Si l'on regarde l'historique de Microsoft, le nombre de procès pour abus de position dominante (historiquement ou encore en cours) est relativement grand. Etant donné que Sony est objectivement le concurrent de Xbox, la conjugaison de ces deux éléments devraient être relativement simple à comprendre. La question est quelle va être la stratégie de Sony ? (Bien entendu on peut considérer cette communication comme étant un début de stratégie en cas de volonté par exemple postérieur d'invoquer des lois antitrust)
je re-rédige mon dernier paragraphe qui est mal passé apparement :
Bref je pense qu'utiliser une notion qui se base sur le logiciel propriétaire n'est pas propre à éclaircir le débat. Bien entendu les auteurs ont un point de vue spécifique qu'ils défendent également et c'est tout à leurs honneurs, simplement qu'en tant qu'élément de vulgarisation, je pense qu'il serait utile de diminuer la confusion bien que la question de fond qui me semble légitime quelque soit la position (permissive / copyleft)
Je cite le texte en question partie disponible pour savoir de quoi l'on parle :
Le pillage de la communauté des logiciels libres
Pendant que l’utopie numérique rêvée trente ans plus tôt enfantait un supermarché à partir de 1990, un groupe d’irréductibles maintenait envers et contre tout un projet fidèle aux origines : le logiciel libre. Coopté, récupéré et trahi par les mastodontes de l’industrie, le voici fragilisé.
En marge de l’industrie des nouvelles technologies, dans les années 1990, un autre monde numérique émerge. Des développeurs bénévoles distants géographiquement se structurent en communautés pour construire de manière collaborative des logiciels concurrents des offres dites « propriétaires » : le système d’exploitation Linux, le serveur Web Apache ou le lecteur multimédia VLC en sont des exemples connus. Ils abandonnent les droits exclusifs sur leur production non seulement parce qu’ils perçoivent des bénéfices non financiers (plaisir, apprentissage, réputation, offres d’emploi), mais aussi pour des raisons morales : une licence dite « copyleft » (comme la licence publique générale, GPL) accorde aux utilisateurs les droits d’exécution, de copie, de modification et de distribution du code informatique. Elle impose aussi le maintien de ces libertés dans toutes les versions dérivées du logiciel. Où en est aujourd’hui le mouvement du logiciel libre ?
La réponse n’incite guère à l’optimisme : il a été coopté, intégré et récupéré par les colosses de la Silicon Valley, Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (Gafam). Au point que les logiciels open source (pour « code source ouvert », un terme adopté dans le milieu industriel pour parler du logiciel libre sans parler de… libertés ! ) se trouvent désormais au cœur de l’économie numérique. Selon un sondage réalisé en 2018 auprès de 1 200 professionnels de l’informatique, plus de neuf applications sur dix contiennent des fragments de programmes issus du monde « libre ». L’intégration débute au début des années 2000 chez IBM et s’achève en 2018 avec le rachat par Microsoft de la plate-forme de développement collaborative GitHub pour 7,5 milliards de dollars. Les entreprises paient certains développeurs, profitent du travail gratuit des bénévoles, et les intellectuels critiques qui voyaient dans le « libre » un outil d’émancipation en sont pour leurs frais.
Dans ce processus d’appropriation, deux acteurs ont joué un rôle essentiel de passerelle entre le monde des entreprises et celui (…)
Je comprends que le titre porte à confusion (pillage de ce qui est librement disponible et utilisable et distribuable ? ce concept est-il pertinent pour appréhender la question ? ) et dès lors je comprends les critiques de Zenitram plus haut mais en tant qu'article de vulgarisation (le monde diplomatique ) et en tant qu'article partiellement accessible (donc je ne vais pas me prononcer sur le reste qui ne l'est pas) je trouve que le point de vue des auteurs ( Laure Muselli, Mathieu O’Neil, Fred Pailler & Stefano Zacchiroli ) ne me semblent pas à côté de la plaque en soi. D'autant que Stefano Zacchiroli a été Debian Project Leader (https://fr.wikipedia.org/wiki/Stefano_Zacchiroli ), ce qui m'incite à penser qu'il connaît le sujet un peu mieux que des journalistes généralistes qui ne font pas partie du domaine.
Le bref historique me semble assez correct
Les motivations des développeurs de passer en logiciels libres me semblent aussi assez bien décrite (éthique et pratique )
Les exemples sont pertinents et les plus connus du grands public (VLC, Apache, Linux)
On parle des GAFAM et pas seulement des GAFA
L'usage et l'intégration par les GAFAM de logciels libres me semble objectivement vrai (au moins pour Apple dont on est certain via sa page open source , j'imagine qu'en cherchant un peu on devrait trouvé les infos chez les autres GAFAM )
Le point de vue open source adopté par les GAFAM me semblent correspondre aux différentes discussions entre libertés et aspects pratiques depuis de longue date au sein même de la communauté (courant Stallman / Torvalds)
Ils donnent des éléments concernant le rachat de github par l'un des GAFAM
Le point principal de débat semble se situer dans les phrases suivantes :
8.1 > "Les entreprises paient certains développeurs, profitent du travail gratuit des bénévoles, et les intellectuels critiques qui voyaient dans le « libre » un outil d’émancipation en sont pour leurs frais."
8.2 > "Dans ce processus d’appropriation, deux acteurs ont joué un rôle essentiel de passerelle entre le monde des entreprises et celui (...)"
Pour le point 8.1 je pense que c'est une description assez correct des faits , les entreprises (et les GAFAM ici) bénéficient effectivement du travail de la communauté du libre. Je ne sais pas qui désigne "les intellectuels critiques" mais du point de vue de la communauté le courant pronant l'usage du copyleft sont effectivement plus critique de l'intégration dans les projets propriétaires des GAFAM de briques libres sans obligation de garder le caractère de logiciel libre aux destinataires de ces logiciels en aval (en général les utilisateurs finaux). Le point principal c'est que cela brise l'égalité de traitement des utilisateurs accordé par les licences libres en amont.
Pour le point 8.2, ce processsus n'implique pas que le traitement soit qualifiable appropriation* , en effet, si une licence permissive est utilisé et intégré dans du logiciel propriétaire, l'éditeur de ce dernier n'a fait qu'utiliser lui même les libertés accordés par la licence permissive, y compris celle de ne pas continuer la chaine de transmission de ces droits en aval.
Je ne pense pas qu'on puisse qualifié ce processus d'appropriation car il ne lui était pas à la base interdit d'avoir ce type de comportement. Est-ce qu'il y une forme de mise en exclusivité du logiciel en aval (oui pour toutes les modifications), non si le logiciel n'a pas été changé. Peut-on critiqué ce caractère de mise en exclusivité par des éditeurs de logiciel propriétaire d'un point de vue juridique ? non je pense pas . Peut-on critiquer ce comportement d'un point de vue éthique ? oui on ne pas être d'accord avec ce comportement au delà du juridique, dans une perspective plus large (par exemple il ne semble pas éthique/moral d'adopté un tel comportement même si sur le plan du droit c'est faisable). Est-ce que c'est ce que font les auteurs ? oui apparement .
Y-a-t-il un problème de cohérence ? non si on adopte le point de vue qu'il serait nécessaire de continuer à transmettre les droits qu'on a reçu /utilisé pour s'assurer que d'autres personnes puisse les recevoir et pour permettre de favoriser un comportement de réciprocité mutuel entre utilisateurs/développeurs dans la communauté. Cela ne me semble pas incohérent en soi, même si on peut ne pas être d'accord sur cette position.
Donc ce qui me semble de mon point de vue poser problème c'est l'utilisation d'une approche (d'un concept) de logiciel propriétaire pour défendre une position de logiciel libre voulant favoriser la réciprocité sur une base éthique plus général.
Sachant que c'est un article de vulgarisation (je suppose) , on peut simplement se demandé
si cette vulgarisation reflète correctement à ses lecteurs le fond du problème.
En un certain sens c'est une question de contrat social (au sens Rousseau du terme
Dans Du contrat social, Rousseau soutient la thèse selon laquelle une organisation sociale « juste » repose sur un pacte garantissant l’égalité et la liberté entre tous les citoyens. Ce pacte est contracté entre tous les participants, c’est-à-dire l’ensemble exhaustif des citoyens. Dans le contrat social, chacun renonce à sa liberté naturelle pour gagner une liberté civile.) (https://fr.wikipedia.org/wiki/Du_contrat_social)
Le problème c'est que les termes de ce contrat social ne sont pas les mêmes si on est dans une licence permissive ou une licence copyleft (plus proche du contrat social de Rousseau). Dès lors la question de l'appropriation de la propriété ne semble pas le terme adéquat pour définir le problème même. En effet, la mise à disposition d'un droit de propriété exclusif sans contrepartie ou avec contrepartie ne remet pas en cause le fait que la personne qui reçoit ce droit puisse l'exercer (y compris sans contrepartie). Cela peut effectivement ne pas correspondre à une vision du contrat social d'un point de vue de réciprocité mais cela n'en reste pas moins valable. On peut simplement constater que face au GAFAM il ne sont pas dans une vision Rousseau du contrat social impliquant une réciprocité des échanges, cette position peut être remis en question d'un point de vue moral/éthique oui.
En outre ce qui peut être soulevé le fait qu'il existe lorsqu'on compare un contrat de licence des logiciels propriétaires (Microsoft, Apple) et (services en ligne propriétaire Google Facebook , Amazon) (conditions générales d'utilsation) basé sur du logicie libre à licence permissif un nombre assez infinie d'obligation imposé à l'utilisateurs de ces services. Alors que comparé au logiciel libre en mode copyleft qui n' impose qu'une seule pour des raisons éthiques/morales, cette disproportion peut en effet être mis en question, en tant qu'utilisateurs finales. Néanmoins, cela ne semble pas soulevé par les auteurs.
Bref je pense qu'utiliser une notion qui se base sur le logiciel propriétaire n'est pas propre à éclaircir le débat. Bien entendu les auteurs ont un point de vue spécifique qu'il défendent également et c'est tout à leurs honneurs, simplement qu'en tant qu'élément de vulgarisation, je pense qu'il serait utile de diminuer la confusion daéanmoins cela n'est pas soulevé par les auteurs. ns l'esprit du lecteur du monde diplomatique en n'ajoutant pas une approche non adapté à la question de fond qui me semble légitime quelque soit la position.
je me souviens que dans le temps (genre vers 2007 - 2009 ) il y avait un site qui était hébergé sur free.fr qui mettait à disposition des liens vers des documentaires et d'autres ressources audiovisuelles (films, reportages .. ) militantes et activistes . Le site avait un nom qui avait croisée militant et emule , genre emulitant , il a été supprimé , mais il était encore un moment sur archive.org . Est-ce que qqn se rappelle de ce site et sait s'il est encore sur archive.org ?
(en passant , s'il n'était plus sur archive.org, je trouverait que la lutte du copyright deviendrait vraiment totalitaire - car cela me rappellerait les pratiques de Big Brother dans 1984 sur le contrôle de l'histoire et de la mémoire collective )
Dans une vraie biblitohèque, les pages des livres que tu n'as jamais lu pourraient tout aussi bien être blanches, tu as donc une représentation réaliste de la bibliothèque de Babal, vue du point de vue du lecteur.
Quid dans le cas où le lecteur feuillète (skim) le livre ?
Posté par eastwind☯ .
En réponse au journal Tout est écrit!.
Évalué à 6.
Dernière modification le 29 janvier 2016 à 14:58.
Je me souviens avoir lu que Big Blue n'était pas programmé dans le sens où il avait déjà codé dans les sources l'ensemble de toutes les combinaisons possibles, mais que c'était une sorte d'algorithme adaptatif tel que des réseaux de neurones (je ne sais pas si c'est des réseaux de neurones mais cela semblait suivre ce genre d'idée ). Dès lors toutes les combinaisons n'étaient pas écrite à l'avance tel que la Bibliothèque de Babel.
Par rapport au lien que tu donnes pour illustrer le proof of concept de la bibliothèque de Babel, ce que je trouve étonnant (ou bizarre) c'est que lorsque je rentre du texte , celui-ci se trouve au milieu d'une nuée de texte aléatoire et soudainement ce texte précis ressort. A la fin du texte, cela repart vers de l'aléatoire total (pourquoi n'y a -t-il pas un texte sémantiquement sensé juste après ? ou avant ? ou un bout de phrase sémantiquement correcte juste après et avant ? ) Je me demande si cela n'était pas plus simple de faire un générateur aléatoire et de copier coller le texte dont tu lui demande de vérfiier l'existence et puis d'y adjoindre des pseudo attribut (vous retrouvez ce texte à tel page de tel livre avec tel titre ) en donnant ainsi l'illusion que c'était écrit d'avance.
Dans ce cas là, cela serait une sorte de performance artistique , un peu fumeuse version poudre au yeux :)
A un moment j'utilisais andLinux, étant dans une situation similaire. Mais je ne sais pas si le projet à continuer. je ne suis pas sur et certain qu'il y ait une version 64bit, faudra vérifier .
Tiens nous au courant si tu le test et si ça continue à fonctionner correctement :)
Actuellement , dans ce genre de cas j'utilise ma propre machine au boulot, en plus des machines fournis par le staff.
Y avait aussi un logiciel qui permet de pouvoir passer facilement entre Windows et Linux (via une sorte de vnc modifié )
synergie http://framasoft.net/article1370.html
Y a un logiciel (fonctionne sous Windows , Linux et Mac) qui permet de transformer un image iso (que tu devrais télécharger sur internet ) vers une clés usb afin de la rendre bootable comme un dvd/cd . Donc après avoir configuré ton bios pour booter sur l'usb, il va booter sur l'image iso de ta clé sur la distribution Linux que t'as choisie.
effectivement tu as raison, je pensais au fait que la licence est propriétaire sur le blob. Ce qui me semblait la manière dont on nomme ces logiciels qui s'intègrent à du libre (n'est ce pas comme cela qu'on nomme les drivers binaires propriétaires qui sont chargé dans le kernel ? )
Si les sources sont là et qu'ils permettent de recompiler , (y compris le blob binaire) , et que le hash est identique après recompilation, alors on a atteint la reproductibilité. Cela prouve que les sources fournies (et les fichiers afférents - tels que scripts de configuration pour la compilation etc … - ) correspondent effectivement au binaire , et cela du fait que le hash est identique (et non prévisible et non identique pour deux fichiers différents - donc problèmes des collisions réglés via des algo de hash plus puissant ).
Pourrais tu m'expliquer ton post, car je ne le comprends pas
les sources publiques n'incluent pas les sources du blob binaire (par définition). La reproductibilité n'est possible que pour la patie des sources publiques et pas celles des blobs binaires. Donc ce n'est qu'une reproductibilité partielle , donc qui ne prennent pas en compte le blob donc la question de la reproductibilité est pas réellement pertinente car il est impossible de prouver cette partie , enfin je trouve.
On Tue, 2015-06-16 at 00:49 -0400, Michael Gilbert wrote:
Barring the obtusely incorrect rootkit miscategorization
Well, as I've said,.. no one can really tell what it is, since it's a
blob,… and even if one would assume that someone could correctly
reverse engineer it, or reproducibly build it from public sources,
there's absolutely no guarantee that malicious software might have been
just distributed to selected people.
Je ne comprends pas cet argument, tel que la reproductibilité est possible via un blob binaire ?
Comment peut on recompiler qqch de non recompilable par définition du fait de la non distribution des sources (du fait de la licence propriétaire) ( les sources publics ne sont pas suffisante , elles ne correspondantes que pour les parties déjà publiés, quid du blob ) ?
de ce fait le hash serra forcément différent donc on ne peut qualifier cette situtation de reproducible build .
Enfin c'est ce qui me semble , sinon il me semble que les autres arguments me semblent à priori pertinent
La délégation aux interceptions judiciaires, rattachée au Secrétariat Général du ministère de la Justice, est chargée d'animer et de coordonner l'action des pouvoirs publics visant à assurer la bonne exécution et la maîtrise des coûts de toutes les opérations liées aux interceptions des communications électroniques, lorsqu'elles sont ordonnées dans le cadre de procédures judiciaires. Elle doit notamment, sur le plan technique, concevoir et mettre en œuvre un système national.
Posté par eastwind☯ .
En réponse au journal Pros - Cons TTIP ?.
Évalué à 9.
Dernière modification le 05 juillet 2014 à 20:14.
Tu devrais faire une thèse de doctorat en droit qui soutiendrait que la CJUE est égal à l'arbitrage, je suis certain que les juges de la CJUE seraient enchantés de l'entendre , et a fortiori d'y souscrire les yeux fermés.
Il existe des bourses au cas où sinon ouvre un projet kickstarter
Les vaches à lait sont par exemple les monopoles mis par l'état, 100% bénéf pour quelques rares élus (et graissage un peu partout pour garder le monopole).
l'état est souverain , s'il considère qu'un monopole est nécessaire afin de fournir un service public (non il n'y a pas de monopole pour un intéret privé comme tu sembles le suggérer , si c'est le cas on rentre dans de la corruption et non dans les fonctions régaliennes) alors il le met en place. Si la couverture d'électricité (ou la poste ) va au plus profond d'une région, c'est parce qu'il y a cet obligation de servir l'intéret général (couverture qui ne serrait pas rentable dans une pure perspective économique de marché)
On est bien d'accord : les gens veulent garder leur privilèges, vive la discrimination tant que ce n'est pas soit. Faisons payer ces salauds d'étrangers! (pareil, sont chiants ces étrangers qui veulent que les communications téléphoniques soient moins chère à l'étranger, ça paye oins les communications locales).
A quand un filtre suivant la ville, le quartier?
la discrimination c'est aussi traités de manière égal des personnes dans des situations différentes.
Moi je paye bien pour des musées chez moi auxquels je ne vais jamais… C'est la politique locale faite par la démocratie locale.
Je ne vois pas où tu vois un problème, au contraire.
Tiens, la prochaine fois, je vais faire payer ceux qui ne payent pas d'impots sur le revenu , et pas ceux qui payent des impots, car tu comprends ces payeurs d'impots sur le revenu ont déjà par la fiscalité contribués au bien public et pas ceux qui n'ont pas payé d'impôts sur le revenu.
tu donnes l'image d'une union européenne sans pouvoir.
Alors que d'une part elle possède déjà des compétences exclusives larges (seule l'UE peut agir dans ces domaines) , des compétences partagés ( qui signifie que l'état peut agir tant que l'UE n'a pas agit , dès que l'UE agit cela devient de son seule ressort) , et des articles transversaux qui permettent d'étendre les compétences (par exemple l'article 352 TFUE qui permettent la mise en oeuvre de compétences dites implicites, et l'article 114 TFUE qui permet d'étendre sa compétence dès qu'on dit qu'une matière relève de l'harmonisation du marché intérieur (mais le marché intérieur est transversal)).
L'UE n'est pas du tout sans pouvoir au contraire.
En outre , la théorie du parallélisme internes / externes des compétences fait que lorsque l'UE a un compétence exclusive , les états ne pourrait plus agir avec des états tiers à l'UE dans un domaine donnée.
[^] # Re: elle peut toujours espérer
Posté par eastwind☯ . En réponse au lien Sony espère qu’Activision Blizzard ne deviendra pas une arme anti-PlayStation - numerama. Évalué à 4.
que signifie pouce et miroir magique ?
# test indépendant ?
Posté par eastwind☯ . En réponse au lien Fairphone 4 Murena : le smartphone équitable avec /e/OS préinstallé. Évalué à 3.
Quelqu'un connait un article fiable et indépendant ayant fait passé ce modèle au banc d'essaie ?
# elle peut toujours espérer
Posté par eastwind☯ . En réponse au lien Sony espère qu’Activision Blizzard ne deviendra pas une arme anti-PlayStation - numerama. Évalué à 7. Dernière modification le 20 janvier 2022 à 21:45.
Si l'on regarde l'historique de Microsoft, le nombre de procès pour abus de position dominante (historiquement ou encore en cours) est relativement grand. Etant donné que Sony est objectivement le concurrent de Xbox, la conjugaison de ces deux éléments devraient être relativement simple à comprendre. La question est quelle va être la stratégie de Sony ? (Bien entendu on peut considérer cette communication comme étant un début de stratégie en cas de volonté par exemple postérieur d'invoquer des lois antitrust)
[^] # Re: Etonnant mais après analyse compréhensible bien que semant la confusion
Posté par eastwind☯ . En réponse au lien Le pillage de la communauté des logiciels libres. Évalué à 3.
je re-rédige mon dernier paragraphe qui est mal passé apparement :
Bref je pense qu'utiliser une notion qui se base sur le logiciel propriétaire n'est pas propre à éclaircir le débat. Bien entendu les auteurs ont un point de vue spécifique qu'ils défendent également et c'est tout à leurs honneurs, simplement qu'en tant qu'élément de vulgarisation, je pense qu'il serait utile de diminuer la confusion bien que la question de fond qui me semble légitime quelque soit la position (permissive / copyleft)
# Erratum accepté :)
Posté par eastwind☯ . En réponse au lien TOOLinux, OnlyOffice et LibreOffice. Évalué à 4.
Merci pour l erratum
# Etonnant mais après analyse compréhensible bien que semant la confusion
Posté par eastwind☯ . En réponse au lien Le pillage de la communauté des logiciels libres. Évalué à 10. Dernière modification le 20 janvier 2022 à 12:53.
Je cite le texte en question partie disponible pour savoir de quoi l'on parle :
Je comprends que le titre porte à confusion (pillage de ce qui est librement disponible et utilisable et distribuable ? ce concept est-il pertinent pour appréhender la question ? ) et dès lors je comprends les critiques de Zenitram plus haut mais en tant qu'article de vulgarisation (le monde diplomatique ) et en tant qu'article partiellement accessible (donc je ne vais pas me prononcer sur le reste qui ne l'est pas) je trouve que le point de vue des auteurs ( Laure Muselli, Mathieu O’Neil, Fred Pailler & Stefano Zacchiroli ) ne me semblent pas à côté de la plaque en soi. D'autant que Stefano Zacchiroli a été Debian Project Leader (https://fr.wikipedia.org/wiki/Stefano_Zacchiroli ), ce qui m'incite à penser qu'il connaît le sujet un peu mieux que des journalistes généralistes qui ne font pas partie du domaine.
8.1
> "Les entreprises paient certains développeurs, profitent du travail gratuit des bénévoles, et les intellectuels critiques qui voyaient dans le « libre » un outil d’émancipation en sont pour leurs frais."
8.2
> "Dans ce processus d’appropriation, deux acteurs ont joué un rôle essentiel de passerelle entre le monde des entreprises et celui (...)"
Pour le point 8.1 je pense que c'est une description assez correct des faits , les entreprises (et les GAFAM ici) bénéficient effectivement du travail de la communauté du libre. Je ne sais pas qui désigne "les intellectuels critiques" mais du point de vue de la communauté le courant pronant l'usage du copyleft sont effectivement plus critique de l'intégration dans les projets propriétaires des GAFAM de briques libres sans obligation de garder le caractère de logiciel libre aux destinataires de ces logiciels en aval (en général les utilisateurs finaux). Le point principal c'est que cela brise l'égalité de traitement des utilisateurs accordé par les licences libres en amont.
Pour le point 8.2, ce processsus n'implique pas que le traitement soit qualifiable appropriation* , en effet, si une licence permissive est utilisé et intégré dans du logiciel propriétaire, l'éditeur de ce dernier n'a fait qu'utiliser lui même les libertés accordés par la licence permissive, y compris celle de ne pas continuer la chaine de transmission de ces droits en aval.
Je ne pense pas qu'on puisse qualifié ce processus d'appropriation car il ne lui était pas à la base interdit d'avoir ce type de comportement. Est-ce qu'il y une forme de mise en exclusivité du logiciel en aval (oui pour toutes les modifications), non si le logiciel n'a pas été changé. Peut-on critiqué ce caractère de mise en exclusivité par des éditeurs de logiciel propriétaire d'un point de vue juridique ? non je pense pas . Peut-on critiquer ce comportement d'un point de vue éthique ? oui on ne pas être d'accord avec ce comportement au delà du juridique, dans une perspective plus large (par exemple il ne semble pas éthique/moral d'adopté un tel comportement même si sur le plan du droit c'est faisable). Est-ce que c'est ce que font les auteurs ? oui apparement .
Y-a-t-il un problème de cohérence ? non si on adopte le point de vue qu'il serait nécessaire de continuer à transmettre les droits qu'on a reçu /utilisé pour s'assurer que d'autres personnes puisse les recevoir et pour permettre de favoriser un comportement de réciprocité mutuel entre utilisateurs/développeurs dans la communauté. Cela ne me semble pas incohérent en soi, même si on peut ne pas être d'accord sur cette position.
Donc ce qui me semble de mon point de vue poser problème c'est l'utilisation d'une approche (d'un concept) de logiciel propriétaire pour défendre une position de logiciel libre voulant favoriser la réciprocité sur une base éthique plus général.
Sachant que c'est un article de vulgarisation (je suppose) , on peut simplement se demandé
si cette vulgarisation reflète correctement à ses lecteurs le fond du problème.
En un certain sens c'est une question de contrat social (au sens Rousseau du terme
Le problème c'est que les termes de ce contrat social ne sont pas les mêmes si on est dans une licence permissive ou une licence copyleft (plus proche du contrat social de Rousseau). Dès lors la question de l'appropriation de la propriété ne semble pas le terme adéquat pour définir le problème même. En effet, la mise à disposition d'un droit de propriété exclusif sans contrepartie ou avec contrepartie ne remet pas en cause le fait que la personne qui reçoit ce droit puisse l'exercer (y compris sans contrepartie). Cela peut effectivement ne pas correspondre à une vision du contrat social d'un point de vue de réciprocité mais cela n'en reste pas moins valable. On peut simplement constater que face au GAFAM il ne sont pas dans une vision Rousseau du contrat social impliquant une réciprocité des échanges, cette position peut être remis en question d'un point de vue moral/éthique oui.
En outre ce qui peut être soulevé le fait qu'il existe lorsqu'on compare un contrat de licence des logiciels propriétaires (Microsoft, Apple) et (services en ligne propriétaire Google Facebook , Amazon) (conditions générales d'utilsation) basé sur du logicie libre à licence permissif un nombre assez infinie d'obligation imposé à l'utilisateurs de ces services. Alors que comparé au logiciel libre en mode copyleft qui n' impose qu'une seule pour des raisons éthiques/morales, cette disproportion peut en effet être mis en question, en tant qu'utilisateurs finales. Néanmoins, cela ne semble pas soulevé par les auteurs.
Bref je pense qu'utiliser une notion qui se base sur le logiciel propriétaire n'est pas propre à éclaircir le débat. Bien entendu les auteurs ont un point de vue spécifique qu'il défendent également et c'est tout à leurs honneurs, simplement qu'en tant qu'élément de vulgarisation, je pense qu'il serait utile de diminuer la confusion daéanmoins cela n'est pas soulevé par les auteurs. ns l'esprit du lecteur du monde diplomatique en n'ajoutant pas une approche non adapté à la question de fond qui me semble légitime quelque soit la position.
[^] # Re: emule
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal La scène et le P2P. Évalué à 2.
que signifie clo2 ? quel est le rapport avec le fait d'habiter en france ou non ?
[^] # Re: emule
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal La scène et le P2P. Évalué à 2.
je me réponds à moi même, je viens de retrouver l'url http://alterdivx.free.fr/fr/emulitant.htm
https://web.archive.org/web/20081220012344/http://alterdivx.free.fr/fr/emulitant.htm
[^] # Re: emule
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal La scène et le P2P. Évalué à 2.
je me souviens que dans le temps (genre vers 2007 - 2009 ) il y avait un site qui était hébergé sur free.fr qui mettait à disposition des liens vers des documentaires et d'autres ressources audiovisuelles (films, reportages .. ) militantes et activistes . Le site avait un nom qui avait croisée militant et emule , genre emulitant , il a été supprimé , mais il était encore un moment sur archive.org . Est-ce que qqn se rappelle de ce site et sait s'il est encore sur archive.org ?
(en passant , s'il n'était plus sur archive.org, je trouverait que la lutte du copyright deviendrait vraiment totalitaire - car cela me rappellerait les pratiques de Big Brother dans 1984 sur le contrôle de l'histoire et de la mémoire collective )
[^] # Re: Intelligence artificielle et jeux de GO et Kasparov
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Tout est écrit!. Évalué à 2.
Quid dans le cas où le lecteur feuillète (skim) le livre ?
# Intelligence artificielle et jeux de GO et Kasparov
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Tout est écrit!. Évalué à 6. Dernière modification le 29 janvier 2016 à 14:58.
Je me souviens avoir lu que Big Blue n'était pas programmé dans le sens où il avait déjà codé dans les sources l'ensemble de toutes les combinaisons possibles, mais que c'était une sorte d'algorithme adaptatif tel que des réseaux de neurones (je ne sais pas si c'est des réseaux de neurones mais cela semblait suivre ce genre d'idée ). Dès lors toutes les combinaisons n'étaient pas écrite à l'avance tel que la Bibliothèque de Babel.
Par rapport au lien que tu donnes pour illustrer le proof of concept de la bibliothèque de Babel, ce que je trouve étonnant (ou bizarre) c'est que lorsque je rentre du texte , celui-ci se trouve au milieu d'une nuée de texte aléatoire et soudainement ce texte précis ressort. A la fin du texte, cela repart vers de l'aléatoire total (pourquoi n'y a -t-il pas un texte sémantiquement sensé juste après ? ou avant ? ou un bout de phrase sémantiquement correcte juste après et avant ? ) Je me demande si cela n'était pas plus simple de faire un générateur aléatoire et de copier coller le texte dont tu lui demande de vérfiier l'existence et puis d'y adjoindre des pseudo attribut (vous retrouvez ce texte à tel page de tel livre avec tel titre ) en donnant ainsi l'illusion que c'était écrit d'avance.
Dans ce cas là, cela serait une sorte de performance artistique , un peu fumeuse version poudre au yeux :)
# fsarchiver
Posté par eastwind☯ . En réponse au message cloner son OS. Évalué à 2.
fsarchiver sauve les partitions en l'état, il y a fsarchiver sur la distro sysrescue cd , faut voir le wiki de fsarchiver pour la commande qui va bien
[^] # Re: j'utilise 3 machines
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Sysadmin en environnement hostile. Évalué à 5.
c'est rare de voir des DSI compréhensif , comment cela se passe ? dans quel état d'esprit il est ? tu peux un peu expliquer ?
# andLinux
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Sysadmin en environnement hostile. Évalué à 4. Dernière modification le 20 août 2015 à 07:07.
A un moment j'utilisais andLinux, étant dans une situation similaire. Mais je ne sais pas si le projet à continuer. je ne suis pas sur et certain qu'il y ait une version 64bit, faudra vérifier .
J'avais écris un journal à l'arrache sur dlfp pour relater mon expérience de cette distro : http://linuxfr.org/users/eastwind/journaux/andlinux-ou-comment-faire-tourner-linux-dans-windows-sans-virtualbox
Tiens nous au courant si tu le test et si ça continue à fonctionner correctement :)
Actuellement , dans ce genre de cas j'utilise ma propre machine au boulot, en plus des machines fournis par le staff.
Y avait aussi un logiciel qui permet de pouvoir passer facilement entre Windows et Linux (via une sorte de vnc modifié )
synergie
http://framasoft.net/article1370.html
j'ai pas testé
# retour d'expérience imac G3
Posté par eastwind☯ . En réponse au message un peu perdu sur la banquise du pingouin. Évalué à 4. Dernière modification le 17 août 2015 à 19:57.
slt,
à l'époque j'avais récupéré une imac G3 et j'ai fait un petir retour d'expérience, ici : http://linuxfr.org/users/eastwind/journaux/retour-dexperience-imac-g3-et-gnu-linux
le processeur était aussi un PowerPC
si ca peut t'aider.
a ++
# Uetbootin , image Linux iso vers clé usb
Posté par eastwind☯ . En réponse au message comment installer linux via USB. Évalué à 2. Dernière modification le 16 août 2015 à 14:33.
Y a un logiciel (fonctionne sous Windows , Linux et Mac) qui permet de transformer un image iso (que tu devrais télécharger sur internet ) vers une clés usb afin de la rendre bootable comme un dvd/cd . Donc après avoir configuré ton bios pour booter sur l'usb, il va booter sur l'image iso de ta clé sur la distribution Linux que t'as choisie.
jette un oeil là dessus :
http://unetbootin.github.io/
http://framasoft.net/article4793.html
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[^] # Re: reproductibilité ?
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Mercredi, c'est philosophie. Évalué à 7.
effectivement tu as raison, je pensais au fait que la licence est propriétaire sur le blob. Ce qui me semblait la manière dont on nomme ces logiciels qui s'intègrent à du libre (n'est ce pas comme cela qu'on nomme les drivers binaires propriétaires qui sont chargé dans le kernel ? )
[^] # Re: reproductibilité ?
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Mercredi, c'est philosophie. Évalué à 5.
je pense que c'est cela qu'il a voulu dire , étant donné le contexte du message
[^] # Re: reproductibilité ?
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Mercredi, c'est philosophie. Évalué à 2. Dernière modification le 17 juin 2015 à 16:12.
Si les sources sont là et qu'ils permettent de recompiler , (y compris le blob binaire) , et que le hash est identique après recompilation, alors on a atteint la reproductibilité. Cela prouve que les sources fournies (et les fichiers afférents - tels que scripts de configuration pour la compilation etc … - ) correspondent effectivement au binaire , et cela du fait que le hash est identique (et non prévisible et non identique pour deux fichiers différents - donc problèmes des collisions réglés via des algo de hash plus puissant ).
Pourrais tu m'expliquer ton post, car je ne le comprends pas
[^] # Re: reproductibilité ?
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Mercredi, c'est philosophie. Évalué à 3. Dernière modification le 17 juin 2015 à 15:44.
les sources publiques n'incluent pas les sources du blob binaire (par définition). La reproductibilité n'est possible que pour la patie des sources publiques et pas celles des blobs binaires. Donc ce n'est qu'une reproductibilité partielle , donc qui ne prennent pas en compte le blob donc la question de la reproductibilité est pas réellement pertinente car il est impossible de prouver cette partie , enfin je trouve.
# reproductibilité ?
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Mercredi, c'est philosophie. Évalué à 1. Dernière modification le 17 juin 2015 à 15:30.
Je ne comprends pas cet argument, tel que la reproductibilité est possible via un blob binaire ?
Comment peut on recompiler qqch de non recompilable par définition du fait de la non distribution des sources (du fait de la licence propriétaire) ( les sources publics ne sont pas suffisante , elles ne correspondantes que pour les parties déjà publiés, quid du blob ) ?
de ce fait le hash serra forcément différent donc on ne peut qualifier cette situtation de reproducible build .
Enfin c'est ce qui me semble , sinon il me semble que les autres arguments me semblent à priori pertinent
[^] # Re: On parle d'interception judiciaire, donc à priori sous contrôle d'un juge.
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Si toi aussi tu es tenté par le côté obscur. Évalué à 4. Dernière modification le 24 mars 2015 à 19:50.
je vois qu'il est écrit dans l'annonce
c'est de l'executif et non du judiciaire (Ministère de la justice ce n'est pas du judiciaire)
mais le descriptif du poste semble dire que c'est pour le judiciaire (ce serra surement pour le juge d'instruction (judiciaire) et le procureur et leurs substituts (executif ) ( http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/11/23/la-cedh-rappelle-que-le-parquet-n-est-pas-une-autorite-judiciaire-independante_1443797_3224.html)
[^] # Re: Tribunaux d'arbitrage
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Pros - Cons TTIP ?. Évalué à 9. Dernière modification le 05 juillet 2014 à 20:14.
Tu devrais faire une thèse de doctorat en droit qui soutiendrait que la CJUE est égal à l'arbitrage, je suis certain que les juges de la CJUE seraient enchantés de l'entendre , et a fortiori d'y souscrire les yeux fermés.
Il existe des bourses au cas où sinon ouvre un projet kickstarter
[^] # Re: heu..
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Le traité de Lisbonne dans toute sa splendeur . Évalué à 2.
l'état est souverain , s'il considère qu'un monopole est nécessaire afin de fournir un service public (non il n'y a pas de monopole pour un intéret privé comme tu sembles le suggérer , si c'est le cas on rentre dans de la corruption et non dans les fonctions régaliennes) alors il le met en place. Si la couverture d'électricité (ou la poste ) va au plus profond d'une région, c'est parce qu'il y a cet obligation de servir l'intéret général (couverture qui ne serrait pas rentable dans une pure perspective économique de marché)
la discrimination c'est aussi traités de manière égal des personnes dans des situations différentes.
désolé je ne comprends pas
[^] # Re: heu..
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Le traité de Lisbonne dans toute sa splendeur . Évalué à 1. Dernière modification le 12 juin 2014 à 18:51.
tu donnes l'image d'une union européenne sans pouvoir.
Alors que d'une part elle possède déjà des compétences exclusives larges (seule l'UE peut agir dans ces domaines) , des compétences partagés ( qui signifie que l'état peut agir tant que l'UE n'a pas agit , dès que l'UE agit cela devient de son seule ressort) , et des articles transversaux qui permettent d'étendre les compétences (par exemple l'article 352 TFUE qui permettent la mise en oeuvre de compétences dites implicites, et l'article 114 TFUE qui permet d'étendre sa compétence dès qu'on dit qu'une matière relève de l'harmonisation du marché intérieur (mais le marché intérieur est transversal)).
L'UE n'est pas du tout sans pouvoir au contraire.
En outre , la théorie du parallélisme internes / externes des compétences fait que lorsque l'UE a un compétence exclusive , les états ne pourrait plus agir avec des états tiers à l'UE dans un domaine donnée.