Ysabeau 🧶 a écrit 7804 commentaires

Si on parlait de Caroline Fiat avant de dire des âneries et d'imputer des tas de trucs.

Je ne soutiens pas plus que ça LFI mais d'une part, il y a des gens de valeur là-dedans cohérents en actes avec leurs opinions, d'autre part, il est souvent difficile de lutter contre la bêtise des services marketings et com' qui ne connaissent pas souvent grand chose au numérique. Tiens, par exemple, si on parlait des valeurs de LibreOffice qui impose Google pour l'aide en ligne ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Bonjour petit troll.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Dans les rédacteurs du programme de LFI, il y avait des libristes. J'en connais au moins un.
Le problème c'est, une fois de plus, l'inculture numérique profonde de la plupart des gens et encore des politiques, des gens de communication et de marketing.

C'est désespérant.

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Tu oublies sur quel site on est. Impossible de faire tes coups en douce (façon de parler, je crois que tu l'avais aussi signalé sur la tribune de la modération), tu auras forcément quelqu'un qui le repèrera. Désolée, c'est la loi de la nature linuxfrienne, on n'y peut rien, c'est comme ça. Il va falloir t'y faire petit scarabée (pourquoi scarabée au fait ?).

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Parce qu'ils n'ont pas à décider à la place des gens ce qui est ou non de première nécessité en matière d'hygiène ou en matière alimentaire. Une femme a été verbalisée parce qu'elle s'achetait des protections hygiéniques, un homme a été verbalisé parce qu'il était sorti en acheter pour sa femme. Et ce sont des produits de première nécessité.
Ce n'est pas leur rôle, tout simplement et ils n'ont pas reçu mandat pour ce faire. Ils n'ont pas, non plus, le droit de fouiller dans les sacs de course. Ils peuvent jeter un coup d'œil dedans mais pas fouiller.

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L'équipe de modération est mixte et c'est moi qui ait fait les modifications. J'en ai profité aussi pour corriger une graphie fautive qui me faisait mal aux yeux.

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Si tu veux ajouter une intro à ton journal, tu demandes. Comme tu ne peux pas le modifier, il suffit que tu l'indiques dans un commentaire et que tu demandes à la modération de le faire et on le fera. Mais on n'interviendra pas dessus de notre propre chef.

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Non, j'ai tout lu, mais je n'ai pas bien compris ce que ça apportait étant donné que, de toute façon je ne rédige les questions que lorsque j'ai les accords. Je n'ai pas bien compris non plus pourquoi tu interviens sur ce sujet, soit dit en passant.

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L'étape n'est peut-être pas indispensable, mais, pour moi, c'est une question de correction envers les autres membres de la modération et cela peut éviter de contacter quelqu'un que personne n’aimerait voir interviewé sur linuxfr. Ça n'est jamais arrivé, cela dit.

Personnellement, je n'ai pas envie de changer de processus, ça fonctionne bien comme ça. En outre, dans certains cas, quand je pense à quelqu'un et que je n'ai pas ses coordonnées, les co-modérateurs peuvent me la fournir. Et, également, cela leur permet de réfléchir éventuellement à des questions.

Et c'est, de mon point de vue, plus transparent ainsi. Je ne mets personne devant le fait accompli. De toute façon, écrire un courriel disant "coucou les gens j'ai envie d'interviewer Bidule, qu'en pensez-vous ?" n'est pas ce qui prend le plus de temps.

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Ça l'air d'être vraiment intéressant mais, je suis désolée de le dire, le journal sent la personne dans son truc, super contente d'avoir fait du bon boulot (ce que je peux comprendre), mais tellement dans son truc qu'elle oublie qu'on ne sait pas forcément ce qu'est ce logiciel et de quoi il est capable. Du coup, on a peut-être un peu de mal à rentrer dans les détails techniques.

J'ai cru comprendre qu'il s'agissait d'un logiciel de reconnaissance vocale (ce qui est super bien et semble manquer sous Linux) mais une présentation plus détaillée serait une bonne idée : qu'est-ce que ça fait, de quoi ça a besoin, comment cela fonctionne, quels sont les résultats ? Des captures d'écran peut-être aussi (ou peut-être pas) ?

Merci d'éclairer ma lanterne :-)

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Je commence par demander à la liste modérateurs si on est d'accord sur les personnes que j'ai envie d'interviewer. Si oui ou pas de réponse, je demande ensuite aux personnes si elles acceptent d'être interviewées et comment on procède (par courriel).

Si oui, j'envoie les questions que j'ai en tête à la liste qui abonde, modifie ou non puis à la personne interviewée.

Si non, et c'est le cas, malheureusement, pour SPIP (si quelqu'un a sous la main un développeur ou un développeuse SPIP, je prends), ça s'arrête là.

Pour que ça ne traîne pas trop côté modération, maintenant j'indique un délai pour le retour sur les questions. Je n'en indique pas aux personnes interviewées, donc il peut se passer pas mal de temps entre l'envoi des questions et leur retour (plusieurs mois). J'espère, toutefois, qu'il ne se passera pas trop de temps avec Jehan. Je ne relance pas les personnes sauf exception.

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Parce qu'ils sont tombés sur des abrutis qui ont mal interprété le décret, c'est valable pour les mêmes abrutis qui ont verbalisé des gens au motif que le contenu des courses ne leur semblait pas de première nécessite, ou un type qui voulait voir son père en train de mourir d'un cancer chez lui (scoop, le père est mort sans que son fils ait pu le revoir), ou encore une vieille dame venant faire des coucous à son mari en EHPAD par fenêtre interposée.

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Peut-être que les supports de cours Formatux pourraient s'avérer utile en complément :
https://www.formatux.fr/formatux-formatux/index.html

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Quelle que soit la qualité de l'argumentaire de la Quadrature. Il est, de mon point de vue, hors de question d'accepter une appli commandée par un gouvernement qui a très largement montré à quel point il faisait fi de la démocratie et de la la liberté de ses concitoyens et qui n'a pas une vision ne serait-ce qu'à moyen terme. Beaucoup trop dangereux.

N'oublions pas qu'ils avaient essayé de glisser des trucs liberticides à visée "anti-terroriste" dans le projet d'ordonnance instaurant l'état d'urgence sanitaire. N'oublions pas qu'ils ont refusé de préciser le termes des exceptions (qui n'était pas demandé en termes de date précise mais d'évènement comme la fin de l'état d’urgence sanitaire). Alors non, on ne peut pas leur faire confiance.

Et enfin, pour qui les priorités sont : commandes de lacrymo en 1, commandes de masques en 2. La répression avant la santé.

Oui je sais, c'est pire en Chine (pour le moment).

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elle a été massivement utilisé contre le palu, à telle point qu'on a eu des variante du palu résistante à cette molécule

à des doses infiniment plus faibles que celles préconisées dans le cadre du Covid-19 d'une part, et pas sans qu'il y ait eu des personnes qui ne l'aient pas supporté, d'autre part.

Un médicament efficace n'est jamais anodin et n'a jamais aucune effet secondaire. C'est une question de dose le plus souvent.

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Merci pour les solutions.

Donc j'avais loupé les numéros 1, 14, 16, 23 et 24.

Bravo à Bruno pour tous les avoir trouvé.

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Le problème c'est que ça vient de gens qui nous ont parlé de "nouveau monde" et se sont vantés d'être progressistes, ce qui, à l'évidence, n'est pas vraiment le cas, et c'est franchement agaçant de buter à chaque fois sur leur ignorance. Surtout quand on sait qu'ils veulent numériser encore plus la santé.

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Justement, s'il y avait eu une réelle volonté politique, l'installation des instances Peertube aurait été déjà faite et serait parfaitement fonctionnel pour répondre, justement, au cas d'urgence. J'en avais, d'ailleurs, touché deux mots à Bastien Guéry, référent logiciels libres de ce qui s'appelait alors la DINSIC, quand je l'ai interviewé.

Je trouvais surprenant que le site de l'Élysée (le site !!!) utilise Youtube pour ses vidéos. La réponse a été qu'il serait étonnant que l’Élysée utilise pour son site, Peertube.

Ce qui s'est passé, c'est que l'Élysée a opté pour la solution de facilité depuis le début sans se poser la moindre question sur le contrôle des vidéos. On voit bien que c'est un tort.

À mon avis c'est imputable, d'une part à la méconnaissance abyssale du numérique de l'équipe au pouvoir, d'autre part au fait qu'il y ait de moins en moins d'informaticiens dans les administrations (ce qui n'est pas sans poser des graves problèmes par moment, d'ailleurs et ce sont des économies qui finissent par coûter extrêmement cher).

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Oui, c'est juste une absence de connaissance certaine et de volonté politique ! Rien d'autre. Et l'instance Peertube aurait été pleinement fonctionnelle depuis au moins un an si elle avait été mise en place dès le début.

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C'est bien tout le problème. Et on va rire quand Youtube va vouloir se mettre à facturer ses prestations, comme l'a fait Googlemaps.

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L'État français a les moyens de le faire non ? Surtout qu'il ne faut pas rêver, la charge c'est, au mieux, le nombre de foyers français et pas forcément tous en même temps. Sûrement pas.

Bref comme pour une déclaration de revenus.

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Si l'idée est d’utiliser un tableur, LibreOffice Calc est tout indiqué.

Sinon, pour des outils plus collaboratifs : LibreOffice On line par exemple ou encore un agenda partagé comme, par exemple, celui de Next-Cloud ou de Tracim. Noter qu'en outre, Tracim propose une instance LibreOffice on line.

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Vous comprenez l'idée, enfin j'espère, c'est que la présidence garde la main sur ce genre de choses. Ce qui n'est, à l'évidence, pas du tout le cas.

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J'ai lu le tout.

Ce quie st confondant c'est que le type, patron donc d'une entreprise d'informatique, ne semble pas avoir compris qu'il ne s'adressait pas à la bonne structure.

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En même temps; l'Élysée pourrait avoir son instance Peertube personnelle pour y diffuser les vidéos et communiquer dessus. L'Élysée aurait dût faire ça dès le début du mandat de ce président, ce qui serait entré dans les mœurs.

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