vmagnin a écrit 811 commentaires

J'ai migré début septembre mon portable de Kubuntu vers Fedora 42 (GNOME). J'en suis très content. Fedora, c'est chouette ! So far so good.

J'ai une machine virtuelle que je pourrai migrer rapidement en 43 Beta.

Hello Luc,

dans ma lecture du livre Play It Fuckin’ Loud! 1965-1970 De la pop au heavy metal : une histoire musicale, sociale et politique, j'en suis à l'année 1969. Je découvre le morceau "21st Century Schizoid Man" de King Crimson :

Blood rack, barbed wire
Politicians' funeral pyre
Innocents raped with napalm fire
Twenty-first century schizoid man

Traduction automatique :

Râtelier de sang, fil barbelé
Bûcher funéraire des politiciens
Innocents violés au napalm
L'homme schizoïde du XXIe siècle

CQFD…

6 Manger du Téflon coupe la faim
[…]
Deux des auteurs ont déposé un brevet sur cette innovation.

Le cadre en-dessous des photos de mulots nous donne une saine recommandation :

Stop — Think — Click

Vu les évolutions actuelles du web, né au CERN, ce dernier va bientôt nous conseiller :

Stop — Think — Click

D'ailleurs, il y a un livre édité par le CNRS : Penser ou cliquer ?

Comme disait l'autre, le changement c'est maintenant.

Ou version Bob Dylan 1964, the times they are a'changin'.

Je vais quand même faire attention avant de partir car YouTube me propose ces derniers temps pas mal de vidéos aux titres inquiétants à propos de la comète interstellaire 3I/ATLAS qui traverse actuellement notre système solaire. Je ne voudrais quand même pas avoir Rendez-vous avec Rama… Je n'ai pas trop le cœur aventureux.

Ca devient compliqué de naviguer sur le web.

J'arrive pas à charger la page, mais les "gravures…d'Olympus Mons", ça me suffit pour comprendre. Je réserve mon Starship pour l'été prochain ! Et je publie mes chroniques martiennes en revenant…

En tout cas, l'agent IA de Qwant génère une réponse pour "accent catalan" avec ce "journal catalan" pour unique source. Donc une IA qui cite une IA ?

Mais je ne suis malheureusement pas du tout compétent pour juger de la qualité du contenu de la réponse…

C'est une machine à SEO. Autrement dit un truc artificiel pour être bien classé par les moteurs de recherche sur certains mots clés (essayer avec « accent catalan », par exemple).

Effectivement, avec « accent catalan » c'est en premier dans Qwant. Mais qu'est-ce que l'éditeur du site y gagne ? Je ne vois pas de publicité qui le rémunérerait. Ca na pas non plus l'air de promouvoir une idéologie particulière. Alors pourquoi vouloir apparaître en premier avec un truc pipo ? Pour nous faire perdre notre temps ? :-)

Je ne vois pas de pub sur le site même en désactivant mon bloqueur.

Les "photos" de lieu de ce journal Catalan sont de toute évidence générées par IA, elles ont un certain flou, un certain lissage qui les fait ressembler à des images de jeux vidéos actuels, donc de très bonne qualité mais artificielle.

Je ne vois pas trop l'objectif de ce site… La plupart des liens pointent vers d'autres articles du site. Ou alors est-ce qu'il y a des trackers, des trucs piégés ?

Sur page https://www.le-journal-catalan.com/mentions-legales/ on trouve un directeur de publication avec un nom français, mais une adresse en Estonie, et un hébergement en France.

Cékoidon ?

En revanche, je ne sais pas comment Qobuz rémunère les ratiste. Si c'est mieux que les autres plate-formes du type Deezer.

Ils ont bonne réputation :
https://www.ouest-france.fr/culture/musiques/streaming-et-remuneration-des-artistes-qobuz-fait-entendre-sa-difference-b0266aba-04b3-11f0-a7a0-db29bf98805a

Dans le débat qui agite les plateformes, Qobuz a décidé de jouer la transparence en publiant des chiffres significatifs. « Si un titre atteint 1 000 écoutes sur Qobuz, 18,02 € sont versés aux ayants droit. Personne ne fait mieux. »

Quant au revenu moyen par utilisateur (ARPU), il est de 117,60 €/an pour Qobuz là où la moyenne du marché est de 21,73 €/an.

https://www.bluenove.com/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Roland_Berger

Effectivement, page 14 de la Restitution du grand débat national on retrouve le nom du dirigeant de Cognito Consulting, ainsi que le logo en bas à droite (avec les logos de Bluenove et Roland Berger).

Il faudrait être sûr de trouver le bon Cognito.

"Publication des « cahiers de doléances » issus du « grand débat national » lancé le 15 janvier 2019" (Sénat ; Réponse du Premier ministre publiée le 07/03/2019)

Ces données seront ensuite transmises pour analyse au consortium piloté par Roland Berger, associé à Cognito et BlueNove, prestataires spécialisés dans la « civic tech », l'intelligence collective et le traitement de données de masse.

Recherche sur societe.com :
https://www.societe.com/cgi-bin/search?q=cognito

Est-ce qu'il s'agit de "Cognito France" ?

Le BASIC, c'est le premier produit Microsoft que j'ai utilisé, mais dans une version plus élaborée livrée en ROM dans le Dragon 32, un micro-ordinateur britannique commercialisé en 1982 avec un microprocesseur Motorola 6809. A l'époque, le système d'exploitation c'était l'interpréteur BASIC lancé automatiquement au démarrage. ROM de 16 Ko d'après le manuel :

http://www.dragondata.co.uk/Publications/BASIC-MAN/DRAGON_32_BASIC_MANUAL_rel-v2.pdf

"I program my home computer, beam myself into the future"…

Vu le type de cabinet, ils ont probablement rédigé un rapport pour l'Elysée avec des conseils pour gérer la crise. Pas destiné à être publié.

We advise organizations and their leaders on how to manage reputation, increase sales and build trust with stakeholders.

J'ai essayé de trouver une page sur l'historique de "l'année du Desktop" qui a bercé une partie de ma vie en ligne. Voici une page avec une introduction qui donne une info :
https://linuxvox.com/blog/year-of-linux-desktop/

The phrase Year of the Linux Desktop was first coined in 1998 by Id Software’s Michael Tiemann. It was a prediction that a particular year would mark the widespread adoption of Linux as a mainstream desktop operating system, similar to Windows or macOS. Over the years, this prediction has been revisited numerous times, with each new year being touted as the potential Year of the Linux Desktop. Despite the fact that Linux has yet to achieve the same level of market share as its competitors on the desktop, it has made significant strides in terms of usability, software availability, and hardware support. This blog post aims to explore the fundamental concepts, usage methods, common practices, and best practices associated with the Linux desktop.

Traduction :

L'expression « l'année du bureau Linux » a été inventée en 1998 par Michael Tiemann, de la société Id Software. Il s'agissait d'une prédiction selon laquelle une année particulière marquerait l'adoption généralisée de Linux comme système d'exploitation de bureau grand public, à l'instar de Windows ou de macOS. Au fil des ans, cette prédiction a été revisitée à maintes reprises, chaque nouvelle année étant présentée comme l'année potentielle du bureau Linux. Bien que Linux n'ait pas encore atteint le même niveau de part de marché que ses concurrents sur le marché des ordinateurs de bureau, il a fait des progrès significatifs en termes de convivialité, de disponibilité des logiciels et de prise en charge matérielle. Cet article de blog vise à explorer les concepts fondamentaux, les méthodes d'utilisation, les pratiques courantes et les meilleures pratiques associées au bureau Linux.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

Pas kaboom cette fois-ci. Reste à tester les transferts, fiabiliser la protection thermique (point faible des navettes), etc.

Triste promesse dans cet article :

SpaceX promet également à ses clients, en utilisant une version modifiée de Starship, de pouvoir se rendre « n’importe où dans le monde, en une heure ou moins ».

Donc essayez de diminuer votre consommation d'énergie/CO2 afin que leurs audacieux clients puissent, eux, sautiller à volonté.

Bien creusé…

J'ai un faible pour les Aigles de Cosmos 1999 :

https://catacombs.space1999.net/main/cguide/umeaglepodcargo.html

mais c'est pour les bases lunaires.

Effectivement, ça n'a pas encore été testé : il faudra déjà réussir à envoyer deux starships l'un après l'autre sans kaboom. Il faut donc transférer d'abord beaucoup d'argent du contribuable américain.

Choisir la fusée de Tintin est un pari plus qu'audacieux de la part de la Nasa. Heureusement qu'ils ont aussi choisi après Blue Origin, avec un vaisseau plus petit et plus classique. Mais il faut là aussi plusieurs lancements, et un transfert de carburant (mais en une seule fois je pense, le vaisseau étant plus ressemblant à celui des missions Apollo) :

https://en.wikipedia.org/wiki/Blue_Moon_(spacecraft)

Avec une station Gateway en orbite lunaire, ça reste plus complexe qu'Apollo.

Pour les atterrisseurs, ce genre d'illustration permet de comprendre la situation :

https://everydayastronaut.com/wp-content/uploads/2020/09/Landers-Size-Comparison-1024x576.png

Sûrement en partie, mais il s'agit aussi de pouvoir envoyer des charges utiles très lourdes (conquête de Mars). Une partie du carburant sert à faire voler la fusée elle-même (et son carburant !), l'autre partie la charge utile. Il y a un compromis à trouver.

Il faut voir que pour une mission lunaire, une fois le starship en orbite terrestre, il faudra lancer je ne sais combien de starships (4 ? 8 ? 10 ?) pour remplir le premier de carburant…

Comme pour l'IA, on est dans le capitalisme de la promesse pour attirer les capitaux des investisseurs : il faut faire rêver. Reste à voir à quoi on arrive dans la pratique. On peut avoir des surprises, bonnes ou mauvaises.

Côté spatial, on s'inquiète aussi dans Scientific American que les Starships continuent de faire "kaboom" :
https://www.scientificamerican.com/article/why-do-spacexs-starships-keep-exploding/

(une explication serait que leur structure est trop légère donc trop fragile)

Ah non, c'est beaucoup plus vieux (18e siècle ?) :
https://en.wikipedia.org/wiki/Young_Hunting