ElVirolo a écrit 484 commentaires

  • [^] # Re: résumé

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La pétition anti Stallman, anti FSF, anti GPL. Évalué à -3.

    Cela fait environ trente ans que même chez un très grand nombre de marxistes, la classe n'est plus considérée comme le seul vecteur de domination. Ou alors Etienne Balibar devrait-il "redécouvrir la lutte des classes" ?

  • [^] # Re: Dis-moi qui te défend, je te dirai qui tu es…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal RMS et la FSF. Évalué à 2. Dernière modification le 27 mars 2021 à 22:24.

    OK, admettons, à ce stade je ne vois pas bien l'intérêt de la remarque.

    Je trouverais intéressant, au contraire, si c'était avéré, qu'il y ait une corrélation entre les opinions politiques et la position défendue dans le cadre de la question qui nous occupe. Cela n'aurait d'ailleurs rien de particulièrement étonnant, si toutefois c'était le cas.

    Parce que à ma connaissance il n'y a pas forcément de lien entre "conservateur" et "sexistes, homophobes ou racistes".

    Un lien entre "conservateur" et "remarques sexistes, homophobes ou racistes" pour être fidèle aux propos cités. La distinction est importante.

    Au contraire, tout jugement mis à part, il y a presque par essence un lien, puisque c'est précisément notamment sur ce point que se définit, en partie, le progressisme contemporain (qui ne s'oppose pas qu'aux "fachos" mais aussi à la pensée conservatrice). Le pensée conservatrice s'appuyant sur et défendant un certain nombre de hiérarchies traditionnelles (de genre, d'orientation sexuelle, de race ou entre nations), le progressisme verra dans un certain nombre de ses manifestations discursives des formes de racisme, sexisme, homophobie. On pense ce qu'on veut de la question mais c'est un autre sujet. Tu es en train de reprocher à la personne à qui tu réponds de ne pas être conservatrice, on tourne en rond. On peut être d'accord ou pas, mais il n'est pas incohérent de lier le conservatisme à des propos racistes, sexistes ou homophobes, du point de vue du progressisme.

    Le problème, me semble-t-il, c'est qu'on a dépolitisé ces termes, et qu'ils ont pris une dimension morale, si bien qu'ils ont une portée infamante. Donc évidemment, un conservateur qui, par exemple, s'opposerait au mariage de personnes du même sexe et considérerait, encore une fois par exemple, que l'homosexualité relèverait du domaine du "privé" et qu'il ne faudrait pas la rendre visible, ne se dirait jamais homophobe. Pourtant, on pourrait très bien, tout jugement surplombant et infamant mis à part, imaginer que l'homophobie soit une position défendue par les conservateurs.

  • [^] # Re: Dis-moi qui te défend, je te dirai qui tu es…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal RMS et la FSF. Évalué à 4.

    PS: Pour résumer brutalement la description que fait Voegelin, par exemple, du conservatisme, c'est une idéologie qui tend à considérer que le progrès présente souvent plus de risques que les avantages qu'il promet et qu'il vaut mieux, en réaction à cela, privilégier l'existant, aussi imparfait soit-il.

  • [^] # Re: Dis-moi qui te défend, je te dirai qui tu es…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal RMS et la FSF. Évalué à 2. Dernière modification le 27 mars 2021 à 11:23.

    Le conservatisme a une définition très claire en théorie politique. C'est toi qui parles de "facho", pas la personne à qui tu réponds (le fascisme n'étant pas un conservatisme, assimiler l'un à l'autre n'a par ailleurs aucun sens). Personne n'a dit que c'était un "gros mot". On a le droit d'être opposé au conservatisme, par contre, non ?

    C'est drôle, parce qu'on ne peut pas dire "facho" (et c'est un reproche souvent justifié parce l'usage du terme est sounvent inapproprié), mais on ne peut pas dire "conservateur" non plus ? Je remarque, comme l'auteur du commentaire, qu'il y a effectivement une franche conservatrice sur DLFP, avec laquelle je suis souvent en franc désaccord. Ça ne m'empêche pas de considérer que "conservateur" n'est pas une insulte.

    Pétain n'est par ailleurs pas un conservateur, mais un réactionnaire.

  • [^] # Re: Des réactions

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal RMS et la FSF. Évalué à -1.

    J'imagine que si l'on écrivait à la place toux pour dépasser la binarité de genre, ça te conviendrait, donc ? Non ?

  • [^] # Re: ni dieu ni maître

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Adieu vieille branche. Évalué à 3.

    Je suis d’accord avec toi. Je n’ai pas de quoi + ou - alors je l’écris.
    Les fameux SJW sont des gens qui ont du temps à perdre…

    Ils ne sont pas seuls, manifestement.

  • [^] # Re: Et en fait, ça marche

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal [Windaube 10] M$, alias Windaube Store. Évalué à 2.

    Au temps pour moi, j'avais mal compris. Cela ressemble en fait au /etc/bash_command_not_found d'Ubuntu.
    Par ailleurs, ma comparaison avec le cas Chromium/Snap est inadéquate, puisque dans ce cas, c'est un Snap qui est installé quand l'utilisateur ou l'utilisatrice demande expressément l'installation d'un paquet.

  • [^] # Re: Et en fait, ça marche

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal [Windaube 10] M$, alias Windaube Store. Évalué à 2.

    La commande exécutée est la première trouvée… exactement comme avec Linux !
    le comportement est EXACTEMENT le même que sous Linux

    Je ne vois aucun élément du journal qui contredise cela. Personne n'a parlé d'ordre du Path, mais de l'ajout peu transparent d'un alias. Quelle(s) distribution(s) Linux mettent en place un mécanisme analogue ?

    Je suis largement en faveur d'une gestion centralisée des logiciels, mais j'aurais du mal à supporter un tel mécanisme sous Linux. Si j'installe un binaire depuis une archive, c'est peut-être idiot mais c'est mon problème (ou celui de l'éditeur du logiciel). Et j'imagine qu'il y a peu de développeurs Python qui ne savent pas qu'ils peuvent installer l'interpréteur depuis le Windows Store.

    In fine, pragmatiquement, ce mécanisme est certainement une très bonne chose, mais je doute que quiconque ici approuverait un comportement similaire sur sa distribution Linux.

  • [^] # Re: Whaou

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal [Windaube 10] M$, alias Windaube Store. Évalué à 2.

    Mais où est la mauvaise foi dans ce cas précis ?

  • [^] # Re: Whaou

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal [Windaube 10] M$, alias Windaube Store. Évalué à 7.

    Où l'auteur du journal dit-il qu'il s'oppose au gestionnaire de paquet de Windows ? Je suis curieux de savoir.

  • [^] # Re: Souvenirs

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal [Windaube 10] M$, alias Windaube Store. Évalué à 7.

    Mais pour troller on pourrait dire que les anti-win étaient les premier à vanter l'avantage de ne pas installer autre chose que ce qui vient des repos et à te dire que vouloir une autre version qui serait installée à la main (car pas le choix les repos ont qu'une version, mais bam pb de compatibilité entre distros) c'est pas pertinent en plus d'ajouter un trou de sécurité, mais chut le but est de placer ses gamineries et pas vraiment autre chose :).

    Le proposer est une chose, l'imposer, ou rendre son contournement non intuitif, une autre. Soit je m'occupe de mes binaires moi-même, soit je délègue la tâche à un gestionnaire de paquets. C'est encore moins compréhensible quand cela s'applique à certaines applications seulement.

    Cette forçage d'une forme de gestion sur l'autre est agaçante dans le cas de Snap/Ubuntu (avec Chromium dont le paquet Snap s'installe en douce, par exemple), pourquoi pas dans le cas de Windows ?

    Soit dit en passant, tu ne connais absolument pas l'opinion de l'auteur sur le sujet mais, comme souvent, un gros homme de paille est plus commode.

    (Je dis ça alors qu'en l'occurrence, le vocabulaire employé m'agace aussi)

  • [^] # Re: ·

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Point médian sur clavier US international. Évalué à 0.

    Je serais assez curieux de te voir dire aux membres de l'Office québécois de la langue française qu'ils ne parlent pas français.

    Être en désaccord avec l'utilisation de l'écriture inclusive est une chose (qui, d'ailleurs, ne doit effectivement pas être source de honte), le sarcasme étayé par un argument d'autorité hors-sol en est une autre.

  • [^] # Re: Et pour aller plus loin

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Personnaliser un pinephone (Themes & Graphical customizations). Évalué à 1. Dernière modification le 26 février 2021 à 07:52.

    Je tiens à confirmer que, comme le suggère ton commentaire, le Pinephone n'est à ce jour, pas vraiment utilisable au quotidien, même si les progrès sont rapides. Le support des applications Android, même si ce n'est pas indispensable, est suffisant mais minimal, et il n'y a toujours pas de notifications push quand il est en veille. Par ailleurs, peu d'applications natives s'adaptent à un petit écran - sans parler du fait que, même quand c'est le cas, elles ne sont pas optimisées pour une utilisation sur mobile en termes de consommation de batterie. Cela dit, l'autonomie est bonne, et un (vrai) clavier physique avec une batterie supplémentaire est prévu à la vente au printemps.

  • [^] # Re: Et pour aller plus loin

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Personnaliser un pinephone (Themes & Graphical customizations). Évalué à 1.

    Et pour installer n'importe laquelle de ces distributions sur l'EMMC, voir l'outil Jumpdrive.

  • [^] # Re: Évitez de faire de la pub pour de l'illégal

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien haro sur la fibre !. Évalué à -1.

    L'"indécence" (et l'absurdité) des comparaisons en question est justement le ressort logique et argumentatif sur lequel repose la BD. Je pense que tu ne te focalises pas sur le bon aspect.

    Des comparaisons différentes sont juxtaposées précisément parce qu'il s'agit de faire émerger ce qui les rassemble, ce qui n'implique pas qu'elles se ressemblent en tout point. Ce que tu vois comme une hypocrisie ne me paraît pas en être une, bien au contraire. Comme tu le notes, la BD met en place une gradation dans l'incapacité de faire des choix des personnages successifs. Précisément, il ne s'agit pas de considérer que le possesseur d'iPhone a autant de capacité de choisir que le serf : la gradation rend une telle conclusion évidemment absurde… et c'est précisément pour cela que l'incapacité de choisir va croissant.

    Le biais qui est souligné ici n'est pas celui de l'absence ou non de capacité à choisir. Cela dit, dans le cas du communiqué posté en lien - en aparté, je tiens à préciser que je trouve cette action complètement idiote et dangereuse; il ne s'agit pas du tout de défendre les auteurs, mais d'essayer d'émettre une critique juste - il est toutefois indéniable que la communication électronique a acquis une position hégémonique. On peut certes faire le choix de ne pas en faire usage, mais c'est un choix abstrait, voué à être confronté à une série d'obstacles difficilement surmontables. Mais je pense qu'en l'occurrence, ce n'est pas de cette question qu'il s'agit.

    Le problème pointé par la BD (et illustré par le message de Zenitram), ce qui rassemble chacune des situations décrites, est celui de la contradiction et de l'individualisation des cas. Pourquoi le personnage qui pointe les prétendues contradictions est-il agaçant ? C'est parce qu'il fait passer pour logique et rationnelle une position réactive et émotionnelle. Il représente une position conservatrice non pas rationnelle (qui pourrait être "les choses fonctionnent suffisamment bien telles qu'elles sont, le fait de vouloir les améliorer porte en lui plus de risque que n'en porte la situation actuelle ou n'est tout simplement pas souhaitable") mais irrationnelle et réactive ("Je me sens mis en cause par la critique qui est émise et vais donc tenter de disqualifier à titre individuel celui ou celle qui la porte"). Il s'agit d'une attaque ad hominem, pas d'une critique de la thèse défendue. Et cette critique ne tient pas : pourquoi y aurait-il une contradiction entre le fait d'utiliser quelque chose et de le critiquer ? Ou plutôt, plus précisément, pourquoi cette contradiction disqualifierait-elle le propos ? Ce sont deux plans tout à fait différents : un argument se discute pour lui-même, pas pour celui qui l'émet. La contradiction peut être critiquable en elle-même, mais il s'agit d'une question distincte, qui n'a rien à voir avec l'argument soulevé.

    C'est un biais cognitif et rhétorique très courant (je suis sûr qu'il a un nom scientifique), et cela équivaut, selon moi, à botter paresseusement en touche plutôt qu'à argumenter.

    Le problème dans ce type de critique, et c'est ce que j'essayais de dire en répondant Zenitram, c'est qu'elle ne répond pas à une thèse, mais à une préoccupation de celui qui pense la critiquer qui, pour ne plus en porter le fardeau, essaie de la déplacer sur celui qu'il attaque.

  • [^] # Re: Évitez de faire de la pub pour de l'illégal

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien haro sur la fibre !. Évalué à 7.

    Ici, il me semble HS du fait que des gens décident surtout d'une limite technologique à ne pas dépasser

    Le communiqué, encore une fois quoiqu'on pense d'une action violente et illégale ou de la pertinence de ses références idéologiques, dit exactement le contraire.

    La thèse de la phobie ou de l'irrationalité, c'est la tienne. Ce n'est absolument pas celle des courants anti-industriels dont le communiqué semble émaner. J'ai l'impression que tu plaques une opinion toute faite sur un courant beaucoup plus complexe (encore une fois, quelles que soient les - très fortes - critiques qu'on peut lui adresser) que tu ne le laisses penser. Être en désaccord, même radical, avec quelqu'un ne doit pas, me semble-t-il, conduire à le considérer nécessairement comme un idiot - c'est trop facile.

    faute de réflexion bien poussée (faudrait pas trop leur en demander… Leur but n'est pas du tout de réfléchir).

    Qu'en sais-tu ? La littérature extrêmement abondante, souvent sérieuse, sur le sujet, semble montrer le contraire.

    La "bêtise intemporelle par design" suppose deux prémisses fausses :
    - le progrès est linéaire ; la résistance contre lui l'est aussi
    - cette linéarité est unique : il n'y a qu'une ligne qu'on approuve, ou réprouve.

    Il y a beaucoup, beaucoup de choses à reprocher à ce genre de courant. Le psychologiser, l'essentialiser et lui donner un caractère intemporel ne me semble pas particulièrement pertinent.

  • [^] # Re: Évitez de faire de la pub pour de l'illégal

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien haro sur la fibre !. Évalué à 2. Dernière modification le 24 février 2021 à 16:12.

    ça fait sourire que des gens contre la technologie utilisent la technologie pour communiquer

    Quoiqu'on pense de la question, c'est un argument particulièrement faible.

  • [^] # Re: TLDR

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Bill Gates, entretien exclusif pour La Terre au Carré. Évalué à 10. Dernière modification le 23 février 2021 à 01:57.

    ce qui satisfait l'industrie qui peut donc en l'espèce prendre la place des gouvernements pour faire avancer les choses — vu qu'on a déjà tous constater l'inertie des gouvernements.
    Je ne crois pas du tout à la vertu des industriels, mais d'un autre côté je ne crois pas beaucoup aux changements gouvernementaux.

    Le problème, c'est que depuis la naissance du capitalisme industriel, nous l'avons déjà vue à l’œuvre, l'industrie. Son propre est certes de se réinventer sans cesse, mais c'est à la condition qu'elle puisse persévérer dans son être, c'est-à-dire extraire de la valeur. Même en mettant de côté les extraordinaires mutations que le mode de production capitaliste a connues, il n'en reste pas moins que la destruction de l'environnement et l'épuisement des ressources sont des constantes : si l'action publique n'est pas vertueuse, le capitalisme l'est encore moins. Et de la création illimitée de valeur sans décroissance, je veux bien, mais il s'agit de s'y mettre… et je doute que l'industrie ne s'y attelle avant d'y être contrainte.

    Je trouve assez curieuse cette focale placée sur le "réalisme" - j'ai la naïveté de croire que le réalisme, c'est d'abord l'observation empirique de ce qui se passe. Nul catastrophisme ici : il s'agit simplement d'observer le désastre, pas de l'imaginer. Si la perspective, pour citer ton exemple, d'une réduction de la consommation de viande n'est pas "réaliste", celle de la préservation d'un environnement vivable sans changement radical du mode de production l'est encore incomparablement moins.

    Je suis peut-être pessimiste, mais il me paraît incroyable, au point où on en est, de miser sur un solutionnisme un tantinet naïf et engageant un effet rebond quasi-assuré simplement pour ne pas être trop perturbé. Si, effectivement, la réduction du niveau de vie s'annonce douloureuse, elle ne représente absolument rien face au péril environnemental.

    Bill Gates - et le mode de production qu'il représente - me paraît ici faire figure d'une espèce d'hybride entre Pangloss et le baron de Münchhausen.

  • [^] # Re: Suite()

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Premier pas d'un débutant. Évalué à 1.

    L'entrée Ubuntu (safe graphics) inclut l'option de démarrage du noyau nomodeset, qui permet de pallier certains problèmes d'affichage graphique. Si tout fonctionne avec Ubuntu, tu peux l'ignorer.

    Les exécutables se trouvent en général dans le répertoire /usr/bin/, mais tu n'as pas de raison particulière de t'y rendre a priori. Ce répertoire est ajouté à la variable d'environnement PATH de ton shell -> pour faire simple, si tu tapes par exemple monprogramme dans un émulateur de terminal, ton système ira notamment chercher s'il y a un exécutable nommé monprogramme dans le répertoire /usr/bin/ (entre autres) et le lancera.

    Donc, pour lancer un logiciel, trois possibilités :
    - Tape le nom de l'exécutable dans un émulateur de terminal. Ce nom est en général celui du logiciel en question, en lettres minuscules. Par exemple, le logiciel d'édition d'images GIMP sera lancé en tapant gimp suivi d'entrée.
    - Tape le nom de l'exécutable dans le lanceur de ton bureau, que l'on peut généralement faire apparaître en tapant Alt-F2.
    - Trouve l'entrée correspondant au logiciel que tu cherches dans le menu de ton bureau.

  • [^] # Re: DLNA via le reseau et wifi

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Partage de son sur le réseau?. Évalué à 2.

    J'essaie de faire un truc similaire depuis longtemps, et aucune solution n'est pleinement satisfaisante ou universelle. La moins compliquée et la plus flexible, selon moi, si tu veux éviter de devoir dépendre d'une source unique comme un serveur DLNA, est d'utiliser la lecture réseau de Pulseaudio : https://wiki.archlinux.fr/PulseAudio#R.C3.A9seau
    Ça ne fonctionne pas trop mal chez moi.

    Pour Android, étant donné qu'un client pulseaudio n'est pas (facilement) accessible, tu peux activer sur le serveur (les enceintes) le support Bluetooth sur Pulseaudio et utiliser les fonctionnalités intégrées à Android.

  • [^] # Re: Bienvenue

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Premier pas d'un débutant. Évalué à 3. Dernière modification le 18 février 2021 à 12:51.

    J'hésite à participer à cette grande foire aux suggestions où chacun est tenté de proposer sa distribution préférée, alors qu'il s'agit de s'adapter aux besoin d'un débutant, plutôt qu'aux goûts de tel ou tel. Cela étant dit, il existe un nombre conséquent de distributions de grande qualité, et tu peux difficilement te tromper avec celles qui ont été citées.
    Ce que je peux partager, c'est l'expérience que j'ai avec de complets débutants (que l'informatique n'intéresse pas nécessairement d'ailleurs). J'ai, au cours de ces dernières années, installé Linux Mint[1] sur l'ordinateur d'une petite dizaine de personnes au profil, j'imagine, similaire au tien. Dans chaque cas, cela a été un franc succès.
    Linux Mint dispose :
    - d'une interface de bureau classique, peu déroutante, et un soin particulier et constant est porté à ce que cela reste le cas
    - d'outils simples développés en interne pour la gestion de certaines tâches courantes (et contrairement à beaucoup de tentatives similaires, ils sont vraiment simples)
    - d'une base Ubuntu LTS, donc des avantages cités par ted
    - d'une procédure de mise à jour extrêmement accessible et sans accroc

    PopOS est également à considérer.

    Dans tous les cas, quoi que tu choisisses, et même s'il faut évidemment être curieux, je te conseille d'une part de ne pas passer ton temps à passer d'une distribution à l'autre (sauf exception, le choix, pour un débutant, d'une distribution n'est pas si important que ça) et, d'autre part, à choisir une distribution ayant pignon sur rue plutôt qu'un petit projet qui a toutes les chances d'être éphémère.

    [1] Je tiens à préciser que ce n'est pas ma distribution préférée, et que je ne l'utilise plus sur mes ordinateurs personnels depuis des années.

  • [^] # Re: Le TrackPoint, cet incompris

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le trackpoint sur les thinkpad…. Évalué à 2.

    Vendu !

  • [^] # Re: Le TrackPoint, cet incompris

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le trackpoint sur les thinkpad…. Évalué à 2. Dernière modification le 21 janvier 2021 à 13:57.

    C'est celui que j'utilise et que je mentionne dans mon commentaire plus haut. C'est un bon clavier, compact et confortable. Le toucher n'est pas aussi bon que sur ceux des Thinkpad de la gamme T, mais il reste, selon moi, meilleur que la plupart des autres claviers USB que j'ai utilisés.Et puis surtout… il est doté d'un Trackpoint.

    Il se trouve que j'en ai un à vendre, neuf, dont je n'ai jamais ouvert la boîte. Je le vends 40 euros pour les moules (vendu 50 euros sur le site de Lenovo). Si cela intéresse quelqu'un-e, m'envoyer un courriel à 5cjno1j2b@relay.firefox.com

  • # Impossible d'utiliser autre chose

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le trackpoint sur les thinkpad…. Évalué à 10.

    J'utilise un Trackpoint depuis des années, dix peut être. Mon constat est simple : je suis incapable d'utiliser quoi que ce soit d'autre sans m'énerver. Je ne vois pas de différence en termes de précision du pointage entre une souris et un Trackpoint. La dextérité s'améliore extrêmement vite. Je n'utilise plus ni souris, ni Trackpad.

    Par ailleurs, comme toi, j'utilise beaucoup plus les raccourcis clavier qu'avant (fenêtres en tiling avec Sway ou l'extension de Pop! OS pour Gnome, Emacs, Tridactyl sous Firefox, Emacs ou le terminal Kitty pour la navigation de fichiers plutôt que Nautilus, etc.). Le fait de devoir retirer mes mains du "home row" est devenu extrêmement frustrant pour moi et, comme toi, je cherche le Trackpoint sur tous les claviers que j'utilise (mon clavier USB en est d'ailleurs doté d'un).

    Je ne comprends pas que ça ne soit pas un dispositif plus répandu. L'avantage, selon moi, du fait de ne pas avoir à déplacer ses mains du clavier ne réside pas tant dans le gain de vitesse que dans la "muscle memory" : le fait d'avoir à déplacer ma main pour saisir une souris rend le dispositif de pointage perceptible et me déconcentre.

  • [^] # Re: C'est fou...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal rsync. Évalué à 2.

    Notons que les québécois ont exactement le même défaut : le bon français c'est le leur. Soit-disant parce qu'ils évitent tous les anglicismes. Mais dans le même temps chez eux un spectacle annulé est cancéllé et si ta tenue de sport est assortie on te dira que tes espadrilles (baskets) matchent ton outfit.

    À ceci près que la langue des classes supérieures (et la langue académique notamment) tend beaucoup plus à ressembler au français de France que celle des classes populaires - et que l'usage des anglicismes est plus fort à Montréal qu'ailleurs (sauf dans les villes situées à la frontière de l'Ontario). Une conversation courante entre un Français et un universitaire de Québec verra, dans un certain nombre de cas, peu de différences, accent mis à part.

    Il y a tout de même une hiérarchie (socialement) objective en faveur du français de France.

    Et je suis sûr que ça marche aussi avec l'anglais d'Oxford vs celui de Canberra.

    Il y a effectivement une hiérarchie très forte entre les accents en anglais, tant au niveau national (il existe bien plus d'accents différents au Royaume-Uni qu'en France) qu'international. La différence par rapport au français, c'est qu'il a une dimension moins normative. On se réfère beaucoup moins au canon de la langue - on ne va presque jamais corriger son interlocuteur au nom d'une règle surplombante, par exemple. La hiérarchie (notamment de classe) est extrêmement forte, mais la règle n'est pas, ou beaucoup moins, ancrée dans le marbre.