Je vois, sur ce site, pas mal d'interrogations sur l'évolution de XMPP, de critiques, et de dénigrement. Je pense donc qu'il peut être utile de donner de temps en temps des petites nouvelles sur ce qu'il se passe en interne.
Revue de presse de l’April pour la semaine 17 de l’année 2011
La revue de presse de l’April est régulièrement éditée par les membres de l’association. Elle couvre l’actualité de la presse en ligne, liée au logiciel libre. Il s’agit donc d’une sélection d’articles de presse et non de prises de position de l’association de promotion et de défense du logiciel libre.
Sommaire
- [internet ACTU.net] Comment étudier l’Internet quand l’Internet est partout ?
- [OSOR.EU] _EU: Free software advocates want procurement rules improved_
- [ZDNet.fr] Brevets : Google réplique aux menaces juridiques contre WebM
- [DIRECTION INFORMATIQUE] Histoire de brevets : parallèle Nortel-Novell
- [LeMagIT] Nicolas Sarkozy installe officiellement le Conseil national du numérique
- [PC INpact] Hadopi : analyse collégiale des spécifications fonctionnelles des moyens de sécurisation
- [Silicon.fr] Journée de la propriété intellectuelle : l’April monte au créneau
Journal Développement : y aura-t-il une vie en dehors du Web ?
Bonjour à tous,
Ce qui suit n'est que l'élucubration d'un esprit sans doute un peu tourmenté. Il s'agit d'une réflexion somme toute personnelle et d'une demande d'avis. J'espère que cela en intéressera quelques-uns et vais m'efforcer de ne pas être trop long.
Le tendance est au Web, et au développement autour des technologies Web. Enfonçons des portes très mal fermées car je concède aisément qu'il y a des atouts certains à cette mode :
Journal "casse-toi" identifié comme du SPAM par le postmaster de Free!
J'ai pris une grosse claque hier en tentant d'envoyer un mail à propos de la LOPPSI 2
Dans mes commentaires sur le lien que j'envoyais, j'avais mis:
faudra pas juste dire "casse-toi!", même à plein
et le message d'alerte de débouler:
Une erreur est survenue lors de l'envoi du courrier. Le serveur a répondu : 5.0.0 Spam Detected
- Mail Rejected
5.0.0 Please see our policy at:
5.0.0 http://postmaster.free.fr/#spam_detected. Veuillez vérifier le message et essayer à nouveau.
N'y croyant pas, (…)
Dans mes commentaires sur le lien que j'envoyais, j'avais mis:
faudra pas juste dire "casse-toi!", même à plein
et le message d'alerte de débouler:
Une erreur est survenue lors de l'envoi du courrier. Le serveur a répondu : 5.0.0 Spam Detected
- Mail Rejected
5.0.0 Please see our policy at:
5.0.0 http://postmaster.free.fr/#spam_detected. Veuillez vérifier le message et essayer à nouveau.
N'y croyant pas, (…)
WikiBabel - des wikicasts libres pour apprendre les langues
Né de la frustration de ne pas trouver de cours de langues audio libres pour certaines langues, WikiBabel propose des outils pour créer des podcast gratuits, librement éditables et utilisables.
Il ne s'agit pas seulement d'une base de données de mots ou de phrases traduites, mais de véritables cours de langues. Nous les appelons wikicasts (wiki + podcast), qui sont aux podcasts ce que les wikis sont aux pages web.
Une des forces de WikiBabel est de ne pas être limité à un couple de langues. Théoriquement, on peut trouver des cours de n'importe quelle langue, quelle que soit la langue qu'on parle. On peut aussi y inclure dialectes et langues orales.
Aucun logiciel particulier n'est nécessaire, à part un navigateur à peu près récent, et un greffon permettant la lecture du Flash. Tout le code est sous licence GPLv3, et le contenu du site en Creative Commons (CC-BY-SA).
Nous sommes en train de développer des outils pour traduire rapidement et facilement une leçon en d'autres langues pour faciliter la multiplication du contenu.
Il ne s'agit pas seulement d'une base de données de mots ou de phrases traduites, mais de véritables cours de langues. Nous les appelons wikicasts (wiki + podcast), qui sont aux podcasts ce que les wikis sont aux pages web.
Une des forces de WikiBabel est de ne pas être limité à un couple de langues. Théoriquement, on peut trouver des cours de n'importe quelle langue, quelle que soit la langue qu'on parle. On peut aussi y inclure dialectes et langues orales.
Aucun logiciel particulier n'est nécessaire, à part un navigateur à peu près récent, et un greffon permettant la lecture du Flash. Tout le code est sous licence GPLv3, et le contenu du site en Creative Commons (CC-BY-SA).
Nous sommes en train de développer des outils pour traduire rapidement et facilement une leçon en d'autres langues pour faciliter la multiplication du contenu.
Le Framablog fête les 10 ans de Wikipédia
Le 15 janvier dernier Wikipédia célébrait son dixième anniversaire (cf. cette vidéo sous-titrée de son fondateur Jimmy Wales). L'occasion pour le Framablog de participer à l'évènement en mettant à contribution son équipe de traducteurs Framalang.
Ces articles font naturellement le bilan et les perspectives du projet, mais, à l'exception notable de la grande presse (se désole aKa), le logiciel libre et ses enjeux ne sont jamais très loin.
« L’erreur fatale de Wikipedia est que tout article est pensé comme un logiciel libre en imaginant que, comme lui, il sera transformé par des améliorations constantes pour atteindre un idéal. Mais le logiciel est en développement continu, et est sans arrêt testé avec des critères objectifs. L’article de Wikipédia, lui, change tout le temps pour le meilleur ou pour le pire, et n’est jaugé par aucun standard auquel l’utilisateur puisse se fier. » affirme ainsi un ancien rédacteur en chef de Britannica.
Quant à Sue Gardner, Executive Director de la Wikimedia Foundation, elle formule le vœu suivant : « Nous devons sans cesse nous faire entendre pour définir ce qu’Internet doit être à nos yeux. Dans les premières années, le pouvoir législatif s’est contenté d’observer son développement, mais maintenant il veut de plus en plus avoir son mot à dire (...) J’aimerais que les Wikipédiens s’engagent (...) afin d’influencer le développement d’Internet. »
Une inquiétude sur la neutralité du réseau que ne partage pas totalement J. Wales, qui est en revanche préoccupé du succès de l'App Store d'Apple. On notera également un reportage suisse très didactique quant aux devenirs des dons, ainsi qu'une interrogation sur l'influence américaine de Wikipédia.
Ces articles font naturellement le bilan et les perspectives du projet, mais, à l'exception notable de la grande presse (se désole aKa), le logiciel libre et ses enjeux ne sont jamais très loin.
« L’erreur fatale de Wikipedia est que tout article est pensé comme un logiciel libre en imaginant que, comme lui, il sera transformé par des améliorations constantes pour atteindre un idéal. Mais le logiciel est en développement continu, et est sans arrêt testé avec des critères objectifs. L’article de Wikipédia, lui, change tout le temps pour le meilleur ou pour le pire, et n’est jaugé par aucun standard auquel l’utilisateur puisse se fier. » affirme ainsi un ancien rédacteur en chef de Britannica.
Quant à Sue Gardner, Executive Director de la Wikimedia Foundation, elle formule le vœu suivant : « Nous devons sans cesse nous faire entendre pour définir ce qu’Internet doit être à nos yeux. Dans les premières années, le pouvoir législatif s’est contenté d’observer son développement, mais maintenant il veut de plus en plus avoir son mot à dire (...) J’aimerais que les Wikipédiens s’engagent (...) afin d’influencer le développement d’Internet. »
Une inquiétude sur la neutralité du réseau que ne partage pas totalement J. Wales, qui est en revanche préoccupé du succès de l'App Store d'Apple. On notera également un reportage suisse très didactique quant aux devenirs des dons, ainsi qu'une interrogation sur l'influence américaine de Wikipédia.
8/6/2011 : IPv6 pour de vrai
Afin de faire en sorte que l'adoption de IPv6 s'accélère en ces temps d'épuisement des adresses IPv4, des acteurs majeurs de l'internet font cause commune pour afficher sur la place publique les responsables des éventuels problèmes de connectivité.
Google, Yahoo et consorts décident pour cette date du 08 juin 2011 de fournir un accès IPv6 complet (ce qui est déjà le cas pour certains d'entre eux) et ainsi de mettre les fournisseurs d'accès (FAI et autres opérateurs de réseau) devant leurs responsabilités : « faites en sorte que ça marche, nous, de notre côté, on fait en sorte de montrer à vos clients que le souci, s'il existe, vient de chez vous ».
Google, Yahoo et consorts décident pour cette date du 08 juin 2011 de fournir un accès IPv6 complet (ce qui est déjà le cas pour certains d'entre eux) et ainsi de mettre les fournisseurs d'accès (FAI et autres opérateurs de réseau) devant leurs responsabilités : « faites en sorte que ça marche, nous, de notre côté, on fait en sorte de montrer à vos clients que le souci, s'il existe, vient de chez vous ».
Fibrer, c'est faisable par une bande de copains
On parle souvent ici de logiciels libres, on s'indigne facilement des opérateurs et de leurs abus réguliers, mais pas assez des solutions envisagées.
"Use FDN, Luke", me direz vous. Certes, French Data Network, notre FAI historique national, est une alternative associative. Mais que se passe-t-il si vous n'êtes pas parisien ? On abandonne ?
Loin s'en faut ! FDN favorise l'essaimage et la création de FAI locaux via un wiki riche et une liste de diffusion très active, réactive, et instructive. Justement, ces derniers temps cette ML traverse une phase de doute et de légère démotivation. Peut-être qu'un projet de FAI se monte près de chez vous , il est temps de passer y jeter un oeil !
Vous trouverez dans la seconde partie de la dépêche un bref récapitulatif (évidemment incomplet et non représentatif, ce qui vous obligera dans tous les cas à passer faire un coucou au moins pour le soutient moral :-)
"Use FDN, Luke", me direz vous. Certes, French Data Network, notre FAI historique national, est une alternative associative. Mais que se passe-t-il si vous n'êtes pas parisien ? On abandonne ?
Loin s'en faut ! FDN favorise l'essaimage et la création de FAI locaux via un wiki riche et une liste de diffusion très active, réactive, et instructive. Justement, ces derniers temps cette ML traverse une phase de doute et de légère démotivation. Peut-être qu'un projet de FAI se monte près de chez vous , il est temps de passer y jeter un oeil !
Vous trouverez dans la seconde partie de la dépêche un bref récapitulatif (évidemment incomplet et non représentatif, ce qui vous obligera dans tous les cas à passer faire un coucou au moins pour le soutient moral :-)
Statistiques 2010 du site LinuxFr.org
La nouvelle année est l'occasion de revenir sur 12 mois d'activité de LinuxFr.org et d'étudier l'évolution en termes de trafic web, de contenus créés, de commentaires déposés, de navigateurs utilisés, d'utilisation des fonctionnalités du site, etc.
Le site rend accessible un grand nombre de statistiques (faites vous plaisir si vous souhaitez vous plonger dedans, c'est fait pour), et cette dépêche résume les variations constatées sur 2010.
Bonne année 2011 et happy hacking.
Le site rend accessible un grand nombre de statistiques (faites vous plaisir si vous souhaitez vous plonger dedans, c'est fait pour), et cette dépêche résume les variations constatées sur 2010.
Bonne année 2011 et happy hacking.
Move Commons, un nouveau système de marqueurs pour les initiatives du libre et au-delà
Move Commons (MC) est un système de marqueurs pour permettre à toute initiative, collectif ou organisation non gouvernementale de déclarer simplement les principes auxquels elle adhère et de les afficher. C'est un peu le principe de Creative Commons appliqué non pas aux œuvres, mais aux projets, aux organisations et à toutes sortes d'initiatives.
Move Commons est encore en version alpha : le système actuel de marqueurs est appelé à évoluer en fonction des idées de chacun.
Aujourd'hui, Move Commons utilise quatre marqueurs principaux :
Vous pouvez placer le marqueur Move Commons sur la page Web de votre projet. Un marqueur n'est pas seulement une image, c'est aussi un élément au sein d'un système sémantique permettant, à terme, de faciliter la recherche d'une organisation selon les principes qu'elle affiche. Le projet Move Commons vise ainsi à faciliter la rencontre entre initiatives et personnes qui voudraient s'y impliquer.
On pourrait imaginer que Move Commons puisse servir à identifier des initiatives de production ou de promotion du Logiciel Libre comme l'April ou Framasoft.
Move Commons est un outil proposé par l'association Comunes, qui travaille à l'élaboration d'outils pouvant faciliter les actions collectives et encourager chacun à contribuer aux biens communs.
Move Commons est encore en version alpha : le système actuel de marqueurs est appelé à évoluer en fonction des idées de chacun.
Aujourd'hui, Move Commons utilise quatre marqueurs principaux :
- « À but non-lucratif / À but lucratif » (Non-Profit / For-Profit) ;
- « Copiable / Exclusif » (Reproductible / Exclusive) ;
- « Non-hiérarchique / Hiérarchique » (Grassroots / Representative) ;
- « Renforce les biens communs / Autres buts » (Reinforcing the Commons / Other Aims).
Vous pouvez placer le marqueur Move Commons sur la page Web de votre projet. Un marqueur n'est pas seulement une image, c'est aussi un élément au sein d'un système sémantique permettant, à terme, de faciliter la recherche d'une organisation selon les principes qu'elle affiche. Le projet Move Commons vise ainsi à faciliter la rencontre entre initiatives et personnes qui voudraient s'y impliquer.
On pourrait imaginer que Move Commons puisse servir à identifier des initiatives de production ou de promotion du Logiciel Libre comme l'April ou Framasoft.
Move Commons est un outil proposé par l'association Comunes, qui travaille à l'élaboration d'outils pouvant faciliter les actions collectives et encourager chacun à contribuer aux biens communs.
2010, Linux, Internet et logiciel libre
Que s'est-il passé durant la trentaine de millions de secondes qui se sont écoulées pendant cette année 2010 ? En effet, il s'est forcément passé des tas de choses, mais quels événements retenir, parmi toutes les nouvelles intéressantes qu'on lit, notamment ici, sur LinuxFR ?
Léa-Linux a concocté pour vous une petite rétrospective de l’actualité du monde du logiciel libre et d’Internet sur l’année 2010, avec un tas de bons liens. Tout en étant forcément un peu subjective, la rétrospective s'est efforcée de saisir les faits les plus marquants des douze derniers mois.
NdM : la saison des rétrospectives est lancée. Celles de LinuxFr.org et de l'April sont en préparation notamment.
Léa-Linux a concocté pour vous une petite rétrospective de l’actualité du monde du logiciel libre et d’Internet sur l’année 2010, avec un tas de bons liens. Tout en étant forcément un peu subjective, la rétrospective s'est efforcée de saisir les faits les plus marquants des douze derniers mois.
NdM : la saison des rétrospectives est lancée. Celles de LinuxFr.org et de l'April sont en préparation notamment.
Publication d'une enquête sur les lois Hadopi
Les résultats de l'enquête en ligne sur les lois Hadopi menée du 12 au 19 octobre 2010 sont publiés sur le site de cyberlog-corp.com.
La grande majorité des réponses est défavorable à ces lois qui remettent en cause les libertés individuelles sans apporter de solution aux dérives qu'elles sont censées contrôler. Les répondants soulignent le caractère arbitraire des moyens de contrôle inadaptés et l'injustice des sanctions à l'encontre des usagers.
Les parlementaires, dont certains sont issus du monde médical, devraient s'inspirer du premier principe de la médecine qui est de ne pas nuire et laisser l'organisme vivant qu'est Internet se défendre tout seul contre la malveillance d'une minorité d'utilisateurs. L'antibiotique Hadopi ne peut au mieux que détruire les défenses immunitaires que sont les experts et prestataires du réseau et ne pourra pas atteindre les criminels hors de la zone où cette loi s'applique. Il est urgent de laisser l'autorégulation opérer et d'utiliser l'arsenal juridique et policier existant pour lutter contre la criminalité. Quant au téléchargement illégal, ce n'est que le résultat des abus et inadaptations de l'offre commerciale que l'on peut transposer à d'autres domaines d'un capitalisme financier débridé.
NdM : cette dépêche présente les résultats suite à l'annonce du sondage sur Hadopi et a été acceptée à ce titre - malgré quelques tergiversations en modération - car le débat le mérite.
La grande majorité des réponses est défavorable à ces lois qui remettent en cause les libertés individuelles sans apporter de solution aux dérives qu'elles sont censées contrôler. Les répondants soulignent le caractère arbitraire des moyens de contrôle inadaptés et l'injustice des sanctions à l'encontre des usagers.
Les parlementaires, dont certains sont issus du monde médical, devraient s'inspirer du premier principe de la médecine qui est de ne pas nuire et laisser l'organisme vivant qu'est Internet se défendre tout seul contre la malveillance d'une minorité d'utilisateurs. L'antibiotique Hadopi ne peut au mieux que détruire les défenses immunitaires que sont les experts et prestataires du réseau et ne pourra pas atteindre les criminels hors de la zone où cette loi s'applique. Il est urgent de laisser l'autorégulation opérer et d'utiliser l'arsenal juridique et policier existant pour lutter contre la criminalité. Quant au téléchargement illégal, ce n'est que le résultat des abus et inadaptations de l'offre commerciale que l'on peut transposer à d'autres domaines d'un capitalisme financier débridé.
NdM : cette dépêche présente les résultats suite à l'annonce du sondage sur Hadopi et a été acceptée à ce titre - malgré quelques tergiversations en modération - car le débat le mérite.
Gestion (a)centralisée des avatars, alternatives à Gravatar.
Qu'est-ce qu’un avatar ? Bien sûr, tous les habitués du site le savent très certainement, mais un petit historique ne fait jamais de mal. Top chrono
Gravatar (Globally Recognized Avatar) est un service en ligne propriétaire, de la société Automattic, permettant d'associer un avatar à une adresse mail. Ainsi, la gestion de l'avatar est centralisée pour tous les blogs, forums utilisant un module se connectant automatiquement à Gravatar. Cela permet :
Tout comme certains essayent de trouver une alternative décentralisée et ouverte aux sites de réseaux sociaux fermés, il existe des initiatives non centralisées pour diffuser son avatar. Ces solutions seront passées en revue dans la suite de la dépêche !
- À l'origine il s'agit d'une des représentations de Vishnou dans la religion hindoue.
- Ce qui a donné, au figuré, une des représentations possibles, ou des apparences possibles, d'une personne.
- Plus récemment, les avatars ont aussi défini les entités incarnées dans des mondes virtuels. Ainsi, les personnages incarnés par des joueurs dans des simulations, ou dans des univers virtuels tels que Second Life, Ryzom, WoW sont des avatars.
Gravatar (Globally Recognized Avatar) est un service en ligne propriétaire, de la société Automattic, permettant d'associer un avatar à une adresse mail. Ainsi, la gestion de l'avatar est centralisée pour tous les blogs, forums utilisant un module se connectant automatiquement à Gravatar. Cela permet :
- d'éviter de charger un avatar à chaque création de compte sur différents sites connectés au service Gravatar
- de pouvoir modifier en une seule opération son avatar sur tous les sites connectés à Gravatar
Tout comme certains essayent de trouver une alternative décentralisée et ouverte aux sites de réseaux sociaux fermés, il existe des initiatives non centralisées pour diffuser son avatar. Ces solutions seront passées en revue dans la suite de la dépêche !
Random #029 (4 décembre 2010)
Random est l'émission radiophonique du groupe DegenereScience Lille. Elle passe un dimanche sur deux, de 19:00 à 20:00, sur les ondes de Radio Campus Lille (la première et la plus ancienne radio libre de France, fondée en 1969 !). Depuis octobre 2009, c'est une émission consacrée à la contre-culture hacker, au bidouillage, aux libertés numériques et à la société de l'information.
Au menu de cette vingt-neuvième émission : la sortie du magazine électronique 50-1337 #01, la sécurité des réseaux GSM, le Wikileaks Cablegate et un dossier sur les Dead Drops. Prochaine émission : Random #030, le dimanche 19 décembre 2010, de 19:00 à 20:00 sur Radio Campus !
Au menu de cette vingt-neuvième émission : la sortie du magazine électronique 50-1337 #01, la sécurité des réseaux GSM, le Wikileaks Cablegate et un dossier sur les Dead Drops. Prochaine émission : Random #030, le dimanche 19 décembre 2010, de 19:00 à 20:00 sur Radio Campus !
Wikileaks, petit résumé de l'affaire.
Le 28 novembre commençait l'affaire cablegate pour WikiLeaks ; le site délivrait 291 documents communiqués par différentes ambassades des États-Unis d'Amérique avec l'aide de la presse traditionnelle, Le Monde, El Paìs, Der Spiegel, The Guardian et The New York Times.
La libération de ces documents au public a déclenché ce qui a été annoncé, le 3 décembre sur Twitter, comme la première guerre de l'information par John Perry Barlow, membre fondateur de l'Electronic Frontier Foundation : « The first serious infowar is now engaged. The field of battle is WikiLeaks. You are the troops », ce qui peut se traduire par « La première guerre de l'information sérieuse est engagée. Le champ de bataille est Wikileaks. Vous êtes les troupes ».
Petit retour en arrière ...
La libération de ces documents au public a déclenché ce qui a été annoncé, le 3 décembre sur Twitter, comme la première guerre de l'information par John Perry Barlow, membre fondateur de l'Electronic Frontier Foundation : « The first serious infowar is now engaged. The field of battle is WikiLeaks. You are the troops », ce qui peut se traduire par « La première guerre de l'information sérieuse est engagée. Le champ de bataille est Wikileaks. Vous êtes les troupes ».
Petit retour en arrière ...