Parce que intéresser, c'est un job à part entière qui ne dépend pas _que_ du produit lui-même (mais de la façon dont on le présente et de la façon dont on l'intègre dans "autre chose") - ce n'est pas du marketing au sens traditionnel du terme, dans la mesure où cela nécessite une connaissance approfondie _et_ du marché et des usages _et_ de la technologie.
De fait, si une entreprise high-tech fait faillite, ça ne veut pas dire qu'elle ne vaut rien. Ca veut surtout dire qu'elle est allée au bout de ses moyens, n'a pas rempli ses objectifs, et que personne n'a eu une idée convaincante pour relancer l'investissement et l'activité.
Aussi parce qu'il y a sûrement un savoir-faire dans l'équipe de cette boîte pour faire d'autres choses (dans la même lignée, ou justement, dans un réajustement).
Mais pour faire ça (reprendre une boite) il faut :
- avoir une vision précise et convaincante de ce qu'elle peut faire (ça suppose de savoir déjà assez bien ce qu'elle sait faire aujourd'hui),
- des fonds,
- y croire,
- obtenir le feu vert,
- suer.
"J'avais une fois lu que sur les forums officiels de Mandriva, c'était ceux qui avaient acheté la version PowerPack qui avaient plus d'aide."
Tout le monde est logé à la même enseigne sur les forums.
Par contre, quelqu'un qui achète un produit Mandriva (la Powerpack par exemple) bénéficie de support à l'installation et la configuration, mais ailleurs que sur le forum (naturellement, un _client_ peut attendre une attention toute particulière - ce qui ne veut pas dire, a contrario, qu'aucune attention n'est portée aux autres).
(à part que j'arrive pas à trouver une version 64 bit du LiveCD)
Faut pas chercher, y a pas.
"Cette décision de faire de RHL une distribution uniquement non commerciale (NB: c'est quelque chose que n'envisage pas Mandriva)"
Ahem.
Dans la mesure où "commercial" s'entendrait comme "faire de l'argent avec, à vendre", c'est faux : Mandriva Linux Free et Mandriva Linux One sont des distributions complètes, gratuites, librement disponibles au téléchargement et que l'on pourrait donc improprement qualifier de "distributions non commerciales" ; à l'instar de Fedora, OpenSuse, Ubuntu et j'en passe.
La Free (en tant que version 100% libre et disponible gratuitement) existe depuis le début (1998) et que la One depuis 2006. Donc bon... c'est pas comme si ça commençait à dater.
Mandriva Linux Powerpack en est une, a contrario - de même que les autres déclinaisons pour l'entreprise
Pour 300 € / mois, tu peux avoir une très bonne voiture neuve en location avec option d'achat sur 3 ans, effectivement. Donc moins pour de l'occasion.
Mais sinon, la location au mois est super chère.
Une option, si c'est juste pour te déplacer lors de deux grands voyages, c'est de louer pour l'aller et pour le retour ; tu la rends entre temps (mais j'imagine que ce n'est pas ton plan).
la communauté ruby ne brille pas véritablement par ses compétences ...
Mauvaise lecture. C'est plutôt une certaine communauté Rails. Nuance qui a son importance.
Il semblerait que ni PHP ni Ruby ni Python, out of the box ne permettent de batir des architectures scalables... Serait-ce peut être le moment de revoir les copies ?
Bah ça dépend ce qu'on entend par scalabilité, mais pour qui a utilisé du PHP de manière sérieuse, on peut constater qu'on peut monter des systèmes assez lourds, néanmoins performants et distribués, sans panne.
Après, ça ne dépend pas particulièrement du langage (chaque langage a ses tares, PHP tient le peloton de tête), mais de la façon dont il est mis en oeuvre ; et par qui.
Un argument pour avoir au minimum un nom/domaine : commencer par communiquer une URL qui ne changera pas. Ca n'a pas seulement un impact dans la mémoire des gens (Google et son nom suffiraient), mais aussi sur les impressions papier, les vidéos et les liens hypertextes (référencement automatique et manuel) : ça c'est super important.
Donc même si vous n'hébergez pas encore de site à elle, vous pouvez gagner à utiliser le domaine pour sa communication, avec une redirection vers sa page myspace.
la paternité (personne d'autre ne peut se l'attribuer), le respect (on peut toujours s'opposer à une utilisation qui ne nous plaît pas), le repentir (on peut toujours revenir sur ses décisions) et la divulgation (on choisit quand on rend l'½uvre publique). Ceux-là, aucune licence ne pourra jamais les atténuer.
Sauf que concrètement, le choix des conditions de la mise à disposition au public (autrement dit, dans le cas qui t'intéresse, la licence) peut déterminer la ... consistance de ces droits. Autrement dit, la conséquence du choix d'une licence peut faire disparaître la possibilité de faire jouer concrètement ces droits.
Ainsi, dès lors qu'on publie quelque chose sous une licence permettant explicitement la reprise et/ou la modification (CC-By-SA, LAL, GPL), on perd nécessairement une partie certaine de son autorité (au sens premier) sur l'usage et les modifications qui est fait de l'oeuvre.
De même, dès lors que l'on publie qqc sur le réseau, difficile de faire jouer le droit de repentir comme le droit de retrait. Tout au plus peut-on le faire pour sa propre version originale de l'oeuvre ; mais ça parait difficile, voire impossible pour les subséquentes.
Un article intéressant, en anglais, plus ou moins en rapport : http://www.linux.com/feature/120635 (When open source projects close the process, something's wrong) ; c'est surtout le cas du projet Oxygen qui est intéressant, en l'occurrence).
Ensuite que les entreprises française "délocalisent" une partie du développement à l'étranger ne me choque pas si ce n'est pas uniquement pour des raisons financières.
Pour quelle autre raison pourrait-on vouloir délocaliser ?
Si il est positif, il n'y a plus rien à dire et ils peuvent détruire toutes les traces.
Donc le test ne sert à rien :
- dans un cas, il confirme ce que disent déjà les papiers d'état civil du gars,
- dans l'autre cas, il n'infirme rien.
Le seul cas où il peut avoir du sens, effectivement, c'est si le gars n'a aucun papier d'état civil pour prouver sa filiation.
D'ailleurs, c'est présenté comme étant obligatoire.
Non, heureusement. C'est au libre choix de l'immigrant.
Mais si la France refuse un regroupement familial à cause de soupçon, qu'est-ce qui empèche un immigré de faire faire le test lui -même pour casser la décision?
Le coût du test ?
Mais en outre, cette disposition introduit un cas problématique (qui n'est pas le seul) :
- l'enfant est adopté (donc pas de filiation biologique),
- les papiers sont en règles,
- mais, comme le permettait le texte original (sur lequel porte ma critique, je n'ai pas vu la version révisée par le Sénat), l'agent a un doute, refuse donc l'admission, mais propose un test génétique pour prouver la filiation.
Bernique. Le gars est dans une situation légitime, mais le libre arbitre de l'agent territorial (et non plus le droit) fait qu'il ne rentrera pas en France.
Le problème de fond, c'est le glissement que ça va introduire : refuser le test paraîtra suspect, ou un test négatif deviendra à l'usure
Question naïve : c'est par sadisme, ignorance ou pour une excellente raison qu'on peut t'interdire d'utiliser des outils qui feraient gagner du temps/argent/énergie à tout le monde ?
Une adoption doit elle être reconnue ? Franchement je connais nombre d'enfant de divorcés, adopté de fait par un nouveau parent, je doute (sans savoir il est vrai) qu'il soit à chaque foi reconnu officiellement.
C'est simple : ce qui n'est pas acté dans le code civil n'existe pas.
De toute façon, cette loi est selon les dires faites pour les immigrants provenant de pays avec de grosses lacunes au niveau de l'état civil, donc surement avec des adoptions faites "sans papier et sans témoin"
dont extrait : "... l'article 47 du Code civil pose que l'acte d'état civil établi à l'étranger "fait foi". Entendez par là que l'administration est tenue par l'énoncé de l'acte, sauf à démontrer que celui-ci souffre d'irrégularité ou de falsification."
Moi, ce qui me dérange, c'est tout simplement qu'en droit français (et dans la culture latine), la filiation ne repose pas sur le lien biologique.
Et partant de là, il est assez cocasse que l'on réclame à des étrangers de suivre une règle que nous n'appliquons pas chez nous.
Donc, proposer le test pour prouver la filiation, pourquoi pas, mais le problème dans ce raisonnement, c'est qu'un test négatif ne peut absolument pas déterminer la non-filiation. Donc le test ne sert pas à grand chose in fine.
Si ce n'est alimenter des polémiques stériles, répandre davantage de confusion dans les esprits et la loi, et opérer un glissement douteux dans l'usage de la technologie à des fins sociales.
MySQL Workbench est sensé être sur les rails cet été, et sortir à nouveau en automne. Mais il est clair que MySQL ne fait pas beaucoup d'efforts pour mettre en avant, ni le produit, ni son développement.
C'est pas une tolérance : c'est dans la RFC. De même que l'on peut avoir une adresse email de la forme "j'ai un message"@example.org.
Seulement voilà, c'est toujours le même problème : faut que le serveur de mail de réception ait bien implémenté la RFC.
Et dans le cas d'applications tierces comme les sites web, il faut que les développeurs sachent lire les RFC et implémenter leurs fonctions de validation en fonction (et déjà, c'est pas gagné pour gérer les apostrophes dans les simples champs texte, alors...).
Aussi, tenu par le secret professionnel, je ne communiquerai pas les consignes de notation au baccalauréat qui ne font que révéler le mépris des candidats et des enseignants par notre chère Institution...
Ma femme fût documentaliste en collège en ZEP (Seine Saint-Denis) et a laché l'affaire après 5 années épiques.
Les anecdotes, de situations hallucinantes qu'elle a pû me rapporter, elle et ses collègues, par rapport au comportement du rectorat, de la direction du collège, des surveillants, des élèves, de chacun de ceux-ci vis-à-vis de ceux-là, bref, tout ça n'est pas alarmant, mais catastrophique.
Alors certes, il y a le secret professionnel. Il ne s'agit pas de jouer à Robin, mais ce genre de consigne dont tu parles, précisément, si cela sortait publiquement plus souvent (ie, copie complète de la consigne en format original), est-ce que ça ne serait pas salutaire ?
Plus généralement, il y a une quantité de comportements aberrants, odieux, totalement "pas professionnels" ayant lieu dans un cadre qui voudrait justifier leur impunité par le secret professionnel ou le devoir de réserve.
Est-ce que le fait de balancer publiquement ces aberrations ne serait pas un premier pas :
- vers la prise de conscience générale du problème d'une part (par les faits exposés, et pas par les rumeurs),
- vers la résolution d'un tel problème.
Certes, cette question va quelque peu de pair avec le problème de la protection de la vie privée et du respect de la réserve professionnelle.
Alors, ma question : se taire et laisser le merdier s'embourber, ou l'ouvrir en prenant des risques (inutiles ?) pour déballer le linge sale publiquement ?
Ou prendre le temps de mettre en place (comment ?) des procédures/conventions pour faciliter l'échange d'informations permettant de déclarer un dysfonctionnement ?
Le marketing n'a jamais raison, ni tort, c'est une technique, une rhétorique.
Après, on s'en sert plus ou moins bien, à tort et à travers, et le résultat (quand il y en a un) est plus ou moins cohérent avec ce qui était souhaité.
Qui décide ? Le responsable marketing. Est-il toujours le mieux placé pour décider ? Non, s'il fait mal son boulot.
[^] # Re: Sélection naturelle
Posté par romain . En réponse à la dépêche Save Nabaztag : un lapin libre ?. Évalué à 2.
De fait, si une entreprise fait faillite, ça ne veut pas dire qu'elle ne vaut rien. Ca veut surtout dire qu'elle est allée au bout de ses moyens, n'a pas rempli ses objectifs, et que personne n'a eu une idée convaincante pour relancer l'investissement et l'activité.
Aussi parce qu'il y a sûrement un savoir-faire dans l'équipe de cette boîte pour faire d'autres choses (dans la même lignée, ou justement, dans un réajustement).
Mais pour faire ça (reprendre une boite) il faut :
- avoir une vision précise et convaincante de ce qu'elle peut faire (ça suppose de savoir déjà assez bien ce qu'elle sait faire aujourd'hui),
- des fonds,
- y croire,
- obtenir le feu vert,
- suer.
[^] # Re: Le Libre peut être gratuit
Posté par romain . En réponse au journal De la gratuité du Libre. Évalué à 7.
Tout le monde est logé à la même enseigne sur les forums.
Par contre, quelqu'un qui achète un produit Mandriva (la Powerpack par exemple) bénéficie de support à l'installation et la configuration, mais ailleurs que sur le forum (naturellement, un _client_ peut attendre une attention toute particulière - ce qui ne veut pas dire, a contrario, qu'aucune attention n'est portée aux autres).
(à part que j'arrive pas à trouver une version 64 bit du LiveCD)
Faut pas chercher, y a pas.
[^] # Re: Sacré Gustave ...
Posté par romain . En réponse à la dépêche Mandriva sort Enterprise Server 5. Évalué à 3.
[^] # Re: Re:
Posté par romain . En réponse à la dépêche Mandriva Linux Assembly. Évalué à 4.
Ahem.
Dans la mesure où "commercial" s'entendrait comme "faire de l'argent avec, à vendre", c'est faux : Mandriva Linux Free et Mandriva Linux One sont des distributions complètes, gratuites, librement disponibles au téléchargement et que l'on pourrait donc improprement qualifier de "distributions non commerciales" ; à l'instar de Fedora, OpenSuse, Ubuntu et j'en passe.
La Free (en tant que version 100% libre et disponible gratuitement) existe depuis le début (1998) et que la One depuis 2006. Donc bon... c'est pas comme si ça commençait à dater.
Mandriva Linux Powerpack en est une, a contrario - de même que les autres déclinaisons pour l'entreprise
# mandrake / mandriva
Posté par romain . En réponse au journal Quelque statistiques sur linuxfr. Évalué à 1.
C'est 22 100 pour mandriva _dont_ 16 700 pour mandriva, ou 22 100 _plus_ 16 700 ?
[^] # Re: 3nl4rg3 y0uR p3n1s !
Posté par romain . En réponse à la dépêche Sextoys et systèmes d'exploitation. Évalué à 4.
Ou pas.
# LOA
Posté par romain . En réponse au journal [HS] Location de voiture pour 3 mois?. Évalué à 2.
Mais sinon, la location au mois est super chère.
Une option, si c'est juste pour te déplacer lors de deux grands voyages, c'est de louer pour l'aller et pour le retour ; tu la rends entre temps (mais j'imagine que ce n'est pas ton plan).
[^] # Re: CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
Posté par romain . En réponse au journal Marketing, argumentaires, Linux. Évalué à 3.
99% de couverture de quoi ? des NRA existants ? de la géographie ? des habitations ? de la population ?
> Il faut être à 15 bornes du central telephonique pour ne pas avoir l'ADSL.
Heu... 15 ? 4 plutôt. Et il n'y a pas que la distance qui joue. Sinon cela ferait longtemps que la ligne de mes parents serait éligible...
[^] # Re: Euh ...
Posté par romain . En réponse au journal Le deuxième poste de dépense des Français...... Évalué à 3.
Olll baille maille sssselff. Ail m'goïne août.
[^] # Re: Daube
Posté par romain . En réponse à la dépêche Le poste de travail du gendarme sous GNU/Linux Ubuntu. Évalué à 1.
# Hmmm?
Posté par romain . En réponse au journal Ror ne se porte plus très bien ? Quid des autres ?. Évalué à 1.
Bah ça dépend ce qu'on entend par scalabilité, mais pour qui a utilisé du PHP de manière sérieuse, on peut constater qu'on peut monter des systèmes assez lourds, néanmoins performants et distribués, sans panne.
Après, ça ne dépend pas particulièrement du langage (chaque langage a ses tares, PHP tient le peloton de tête), mais de la façon dont il est mis en oeuvre ; et par qui.
[^] # Re: fais un site
Posté par romain . En réponse au journal Libérer une musicienne. Évalué à 1.
Donc même si vous n'hébergez pas encore de site à elle, vous pouvez gagner à utiliser le domaine pour sa communication, avec une redirection vers sa page myspace.
[^] # Re: Je veux bien...
Posté par romain . En réponse au journal Soyons solidaires avec les grévistes. Évalué à 6.
# Les droits moraux
Posté par romain . En réponse au journal Le domaine public et le droit d'auteur. Évalué à 2.
Sauf que concrètement, le choix des conditions de la mise à disposition au public (autrement dit, dans le cas qui t'intéresse, la licence) peut déterminer la ... consistance de ces droits. Autrement dit, la conséquence du choix d'une licence peut faire disparaître la possibilité de faire jouer concrètement ces droits.
Ainsi, dès lors qu'on publie quelque chose sous une licence permettant explicitement la reprise et/ou la modification (CC-By-SA, LAL, GPL), on perd nécessairement une partie certaine de son autorité (au sens premier) sur l'usage et les modifications qui est fait de l'oeuvre.
De même, dès lors que l'on publie qqc sur le réseau, difficile de faire jouer le droit de repentir comme le droit de retrait. Tout au plus peut-on le faire pour sa propre version originale de l'oeuvre ; mais ça parait difficile, voire impossible pour les subséquentes.
Un article intéressant, en anglais, plus ou moins en rapport : http://www.linux.com/feature/120635 (When open source projects close the process, something's wrong) ; c'est surtout le cas du projet Oxygen qui est intéressant, en l'occurrence).
[^] # Re: Connards du Point
Posté par romain . En réponse au journal Après France Matin, Le Point. Évalué à 2.
[^] # Re: Je voulais faire mon gauchiste...
Posté par romain . En réponse au journal Une affaire grave. Évalué à 2.
- dans un cas, il confirme ce que disent déjà les papiers d'état civil du gars,
- dans l'autre cas, il n'infirme rien.
Le seul cas où il peut avoir du sens, effectivement, c'est si le gars n'a aucun papier d'état civil pour prouver sa filiation.
Non, heureusement. C'est au libre choix de l'immigrant.
Le coût du test ?
Mais en outre, cette disposition introduit un cas problématique (qui n'est pas le seul) :
- l'enfant est adopté (donc pas de filiation biologique),
- les papiers sont en règles,
- mais, comme le permettait le texte original (sur lequel porte ma critique, je n'ai pas vu la version révisée par le Sénat), l'agent a un doute, refuse donc l'admission, mais propose un test génétique pour prouver la filiation.
Bernique. Le gars est dans une situation légitime, mais le libre arbitre de l'agent territorial (et non plus le droit) fait qu'il ne rentrera pas en France.
Le problème de fond, c'est le glissement que ça va introduire : refuser le test paraîtra suspect, ou un test négatif deviendra à l'usure
[^] # Re: Heu...
Posté par romain . En réponse au journal Création du projet "OQLToLang". Évalué à 7.
[^] # Re: Peur de la nouveauté
Posté par romain . En réponse au journal Une affaire grave. Évalué à 1.
[^] # Re: Peur de la nouveauté
Posté par romain . En réponse au journal Une affaire grave. Évalué à 0.
Et ?
Petite lecture : http://dinersroom.free.fr/index.php?2007/09/15/639-la-preuve(...)
dont extrait : "... l'article 47 du Code civil pose que l'acte d'état civil établi à l'étranger "fait foi". Entendez par là que l'administration est tenue par l'énoncé de l'acte, sauf à démontrer que celui-ci souffre d'irrégularité ou de falsification."
[^] # Re: Je voulais faire mon gauchiste...
Posté par romain . En réponse au journal Une affaire grave. Évalué à 7.
Et partant de là, il est assez cocasse que l'on réclame à des étrangers de suivre une règle que nous n'appliquons pas chez nous.
Donc, proposer le test pour prouver la filiation, pourquoi pas, mais le problème dans ce raisonnement, c'est qu'un test négatif ne peut absolument pas déterminer la non-filiation. Donc le test ne sert pas à grand chose in fine.
Si ce n'est alimenter des polémiques stériles, répandre davantage de confusion dans les esprits et la loi, et opérer un glissement douteux dans l'usage de la technologie à des fins sociales.
[^] # Re: Bonne nouvelle!
Posté par romain . En réponse à la dépêche Nouvelle version du Fork de DBDesigner. Évalué à 2.
[^] # Re: (dis moi ce que tu as besoin je te dirai comment t'en passer)
Posté par romain . En réponse au journal voyages-sncf.com et les standards. Évalué à 3.
Seulement voilà, c'est toujours le même problème : faut que le serveur de mail de réception ait bien implémenté la RFC.
Et dans le cas d'applications tierces comme les sites web, il faut que les développeurs sachent lire les RFC et implémenter leurs fonctions de validation en fonction (et déjà, c'est pas gagné pour gérer les apostrophes dans les simples champs texte, alors...).
Pour ceux qui aiment : http://tools.ietf.org/html/rfc2822#section-3.4.1
# Le secret professionnel n'est-il pas une excuse commode ?
Posté par romain . En réponse au journal La dégradation de l'enseignement. Évalué à 6.
Ma femme fût documentaliste en collège en ZEP (Seine Saint-Denis) et a laché l'affaire après 5 années épiques.
Les anecdotes, de situations hallucinantes qu'elle a pû me rapporter, elle et ses collègues, par rapport au comportement du rectorat, de la direction du collège, des surveillants, des élèves, de chacun de ceux-ci vis-à-vis de ceux-là, bref, tout ça n'est pas alarmant, mais catastrophique.
Alors certes, il y a le secret professionnel. Il ne s'agit pas de jouer à Robin, mais ce genre de consigne dont tu parles, précisément, si cela sortait publiquement plus souvent (ie, copie complète de la consigne en format original), est-ce que ça ne serait pas salutaire ?
Plus généralement, il y a une quantité de comportements aberrants, odieux, totalement "pas professionnels" ayant lieu dans un cadre qui voudrait justifier leur impunité par le secret professionnel ou le devoir de réserve.
Est-ce que le fait de balancer publiquement ces aberrations ne serait pas un premier pas :
- vers la prise de conscience générale du problème d'une part (par les faits exposés, et pas par les rumeurs),
- vers la résolution d'un tel problème.
Certes, cette question va quelque peu de pair avec le problème de la protection de la vie privée et du respect de la réserve professionnelle.
Alors, ma question : se taire et laisser le merdier s'embourber, ou l'ouvrir en prenant des risques (inutiles ?) pour déballer le linge sale publiquement ?
Ou prendre le temps de mettre en place (comment ?) des procédures/conventions pour faciliter l'échange d'informations permettant de déclarer un dysfonctionnement ?
[^] # Re: Le marketing
Posté par romain . En réponse au journal Nous, eux, là-bas et le marketing. Évalué à 3.
[^] # Re: et les couleurs des PC ?
Posté par romain . En réponse au journal Nous, eux, là-bas et le marketing. Évalué à 0.
Après, on s'en sert plus ou moins bien, à tort et à travers, et le résultat (quand il y en a un) est plus ou moins cohérent avec ce qui était souhaité.
Qui décide ? Le responsable marketing. Est-il toujours le mieux placé pour décider ? Non, s'il fait mal son boulot.