PhRæD a écrit 527 commentaires

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 4.

    Pour autant, ce que montre ces données, c’est que si la minorité qui émet le plus ne fait rien, les efforts des autres seront sans effet.

    Bizarrement, il n’est pas mis en avant que 50 % des français ne sont responsables que de 20 % des émissions (pourtant c’est aussi écrit dans le graphique).

    Or dans la plupart des discussions sur ce forum, il est question du « français lambda » qui manifestement, n’est pas la clé du problème.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 3.

    Je ne l’ai pas cité en tant que modèle écologique, mais en tant qu’exemple de l’importance de l’impact social du type d’habitat.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à -1.

    Je n’ai jamais prétendu être un exemple.

    Je débat de l’idée selon laquelle nous sommes « condamnés » à vivre en habitat collectif pour « sauver la planète ».

    Je défends l’idée que chacun doit avoir le droit « à la terre et au ciel », c’est à dire à disposer de la possibilité de vivre en maison individuelle (ce qui ne veut pas dire pavillon). Ce qui ne veut pas dire non plus d'interdire les appartements pour ceux qui le souhaitent (mais pas l’imposer).

    Quant à cette idée qu’il n’y aurait pas assez de place : le territoire métropolitain fait 543 940 km2, à diviser par environ 30 millions de résidence principales, ce qui donne 0,018131 km2 par habitation, soit 18 131 m2. Même en comptant les endroits inhabitables et les infrastructures, ça laisse de la marge quand par chez moi la parcelle courante actuelle est de 750 m2 et que de toute manière, une grande partie des maisons individuelles déjà construites sont mitoyennes (centre ville, centre village). On en est pas à couvrir la France de lotissement (j’ai déjà écrit ce que j’en pensais).

    Pour finir, j’ai déjà écrit que le combat écologique ne devait pas se faire au niveau des individus, mais du système : on vivrait tous en appartement que le capitalisme cramerait quand même la planète pour le profit de quelques-uns.

    Votre animosité contre « les gens » est d’ailleurs remarquable, quand on songe que vous ne faites jamais mention des véritables pollueurs que sont les ultra-riches (voir infra la gabegie du seul jet du sieur Arnault) et les multinationales.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: HS de chez HS

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à -6.

    Alors perso je ne fais pas que préconiser, je suis assez scientifique pour comparer "petit risque" à "très petit risque", et j'ai injecté ce "très petit risque" à mes enfants, n'en déplaise à ceux qui pensent que laisser un plus gros risque à ses enfants est "mieux" juste parce que le risque initial est faible

    Ça alors, vous êtes plus royaliste que l’OMS :

    « Les vaccins contre la COVID‑19 homologués par l’OMS sont sans risque pour la plupart des personnes âgées de 18 ans et plus, y compris pour celles souffrant de pathologies préexistantes de toutes sortes comme les maladies auto-immunes. Ces pathologies sont notamment l’hypertension, le diabète, l’asthme, les maladies pulmonaires, hépatiques ou rénales ainsi que des infections chroniques stabilisées et maîtrisées.
    Le vaccin de Pfizer peut être administré en toute sécurité aux enfants à partir de 5 ans. Les vaccins de Moderna et de Pfizer sont homologués pour une utilisation chez les enfants dès l’âge de 12 ans.
    Des essais sont en cours pour l’utilisation d’autres vaccins anti-COVID-19 chez les enfants et les adolescents, et l’OMS mettra à jour ses recommandations lorsque des données factuelles ou la situation épidémiologique justifieront un changement de politique.
    Il convient de proposer la vaccination aux enfants âgés de plus de 5 ans présentant des comorbidités qui les exposent à un risque significativement plus élevé de développer une forme grave de la COVID-19, tout comme aux autres groupes hautement prioritaires.
    Néanmoins, l’OMS recommande aux pays de ne vacciner les enfants en bonne santé qu’une fois qu’un taux élevé de couverture avec deux doses a été atteint chez les groupes ayant un degré de priorité élevé d’après la Feuille de route de l’OMS pour l’établissement des priorités- en anglais. »

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 3.

    Effectivement, il est incroyable de ne pas tirer parti du nombre conséquent d'infrastructures renouvelables déjà en place (pour la plupart des moulins à eaux). Dans un rayon de 20 km autour de chez moi, j’en connais au moins 10 (et 1 seul en service).

    Et je viens de passer 15 jours en Bretagne à Fouesnant, on peut y ajouter les moulins à marée.

    Étendu à toute la France, cette possible production pourrait ne pas être anecdotique.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à -3.

    J’ai acheté la maison en petit D et avec les renforcements, je pense qu’on est maintenant à un petit C : 1 500 € de chauffage (gaz) pour 220 m2 habitable pour 2 (+ 130 m2 de sous-sol + 90 m2 possible sous la toiture).

    Quant à une bascule vers du 100 % renouvelable, je ne tire pas ça de mon chapeau, mais de Négawatt

    Peut-être cette lecture vous permettra d’envisager autre chose que le totalitarisme écologique qui suinte de vos propos ?

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Bernard et son avion

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 3.

    Je trouve triste de condamner l’humanité toute entière pour les agissements que quelques-uns. Car le système est tenu par disons les 0,001 %.

    Personnellement, je pense que nous aboutirons plutôt à une sorte de sécession, laissant les oligarques dans leur chimères.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 2.

    En fait vous êtes l’archétype de l’écologiste punitif qui pense savoir ce qui est bon pour les autres.

    De mon point de vue, l’urgence n’est pas tant de fustiger les individus mais de changer de système pour permettre une vraie transition énergétique : commençons par ne plus produire ce qui ne sert à rien, et limitons-nous à l’intérêt général;

    Cette démarche permettrait d’arriver à basculer sur un mode 100 % renouvelable dont la plus grande qualité est de ne plus devoir être sobre pour être sobre : tant pis si ma maison consomme un peu « trop » d’énergie si celle-ci provient de mon toit solaire en très grand partie (mais d’un autre côté, fini les jets privés et les yatchs de luxe).

    Un peu comme le logiciel libre permet un monde numérique d’abondance (au contraire du privatif), le passage à 100 % renouvelable ouvrira un monde d’abondance énergétique (ce qui ne signifie pas « devoir » la gaspiller, mais juste ne plus être un souci).
    Je cite souvent l’exemple du québeois qui se chauffe à 25°C à l’électrique (à bas coût) par - 20°C simplement parce qu’il y a été fait le choix du renouvelable il y 50 ans. Le chauffage n’est pas un souci, pour un québécois, un comble pour la plupart des français.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 1.

    Je comprends mieux.

    Si l’on parle de préserver l’habitat individuel pas de problème pour densifier.

    Mais il ne s’agit bien de ne pas sacrifier l’humain sur « l’autel de l’écologie ».

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 6.

    maisons individuelles (impossible d'avoir des transports en commun rentables et/ou de la zone de vie accessible sans voiture)

    Ben si : avec le vélo. C’est une manie de vouloir enfermer tout le monde en appartement dans des bus.

    L’avenir de l’urbanisme, c’est de prendre en compte le possible ouvert par le vélo à assistance électrique.

    Par exemple à Nantes quartier Chantenay, bon nombre d’habitants d’horribles maisons individuelles ont troqué leur voitures pour un vélo-cargo électrique pour promener les enfants, qui permet aussi de faire ses courses SANS voiture.
    C’était encore plus marqué dans mon passage récent à Annecy : record : 4 sur le même vélo (un long-trail, avec maman son grand et ses deux petits frères en bas-âges).

    Il est temps de changer de logiciel !

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à -4. Dernière modification le 25 juillet 2022 à 16:09.

    L'heureux habitant d'une maison parle d'eux comme épouvantail, alors qu'il peut avoir un appart correct mais n'en parle bizarrement pas.

    C’est faux, j’ai déjà écrit que j’ai vécu (5 ans) dans un appartement (très) confortable à Paris (85 m2 pour 2, balcon, vue dégagé sur le bassin de la Villette, au pied des cinémas MK2).

    Je maintiens que ça n’est pas comparable avec une maison avec jardin.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à -1.

    Je parle depuis le début au droit à la maison individuelle, pas nécessairement au pavillon (lire mon exemple des amiénoises).

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 5.

    Plus caricatural tu meurs.

    1. Maison achetée (date de 1978) et pas construite : le bien le plus écolo est celui qu’on ne construit pas.
    2. Renforcement de son isolation (plutôt bonne pour l’époque).
    3. Pas quelques trajets : quasiment tous mes trajets sont à vélo (aux marchés, aux magasins, aux sport, à la plage, en balade)
    4. Une quarantaine d’arbres dans le jardin = oasis de bio-diversité et garantie de fraicheur l’été.
    5. Composteur dans le jardin : pas de déchet organiques végétaux.
    6. Taille des arbres et haies = paillis réduction des besoin en eaux.
    7. Robot de tonte : bio-diversité accrue (à un point remarquable). Pas de bruit pour les voisins. La coupe repart dans le sol (plutôt qu’en déchetterie).
    8. Zéro pesticide.
    9. Nourriture en très grande partie locale (boucher, crèmerie, pain) et / ou bio.
    10. J’en oublie certainement.

    Mes premiers appartements à Paris (rue Archereau) dataient vraisemblablement des années 1970, dans une très grosse copropriété. Passoires énergétiques, mais chauffés à donf : 25°C l’hiver, sans ouvrir les radiateurs rien qu’avec les conduites et les fenêtres (simple vitrage) ouvertes.
    Je suis passé en 2008 à un immeuble de « standing » quai de Seine : pas beaucoup mieux : chauffage électrique, avec baies double vitrage mal posées (obliger de mettre de l’adhésif transparent le long du cadre pour bloquer les courants d’air).

    Bref, vos jugements à l’emporte-pièce ont beau être péremptoires, ils n’en sont pas pour autant ni convaincant ni fondés.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • # Reprendre la main sur la production

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 6.

    Moi je vois comme calamité le déploiement d’une marque comme Action.

    Non content de vendre tout et n’importe quoi fabriqué n’importe où, cette enseigne fait fleurir partout (en tout cas par chez moi) des hangars logistiques démesurés.

    C’est l’archétype absolu de notre système : vendre.

    Un exemple différent sur la marché de mes vacances : plus de la moitié des étals étaient constitués de bimbeloteries inutiles. Vous savez, comme quand vous allez en formation et qu’on refile carnet, stylo, etc.

    Passer à autre chose que le capitalisme serait de décider collectivement (et non selon le bon vouloir de l’actionnaire) ce qui est utile à produire.

    Il n’est pas possible de sortir du cercle vicieux destructeur dans lequel nous sommes enfermés autrement.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • # En finir avec le repassage ?

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 6.

    C’est bizarre comme il n’est jamais question du coût énergétique de cette activité qui doit pourtant ne pas être négligeable (quand à côté, on va me reprocher de pas éteindre ma box pendant mes absences).

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 8.

    Le problème n’est pas la maison individuelle (j’y vis sans presque dépendre d’une voiture), le problème c’est de construire ex nihilo de grandes quantités de maisons sans les services de bases qui vont avec à proximité.

    En résumé, on a construit des dortoirs, pas des villages.

    C’est un problème d’urbanisme.

    Le modèle du pavillon a été rendu possible par la voiture, c'est un fait. On aurait pas pu avoir un tel urbanisme sans la voiture individuelle

    C'est faux : la myriade de villages qui existent en France ne sont pas le fait de la voiture. Ce qui est le fait de la voiture, c’est « la banlieulisation », la création de lieux non-vivants.

    C’est pour ça que j’insiste sur le caractère éminemment social de l’habitat. On ne peut pas « condamner » l’humanité à vivre dans des placards à balai (n’en déplaise à certain, c’est tout de même le ressenti majoritaire de l’expérience appartement, sinon, pourquoi y aurait-il eu l’essor des pavillons ?).
    Je maintiens qu’il est essentiel pour un humain d’avoir accès à la terre et au ciel.

    Un exemple que je reprends souvent est le cas d’Amiens (j’y ai vécu un bout de temps). Les quartiers dit difficiles sont ceux les plus denses (barres d’immeubles du quartier nord). Il est très intéressant de les comparer aux autres quartiers pourtant constitués d’amiénoises (maisons quasi-identiques placés les unes à côtés des autres MAIS avec quasiment toutes un jardin). C’est très remarquablement homogène (je n’ai vu ça quasiment nul par ailleurs : en vivant dans une amiénoise, vous connaissez le plan de maison de 75 % des autres habitants). Ces autres quartiers sont quasiment exempts des soucis des quartiers nord. Et je pense que c’est dû à l’habitat : sans jardin, une jeunes est « condamné » à « zoner » dans les communs, et les mauvaises idées ayant tendances à fleurir en groupe, engendre des comportements incivils.

    Un autre est celui du 19 ème arrondissement de Paris : pourquoi pas d’émeute en 95 ? Alors que c’est le quartier le plus dense en tours et barres d’habitation ? Avec le même profil d’habitant (c’est l’arrondissement avec le plus de logements sociaux) ? Parce que c’est l’exception qui confirme la règle : contrairement à la barre de banlieue, celle du 19ème dispose de services et de loisirs (parc de la Villette, des Buttes Chaumont, Bassin de la Villette) à ses pieds et d’un très bon réseau de transport.

    Bref, c’est un lieu vivant (ce qui est tout de même à mille lieues de la vie à campagne).

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 0. Dernière modification le 25 juillet 2022 à 14:01.

    Parce qu'il ne faut pas de transport pour alimenter les commerces de ville ? Je doute que vos achats soient aussi locaux que les miens sur mes marchés.

    Je travaille 2 jours par semaine sur Paris (Charenton-le-Pont exactement), une part non-négligeable de mes collègues ne vient pas forcément en TC, le site étant mal desservi (j'en suis même passé à Vélib, avec un meilleur rapport qualité / prix / rapidité). Et ça c'est pour Paris / proche périphérique. Les citadins prennent également beaucoup leur voiture dans les autres grandes villes faute de desserte adaptée.

    Quant à l'incidence carbone des infrastructures, je pense qu'il est loin d'être négligeable : combien de temps pour la neutralité carbone de la ligne 15 par exemple (75 km de tunnels) ?

    Et quelle « rentabilité » écologique des transports en commun en heures creuses ? J'en ai vu des bus ou des cars de 15 tonnes circuler avec trois passagers à bord.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Je m'en fiche de plus en plus.

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à -1. Dernière modification le 25 juillet 2022 à 12:13.

    Ah ?

    Ça a pourtant été affirmé par le ministre de la santé de l’époque sur un média à large audience à 0:25 : « si nous étions tous vaccinés, le virus ne pourrait plus cheminer ».

    Mais c’est peut-être une infox ourdie par des complotistes antivax…

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: HS de chez HS

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à -10. Dernière modification le 25 juillet 2022 à 11:55.

    Alors que le vaccin a beaucoup moins d'effets collatéraux

    Sur d’éventuels effet sur les enfants, on pourra en parler dans 30 ans.

    Et c’est bien ça le problème : il n’existe pas d’étude qui puisse montrer le bénfice de la vaccination des enfants quand moins de 30 enfants sont morts AVEC le COVID, et surement moins 5 À CAUSE du COVID.

    Et comme dirait un certain professeur que semblez honnir, pendant ce temps là, 20 enfants meurent chaque année de la varicelle (ce qui fait 50 depuis le début de l’épidémie) sans que le la vaccin contre la varicelle soit obligatoire.

    D’ailleurs étant donné le risque avéré cette fois, allez-vous vacciner vos enfants contre la varicelle (si ce n’est déjà fait) ou vous battre pour le rendre obligatoire ?

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 6.

    Vous avez une vison étriquée de la vie à la campagne. Je vis dans une petite ville de moins de 18 000 habitants, avec majoritairement des maisons individuelles (pas forcément des pavillons, il y a beaucoup de mitoyenneté en centre), et je fais quasiment tous mes déplacements à vélo (électrique) quasiment 15 km par jour (boulangerie, commerces de bouches, bibliothèque, piscine, loisirs etc.). Je n’utilise la voiture presque que pour mon aller-retour hebdomadaire à Paris (40 km pour aller à la gare) ou certains achat volumineux. Si mon boulot était sur place, je n’aurais presque pas besoin de voiture.
    Vous voyez la compagne comme la banlieue d’une grande ville. La vraie campagne est vivante, avec beaucoup de chose à disposition dans un rayon de moins de 20 km. Donc maison individuelle = voiture est une exagération qui cherche à clore le débat, mais largement infondée.

    Pour information, je vivais il y a une dizaine d’année sur la bassin de la Villette à Paris, dans un appartement très confortable (85 m2 pour 2, balcon, vue sur le bassin) : ça n’a rien à voir avec ce que je vis aujourd’hui avec une maison et un jardin. Sans oublier que le quartier est (très malheureusement) devenu un véritable enfer avec le crack : c’est un corollaire de la vie entassée rarement évoqué par leur promoteur. Par chez moi, il n’existe pas de « zone ». C’est un problème inhérent aux grandes villes. C’est l’aberration sociale, toujours éludée des grands ensembles.

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  • [^] # Re: Je m'en fiche de plus en plus.

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à -4.

    Nous sommes dans le parfait exemple de la difficulté à définir ce qu’est le consensus scientifique.

    Votre dernière phrase est édifiante : elles sous-entend que le débat est clos, et que certains visons sont « hérétiques ».

    Or qu’en est-il du dogme dominant « vaccinez-vous tous et rapidement et bye-bye COVID » ? Une épidémie hors de contrôle. Sur ce même forum, certains préconisaient à qui-mieux-mieux de vacciner même les enfants de moins de 10 ans, alors que je rappelle que depuis le début de l’épidémie, sur plus de 120 000 morts, seuls 27 enfants de moins de 10 ans sont morts avec le COVID (ce qui ne veut même pas dire qu’ils sont morts DU COVID).
    On peut même étendre le raisonnement aux moins de 40 ans (voir ce graphique global). Pour avoir rappelé ces simples faits, j’ai presque été taxé de « négationniste ».

    Comme je l’ai déjà écrit par ailleurs, il faudra bien un jour se pencher sur le fait que la parole scientifique du presque seul institut de maladie infectieuse de France, conçu spécialement pour lutter contre une épidémie telle que le COVID 19 ait pu voir sa parole discrédité immédiatement dès le début de l’épidémie. C’est comme s’il arrivait un accident nucléaire est qu’on décidait que les avis de IRSN n’avaient aucune importance, voire devaient être combattus.

    La communauté scientifique, comme tout autre institution humaine, est le théâtre d’influences, de manigances, de luttes de pouvoir, d’ambition et j’en passe et qu’à ce titre, elle ne vaut pas plus que d’autres d’être suivie aveuglément.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Je m'en fiche de plus en plus.

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 1.

    Je pense qu’il est toutefois très important de souligner qu’un consensus scientifique n’est — certainement — pas la vérité.

    Un exemple qui m’a interpelé récemment est celui des bébés secoués.

    Et il y a bien évidemment toute la gestion de la crise du COVID qui pose la question de la « parole scientifique ».

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  • [^] # Re: D'autres idées

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 5.

    Avec la consigne on optimise le transport : après avoir apporter des bouteilles pleines au magasin, le livreur remporte à l’usine les bouteilles vides. Actuellement, il repart vide.

    Je pense qu’en général, la mise en place de standards ne peut être que bénéfique.

    De mon côté, je déplore l’absence totale d’interopérabilité des batteries de vélos à assistance électrique et de leur chargeur. Il est grand temps de s’y attaquer.

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Petits gestes et grand vide

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 4.

    J’ai plussé trop vite !

    Et l’aberration sociale des grands ensembles, on en parle ?

    Pourquoi considérer comme aberration écologique un habitat quasi-autonome, qui permette si possible à chacun de cultiver un jardin, bref, d’avoir accès à la terre et au ciel ?

    Si l’écologie, c’est vivre tous en ville dans de minuscule appartements, je pense que le confinement en a déjà « vacciné » plus d’un.

    Encore une bonne manière de faire détester « l’écologie » !

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »

  • [^] # Re: Je m'en fiche de plus en plus.

    Posté par  . En réponse au journal Hypocrisie d'énergie . Évalué à 3. Dernière modification le 24 juillet 2022 à 22:27.

    Je comprends tout à fait ton point de vue : s’il faut « sauver la planète », alors il faut abattre le capitalisme.

    Les partis écologiques actuels ne s’y attelant pas, ils participent activement au déclenchement de la catastrophe annoncée.

    Ceci dit, il existe tout même des courants de pensées « révolutionnaires » qui invitent à dépasser réellement le fonctionnement de l’économie actuelle, avec la bonne nouvelle qu’on peut s’appuyer sur du « déjà là » : le salaire à vie de Bernard FRIOT est un bon exemple, et Réseau Salariat une mine d’information sur une alternative contructive.

    Et pour info, tu n’est pas le seul à penser comme ça (c’est pour les détracteurs qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez).

    « Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »