D'ailleurs, je te mets au défi de prouver que le vote papier est aussi un moyen sûr.
Pourtant c'est facile, il suffit de rester toute la journée au bureau de vote pour surveiller :
qu'il n'y a pas de dispositif de surveillance dans les isoloirs ;
qu'aucun électeur inscrit ne se voit refuser de voter ;
que l'urne est bien transparente et que les enveloppes s'y empilent bien dans le désordre ;
que personne n'est autorisé à voter deux fois ;
que personne ne met plusieurs enveloppes en même temps dans l'urne ;
que le contenu des urnes est mis tel quel dans les enveloppes, et que celles-ci ne sont pas ouvertes ni jetées avant le décompte ;
que le décompte se passe bien (je passe sur le détail sinon ce serait trop long).
C'est un peu fastidieux, mais il est permis de se faire aider, de se relayer, et d'impliquer des militants de partis politiques différents pour cela. Mais le vote papier est vérifiable par n'importe quelle personne valide.
Je suppose que tu ne réfléchis pas en avalant le médicament prescrit par ton médecin ?
Je lis la notice pour vérifier que ce n'est pas une prescription délirante, et pour m'informer de façon générale. Donc oui, je réfléchis avant, très mauvais exemple.
Ce n'est pas une question d'éteindre son cerveau, mais de faire confiance ou non à ceux qui sont censés connaitre un sujet et servir de garde fou.
Ici, ceux qui s'y connaissent sur le sujet ce sont les gens qui touchent en informatique. Eh bien, ça tombe bien, ceux qui s'y connaissent sont très majoritairement opposés aux ordinateurs de vote et ont d'excellent arguments pour justifier cela. Pas de bol, les mairies qui choisissent de mettre en place des urnes opaques invérifiables ne demandent rien à personne et l'imposent à leurs administrés sans concertation et sans conseil de la part des gens qui s'y connaissent.
Non non, l'argument c'est : on ne peut pas vérifier le comptage des voix avec ces machines. Tout le reste consiste à contrer les prétendus contre-arguments, par exemple :
– Ça a été vérifié par le Ministère.
– Ah, et comment je vérifie ça, moi ? Comment cette vérification a-t-elle été effectuée, qui peut en témoigner ? Cette machine précise a été vérifié ?
– Non, c'est le modèle qui a été certifié, évidemment.
– Eh bien, qui me dit que cette machine-ci est identique à celle qui a été certifiée ?
– C'est du logiciel libre que vous voulez, c'est ça ?
– Ce serait un minimum, mais ça ne changerait rien au problème, on ne peut pas vérifier que c'est bien le logiciel certifié qui tourne actuellement sur cette machine.
Parce même si ces machines étaient libre je ne vois pas comment tu pourrais vérifier si ton vote est finalement pris en compte au niveau du serveur central.
Plus simple : même si ces machines étaient libres d'un bout à l'autre, on ne pourrait pas vérifier que c'est bien le matériel et le logiciel spécifiés qui sont effectivement utilisés au moment où l'on vote.
En cette année électorale, j'ai été étonné de ne pas entendre parler du vote électronique qu'imposent certaines communes aux électeurs.
Ce n'est pas très étonnant, la majorité des gens est totalement ignare en matière de technologies informatiques. Ils savent les utiliser, après tout on fait tout pour que ce soit pratique, mais ils ne comprennent absolument pas leurs enjeux et sont incapable, ou ne souhaitent pas y réfléchir, on fait également pour ça d'ailleurs. Aucun recul, aucune réflexion, les gens éteignent leur cerveau quand ils sont devant un ordinateur…
Question tout à fait sérieuse, y a-t-il déjà eu des problèmes avec ces machines
Comment pourrait-on bien le savoir ? Comment, d'une façon générale, pourrait-on déterminer qu'un processus par nature impossible à vérifier se déroule comme il est censé le faire ?
Ce que tu peux faire, c'est demander à noter dans le procès-verbal que tu signales que tu n'as pas pu vérifier que ton vote a été pris en compte. Également, demander à participer au dépouillement (on va te répondre qu'il n'y a pas besoin de toi, j'imagine), et à défaut y assister : là encore, demander à noter dans le procès-verbal que tu mets en doute l'exactitude du comptage parce que tu n'es pas en mesure de le vérifier.
La feuille de style CycleMap n'est malheureusement pas mise à disposition librement.
Il faudrait écrire à son auteur alors. Je vais le faire de ce pas, c'est aberrant qu'un truc pareil, vachement utile d'ailleurs, ne soit pas libre.
Il serait opportun de regarder du coté du projet Beciklo. Il me semble que quelqu'un dans l'équipe avait déjà commencé à regarder mais il faut a minima l'adapter pour Mapnik 2.
À côté de la carte cyclable principale, Beciklo c'est vraiment très laid à mon avis, mais bon…
Clairement le problème, ici, est que certain (la plupart?) des admin sont des incompétents qui bloquent tout sauf le port 80 et 443 en pensant que ça rend leur install sûr.
Non, parce que ça pose problème même avec des pare-feux intelligemment réglés. Selon le mode (actif ou passif), FTP fait forcément chier au moins un pare-feu (celui du serveur ou celui du client), qui doit intégrer soit un proxy FTP soit un assistant de traque de connexion dédié à FTP.
Par ailleurs, FTP n'est pas sécurisé. Et tenter de sécuriser la connexion de contrôle le rend totalement incompatible avec les pare-feux, qui ne peuvent plus du tout traquer la connexion secondaire.
C'est bien d'avoir ajouté plusieurs feuilles de style, mais ce serait bien si elles avaient de vraies fonctionnalités spécifiques. Je pense en particulier à un style adapté aux cyclistes, indiquant les pistes et bandes cyclables, les contresens, les réparateurs, les loueurs, les stations de location, les fontaines publiques, bref tout ce qui peut intéresser un cycliste.
Le site principal de démonstration d'OpenStreetMap propose un tel style, ce serait bien de pouvoir l'utiliser pour générer des plans de ville, surtout si des plans génériques sont souvent disponibles dans le commerce, c'est plus rare pour les plans cyclables. Je pense en particulier à Paris, où Blay Foldex avait édité un plan très bien fait en 2007, mais ne l'a pas mis à jour par manque d'intérêt.
Je viens de te montrer qu'il n'y avait aucune logique entre les noms.
C'est toi qui choisis de nommer tes macros de façon logique ou non.
Ce que "signifie" ta macro, c'est son rendu, point barre.
Exact, mais ta macro existe et a un nom. Rien que cela, c'est utile, ça ajoute une indirection logique qui apporte de la souplesse.
Tu détournes l'exemple (en babel french, les listes sont à tirets par défaut), c'est l'inverse que je veux : je peux vouloir mettre certaines listes en valeur avec des bulles, et donc me créer un environnement à cet effet.
Effectivement, ça c'est de la mise en forme physique, et ça vaudrait le coup de t'interroger sur la raison pour laquelle tu veux faire cela.
Pour « souligné dans le manuscrit », c'est tout simplement « souligné dans le manuscrit », tu rends comme l'auteur l'a donné, même si tu ne comprends pas pourquoi.
Très bien, dans ce cas, il est pertinent de nommer cette macro \soulignemanuscrit ou un truc du genre. Des fois que l'éditeur décide que finalement, ce que l'auteur a souligné, il faudrait vraiment le souligner pour respecter le choix de l'auteur, plutôt que de le mettre en italique.
Pour \etranger, super, une macro inutile (quand je parlais de piston à coulisse… ) qui voudra juste dire \textit…
Que non ! Le jour où ton éditeur décidera que les mots étrangers devraient être en oblique plutôt qu'en italique, tu seras content d'avoir défini une macro dédiée !
De plus, il y a emphase tonique (ex. "tu m'as demandé de le faire") et emphase sémantique (ex. les termes communs employés en tant que concepts philosophiques), il faudrait donc de toute urgence créer un \emphconcept et un \emphtonique pour utiliser la commande de base \emph…
Si tu fais la différence et qu'elle a vraiment une importance dans ton contexte, il pourrait être pertinent de le faire en effet, mais je doute que ce soit vraiment utile.
il faut regarder du côté de l'évolution des valeurs des marchandises au cours du temps
Ça c'est de la stratégie plus que de la gestion je dirais. Et de toute façon, à un moment tout ce qui rapporte de l'argent est bon à prendre, même si ça en rapporte peu…
Par gestion, j'entends comment démêler le sac de nouilles d'un réseau de transport pour choisir quoi envoyer où sans se prendre la tête.
Tes commandes de base ne sont ni plus ni moins "physiques" que les macros.
Si, parce que les macros, elles sont nommées et définies une fois, et utilisées plusieurs fois sans recopie de code. À toi de leur donner un nom logique, évidemment.
Si dans un environnement français, je veux avoir une liste à l'anglo-saxonne avec des items à bulles au lieu de tirets, je vais me créer la macro "listbullet", dis-moi un peu en quoi ce sera moins "physique" que "itemize" ?
Dans un environnement français, tu utilises l'environnement logique itemize, et tu le redéfinis pour qu'il utilise des tirets semi-cadratins comme puce. Excellent exemple d'ailleurs.
À l'inverse, l'italique en français ("\textit" "physique" de base) c'est déjà au moins trois sens différents : souligné dans le manuscrit, mot étranger, insistance tonique.
« Souligné dans le manuscrit », ce n'est pas une utilisation logique, donc je passe sur cet usage, libre à toi d'analyser cet exemple pour déterminer à quels usages logiques cela correspond. Mot étranger : c'est l'occasion de définir une macro \etranger. Insistance : il y a \emph pour ça.
C'est le seul critère unique, il n'y a pas d'autre "logique" et donc pas de distinction physique/logique qui tienne.
Nawak. S'il n'y avait pas de distinction qui tienne, tu n'utiliserais pas de fonctions que tu définis, mais tu utiliserais les commandes de base à chaque fois, en les recopiant à chaque endroit où tu en as besoin. Et en les modifiant à chaque endroit où tu les as utilisées si tu décides qu'en bleu c'est mieux qu'en vert, tout compte fait.
C'est un dans un style un peu à l'ancienne, pas évident à prendre en main mais tout à fait passionnant. En revanche, s'il y a de nombreux conseils et exemples pour la construction de croisements par exemple, je n'ai pas trouvé dans le wiki de conseils sur la gestion pratique des lignes de transport de marchandise.
Je m'explique : lorsqu'on développe son réseau, on repère par exemple une forêt, une papeterie, et construit et on achète ce qu'il faut pour transporter le bois de l'une à l'autre, puis pour transporter les biens ainsi fabriqués vers une ville, et ainsi de suite au fur et à mesure des opportunités. Vient un moment où on dispose d'un réseau étendu, avec des dizaines de véhicules différents, transportant des chargements divers dans des endroits divers, sans ordre particulier. Les production évoluent, certains lieux de production ferment ou ouvrent, et on est alors confronté à des besoins de réorganisation de ses lignes de transport. Existe-t-il des techniques pour faciliter ce travail planification des lignes de transport, en le rationalisant peut-être ?
Tu réponds à côté : le fait de disposer d'un rendu visuel ou non, et de disposer de styles logiques plutôt que physiques, sont deux choses indépendantes. Il pourrait y avoir un bouton « mettre en emphase » et un autre « titre 1 », que ce serait tout à fait acceptable.
LaTeX utilise des fonctions, ou macros nommées. Tout l'intérêt est dans le nommage : on n'applique pas des instructions de mise en forme physique mais on appelle des fonctions logiques dont l'implémentation peut être redéfinie au besoin.
Dans le cadre du développement de Newton Adventure, j'utilisais jusqu'ici le format gif pour les sprites animés. Malheureusement ce format est limité à 256 couleurs par image. J'ai cherché une alternative:
Une alternative à un format d'animation compressé donc.
mng: ce format, qui aurait du être le successeur du gif est assez compliqué et peu utilisé.
Compliqué : en quoi le format lui-même te concernerait-il ? Ce que tu utiliserais, c'est libmng, pas MNG lui-même : c'est la libmng qui a une API trop compliqué ?
Peu utilisé : très mauvais argument, en créant un nouveau format tu peux être sûr d'une chose, c'est qu'il sera encore moins utilisé, à savoir, seulement par toi.
J'ai donc créé nanim, un format:
simple: non compressé, il stocke juste une liste d'animations, de frames et de nimages RGBA ou RGB.
Non compressé, d'accord d'accord… Mon pronostic à deux centimes : aucune chance de réussir à percer. Même GIF était compressé, et curieusement, les formats actuellement utilisés, même dans les jeux vidéos (son, images…), sont compressés.
Pour finir une nanimation (en gif malheureusement, en attendant de soumettre nanim au W3C): nanimation
Alors là, la probabilité que le W3C recommande pour le Web un format d'animation non compressé et optimisé pour le jeu vidéo est vraiment nulle, pour le coup.
Ah, et aussi, quand tu as les titres suivants : 1, 1.1, 1.2, 1.2.1, 1.2.2, 1.3, 2, 2.1, 2.2, 2.2.1, 2.2.2, 2.2.3, 3, 3.1, 3.2, 3.3 et que tu décides d'ajouter une nouvelle section entre la 1 et la 2 ? Tu renumérotes à la main ?
[^] # Re: Question
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique. Évalué à 10.
Pourtant c'est facile, il suffit de rester toute la journée au bureau de vote pour surveiller :
C'est un peu fastidieux, mais il est permis de se faire aider, de se relayer, et d'impliquer des militants de partis politiques différents pour cela. Mais le vote papier est vérifiable par n'importe quelle personne valide.
[^] # Re: Question
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique. Évalué à 6.
Quel rapport bon sang ? Le vote démocratique est un tout petit peu plus important quand même…
Et puis, surtout, le plus important, pour le vote démocratique il y a déjà un système qui garantit tout ce qu'il faut !
[^] # Re: Pas étonnant
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique. Évalué à 8. Dernière modification le 19 avril 2012 à 13:48.
Je lis la notice pour vérifier que ce n'est pas une prescription délirante, et pour m'informer de façon générale. Donc oui, je réfléchis avant, très mauvais exemple.
Ici, ceux qui s'y connaissent sur le sujet ce sont les gens qui touchent en informatique. Eh bien, ça tombe bien, ceux qui s'y connaissent sont très majoritairement opposés aux ordinateurs de vote et ont d'excellent arguments pour justifier cela. Pas de bol, les mairies qui choisissent de mettre en place des urnes opaques invérifiables ne demandent rien à personne et l'imposent à leurs administrés sans concertation et sans conseil de la part des gens qui s'y connaissent.
[^] # Re: Question
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique. Évalué à 10.
Non non, l'argument c'est : on ne peut pas vérifier le comptage des voix avec ces machines. Tout le reste consiste à contrer les prétendus contre-arguments, par exemple :
– Ça a été vérifié par le Ministère.
– Ah, et comment je vérifie ça, moi ? Comment cette vérification a-t-elle été effectuée, qui peut en témoigner ? Cette machine précise a été vérifié ?
– Non, c'est le modèle qui a été certifié, évidemment.
– Eh bien, qui me dit que cette machine-ci est identique à celle qui a été certifiée ?
– C'est du logiciel libre que vous voulez, c'est ça ?
– Ce serait un minimum, mais ça ne changerait rien au problème, on ne peut pas vérifier que c'est bien le logiciel certifié qui tourne actuellement sur cette machine.
[^] # Re: Question
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique. Évalué à 6.
Plus simple : même si ces machines étaient libres d'un bout à l'autre, on ne pourrait pas vérifier que c'est bien le matériel et le logiciel spécifiés qui sont effectivement utilisés au moment où l'on vote.
# Pas étonnant
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique. Évalué à 3.
Ce n'est pas très étonnant, la majorité des gens est totalement ignare en matière de technologies informatiques. Ils savent les utiliser, après tout on fait tout pour que ce soit pratique, mais ils ne comprennent absolument pas leurs enjeux et sont incapable, ou ne souhaitent pas y réfléchir, on fait également pour ça d'ailleurs. Aucun recul, aucune réflexion, les gens éteignent leur cerveau quand ils sont devant un ordinateur…
[^] # Re: Question
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique. Évalué à 9.
Comment pourrait-on bien le savoir ? Comment, d'une façon générale, pourrait-on déterminer qu'un processus par nature impossible à vérifier se déroule comme il est censé le faire ?
# Signaler…
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique. Évalué à 10.
Ce que tu peux faire, c'est demander à noter dans le procès-verbal que tu signales que tu n'as pas pu vérifier que ton vote a été pris en compte. Également, demander à participer au dépouillement (on va te répondre qu'il n'y a pas besoin de toi, j'imagine), et à défaut y assister : là encore, demander à noter dans le procès-verbal que tu mets en doute l'exactitude du comptage parce que tu n'es pas en mesure de le vérifier.
[^] # Re: Carte cyclable
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Nouvelle version de MapOSMatic, le service Web de rendu de cartes de ville. Évalué à 3.
Il faudrait écrire à son auteur alors. Je vais le faire de ce pas, c'est aberrant qu'un truc pareil, vachement utile d'ailleurs, ne soit pas libre.
À côté de la carte cyclable principale, Beciklo c'est vraiment très laid à mon avis, mais bon…
[^] # Re: Téléchargement et webservice
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal spdy://. Évalué à 6.
Non, parce que ça pose problème même avec des pare-feux intelligemment réglés. Selon le mode (actif ou passif), FTP fait forcément chier au moins un pare-feu (celui du serveur ou celui du client), qui doit intégrer soit un proxy FTP soit un assistant de traque de connexion dédié à FTP.
Par ailleurs, FTP n'est pas sécurisé. Et tenter de sécuriser la connexion de contrôle le rend totalement incompatible avec les pare-feux, qui ne peuvent plus du tout traquer la connexion secondaire.
# Carte cyclable
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Nouvelle version de MapOSMatic, le service Web de rendu de cartes de ville. Évalué à 7.
C'est bien d'avoir ajouté plusieurs feuilles de style, mais ce serait bien si elles avaient de vraies fonctionnalités spécifiques. Je pense en particulier à un style adapté aux cyclistes, indiquant les pistes et bandes cyclables, les contresens, les réparateurs, les loueurs, les stations de location, les fontaines publiques, bref tout ce qui peut intéresser un cycliste.
Le site principal de démonstration d'OpenStreetMap propose un tel style, ce serait bien de pouvoir l'utiliser pour générer des plans de ville, surtout si des plans génériques sont souvent disponibles dans le commerce, c'est plus rare pour les plans cyclables. Je pense en particulier à Paris, où Blay Foldex avait édité un plan très bien fait en 2007, mais ne l'a pas mis à jour par manque d'intérêt.
[^] # Re: Incohérent
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Naissance du projet nanim. Évalué à 2.
Soyons modernes : XZ. Plus rapide à décompresser que bzip2, presque aussi rapide que gzip en fait.
[^] # Re: Téléchargement et webservice
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal spdy://. Évalué à 4.
En HTTP aussi il me semble.
[^] # Re: Styles
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Etherpad Lite. Évalué à 2.
Au fait, tu numérotes vraiment tous tes titres à la main ? Tu construis vraiment tous tes sommaires à la main ?
[^] # Re: Styles
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Etherpad Lite. Évalué à 2.
C'est toi qui choisis de nommer tes macros de façon logique ou non.
Exact, mais ta macro existe et a un nom. Rien que cela, c'est utile, ça ajoute une indirection logique qui apporte de la souplesse.
Effectivement, ça c'est de la mise en forme physique, et ça vaudrait le coup de t'interroger sur la raison pour laquelle tu veux faire cela.
Très bien, dans ce cas, il est pertinent de nommer cette macro \soulignemanuscrit ou un truc du genre. Des fois que l'éditeur décide que finalement, ce que l'auteur a souligné, il faudrait vraiment le souligner pour respecter le choix de l'auteur, plutôt que de le mettre en italique.
Que non ! Le jour où ton éditeur décidera que les mots étrangers devraient être en oblique plutôt qu'en italique, tu seras content d'avoir défini une macro dédiée !
Si tu fais la différence et qu'elle a vraiment une importance dans ton contexte, il pourrait être pertinent de le faire en effet, mais je doute que ce soit vraiment utile.
[^] # Re: Complexité
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche OpenTTD 1.2.0 est sorti. Évalué à 2.
Ça c'est de la stratégie plus que de la gestion je dirais. Et de toute façon, à un moment tout ce qui rapporte de l'argent est bon à prendre, même si ça en rapporte peu…
Par gestion, j'entends comment démêler le sac de nouilles d'un réseau de transport pour choisir quoi envoyer où sans se prendre la tête.
[^] # Re: Styles
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Etherpad Lite. Évalué à 3.
Si, parce que les macros, elles sont nommées et définies une fois, et utilisées plusieurs fois sans recopie de code. À toi de leur donner un nom logique, évidemment.
Dans un environnement français, tu utilises l'environnement logique itemize, et tu le redéfinis pour qu'il utilise des tirets semi-cadratins comme puce. Excellent exemple d'ailleurs.
« Souligné dans le manuscrit », ce n'est pas une utilisation logique, donc je passe sur cet usage, libre à toi d'analyser cet exemple pour déterminer à quels usages logiques cela correspond. Mot étranger : c'est l'occasion de définir une macro \etranger. Insistance : il y a \emph pour ça.
[^] # Re: Styles
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Etherpad Lite. Évalué à 4.
Nawak. S'il n'y avait pas de distinction qui tienne, tu n'utiliserais pas de fonctions que tu définis, mais tu utiliserais les commandes de base à chaque fois, en les recopiant à chaque endroit où tu en as besoin. Et en les modifiant à chaque endroit où tu les as utilisées si tu décides qu'en bleu c'est mieux qu'en vert, tout compte fait.
[^] # Re: Complexité
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche OpenTTD 1.2.0 est sorti. Évalué à 4.
Ah, mais justement, je cherche des conseils pour la planification de lignes de transports, je ne peux pas en donner !
# Complexité
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche OpenTTD 1.2.0 est sorti. Évalué à 5.
C'est un dans un style un peu à l'ancienne, pas évident à prendre en main mais tout à fait passionnant. En revanche, s'il y a de nombreux conseils et exemples pour la construction de croisements par exemple, je n'ai pas trouvé dans le wiki de conseils sur la gestion pratique des lignes de transport de marchandise.
Je m'explique : lorsqu'on développe son réseau, on repère par exemple une forêt, une papeterie, et construit et on achète ce qu'il faut pour transporter le bois de l'une à l'autre, puis pour transporter les biens ainsi fabriqués vers une ville, et ainsi de suite au fur et à mesure des opportunités. Vient un moment où on dispose d'un réseau étendu, avec des dizaines de véhicules différents, transportant des chargements divers dans des endroits divers, sans ordre particulier. Les production évoluent, certains lieux de production ferment ou ouvrent, et on est alors confronté à des besoins de réorganisation de ses lignes de transport. Existe-t-il des techniques pour faciliter ce travail planification des lignes de transport, en le rationalisant peut-être ?
# Sprites 32 bits
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche OpenTTD 1.2.0 est sorti. Évalué à 6.
Ces sprites 32 bits n'étaient-ils pas déjà disponibles pour les versions précédentes ?
(Au passage, par 32 bits, j'imagine qu'on entend un octet par couleur plus un canal alpha ?)
[^] # Re: Styles
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Etherpad Lite. Évalué à 2.
Tu réponds à côté : le fait de disposer d'un rendu visuel ou non, et de disposer de styles logiques plutôt que physiques, sont deux choses indépendantes. Il pourrait y avoir un bouton « mettre en emphase » et un autre « titre 1 », que ce serait tout à fait acceptable.
[^] # Re: Styles
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Etherpad Lite. Évalué à 1.
LaTeX utilise des fonctions, ou macros nommées. Tout l'intérêt est dans le nommage : on n'applique pas des instructions de mise en forme physique mais on appelle des fonctions logiques dont l'implémentation peut être redéfinie au besoin.
# Incohérent
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Naissance du projet nanim. Évalué à 8.
Une alternative à un format d'animation compressé donc.
Compliqué : en quoi le format lui-même te concernerait-il ? Ce que tu utiliserais, c'est libmng, pas MNG lui-même : c'est la libmng qui a une API trop compliqué ?
Peu utilisé : très mauvais argument, en créant un nouveau format tu peux être sûr d'une chose, c'est qu'il sera encore moins utilisé, à savoir, seulement par toi.
Non compressé, d'accord d'accord… Mon pronostic à deux centimes : aucune chance de réussir à percer. Même GIF était compressé, et curieusement, les formats actuellement utilisés, même dans les jeux vidéos (son, images…), sont compressés.
Alors là, la probabilité que le W3C recommande pour le Web un format d'animation non compressé et optimisé pour le jeu vidéo est vraiment nulle, pour le coup.
[^] # Re: Styles
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Etherpad Lite. Évalué à 4.
Ah, et aussi, quand tu as les titres suivants : 1, 1.1, 1.2, 1.2.1, 1.2.2, 1.3, 2, 2.1, 2.2, 2.2.1, 2.2.2, 2.2.3, 3, 3.1, 3.2, 3.3 et que tu décides d'ajouter une nouvelle section entre la 1 et la 2 ? Tu renumérotes à la main ?