Lien BeagleV is a RISC-V single board PC for $150 or less - OSnews

Nous avons déjà parlé du RISC-V dans un article précédent avec la carte HiFive dotée d'un microcontrôleur pas si intéressant. Celui présenté cette fois-ci semble beaucoup plus standard : il fait le plein de périphériques et de mémoire Flash embarquée.
Nous avons déjà un peu présenté l'historique du RISC V dans l'article précédent. Essayons maintenant de découvrir le modèle de programmation ; cela nous servira plus tard lors de débogages et développement bas niveau.
La (…)
Cher journal,
On continue dans la montée en puissance du jeu d'instructions initié à Berkeley (mais dont la fondation est désormais hébergée en suisse) avec un processeur qui nous viens de Chine : le XuanTie C906.
C'est la société Sipeed (spécialisé dans les kit de développement et autres module à base de puces chinoises) qui l'a annoncé sur le silo social «twitter».
Difficile d'avoir plus d'info que ce piaillement. Le site chinois du constructeur t-head est un peu (…)
Cher journal,
Toi qui est un vieux comme moi et qui a connu la grand époque du journal «login:». Tu as sans doute entendu parler de ce fameux «RISC-PC» qui devait être une révolution car non basé sur un processeur x86.
Le RiscPC était fabriqué par la société britannique Acorn, qui est en fait une partie de la société ARM (Acorn Risc Machine !). Et le processeur utilisé était bien sûr (…)
Salut,
J'ai récemment acquis une carte de développement Sifive Hifive 1 rev B, dont la principale motivation était de faire joujou avec la fameuse architecture de jeu d'instructions libres RISC-V. \O/
J'ai pris cette carte car c'était celle dans les premiers prix à 80 €, bien plus abordable que la carte Sifive HiFive Unleashed.
Alors qu'est ce qu'on a dessus :
Une révolution, tout simplement. Depuis que je travaille dans le domaine embarqué, j'ai connu quelques changements intéressants avec notamment l'arrivée de l'architecture Cortex-M, mais là, c'est un cran au-dessus. Une architecture de microcontrôleur Open Source, j'en ai rêvé, maintenant elle existe.
Petite piqûre de rappel : les microcontrôleurs sont de très petits processeurs équipés de périphériques pour contrôler le monde extérieur au composant : des actionneurs ou des capteurs. De plus, ces composants disposent de leur (…)
Cher journal,
Je t'avais déjà dit que RISCV était desktop-ready grâce au travail de Western Digital sur la carte HiFive Unleashed.
Mais tu trouvais sans doute qu'un «pc» à plus de 3000€ c'était un peu cher.
Du coup tu seras sans doute ravi d'apprendre que Western Digital remet le couvert avec le portage de Linux (+Busybox) sur un petit processeur (très gros microcontrôleur) chinois -> le kendryte K210.
Pour cela, Western Digital a utilisé le kit Maix Go (…)
Cher journal,
Décidément, la montée en puissance de RISC-V n’en finit pas de faire bouger les lignes.
Après la libération du jeu d’instructions MIPS, c’est maintenant IBM qui libère son jeu d’instructions POWER.
La fondation OpenPOWER ISA se charge de la promotion de ce jeu d’instructions.
Cher journal,
Pour faire suite à la dépêche sur l'année de la libération des microprocesseurs, voici une nouvelle petite information concernant le jeux d'instructions libre RISC-V : Raspberry-Pi entre dans la fondation RISC-V.
La prochaine raspberry-pi sera-t-elle à base de Risc-V ?
Voila une info qui boostera peut-être la liberté des processeurs. Peut-être que l'année 2019 sera celle du RISC-V sur le desktop, à moins que ça soit dans le salon car on voit plus souvent la (…)
2018 aura été l’année du RISC-V. Ce jeu d’instructions libre existait bien sûr avant 2018, puisqu’il a été créé en 2010, mais c’est véritablement en 2018 qu’il aura pris son envol.
Entendons‐nous bien, le RISC-V, pour Reduced Instructions Set Computing version V, n’est pas un microprocesseur. C’est une définition du jeu d’instructions ainsi que des registres internes du processeur. Bref, cela doit être vu comme une standardisation open‐source du langage d’un processeur. Libre aux fondeurs de développer leurs architectures de processeur compatible RISC-V. Il définit les instructions assembleur et leurs formats (codage) mais il ne définit pas le nombre d’étages de pipelines, comment est gérée la prédiction de branche ni le format de bus de données et d’instructions. Tout cela relève de l’implémentation.