Rassurez-vous, c'était bien essentiellement du second degré.
Je lis linuxfr sans participer depuis de nombreuses années, et donc je m'y plais suffisamment.
Si j'ai ajouté cette précision, c'est simplement car malgré tout ce journal porte plutôt sur de la technique, dont je ne maîtrise pas tout le vocabulaire : je répondais juste par anticipation à d'éventuels commentaires sur des "erreurs de formulation", car par exemple le concept d'unité systemd reste quand même bien obscur pour moi ( d'où le fait que je me restreigne aux services, qui pour mon usage, sont plutôt bien nommés).
pragmatiquement, jusqu'à preuve du contraire, 1) la mise en place d'un régime communiste se termine toujours par un régime totalitaire
Pas de souci, je suis d'accord avec toi là-dessus, mais même si cette corrélation est causalité, quel que soit leur lien, communisme et totalitarisme restent deux choses différentes : précisément, surveillance de masse, état policier et goulag sont des idées totalitaires et non communistes. C'était ce qui me chiffonnait dans ton 1er commentaire.
Apparemment, ma pique a été mal interprétée.
Je voulais en fait relever un amalgame me paraissant abusif entre un système politique (totalitarisme) et un système économique (communisme).
Je ne connais pas assez le communisme pour en être certain, mais je doute qu'il implique forcément une surveillance de masse, un état policier, et un goulag.
(Bonjour à tous, ancien lurker, juste inscrit comme Norlinwen)
Je me permets d'appuyer fortement le fait que les "auteurs" ou plutôt leurs représentants se sont tiré une balle dans le pied au moment de la licence globale, qui depuis a été réinventée par les prestataires de streaming, qui maintenant peuvent imposer leurs conditions (plus défavorables que la licence globale) aux utilisateurs et aux auteurs : c'était vraiment l'occasion de repenser les œuvres de l'esprit comme un objet non marchand.
[^] # Re: Second degré
Posté par hugotrip . En réponse au journal Systemd à la maison. Évalué à 2.
Rassurez-vous, c'était bien essentiellement du second degré.
Je lis linuxfr sans participer depuis de nombreuses années, et donc je m'y plais suffisamment.
Si j'ai ajouté cette précision, c'est simplement car malgré tout ce journal porte plutôt sur de la technique, dont je ne maîtrise pas tout le vocabulaire : je répondais juste par anticipation à d'éventuels commentaires sur des "erreurs de formulation", car par exemple le concept d'unité systemd reste quand même bien obscur pour moi ( d'où le fait que je me restreigne aux services, qui pour mon usage, sont plutôt bien nommés).
[^] # Re: La vie est un combat…
Posté par hugotrip . En réponse au journal Nostalgie d'Internet des années 2000.. Évalué à 3.
Pas de souci, je suis d'accord avec toi là-dessus, mais même si cette corrélation est causalité, quel que soit leur lien, communisme et totalitarisme restent deux choses différentes : précisément, surveillance de masse, état policier et goulag sont des idées totalitaires et non communistes. C'était ce qui me chiffonnait dans ton 1er commentaire.
[^] # Re: La vie est un combat…
Posté par hugotrip . En réponse au journal Nostalgie d'Internet des années 2000.. Évalué à 0.
Apparemment, ma pique a été mal interprétée.
Je voulais en fait relever un amalgame me paraissant abusif entre un système politique (totalitarisme) et un système économique (communisme).
Je ne connais pas assez le communisme pour en être certain, mais je doute qu'il implique forcément une surveillance de masse, un état policier, et un goulag.
[^] # Re: La vie est un combat…
Posté par hugotrip . En réponse au journal Nostalgie d'Internet des années 2000.. Évalué à 4.
À quel moment les États-Unis ont-ils basculé dans le communisme ?
[^] # Re: Normalisation
Posté par hugotrip . En réponse au journal Nostalgie d'Internet des années 2000.. Évalué à 8.
(Bonjour à tous, ancien lurker, juste inscrit comme Norlinwen)
Je me permets d'appuyer fortement le fait que les "auteurs" ou plutôt leurs représentants se sont tiré une balle dans le pied au moment de la licence globale, qui depuis a été réinventée par les prestataires de streaming, qui maintenant peuvent imposer leurs conditions (plus défavorables que la licence globale) aux utilisateurs et aux auteurs : c'était vraiment l'occasion de repenser les œuvres de l'esprit comme un objet non marchand.