Gniarf a écrit 6776 commentaires

quel rapport entre ton post et son parent ?

ouaip. les vraies grosses bases de l'IGN et autres Michelin, TeleAtlas, etc, sont certes riches mais très chères.


néanmoins dans une vision francofrançaise :


la base ville-code postal des communes de France est disponible. le principal souci est qu'elle est vite obsolète (des codes postaux changent d'année en année, et parfois même le nom des communes changent, même pour des grosses villes). il faut donc utiliser le code INSEE des communes, identifiant de référence. ah, ensuite il y a la joie des CEDEX, des arrondissements, des raffinements bizarres des codes postaux...

la localisation (X,Y) des villes et villages de France est également disponible sans trop d'effort. mais c'est souvent juste leur position, pas le dessin des limites de la commune ou des habitations. ah, il y en a un peu plus de 36 000.

Beaucoup d'éditeurs de systèmes d'informations géographiques ou d'environnements de développement fournissent ces données comme exemples avec leur logiciel, elles sont idéales pour se faire la main... et sont considérées sans trop de valeur marchande. dans le même sac, on a souvent le contour du pays, des régions et départements... souvent dessinés à la hache d'ailleurs.


en gros, si tu ne veux ces données que pour le top 20 ou 50 ou même 100, 200 des plus grosses villes de France, ça se trouve sans problème. la précision n'est pas forcément bonne (au kilomètre près par exemple) mais c'est à relier au besoin. le plus génant est qu'il y a souvent des grosses erreurs dedans...


Pour les autres pays : c'est vite un foutoir immonde, chaque pays a son propre système de code postal... si tu débutes, joue avec la France pour commencer :)


pour une correspondance adresse IP - localisation géographique : c'est du flan complet. tu peux obtenir une relation entre une ip et un fournisseur d'accès par la base du RIP (il y a un fichier qui donne 80.118/15 est alloué à LDCOM par exemple), mais ça ne préjuge en *RIEN* de la façon dont le FAI les utilise, ni dont les clients utilisent ce que le FAI leur fournit (utilisation des proxy, par exemple).

bref, poubelle. en plus, ça sert juste à faire chier le monde, par exemple un américain en visite à Paris ne pourra pas consulter google.com (pour accéder à son contenu habituel pour lui) car constamment renvoyé sur google.fr, grâce à cette géniaaaaaale classification par IP. suivant le site, on peut faire des pieds et des mains à coup de "préférences" et de cookies, ou bien on ne peut rien faire du tout. sales cons.

non, il suffisait de faire une dépèche si le sujet te tenait à coeur.

aux dernières nouvelles, elles ne tombent pas du ciel, ou alors, ça s'appelle des communiqués de presse et sont rarement à leur place ici. (publi-rédactionnels divers truffés de buzzwords et d'auto-satisfaction guillerette)


et LinuxFR ne constitue pas la seule source d'information ici bas. on peut compter outre Distrowatch (que je ne visite jamais) OSNews et LinuxToday, chacun avec son style éditorial, ses qualités et ses défauts.

y a t'il un axe ou une orientation pour le choix des logiciels, au niveau thèmes ?

par exemple, on notera ici :

*pas de logiciels de développement ou "serveurs", Apache Php/Perl Mysql etc
*pas de programmes éducatifs ou ludo-éducatifs
*pas de jeux


par exemple, un programme comme Celestia (planetarium + balade virtuelle dans l'Univers) est compatible au niveau sélection de logiciels ?

ce n'est pas pour critiquer, c'est pour comprendre le "positionnement" si il y en a un.

et ce n'est pas un troll.

ça dépend des versions de wget (et autres utilitaires similaires)

bizarre. c'est rare que les articles de première page comme ça sautent d'un coup. il était d'ailleurs plutot bon et bien informé... sauf ceci, trollogène à souhait :

"Le modèle du «libre» est issu du militantisme et du non marchand, et fondé sur la coopération entre programmeurs, plus que sur la concurrence entre entreprises."


hors contexte, évidement :)

que j'ai vu passer dans ma revue de presse habituelle...

http://www.linuxdevcenter.com/pub/a/linux/2004/08/19/kickstart.html(...)

http://www.linuxdevcenter.com/pub/a/linux/2004/11/04/advanced_kicks(...)


bon courage.

mouais.

je me permets de rigoler un peu car il y a 4 ans, le jeu 3D à la mode qui tuait bien et qui était très populaire sur Windows comme sur Linux était... Quake 3.

la plupart des réflexions du style "maintenant ils vont prendre Linux au sérieux" se passaient déjà.

et où qu'on en est, 4 ans après ?

status quo complet.

il voulait parler de vraies distributions utilisables dans un environnement professionnel.


(merci pour la perche)

j'adore cet argument concernant la numérotation des versions.

l'environnement coLinux étant un peu particulier, il faut agir avec calme et méthode, et dans l'ordre :

faire marcher le réseau
*choisir dhcp ou un ip fixe, utiliser l'outil intégré à la distribution, éditer les bon fichiers à la main ou taper les 3 commandes magiques à la main (à base de route et ifconfig)
*ajuster /etc/hosts et /etc/resolv.conf si nécessaire
*tester (pinguer dehors, puis un vrai test comme wget)

éventuellement se connecter en ssh dessus à ce moment, histoire d'avoir un vrai terminal avec les touches comme il faut.

faire marcher X
*export DISPLAY qui va bien, xhost + si besoin tant qu'on est encore un peu perdu,
*tester avec un client X de base, comme xterm ou xclock


seulement à ce moment, se préoccuper d'avoir un "bureau" comme Gnome ou KDE, démarré à la main (startx) ou par un kdm ou gdm

à moins que je me fasse avoir par le cache du navigateur, je vois ça :

claire : (blablabla)
PN: (blablabla puis) "On ne règlera pas les problèmes de piraterie sur Internet en créant une taxe sur les abonnements Internet. Taxe qui, si elle doit compenser les pertes de la musique, cinéma, des jeux vidéo, des logiciels, s'éleverait à plus de 1.000 euros par an."


les consommateurs honnêtes qui tournent à 100 ou 150 euros par an (parce qu'ils n'ont pas de lecteurs de DVD, vont au ciné tous les deux mois, jouent à quelques hits d'il y a 3 ans sur leur machine de 2 ans alors qu'ils sont facturés 10 ou 15 euros) n'intéressent sûrement pas cette personne : des consommateurs responsables, avertis et pas voraces, qui font preuvent de discernement et consomment avec attention et retenue, c'est dangeureux, ça devrait même être interdit : ce n'est pas commercial.

http://www.liberation.fr/page.php?Article=251763(...)



"ce n'était pas ma question..." "c'était ma réponse !"

Celestia et PDF Creator aussi. (enfin, peut etre pas sur cette derniere version en date de Ubuntu).

des voleurs ?

une éthique ?


bwahahahahahaha !

A-t-on vu des critiques poursuivis pour avoir cité des extraits dans leurs avis ?

oui. et comme par hasard, quand ça ne plaisait pas...

Bonjour, étant donné que cette distinction "free software" et "open source" est importante mais brouille effectivement toute lecture un peu longue (comme celle entre Linux et GNU/Linux pour d'autres sujets), vous pouvez employer les deux termes de façon interchangeable comme on le peut la plupart du temps et développer la distinction à loisir dans une annexe.

un journal de janvier : http://linuxfr.org/~Gniarf/8915.html(...)


tout ce que cette taxe va apporter, ce sont des produits de troisième zone volontairement interopérables avec rien du tout.

\_o<

plop2

mentalité de Windowsien, tiens.

Vieux OS et son Ingénue ? :)

seb, sebian.

les différentes URLs du style :

http://www.games-workshop.com/legal.htm(...)

http://www.games-workshop.com/ippolicy.htm(...)

et surtout http://www.games-workshop.com/can_cant_do.htm(...)

telles que je les lis ne couvrent absolument pas l'adaptation informatisée de la quasi intégralité des règles d'un jeu Games Workshop.


bref, on reste dans le domaine du © Copyright Games Workshop Ltd, 2004. All rights reserved.