24 micros c'est déjà beaucoup à priori. Pour un interféromètre permettant de repérer une source dans un espace à trois dimensions, 4 capteurs suffisent, et 7 ou 10 devraient permettre d'obtenir des résultats fiables.
L'intérêt que j'imagine pour mon idée, serait double éviter d'avoir à trimbaler les microphones et réduire drastiquement les besoins en connectique, grâce à une distribution fixe de micros (au plafond par exemple), et au prix d'une moindre adaptativité : les capteurs ne seraient évidemment pas adaptés au type de son à capté mais génériques.
En effet, aux vues de la documentation commerciale de différents liens donnés, il semble que ce soit effectivement le genre de chose qui soit faite. Mais est-ce bien le cas ?
Et puis, cela semble être destiné à des conversations dans des petites pièces. Aussi je me demande si c'est applicable dans des endroits un peu grand. Car alors se pose le problème suivant : étant donné la vitesse du son dans l'air et les fréquences acoustiques, est-il possible d'obtenir un interféromètre suffisamment précis pour traiter le signal à temps pour pouvoir réémettre la partie sélectionner sans avoir une distorsion ou un décalage trop fort ?
Dernière partie de ma question : est-ce que ces techniques à l'heure actuelle permettent effectivement des applications de sonorisation telle que donner la parole à différents groupes sur une scène par une simple modification des paramètres de sélection du signal ?
Quand au fait que le domaine soit certainement couvert de brevet, je n'en doutes pas. Mais la technique à la base est bien connue, fort ancienne, et parfaitement publique. Il s'agit d’interférométrie (cf. wikipedia). Exactement comme pour la majorité des grands radio-télescopes. On analyse le décalage entre les signaux captés. Et en fonction de la position connue des capteurs, cela permet de déterminer la position de la source. Avec deux capteurs, on obtient juste la direction (cf. ouïe), mais avec plus on peut envisager de connaître précisément la localisation dans l'espace.
Puisque la question initiale porte sur les grilles de microphones, je me permet d'ajouter ma petit question sur le sujet. Savez-vous si de telles grilles sont parfois utilisées pour sélectionner les sources sonores en fonction de leur positionnement spatiale (déduit du déphasage et des variations d'amplitudes entre les signaux captés par les différents micros ?
Par exemple, dans une salle de spectacle on pourrait imaginer employer un tel dispositif pour sélectionner les orateurs sans que chacun ne doive trimbaler un microphone. On pourrait imaginer pouvoir discriminer les sons produits sur la partie droite de la scène de ceux produits au centre et à gauche, et séparer tout ces derniers des sons produits par les enceintes et la salle.
Merci de faire ainsi l'apologétique de ma plaisanterie. Pour abonder dans cette défense ajoutons que le volume de neurones associé à l'analyse du signal n'est pas nécessairement une fonction monotone de la complexité de la tâche. Peut-être que la disproportion entre les volumes de neurones traitant les signaux de la vue et de l'ouïe est aussi associée à d'autres facteurs ? L'utilité que l'on a de ces sens vient immédiatement à l'esprit.
Par exemple, en tant que funambule on se rend facilement compte de l'importance capitale du premier pour tout un tas d'opérations qui ne paraîtraient pas tellement en dépendre à priori. Dans la vie courante, l'ouïe semble être un sens assez secondaire (NB : ceci n'est qu'un avis, nullement l'affirmation d'un spécialiste).
À l'opposée des argutis précédents, on pourra bien entendu citer la capacité inimitable des pharmaciens à décrypter les ordonnances des médecins. Une faculté que même les plus puissantes intelligences artificielles n'égalerons jamais :-). Vraisemblablement le fin mot de cette eutrapélie ne pourra être décidé à l'unanimité.
« Mais personne ne va te dire que lire et écrire est aussi simple que de se faire lire et écrire la chose par quelqu'un d'autre. »
En tout état de cause, on aurait vraisemblablement tort de le faire : les mécanismes impliqués dans la lecture sont sensiblement plus simples que ceux du langage oral… Réalise-t-on par exemple que le couple oreilles/cerveau forme un incroyable analyseur spectral infiniment plus fin que les performances lamentablement grossières de nos yeux dans ce domaine (de surcroît la méthode de ces derniers produit des artefacts colorés). C'est sans doute pour cela qu'apprendre à lire (commandes au clavier) aux ordinateurs était une solution bien plus facile que de leur apprendre à écouter (commandes à la voix).
De même si commander à sa propre main paraît être un exercice extrêmement simple comparer aux diverses actions impliquées dans la dictée.
Mais trêve de boutades, et arrivons en au fond :
« Ici, la FSF dit, pour prendre ton exemple : lire et écrire est aussi simple qu'écouter et parler. »
Alors je dois mal comprendre l'article. Vous pourriez m'expliquer ce qui dans
« Les logiciels libres comme GNU MediaGoblin, StatusNet, Diaspora, pump.io, Tahoe-LAFS, FreedomBox et SparkleShare travaillent d'arrache-pied pour créer […] un monde [décentralisé] qui est tout aussi pratique et social que son équivalent centralisé.
justifie que vous considériez qu'ils ont affirmé que mettre en œuvre des serveurs libres de cloud décentralisé soit tout aussi simple que d'employer un service centralisé déjà déployé ?
NB : L'italique est destiné à souligner qu'il s'agit d'une comparaison de choux et carottes. Il ne paraît pas déraisonnable d'espérer, au mieux, qu'employer une solution de cloud libre décentralisé déjà déployée soit aussi simple que l'usage de l'équivalent fermé centralisé. Sur ce point le propos de la FSF pourrait laisser une ambiguïté pour les esprits trop habitués à la supériorité écrasante des logiciels libres sur les solutions privatrices.
Sinon, pour revenir en un mot sur les questionnements de Pierre Roc quant à la violence (un peu plus haut) :
« La question de la violence est loin d’être une question anodine en politique. Une dictature ou une tyrannie ne se renverse pas en faisant des bisous. Quand est-ce que la violence est légitime ? Envers et contre qui est-elle légitime ? »
« […] je trouve surtout vraiment bien le fait de ne pas souhaiter payer (manquerait plus que ça) et le fait de rendre la chose publique. »
Idem. Mais quant au fait de rendre la chose publique, un détail m'intrigue : pourquoi oblitérer certaines informations de la missive reçue ? Serait-il illégale de publier ces parties ? Et si oui, qu'est qui légitime la publication du reste du courrier ?
Pour l'éviter, cette cigarette du matin, pourquoi ne pas essayer un autre petit rituel de levé ? Comme léviter quelques minutes sous une barre de traction ?
Il y a souvent loin de la théorie à la pratique. En s'en tenant à la première on rate nécessairement les innovations. Ainsi dans mon laboratoire des gens ne décolèrent pas depuis plus de vingt ans pour avoir manqué un prix Nobel. Ils ont publié leur analyse conforme à la théorie en négligeant le point « bizarre ». C'est en se drapant dans la théorie que l'on arrête le progrès.
Donc, même si je ne m'attendais à rien, après avoir tenté de faire valoir qu'en théorie rien ne semblait justifier une différence, il ne me paraissait pas opportun d'afficher de la morgue ou du mépris. Et cela était d'autant plus utile que lorsque nous avons confronté nos résultats mon étudiant a fait valoir que chez lui les choses ne s'était pas passé comme chez moi. À ma différence il n'a pas suivi un protocole rigoureux.
Qui sait, peut-être que dans certaines expériences le fait de faire bouillir de l'eau dans un plastique pourrait conduire ce dernier à relarguer je ne sais quel composé. Ou que sais-je encore. L'important, c'est de ne pas tirer des conclusions hâtives et inappropriées d'une expérience.
Quel lien faites vous entre l'ombre portée de la terre sur la lune (pleine lune) et l'attraction gravitationnelle de la lune (cause essentielle des marées ou « tidal effect ») ?
Ou fournir l'explication en peu de mots :
La lumière visible, les rayonnements gamma, les UV, les infra-rouge et les micro-ondes, …, tout cela est du même acabit : onde électromagnétique. Et tout cela a virtuellement la même utilité/nocivité. Le facteur critique c'est la dose utile/supportée par un être humain (ou certaines parties de celui-ci comme la rétine ou la peau) de chacune des catégories de ces photons.
Un étudiant en licence de biologie m'avait mis au défis de réaliser l'expérience après que je lui ai expliqué qu'en ce qui concerne la physique qui m'est connue une telle expérience bien conduite ne devait pas aboutir à des résultats dissimilaire pour les plantes arrosées avec de l'eau bouillie en micro-onde ou autrement.
J'avais donc réalisé l'expérience en faisant pousser des graines de tomates et des lentilles, avec un protocole sensiblement plus rigoureux que celui du site donné en lien (même récipent, eau tirée au même moment, conservation dans les mêmes récipients, même temps d'ébulition, chauffage dans le même récipient,…). Conclusion : chez moi aucune différence appréciable.
Attention toutefois à cette nuance : il n'est pas question d'évolution de la presse ou des publications dans mon propos. Simplement d'évolution du web. Selon mon observation — superficielle, très partiale, et n'ayant nulle valeur d'étude — naguère les contenus aberrants avaient moins bonne exposition, à une époque même seulement véhiculé par voie de courrier électronique ; désormais ils s'étalent indécemment en tout lieu.
L'explication de mon impression réside peut-être simplement en ce que ces beaux quartiers du net dont je m'étais entiché jadis auraient muté en taudis sous mes yeux aveuglés, et que je ne commencerais qu'à peine à ouvrir ces derniers ? D'où ce partage de ma perception. Histoire de sonder la chose. Vous même, n'avez-vous point perçu la mutation évoquée ?
Avez-vous, comme moi, remarqué le foisonnement exponentiel de parutions aux titres racoleurs, qui ne résistent guère à quelques secondes de lecture ? Dans certains cas le titre n'est qu'une large extrapolation de la réalité décrite par l'article, dans d'autres il apparaît rapidement que l'auteur traite un sujet sur lequel ses compétences sont largement inférieures à celles que l'on attendrait du bachelier moyen, et cætera. Ainsi cette jeune fille ayant prétendument inventé une intelligence artificielle capable de surpasser les meilleurs spécialistes pour détecter certains cancers, en réalité vraisemblablement elle n'a qu'écrit un projet où elle envisage la création de ce logiciel ; ce funambule survivant à une chute de 250m qui n'est guère tombé que d'une quarantaine; … ; et maintenant cette expérience novatrice démontrant que certains journalistes ignorent tout de la biologie, de la physique et que les micro-ondes font chauffer l'eau. Vive la qualitaÿ.
La grande question : quelle finalité à tout ceci ? Est-ce le prodrome de quelque nouveau cataclysme pour les industries du web ? Simplement un symptôme de l'avancée vers un état inéluctable de caniveau mondiale ?
Certainement. Et c'est d'ailleurs ce que rappel dès les premières lignes de son résumé le rapport de l'académie des sciences.
Toutefois, cela ne me semble pas totalement lever l'objection. En effet, pour rendre les contenus théoriques accessibles la pratique est de les ancrer dans le quotidien des étudiants, ou élèves ; et ce d'autant plus que le niveau est scolaire. Ainsi s'il paraît raisonnable de proposer des cours d'algèbre totalement abstraits à des étudiants en master, pour les élèves du primaire et du secondaire il faudra usuellement s'aider d'exemples telles que les fameux problèmes de trains et de robinets. Et il me semble que c'est là que peut résider la difficulté.
Pour enseigner une informatique accessible, ne faudra-t-il pas suivre très régulièrement les évolutions de l'environnement ? Autant les robinets ne changent guère, et le passage de l’hippomobile à l'automobile n'a pas fondamentalement la rédaction des exercices de mathématique ; autant il me semble que les préoccupations informatiques — et partant les exercices associables — ont grandement évolués entre les ordinateurs qu'il fallait programmer à chaque démarrage et les terminaux mobiles d'aujourd'hui, en passant par les lignes de commande, et l'apparition des interfaces graphiques.
« Le problème vient plus d'un manque évident de compétences, de visions à long terme sur les sciences de l'informatique. Notre encadrement n'est pas issu du monde de l'informatique et avec la vitesse à laquelle évolue la technologie je crains que nous soyons encore à la ramasse pour un moment. »
L'informatique paraît un domaine assez particulier en regard des autres disciplines académiques enseignées dans les voies générales. L'évolution y est extrêmement rapide, procédant fréquemment de révolutions (qui balancent des pommes sur la route :-). Outre les difficultés intrinsèques d'adaptation de l'éducation nationale au changement, s'ajoutent donc peut-être la problématique de recruter des enseignants qu'il faudra réellement former en continu. Du coup la mise en place de filières informatiques en est d'autant plus épineuse. Peut-être est-ce là une partie de l'explication de la latence exceptionnelle du ministère de l'enseignement l'éducation nationale vis-à-vis de ces réformes ?
Amusant de constater à quel point certains sujets évoqués ici peuvent provoquer des incivilités gratuites : moto, avortement, religion, et cætera. Apparemment la musique est aussi du nombre. La légende voulait pourtant qu'elle adoucisse les mœurs…
Merci pour ce commentaire empli de longanimité et dénotant une profondeur de vue atteignant au nadir du sujet du journal.
Toutes mes excuses quant à mon orthographe. C'est ainsi, un fait de la nature : les ploucs écrivent mal. Or cet adjectif me sied à ravir. Quel meilleur terme pour qualifier quelqu'un se donnant la peine de dénoncer un consumérisme pseudo-culturel ?
Par ailleurs, d'antan il était de coutume ici de relever précisément les fautes commises — les anti-nazis de l'orthographe y ont toutefois mis bon ordre. Cette habitude permettait à des gens qui reviennent des tréfonds de la mis-orthographie comme moi (et nous sommes légions ici, même si les autres ne sont pas des péquenauds eux) de s'amender progressivement. Auriez-vous la politesse de vous y soumettre ?
Il me semble comprendre fort bien l'esprit de votre intervention. Et en terme d'écoute (mot que vous ressassez à l'envie) vous avez assurément raison. D'autant que mes qualités de musicien sont des plus piètres. Nonobstant je me permet de souligner ce qui ne vous aura certainement pas échappé en lisant mon commentaire : en ce qui concerne la musique — et bien d'autres activités — l'écoute — ou toute autre attitude passive — n'est pas nécessairement ce qui présente le plus d'intérêt.
Alors certes ma vie est bien morne et triste au regard des critères que vous énoncez. Mais rassurez-vous, c'est avec un bonheur ineffable que je la vie :-).
La culture, ce ne sont pas des enregistrements poussiéreux, ou ce qui resterait quand tout est oublié. Et la musique, c'est comme le sport : en parler ou l'écouter ne vaut pas grand chose. Donc la musique que j'écoute c'est essentiellement celle que je siffle ou fredonne.
[^] # Re: Question annexe
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Array microphone + reconnaissance vocal. Évalué à 2.
24 micros c'est déjà beaucoup à priori. Pour un interféromètre permettant de repérer une source dans un espace à trois dimensions, 4 capteurs suffisent, et 7 ou 10 devraient permettre d'obtenir des résultats fiables.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Question annexe
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Array microphone + reconnaissance vocal. Évalué à 2.
L'intérêt que j'imagine pour mon idée, serait double éviter d'avoir à trimbaler les microphones et réduire drastiquement les besoins en connectique, grâce à une distribution fixe de micros (au plafond par exemple), et au prix d'une moindre adaptativité : les capteurs ne seraient évidemment pas adaptés au type de son à capté mais génériques.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Question annexe
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Array microphone + reconnaissance vocal. Évalué à 2.
En effet, aux vues de la documentation commerciale de différents liens donnés, il semble que ce soit effectivement le genre de chose qui soit faite. Mais est-ce bien le cas ?
Et puis, cela semble être destiné à des conversations dans des petites pièces. Aussi je me demande si c'est applicable dans des endroits un peu grand. Car alors se pose le problème suivant : étant donné la vitesse du son dans l'air et les fréquences acoustiques, est-il possible d'obtenir un interféromètre suffisamment précis pour traiter le signal à temps pour pouvoir réémettre la partie sélectionner sans avoir une distorsion ou un décalage trop fort ?
Dernière partie de ma question : est-ce que ces techniques à l'heure actuelle permettent effectivement des applications de sonorisation telle que donner la parole à différents groupes sur une scène par une simple modification des paramètres de sélection du signal ?
Quand au fait que le domaine soit certainement couvert de brevet, je n'en doutes pas. Mais la technique à la base est bien connue, fort ancienne, et parfaitement publique. Il s'agit d’interférométrie (cf. wikipedia). Exactement comme pour la majorité des grands radio-télescopes. On analyse le décalage entre les signaux captés. Et en fonction de la position connue des capteurs, cela permet de déterminer la position de la source. Avec deux capteurs, on obtient juste la direction (cf. ouïe), mais avec plus on peut envisager de connaître précisément la localisation dans l'espace.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Question annexe
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Array microphone + reconnaissance vocal. Évalué à 2.
Puisque la question initiale porte sur les grilles de microphones, je me permet d'ajouter ma petit question sur le sujet. Savez-vous si de telles grilles sont parfois utilisées pour sélectionner les sources sonores en fonction de leur positionnement spatiale (déduit du déphasage et des variations d'amplitudes entre les signaux captés par les différents micros ?
Par exemple, dans une salle de spectacle on pourrait imaginer employer un tel dispositif pour sélectionner les orateurs sans que chacun ne doive trimbaler un microphone. On pourrait imaginer pouvoir discriminer les sons produits sur la partie droite de la scène de ceux produits au centre et à gauche, et séparer tout ces derniers des sons produits par les enceintes et la salle.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: La bonne blague
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Espionnage: la FSF deconseille le cloud public, recommande les clouds privés basés sur le libre. Évalué à 1. Dernière modification le 12 juin 2013 à 09:08.
Merci de faire ainsi l'apologétique de ma plaisanterie. Pour abonder dans cette défense ajoutons que le volume de neurones associé à l'analyse du signal n'est pas nécessairement une fonction monotone de la complexité de la tâche. Peut-être que la disproportion entre les volumes de neurones traitant les signaux de la vue et de l'ouïe est aussi associée à d'autres facteurs ? L'utilité que l'on a de ces sens vient immédiatement à l'esprit.
Par exemple, en tant que funambule on se rend facilement compte de l'importance capitale du premier pour tout un tas d'opérations qui ne paraîtraient pas tellement en dépendre à priori. Dans la vie courante, l'ouïe semble être un sens assez secondaire (NB : ceci n'est qu'un avis, nullement l'affirmation d'un spécialiste).
À l'opposée des argutis précédents, on pourra bien entendu citer la capacité inimitable des pharmaciens à décrypter les ordonnances des médecins. Une faculté que même les plus puissantes intelligences artificielles n'égalerons jamais :-). Vraisemblablement le fin mot de cette eutrapélie ne pourra être décidé à l'unanimité.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: La bonne blague
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Espionnage: la FSF deconseille le cloud public, recommande les clouds privés basés sur le libre. Évalué à 4.
En tout état de cause, on aurait vraisemblablement tort de le faire : les mécanismes impliqués dans la lecture sont sensiblement plus simples que ceux du langage oral… Réalise-t-on par exemple que le couple oreilles/cerveau forme un incroyable analyseur spectral infiniment plus fin que les performances lamentablement grossières de nos yeux dans ce domaine (de surcroît la méthode de ces derniers produit des artefacts colorés). C'est sans doute pour cela qu'apprendre à lire (commandes au clavier) aux ordinateurs était une solution bien plus facile que de leur apprendre à écouter (commandes à la voix).
De même si commander à sa propre main paraît être un exercice extrêmement simple comparer aux diverses actions impliquées dans la dictée.
Mais trêve de boutades, et arrivons en au fond :
Alors je dois mal comprendre l'article. Vous pourriez m'expliquer ce qui dans
justifie que vous considériez qu'ils ont affirmé que mettre en œuvre des serveurs libres de cloud décentralisé soit tout aussi simple que d'employer un service centralisé déjà déployé ?
NB : L'italique est destiné à souligner qu'il s'agit d'une comparaison de choux et carottes. Il ne paraît pas déraisonnable d'espérer, au mieux, qu'employer une solution de cloud libre décentralisé déjà déployée soit aussi simple que l'usage de l'équivalent fermé centralisé. Sur ce point le propos de la FSF pourrait laisser une ambiguïté pour les esprits trop habitués à la supériorité écrasante des logiciels libres sur les solutions privatrices.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Il y a militant et militant...
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal À propos de militantisme…. Évalué à 1.
Serait-se ce genre d'événement que vous évoquez ? Beaucoup d'éléments dans votre propos porte à le croire :-).
Sinon, pour revenir en un mot sur les questionnements de Pierre Roc quant à la violence (un peu plus haut) :
M. K. Gandhi
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: .
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Première mise en demeure pour l'association LinuxFr. Évalué à 7.
Idem. Mais quant au fait de rendre la chose publique, un détail m'intrigue : pourquoi oblitérer certaines informations de la missive reçue ? Serait-il illégale de publier ces parties ? Et si oui, qu'est qui légitime la publication du reste du courrier ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Des commentaires de chercheur ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal P=NP démontré ?. Évalué à 2.
Est-ce qu'il ne s'agissait pas plutôt de l'ensemble des nombres à virgule flottante codés sur un nombre fixe de bits ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: la 1ère clope du matin...
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Cigarette électronique : 2 mois avec. Eldorado de la nicotine ? Hum .... Évalué à 6.
Pour l'éviter, cette cigarette du matin, pourquoi ne pas essayer un autre petit rituel de levé ? Comme léviter quelques minutes sous une barre de traction ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: micro-onde
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les dangers du Wifi enfin prouvés !. Évalué à 9. Dernière modification le 30 mai 2013 à 22:46.
Il y a souvent loin de la théorie à la pratique. En s'en tenant à la première on rate nécessairement les innovations. Ainsi dans mon laboratoire des gens ne décolèrent pas depuis plus de vingt ans pour avoir manqué un prix Nobel. Ils ont publié leur analyse conforme à la théorie en négligeant le point « bizarre ». C'est en se drapant dans la théorie que l'on arrête le progrès.
Donc, même si je ne m'attendais à rien, après avoir tenté de faire valoir qu'en théorie rien ne semblait justifier une différence, il ne me paraissait pas opportun d'afficher de la morgue ou du mépris. Et cela était d'autant plus utile que lorsque nous avons confronté nos résultats mon étudiant a fait valoir que chez lui les choses ne s'était pas passé comme chez moi. À ma différence il n'a pas suivi un protocole rigoureux.
Qui sait, peut-être que dans certaines expériences le fait de faire bouillir de l'eau dans un plastique pourrait conduire ce dernier à relarguer je ne sais quel composé. Ou que sais-je encore. L'important, c'est de ne pas tirer des conclusions hâtives et inappropriées d'une expérience.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Parce que quelqu'un en doute sérieusement ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les dangers du Wifi enfin prouvés !. Évalué à 1.
Au temps pour moi. Comme quoi il faudrait souvent réfléchir à deux fois…
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Parce que quelqu'un en doute sérieusement ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les dangers du Wifi enfin prouvés !. Évalué à 1. Dernière modification le 30 mai 2013 à 13:16.
Quel lien faites vous entre l'ombre portée de la terre sur la lune (pleine lune) et l'attraction gravitationnelle de la lune (cause essentielle des marées ou « tidal effect ») ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Parce que quelqu'un en doute sérieusement ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les dangers du Wifi enfin prouvés !. Évalué à 1.
Et ça, selon vous ce n'est pas un effet de dose ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Parce que quelqu'un en doute sérieusement ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les dangers du Wifi enfin prouvés !. Évalué à 1.
Ou fournir l'explication en peu de mots :
La lumière visible, les rayonnements gamma, les UV, les infra-rouge et les micro-ondes, …, tout cela est du même acabit : onde électromagnétique. Et tout cela a virtuellement la même utilité/nocivité. Le facteur critique c'est la dose utile/supportée par un être humain (ou certaines parties de celui-ci comme la rétine ou la peau) de chacune des catégories de ces photons.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: micro-onde
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les dangers du Wifi enfin prouvés !. Évalué à 10.
Un étudiant en licence de biologie m'avait mis au défis de réaliser l'expérience après que je lui ai expliqué qu'en ce qui concerne la physique qui m'est connue une telle expérience bien conduite ne devait pas aboutir à des résultats dissimilaire pour les plantes arrosées avec de l'eau bouillie en micro-onde ou autrement.
J'avais donc réalisé l'expérience en faisant pousser des graines de tomates et des lentilles, avec un protocole sensiblement plus rigoureux que celui du site donné en lien (même récipent, eau tirée au même moment, conservation dans les mêmes récipients, même temps d'ébulition, chauffage dans le même récipient,…). Conclusion : chez moi aucune différence appréciable.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: La presse canniveau du web
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les dangers du Wifi enfin prouvés !. Évalué à 2.
Attention toutefois à cette nuance : il n'est pas question d'évolution de la presse ou des publications dans mon propos. Simplement d'évolution du web. Selon mon observation — superficielle, très partiale, et n'ayant nulle valeur d'étude — naguère les contenus aberrants avaient moins bonne exposition, à une époque même seulement véhiculé par voie de courrier électronique ; désormais ils s'étalent indécemment en tout lieu.
L'explication de mon impression réside peut-être simplement en ce que ces beaux quartiers du net dont je m'étais entiché jadis auraient muté en taudis sous mes yeux aveuglés, et que je ne commencerais qu'à peine à ouvrir ces derniers ? D'où ce partage de ma perception. Histoire de sonder la chose. Vous même, n'avez-vous point perçu la mutation évoquée ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# La presse canniveau du web
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les dangers du Wifi enfin prouvés !. Évalué à 9.
Avez-vous, comme moi, remarqué le foisonnement exponentiel de parutions aux titres racoleurs, qui ne résistent guère à quelques secondes de lecture ? Dans certains cas le titre n'est qu'une large extrapolation de la réalité décrite par l'article, dans d'autres il apparaît rapidement que l'auteur traite un sujet sur lequel ses compétences sont largement inférieures à celles que l'on attendrait du bachelier moyen, et cætera. Ainsi cette jeune fille ayant prétendument inventé une intelligence artificielle capable de surpasser les meilleurs spécialistes pour détecter certains cancers, en réalité vraisemblablement elle n'a qu'écrit un projet où elle envisage la création de ce logiciel ; ce funambule survivant à une chute de 250m qui n'est guère tombé que d'une quarantaine; … ; et maintenant cette expérience novatrice démontrant que certains journalistes ignorent tout de la biologie, de la physique et que les micro-ondes font chauffer l'eau. Vive la qualitaÿ.
La grande question : quelle finalité à tout ceci ? Est-ce le prodrome de quelque nouveau cataclysme pour les industries du web ? Simplement un symptôme de l'avancée vers un état inéluctable de caniveau mondiale ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Mauvais prétexte
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 21 de l'année 2013. Évalué à 1.
Eh oui ! On ne dira jamais assez les dangers du tout windos…
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Informatique et éducation nationale
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche L'Académie des sciences et l'enseignement de l'informatique. Évalué à 3.
Certainement. Et c'est d'ailleurs ce que rappel dès les premières lignes de son résumé le rapport de l'académie des sciences.
Toutefois, cela ne me semble pas totalement lever l'objection. En effet, pour rendre les contenus théoriques accessibles la pratique est de les ancrer dans le quotidien des étudiants, ou élèves ; et ce d'autant plus que le niveau est scolaire. Ainsi s'il paraît raisonnable de proposer des cours d'algèbre totalement abstraits à des étudiants en master, pour les élèves du primaire et du secondaire il faudra usuellement s'aider d'exemples telles que les fameux problèmes de trains et de robinets. Et il me semble que c'est là que peut résider la difficulté.
Pour enseigner une informatique accessible, ne faudra-t-il pas suivre très régulièrement les évolutions de l'environnement ? Autant les robinets ne changent guère, et le passage de l’hippomobile à l'automobile n'a pas fondamentalement la rédaction des exercices de mathématique ; autant il me semble que les préoccupations informatiques — et partant les exercices associables — ont grandement évolués entre les ordinateurs qu'il fallait programmer à chaque démarrage et les terminaux mobiles d'aujourd'hui, en passant par les lignes de commande, et l'apparition des interfaces graphiques.
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[^] # Re: Informatique et éducation nationale
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche L'Académie des sciences et l'enseignement de l'informatique. Évalué à 5.
Ou pas. Comme l'évoque le premier commentaire :
L'informatique paraît un domaine assez particulier en regard des autres disciplines académiques enseignées dans les voies générales. L'évolution y est extrêmement rapide, procédant fréquemment de révolutions (qui balancent des pommes sur la route :-). Outre les difficultés intrinsèques d'adaptation de l'éducation nationale au changement, s'ajoutent donc peut-être la problématique de recruter des enseignants qu'il faudra réellement former en continu. Du coup la mise en place de filières informatiques en est d'autant plus épineuse. Peut-être est-ce là une partie de l'explication de la latence exceptionnelle du ministère de
l'enseignementl'éducation nationale vis-à-vis de ces réformes ?« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Sifflement
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Comment écoutez-vous de la musique ?. Évalué à 0.
Merci.
Amusant de constater à quel point certains sujets évoqués ici peuvent provoquer des incivilités gratuites : moto, avortement, religion, et cætera. Apparemment la musique est aussi du nombre. La légende voulait pourtant qu'elle adoucisse les mœurs…
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[^] # Re: Sifflement
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Comment écoutez-vous de la musique ?. Évalué à -3.
Merci pour ce commentaire empli de longanimité et dénotant une profondeur de vue atteignant au nadir du sujet du journal.
Toutes mes excuses quant à mon orthographe. C'est ainsi, un fait de la nature : les ploucs écrivent mal. Or cet adjectif me sied à ravir. Quel meilleur terme pour qualifier quelqu'un se donnant la peine de dénoncer un consumérisme pseudo-culturel ?
Par ailleurs, d'antan il était de coutume ici de relever précisément les fautes commises — les anti-nazis de l'orthographe y ont toutefois mis bon ordre. Cette habitude permettait à des gens qui reviennent des tréfonds de la mis-orthographie comme moi (et nous sommes légions ici, même si les autres ne sont pas des péquenauds eux) de s'amender progressivement. Auriez-vous la politesse de vous y soumettre ?
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[^] # Re: Sifflement
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Comment écoutez-vous de la musique ?. Évalué à -4.
Il me semble comprendre fort bien l'esprit de votre intervention. Et en terme d'écoute (mot que vous ressassez à l'envie) vous avez assurément raison. D'autant que mes qualités de musicien sont des plus piètres. Nonobstant je me permet de souligner ce qui ne vous aura certainement pas échappé en lisant mon commentaire : en ce qui concerne la musique — et bien d'autres activités — l'écoute — ou toute autre attitude passive — n'est pas nécessairement ce qui présente le plus d'intérêt.
Alors certes ma vie est bien morne et triste au regard des critères que vous énoncez. Mais rassurez-vous, c'est avec un bonheur ineffable que je la vie :-).
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# Sifflement
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Comment écoutez-vous de la musique ?. Évalué à -10.
La culture, ce ne sont pas des enregistrements poussiéreux, ou ce qui resterait quand tout est oublié. Et la musique, c'est comme le sport : en parler ou l'écouter ne vaut pas grand chose. Donc la musique que j'écoute c'est essentiellement celle que je siffle ou fredonne.
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