ragoutoutou a écrit 1515 commentaires

  • [^] # Re: noscript

    Posté par  . En réponse au journal Adblockblockblock : l'anti-anti-anti-pub. Évalué à 10.

    Oui, mais avec la mode DHTML/AJAX/WEB2.0, ça peut déboucher sur un "pas de site non-plus"
  • # ... problème ... solution ??

    Posté par  . En réponse au message liste des table à crée sous mysql. Évalué à 3.

    mon probleme c'est la liste des table de ma base de donnée à maitre avec mysql


    C'est à dire? Tu ne sais pas comment les nommer? Tu n'as pas fait ou ne sais pas faire ton analyse et tu ne sais pas quoi créer comme tables?
  • [^] # Re: D'un point de vue technique...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La CNIL essuie de nouveaux revers. Évalué à 3.

    Si on me contacte par téléphone et que l'appelant ne cache pas son n°, en quoi suis-je en violation de sa vie privée si je note le n° ?

    Et si il m'appelle pour me vendre des contrefaçons, que je note son n° pour le donner aux flics, en quoi suis-je en violation de sa vie privée?

    La collecte d'ip dans des logs lors d'une connexion sur un p2p est-elle vraiment différente de cette situation? (je ne parle pas de sniffing, je parle de connexions directes)
  • [^] # Re: D'un point de vue technique...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La CNIL essuie de nouveaux revers. Évalué à 2.

    Ton ip est pas forcé de se renouvellé ...


    Tu n'en est pas propriétaire pour autant...

    Ton adn est dans les deux banques de données qui s'appellent 'ADN maternel' et 'ADN paternel'


    On va dire que c'est de la copie privée dans le cadre familial...

    Ton numéro de téléphone (pour reprendre cet exemple car c'est celui qui s'apparente le plus à une ip) sont aussi des des bd.
    Un numéro de téléphone est en réalité loué/acheté a des organismes de régulations des télécoms. Ils sont donc aussi dans des bd en plus de l'annuaire \o/


    Oui, certes, mais tu n'as pas besoin de connaître le n° de téléphone de la personne qui t'appelle pour pouvoir dialoguer avec lui, alors que l'IP, si...

    Maintenant, même en admettant que l'adresse ip soit effectivement une donnée privée, où est la violation de la vie privée si je collecte les ip des machines communiquant avec ma machine? (je ne parle pas de sniff, que je considère par contre comme une véritable atteinte à la vie privée tout comme une écoute téléphonique)
  • [^] # Re: D'un point de vue technique...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La CNIL essuie de nouveaux revers. Évalué à 1.

    Les deux ne sont pas comparables. Ton ADN, tu le laisses le plsu souvent par accident, et pas dans le cadre d'un dialogue. L'IP, tu l'utilises volontairement dans ton dialogue réseau.

    Et puis, ton ADN ne se renouvelle pas via DHCP et n'est pas déjà dans une database comme celle de RIPE ou IANA...
    Ton IP sur internet ne t'appartient pas, elle t'es prêtée.
  • # D'un point de vue technique...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La CNIL essuie de nouveaux revers. Évalué à 2.

    Il est tout de même difficile de parler de vie privée quand on parle d'IP, vu qu'on fait connaître celle-ci à chaque système auquel on se connecte (sauf dans le cas de proxy ou d'anonymiseur)...

    Pour moi, le problème n'est donc pas le fait que l'IP soit une donnée privée car elle ne l'est pas. Par contre, le problème est dans la méthode de récupération de cette information par les entreprises faisant la chasse aux pirates.
  • # Je pense que le plus important...

    Posté par  . En réponse au journal GPL3 : J - 2. Évalué à 2.

    ...ce n'est pas tellement quand, mais surtout comment. Le contenu de cette licence, bien plus que sa date de parution, conditionnera le taux d'adoption par les développeurs. Je suis curieux en tout cas de voir comment les commentaires sur le dernier draft auront été répercutés.
  • [^] # Re: RE: GPL

    Posté par  . En réponse au message Solutions basées sur l'open source, pas si open ?. Évalué à 2.

    Et puis, il est mis "open source", pas libre... Ce logiciel peut parfaitement être basé sur une licence non-libre, non-copyleft,...
  • [^] # Re: Ogg

    Posté par  . En réponse au message réduire la taille d'un mp3. Évalué à 4.

    non libre


    Seulement dans les pays où les brevets sur ce format sont reconnus...
  • # Mon expérience...

    Posté par  . En réponse au journal 01 Informatique : est ce que cet hebdomadaire est de qualité ?. Évalué à 6.

    Dans le cadre de mon métier, je m'oriente de plus en plus vers un poste à haute responsabilité décisionnelle, autour du domaine de l'informatique, des réseaux et des systèmes de télé-communication.


    Tout d'abord, il n'y a rien de pire que les "décideurs" qui décident sur base de revues informatiques grand public. A fortiori si tu trouves SVM et PC expert déjà trop techniques.

    Le mieux est de suivre des formations de décideur, de chef d'équipe, de gestionnaire de projet et de laisser la partie purement technique aux architectes, aux analystes, aux ingénieurs, ... quitte à faire des recherches actives lorsqu'il y a un doute par rapport à l'adéquation des solutions proposées par rapport aux besoins et contraintes, ou qu'un arbitrage est nécessaire.

    L'important pour un décideur, c'est avant tout la méthodologie, pas la technique. Il est impératif de bien séparer les rôles, chacun son métier et vu ta question, je ne crois pas que le côté technique sois le tiens, ce qui est une raison de plus pour mettre l'accent sur une formalisation raisonnable et efficace de la communication avec tes collaborateurs pour arbitrer de manière neutre les décisions d'ordre technique.
  • [^] # Re: Linux 64 bits

    Posté par  . En réponse au message Quels sont les meilleurs linux en 64 bits ?. Évalué à 2.

    Dans le monde des serveurs, Linux en 64bit est une réalité, cela permet d'utiliser plus de ram et même d'avoir un gain de performances pour certaines applications. De même, pour des workstations en calcule scientifique, le 64bit aide.

    Le vrai frein à Linux 64bit, c'est les applications non-libres qui ne supportent pas le 64bit, et ça, ça ne changera pas facilement, surtout quand on voit comment une société comme Microsoft a déjà du mal a faire évoluer le proprio vers le 64bit sous Windows...

    En général, le passage en 64bit pour les applications libres bien écrites est trivial.

    La véritable question pour l'utilisateur lambda reste "pourquoi ai-je besoin du 64bit?"

    La réponse généralement valide à cette question est "Parce que j'ai besoin de beaucoup de ram pour certaines applications"

    ... en dehors de ça, le passage à 64bit est souvent plus lié aux arguments marketing autrefois rencontrés dans le monde des consoles de jeux... "Oui, mais ma console de jeu est 256bits, alors pourquoi mon PC est-il encore en 32bit comme une playstation1?"
  • [^] # Re: Microsoft comprend enfin l'intérêt du Libre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Miguel de Icaza fait une démonstration de Moonlight. Évalué à 3.

    + La séparation des privilèges d'unappli .Net est très intéressante. Ainsi, on peut exécuter une appli en l'empêchant d'accéder aux ressources locals (disque dur, réseau...) Il est possible ainsi de sécuriser un code avec une granulométrie qui est celle d'une méthode


    Si c'est le framework qui fait sa popote au niveau privilèges, ça augmente tout de même les risques par rapport à une application dont la mise en place a été faite avec une réduction consciente des privilèges par les admins, voir avec utilisation de technologies comme SELinux...

    Faire tourner une appli .Net comme root en comptant sur le framework pour filtrer les opérations n'est pas une approche saine en tout cas...
  • [^] # Re: oui enfin

    Posté par  . En réponse au journal OpenXML le retour ... Évalué à 3.

    Tu es occupé à argumenter sur une situation spéculée et qui ne reflète pas mon opinion mais bien une attitude imaginaire que je prête potentiellement aux représentants de Microsoft...
  • [^] # Re: oui enfin

    Posté par  . En réponse au journal OpenXML le retour ... Évalué à 4.

    C'est pas parce que tu es utilisateur de word que tu peux parler d'interoperabilité.
    De meme, ce n'est PAS parce que tu n'es pas uilisateur d'un traitement de texte que tu ne peux pas parler d'interoperabilité.


    Oui, mais c'est parce que tu écris une lettre minuscule avec un max de fautes qu'on peut se foutre de ta gueule et ne pas te prendre au sérieux.

    Les fautes d'orthographe, de grammaire et surtout les typos sont encore considérées par une certaine catégorie de gens éduqués comme un manque de respect pour l'interlocuteur.
  • [^] # Re: oui enfin

    Posté par  . En réponse au journal OpenXML le retour ... Évalué à 5.

    Moi si j'écris en Flamand, je demandes à un Flamand de me relire, surtout si c'est pour une communication officielle. Qu'on ne me dise pas qu'il n'y a que des néerlandophones au BxLUG.
  • [^] # Re: oui enfin

    Posté par  . En réponse au journal OpenXML le retour ... Évalué à 2.

    Colère? Flemme surtout...

    Pourtant il y a un soft sympa qui s'appelle OpenOffice, qui supporte un standard ISO qui est l'OpenDocument, et qui ne laisse pas passer des fautes pareilles...

    Et quand on montrera ce document plein de fautes à Microsoft lors de ladite réunion, les représentants du monopoliste auront plein d'occasions de se moquer, genre "Au nom de quoi ces gens qui ne savent pas utiliser un traitement de texte viendraient-ils nous donner des leçons" ...
  • [^] # Re: oui enfin

    Posté par  . En réponse au journal OpenXML le retour ... Évalué à 7.

    Effectivement, une lettre contenant des fautes comme "intérèt", "norm", "inforamtion", "utilie", "calendries", c'est honteux...

    J'espère que personne n'enverra cette lettre dans l'état et que les militants auront la présence d'esprit de corriger la lettre avant de l'envoyer, sous peine de passer pour une bande de rigolos.
  • [^] # Re: Mwais...

    Posté par  . En réponse à la dépêche GNU Affero General Public License : la GPL des applications web. Évalué à 2.

    publier tes modifications sous les mêmes conditions si tu distribues / représentes sur le net


    Petite remarque, si on parle de représentation, on est pas dans la défense des utilisateurs... donc si c'est juste une question de représentation, les clauses de l'AGPL encore moins justifiables par rapport à l'existence de la GPL3...


    C'est donc, contrairement à ton analyse, une licence libre.


    Mon analyse dit-elle que la BSD n'est pas libre? Non, j'ai juste dit qu'elle ne protégeait pas les libertés (manquement aux prérequis des libertés 1 et 3) et qu'elle n'était pas copyleft... et que donc on pouvait la résumer à "on fait ce qu'on veut du moment qu'on voit mon nom" ...

    Si tu vois une erreur là dedans, n'hésite pas à le signaler avec précision.
  • [^] # Re: "perdu pas mal de terrain depuis le début des années 2000"

    Posté par  . En réponse au journal Red Hat et Ubuntu refusent les avances de Microsoft. Évalué à 3.

    chuuut... c'est juste le troll traditionnel anti-ubuntu, c'est une tradition sur linuxfr.... Toutes les news et tous les journaux comportant le mot ubuntu se doivent d'avoir au moins un ici.

    Du respect pour les traditions!

    PS: et t'avises pas d'en faire un à propos de Mandriva où tes infos personnelles seront mises à disposition d'une horde d'ex-employés de Mandriva qui viendront t'expliquer les bienfaits de la préférence nationale! Tu es prévenu, ne joue pas avec les sentiments des gens ici!
  • [^] # Re: "perdu pas mal de terrain depuis le début des années 2000"

    Posté par  . En réponse au journal Red Hat et Ubuntu refusent les avances de Microsoft. Évalué à 3.

    Bref, critiquer pour critiquer ça sert a que dalle, reste chez les voleurs d'ubuntu et leur mise a jour qui font planter X si ça te chante !


    Qu'a volé ubuntu? A qui?
  • [^] # Re: Pour ma part...

    Posté par  . En réponse au message Quelle licence choisir pour une plateforme web ?. Évalué à 2.

    En passant, je te recommandes d'aller voir sur le site de la FSF http://www.fsf.org, et surtout http://www.gnu.org/philosophy/ , c'est un bon moyen de voir ce qui est derrière les noms des licences, l'idéologie, le pourquoi et le comment...
  • # Pour ma part...

    Posté par  . En réponse au message Quelle licence choisir pour une plateforme web ?. Évalué à 2.

    Je met actuellement mon travail sous GPL2 et je passerai plus tard éventuellement sous GPL3 (si le point 13 de la GPL3 est facultatif ou saute carrément, ce sera plus intéressant encore).

    En attendant la GPL3, la GPL2 est une licence très équilibrée car elle offre des libertés et une protection très correcte pour l'utilisateur et la communauté. C'est actuellement la meilleure manière de faire du libre.

    En outre, si tu comptes distribuer ton logiciel commercialement, tes clients ne se sentiront pas pris au piège comme avec une licence propriétaire, ce qui détend généralement les relations entre client et fournisseur.

    Si j'étais toi, j'éviterais en tout cas les BSD et Apache car ces licences ne protègent pas les libertés et sont la porte ouverte à la repropriétarisation de ton travail par un concurrent.
  • [^] # Re: Infrastructure...

    Posté par  . En réponse au message Video sur IP distribué (multicast ou uicast) LAN/WAN. Évalué à 2.

    Ok, merci pour l'info...

    Alors comme serveur de streaming, le mieux ça reste Darwin, mais, vu la configuration, il vaudrait mieux se contenter de répliquer les fichiers vers les "serveurs" de chaque site (peux-tu décrire un peu plus le rôle de ces machines?), car la bande passante en direct me semble vraiment être le strict minimum, et si tu désires mettre en plus d'autres activités sur le "serveur", il faudra peut-être même mettre un système QoS pour que la vidéo ne perturbe pas ces activités.

    Quel est le niveau de qualité vidéo requis? Résolution? Attention, si ce sont des écrans LCD, une vidéo de mauvaise qualité, ça ne pardonne pas.
  • [^] # Re: Mwais...

    Posté par  . En réponse à la dépêche GNU Affero General Public License : la GPL des applications web. Évalué à 3.

    The freedom to redistribute copies so you can help your neighbor (freedom 2)


    D'accord, tu as raison, la GPL entrave la liberté 2 mais du même coup l'AGPL entrave les 4 ... Après tout, on va pas laisser le libre se faire pervertire par 4 malheureuses libertés sans intérêt...
  • [^] # Re: Mwais...

    Posté par  . En réponse à la dépêche GNU Affero General Public License : la GPL des applications web. Évalué à 1.

    - d'autre part le droit de représentation : la représentation ou l'exécution publique de l'oeuvre => c'est le cas que l'AGPL prend en charge, l'exécution publique d'une oeuvre. Internet fait partie de l'espace publique. Cf. les droits et devoirs en terme de publication d'informations ou d'idées que tu as sur internet (calomnie, etc.)


    Intéressant de voir cette notion d' "exécution publique d'une oeuvre"... maintenant est-ce vraiment encore du domaine du libre et du copyleft?

    Par ailleurs le droit latin accorde aussi des droits moraux aux auteurs (paternité, intégrité de l'oeuvre, ...), mais c'est un autre débat.


    Encore une fois, ce sont des principes à l'encontre du copyleft.

    Sinon, les libertés (il est important d'utiliser le vrai texte plutôt que de l'à-peu-près):

    - The freedom to run the program, for any purpose (freedom 0).
    - The freedom to study how the program works, and adapt it to your needs (freedom 1). Access to the source code is a precondition for this.
    - The freedom to redistribute copies so you can help your neighbor (freedom 2).
    - The freedom to improve the program, and release your improvements to the public, so that the whole community benefits (freedom 3). Access to the source code is a precondition for this.

    L'AGPL respecte t'il les 4 libertés?

    L'AGPL crée un cas particulier pour la liberté 0 et du coup crée une situation où la liberté 0 et la liberté 1 peuvent devenir exclusives.

    Dans la licence GPL, on a pas une situation pareille on ne met pas ces libertés en opposition, il n'y pas un seul cas où la licence GPL t'interdise d'utiliser ton application comme tu veux parceque tu as modifié le programme comme tu veux.

    Les libertés 1 et 3 font en outre une distinction entre modification et amélioration: tu as la liberté de modifier l'application selon tes besoins (cfr liberté 1) mais tu as aussi la liberté d'améliorer l'application et de publier TES améliorations pour que la communauté en bénéficie (avec source en prérecquis).

    Ce qui signifie bien que ces libertés te confèrent le droit de faire ce que tu veux comme modifications (donc tout et n'importe quoi), et te permettent de publier TES améliorations (donc les améliorations sur lesquelles tu as autorité pour les publier sous des termes libres).

    L'AGPL retire donc la distinction droit de modification et droit de publication de tes améliorations. De-facto, la liberté de modification se retrouve bloquée par les contraintes de distribution car la distribution n'est plus une liberté mais une obligation. Dans l'AGPL, on se retrouve donc littéralement avec une situation où l'exercice de la liberté 0 peut faire sauter partiellement la liberté 1 et transforme la liberté 3 en obligation. Donc 3 libertés affectées sur 4...

    L'AGPL est-il donc libre? Si il l'est alors ça veut dire que les 4 libertés ne sont pas vraiment si importantes et qu'on peut faire du libre sans les garantir... mais alors qu'est-ce que le libre?

    Sinon, passons en revue les 3 licences que tu as cité:

    AGPL: crée une situation d'exclusivité conditionnelle entre les libertés 0 et 1 en créant un cas particulier d'utilisation (qui en fait touche sans doutes la majorité des utilisateurs), affaiblis donc les libertés 0 et 1, transformant éventuellement la liberté 3 en obligation, mais offre une protection pour une catégorie d'utilisateurs non reconnue par la GPL tout en ne reconnaissant plus une catégorie d'utilisateurs protégée par la GPL. Copyleft.

    GPL: offre strictement les libertés sans les entraver, et offre une protection relativement solide empêchant qu'un utilisateur reçoive l'application sans les libertés. Copyleft

    Les BSD (il y en a plusieurs): elles ne protègent pas les libertés, elles ne respectent pas non-plus les prérequis des libertés 1 et 3, et ne sont pas copyleft car obligation de mentionner l'auteur, une institution, une entreprise, ... On pourrait traduire grossièrement la philosophie BSD par 'on fait ce qu'on veut avec du moment qu'on voit mon nom'