puissants et crédibles répondant à toutes sortes de besoins. Je vous propose un petit tour d'horizon sur les dernières évolutions des outils principaux et pour commencer deux petits mots pour ceux qui ne seraient pas familiers avec ces outils :
* Outils SIG
Pour manipuler à proprement parler des données géographiques, avec des applications aussi variées que : réaliser des modèles de terrain en 3D (traitement d'images satellites + import de points GPS par exemple), évaluer le plus court chemin en terme de contraintes entre deux points, etc.
* Les bases de données spatialisées
Historiquement, le stockage de l'information géographique se fait dans des fichiers texte contenant les coordonnées des objets géographiques de type vecteur, indépendamment des données attributaires. Les bases de données spatialisées apportent de nouveaux types, de nouvelles fonctions (conversion de système de coordonnées, etc) permettant de stocker de l'information géographique et d'y accéder de manière pertinente avec tous les atouts des SGBD modernes (intégrité, backup, multi-utilisateur, etc) comme décrit par SQL99.
* Les serveurs cartographiques
Les serveurs cartographiques permettent de rendre accessible un système d'information géographique via un simple navigateur pour effectuer essentiellement de la consultation. Un exemple valant mieux qu'un long discours ... Pensez à Mappy aussi.
* Les bibliothèques pour le développement
Que ce soit pour faire du traitement d'image, des conversions de système de coordonnées, accéder à un GPS ou encore autre chose, ce ne sont pas les bibliothèques qui manquent !
Les exemples présentés ci après illustrent bien que le modèle «logiciel libre» permet à l'ensemble des outils d'étendre leur portée en s'appuyant sur les fonctionnalités des autres outils (utilisation de bibliothèques libres, connectivité avec les bases de données libres, etc). L'ensemble forme désormais un tout assez cohérent et offre une alternative pour le moins intéressante aux solutions commerciales.
* Outils SIG
Pour manipuler à proprement parler des données géographiques, avec des applications aussi variées que : réaliser des modèles de terrain en 3D (traitement d'images satellites + import de points GPS par exemple), évaluer le plus court chemin en terme de contraintes entre deux points, etc.
* Les bases de données spatialisées
Historiquement, le stockage de l'information géographique se fait dans des fichiers texte contenant les coordonnées des objets géographiques de type vecteur, indépendamment des données attributaires. Les bases de données spatialisées apportent de nouveaux types, de nouvelles fonctions (conversion de système de coordonnées, etc) permettant de stocker de l'information géographique et d'y accéder de manière pertinente avec tous les atouts des SGBD modernes (intégrité, backup, multi-utilisateur, etc) comme décrit par SQL99.
* Les serveurs cartographiques
Les serveurs cartographiques permettent de rendre accessible un système d'information géographique via un simple navigateur pour effectuer essentiellement de la consultation. Un exemple valant mieux qu'un long discours ... Pensez à Mappy aussi.
* Les bibliothèques pour le développement
Que ce soit pour faire du traitement d'image, des conversions de système de coordonnées, accéder à un GPS ou encore autre chose, ce ne sont pas les bibliothèques qui manquent !
Les exemples présentés ci après illustrent bien que le modèle «logiciel libre» permet à l'ensemble des outils d'étendre leur portée en s'appuyant sur les fonctionnalités des autres outils (utilisation de bibliothèques libres, connectivité avec les bases de données libres, etc). L'ensemble forme désormais un tout assez cohérent et offre une alternative pour le moins intéressante aux solutions commerciales.
Bordeaux : l'ABUL encore...
Le jeudi 21 octobre l'ABUL organise une conférence-débat sur les enjeux des logiciels libres dans les locaux des JSA. Vu la proximité du CHU, de la faculté de médecine et des centres de recherches, nous espérons une assistance concernée par le monde médical.
Le samedi 23, ce sera la "Semaine du multimédia à Saint-Médard-en-Jalles". L'ABUL y organise une install-party, une Spip-Party et un débat sur les outils libres.
Le 6 décembre, Conférence GIMP à la médiathèque de Camponac (Pessac). André Pascual y fera une brillante démonstration comme à l'accoutumée.
La cadence des manifestations devient de plus en plus rapide. Deux autres viennent juste de se terminer, deux autres sont annoncées et deux autres sont en préparation. Vous les découvrirez sur le site de l'ABUL et sur l'agenda.
Nous prévoyons aussi des rencontres hebdomadaires dans les locaux des JSA et de Médias-cité à Saint Médard en Jalles. Il est aussi question de créer un pôle d'activité à Blanquefort.
Ce qu'il faut retenir de cette activité, c'est que maintenant, nous ne la sollicitons plus, nous sommes sollicités et nous essayons de répondre de notre mieux à la demande. Ce n'était pas le cas il y a deux ans.
Souhaitons la même activité à tous les LUGs !
Le samedi 23, ce sera la "Semaine du multimédia à Saint-Médard-en-Jalles". L'ABUL y organise une install-party, une Spip-Party et un débat sur les outils libres.
Le 6 décembre, Conférence GIMP à la médiathèque de Camponac (Pessac). André Pascual y fera une brillante démonstration comme à l'accoutumée.
La cadence des manifestations devient de plus en plus rapide. Deux autres viennent juste de se terminer, deux autres sont annoncées et deux autres sont en préparation. Vous les découvrirez sur le site de l'ABUL et sur l'agenda.
Nous prévoyons aussi des rencontres hebdomadaires dans les locaux des JSA et de Médias-cité à Saint Médard en Jalles. Il est aussi question de créer un pôle d'activité à Blanquefort.
Ce qu'il faut retenir de cette activité, c'est que maintenant, nous ne la sollicitons plus, nous sommes sollicités et nous essayons de répondre de notre mieux à la demande. Ce n'était pas le cas il y a deux ans.
Souhaitons la même activité à tous les LUGs !
AMD64 vs Intel32 : 30% d'écart !
La plupart des sites de hardware testent les plateformes AMD64 sous Microsoft Windows XP en 32bits, Windows XP 64bits tardant à sortir en version finale.
Mais aujourd'hui est sorti un des tests le plus complets à ce jour proposant une comparaison sous GNU/Linux des plateformes Intel en 32bits et AMD en 64bits, ainsi qu'une comparaison des chipset Via K8T800 Pro et NForce3, et leur support sous Linux.
L'avantage de la plateforme AMD est dorénavant très net.
Mais aujourd'hui est sorti un des tests le plus complets à ce jour proposant une comparaison sous GNU/Linux des plateformes Intel en 32bits et AMD en 64bits, ainsi qu'une comparaison des chipset Via K8T800 Pro et NForce3, et leur support sous Linux.
L'avantage de la plateforme AMD est dorénavant très net.
Les premiers pas d'Ubuntu Warty
Madame et monsieur Ubuntu sont heureux de vous faire part de la naissance de leur petit Warty.
Warty est le petit nom de la première édition d'Ubuntu, cette nouvelle distribution qui a tant fait parlé d'elle ces derniers jours.
Pour rappel, Ubuntu[1] est une distribution supportée par Canonical[2], une société qui emploie des développeurs de Debian, Gnome et Arch. Du coup, on peut s'en douter, Ubuntu est basée sur Debian Sarge et Gnome 2.8, tout en restant complètement libre évidemment.
Son objectif est d'être une distribution taillée pour les humains, c'est dire à destination des particuliers non-informaticiens. Pour cela, les développeurs ont effectué des choix très sélectifs (Gnome, sans KDE, par exemple) afin de privilégier l'intégration, la stabilité et le support.
Techniquement, Ubuntu Warty profite d'un bon nombres de nouveautés : noyau Linux-2.6.8, udev, acpi, alsa/gstreamer, dbus/hal(?). Pareil côté applicatif.
NdM : Ubuntu est disponible pour ppc, x86 et amd64.
Warty est le petit nom de la première édition d'Ubuntu, cette nouvelle distribution qui a tant fait parlé d'elle ces derniers jours.
Pour rappel, Ubuntu[1] est une distribution supportée par Canonical[2], une société qui emploie des développeurs de Debian, Gnome et Arch. Du coup, on peut s'en douter, Ubuntu est basée sur Debian Sarge et Gnome 2.8, tout en restant complètement libre évidemment.
Son objectif est d'être une distribution taillée pour les humains, c'est dire à destination des particuliers non-informaticiens. Pour cela, les développeurs ont effectué des choix très sélectifs (Gnome, sans KDE, par exemple) afin de privilégier l'intégration, la stabilité et le support.
Techniquement, Ubuntu Warty profite d'un bon nombres de nouveautés : noyau Linux-2.6.8, udev, acpi, alsa/gstreamer, dbus/hal(?). Pareil côté applicatif.
NdM : Ubuntu est disponible pour ppc, x86 et amd64.
TBT : un projet qui a besoin de contributeurs
TBT (Tow Bowl Tactics) est un jeu de plateau permettant de simuler sur ordinateur une partie de BloodBowl, jeu mythique s'il en est .
Le jeu est né en 2001 de la volonté d'une seule personne : Pascal Bourut (Toweld), fan de BloodBowl et désirant retrouver sur machine les moments partagés autour d'une table de jeu. La version 0.1 sort en 2002, suivie de près par quelques autres. En un an, 5 versions se succèdent et la version 0.5 est complètement jouable.
Une petite communauté se forme rapidement autour du jeu, preuve qu'il répondait à un certain besoin.
Les premiers problèmes commencent : Toweld, principal mainteneur, n'a plus le temps nécessaire à consacrer au projet tandis que les besoins de fonctionnalités (IA, jeux à distance ..etc) se font ressentir. Le programme n'est pas documenté et son architecture est un peu obscure.
Bref, beaucoup de monde se sent prêt à participer à la refonte de ce logiciel mais il manque un chef de projet, quelqu'un pour diriger les troupes et remettre le projet dans les rails. Depuis 1 an 1/2 on recherche désespérément l'oiseau rare.
Le jeu est né en 2001 de la volonté d'une seule personne : Pascal Bourut (Toweld), fan de BloodBowl et désirant retrouver sur machine les moments partagés autour d'une table de jeu. La version 0.1 sort en 2002, suivie de près par quelques autres. En un an, 5 versions se succèdent et la version 0.5 est complètement jouable.
Une petite communauté se forme rapidement autour du jeu, preuve qu'il répondait à un certain besoin.
Les premiers problèmes commencent : Toweld, principal mainteneur, n'a plus le temps nécessaire à consacrer au projet tandis que les besoins de fonctionnalités (IA, jeux à distance ..etc) se font ressentir. Le programme n'est pas documenté et son architecture est un peu obscure.
Bref, beaucoup de monde se sent prêt à participer à la refonte de ce logiciel mais il manque un chef de projet, quelqu'un pour diriger les troupes et remettre le projet dans les rails. Depuis 1 an 1/2 on recherche désespérément l'oiseau rare.
LOLiWin 4.10.1 disponible
Une nouvelle édition de LOLiWin est disponible au téléchargement.
Outre l'actualisation de la quasi-totalité des logiciels présents sur le cd, l'accent a été mis sur l'amélioration de la documentation qui intègre désormais :
- des documents de présentation des logiciels libres (livret du libre, ...) accessibles depuis la page d'accueil et la page de présentation de l'association,
- des documents de présentation du système GNU/Linux accessibles depuis la page de présentation de l'association,
- la page décrivant le contenu se voit enrichie d'icônes précisant la langue du logiciel et, pour certains, d'une petite assistance à la francisation si celle ci n'est pas prise en charge durant l'installation.
Outre l'actualisation de la quasi-totalité des logiciels présents sur le cd, l'accent a été mis sur l'amélioration de la documentation qui intègre désormais :
- des documents de présentation des logiciels libres (livret du libre, ...) accessibles depuis la page d'accueil et la page de présentation de l'association,
- des documents de présentation du système GNU/Linux accessibles depuis la page de présentation de l'association,
- la page décrivant le contenu se voit enrichie d'icônes précisant la langue du logiciel et, pour certains, d'une petite assistance à la francisation si celle ci n'est pas prise en charge durant l'installation.
La robustesse de nombreux navigateurs web mise en cause
Michal Zalewski a développé un petit script capable de générer du code html invalide, dans le but de tester la robustesse des principaux navigateurs (Mozilla, IE, Opera, lynx,..). Comme il l'explique dans ce message sur securityfocus , la majorité des navigateurs a pu être mis en difficulté très rapidement (plantages, explosion de mémoire.. un certain nombre de ces plantages pouvant bien sûr conduire à une faille de sécurité), à l'exception notable de Internet Explorer.
Publicité Firefox dans le "New York Times"
La fondation Mozilla planifie la publication d'une annonce dans le quotidien "The New York Times" peu après le lancement de Firefox 1.0. Entre temps, le site Spread Firefox a lancé une campagne de collecte de fonds pour couvrir le coût de l'annonce et des activités de lancement du navigateur. Cette annonce quelques jours seulement après que Firefox ait atteint le seuil des 5 millions de téléchargements en un mois.
Sortie du noyau Linux 2.6.9
Linux 2.6.9 est sorti hier, le 18 octobre.
Entre 2.6.8 et 2.6.9, il y a beaucoup de différences, qui représentent beaucoup de petites choses :
mises à jour de différentes architectures (Sparc, PPC, ARM), ACPI, i2c, USB, systèmes de fichiers, pilotes vidéo et réseau...
ALSA a bénéficié d'une mise à jour massive, grâce à une synchronisation avec leur CVS; les vérifications de types sont maintenant plus strictes (d'où l'augmentation du nombre de warnings à la compilation - corrigez-en!) et pas mal d'annotations ont été ajoutées (elles permettent d'identifier correctement ce qui vient de l'espace utilisateur et ce qui vient du noyau, afin d'éviter que le noyau patouille dans les données utilisateur).
Entre 2.6.8 et 2.6.9, il y a beaucoup de différences, qui représentent beaucoup de petites choses :
mises à jour de différentes architectures (Sparc, PPC, ARM), ACPI, i2c, USB, systèmes de fichiers, pilotes vidéo et réseau...
ALSA a bénéficié d'une mise à jour massive, grâce à une synchronisation avec leur CVS; les vérifications de types sont maintenant plus strictes (d'où l'augmentation du nombre de warnings à la compilation - corrigez-en!) et pas mal d'annotations ont été ajoutées (elles permettent d'identifier correctement ce qui vient de l'espace utilisateur et ce qui vient du noyau, afin d'éviter que le noyau patouille dans les données utilisateur).
Automates Intelligents prend position en faveur des Logiciels Libres
La revue scientifique en ligne Automates Intelligents signe un éditorial engagé intitulé Vive le libre et les SMS: l'avenir de la société de l'information appartient à de nouvelles communautés intelligentes, qui émergent aujourd'hui grâce aux Logiciels Libres et au partage du savoir.
Cependant l'Union européenne est montrée du doigt pour son "retard dans les technologies du portable et dans la création de contenus".
Une révolution silencieuse est en marche...
NdM : en évoquant les logiciels libres qui « représentent des millions de lignes fournies gratuitement par les développeurs bénévoles », l'éditorial omet les nombreux développeurs payés pour produire du logiciel libre.
Cependant l'Union européenne est montrée du doigt pour son "retard dans les technologies du portable et dans la création de contenus".
Une révolution silencieuse est en marche...
NdM : en évoquant les logiciels libres qui « représentent des millions de lignes fournies gratuitement par les développeurs bénévoles », l'éditorial omet les nombreux développeurs payés pour produire du logiciel libre.
10 ans d'OpenStep
C'est aujourd'hui le dixième anniversaire de la publication des spécifications OpenStep. Il s'agissait à l'origine d'un projet commun de NeXT et Sun pour définir un environnement de développement d'applications standard, multiplateforme, faisant du "write once compile everywhere" (ne coder qu'une fois, compiler partout) une réalité, et cet esprit est toujours présent grâce aux communautés GNUstep, NeXT et Apple -- GNUstep étant une implémentation de la Free Software Foundation de ce standard (NdM : sous GPL/LGPL), et Apple Cocoa un descendant direct de l'implémentation originale de NeXT.
Interview du PDG de SCO
De passage à Paris après une intervention à la conférence Etre (European technology roundtable exhibition) de Cannes, Darl Mc Bride, le patron de SCO a accepté de répondre aux questions du quotidien Web du "Monde Informatique". Il explique notamment la position de sa société face à l'Open Source et à Linux en particulier, tout en détaillant son affrontement avec IBM.
NdM : un rapide résumé serait FUD (« les leaders du mouvement Open Source disent que le logiciel devrait être libre et gratuit »), situation financière critique (31 M$ de dépenses juridiques par an, chiffre d'affaires autour d'Unix en baisse de 20% à 25% par an, quelques centaines de milliers de dollars de revenus de licence par trimestre) et image de marque fortement dégradée.
NdM : un rapide résumé serait FUD (« les leaders du mouvement Open Source disent que le logiciel devrait être libre et gratuit »), situation financière critique (31 M$ de dépenses juridiques par an, chiffre d'affaires autour d'Unix en baisse de 20% à 25% par an, quelques centaines de milliers de dollars de revenus de licence par trimestre) et image de marque fortement dégradée.