À l'occasion du salon LinuxWorld, Martin Fink, le vice-président de Hewlett Packard pour GNU/Linux, a identifié 52 licences pour l'Open Source, et trois nouvelles en cours d'élaboration.
Il considère que « c'est trop pour un marché en expansion, et surtout pour ses clients ou prospects qui ne manqueront pas de s'y perdre. »
NdM : on se rappellera la toute récente licence française CeCILL, qui a suscité quelques critiques de la part de la FSF France (« ont préféré développer leur propre licence dans leur coin ») et de Richard Stallman sur Divergence-FM (radio française connue pour ses
émissions mensuelles sur le logiciel libre chaque dernier jeudi du mois) : « Mais de façon générale, multiplier le nombre de licences de logiciels libres différentes est contre-productif, c’est inopportun, parce que ça implique plus de choses que les gens ont besoin de savoir ». Merci à Albert et Gilles Gouget pour l'information sur cette émission.