Éric a écrit 4850 commentaires

  • [^] # Re: Refus de vente?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft "vend" son code source. Évalué à 1.

    > D'une part, MS a déjà utilisé du code libre (sous licence BSD) dans Windows

    Oui, un ou deux petits utilitaires annexes fournits avec Windows comme le client ftp en ligne de commande. On ne peut pas vraiment dire "dans" Windows. "avec" Windows est plus correct.
    Je doute qu'on puisse en tirer quoi que ce soit comme conclusion à partir de ces deux ou trois binaires.
  • [^] # Re: d'autres...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Société spécialisée dans le spam. Évalué à 2.

    Tiens, ça m'intéresse. J'ai aussi tenté mais ça fait parti des bases desquelles je ne suis pas arrivé à me désinscrire (aucune réponse de leur part)
  • # stagiaire ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Je cherche un(e) stagiaire .... Évalué à 4.

    Euh ... confier un site Web à un stagiaire est complètement stupide.

    A titre de rappel, tout ce que produit un stagiaire comme "oeuvre" lors de son stage n'appartient *pas* à l'entreprise.

    L'entreprise obtient les droits d'auteurs artistiques[1] de ce qui est produit par ses salariés, uniquement de ses salariés. Or un stagiaire n'est pas compté dans les salariés, même en donnant une définition très large à ce terme. Ce n'est pas qu'une question de rémunération (le stagiaire peut être indemnisé, ça n'en fera pas un salarié), le stagiaire n'a pas de lien de subordination, n'est pas lié au code du travail et n'a aucune des protections. Il n'y a aucun espoir de pouvoir l'assimiler à un salarié et donc récupérer d'office les droits de ses créations.

    Résultat ? le stagiaire a tous les droits sur le code ou le graphisme créé pendant son stage [2]. Il peut donc, après le stage, légitimement demander une rémunération pour l'exploitation de ce qu'il a créé.
    Bon, c'est rarement appliqué, c'est vrai. Reste qu'employer un stagiaire pour une création "artistique" comme un site web, c'est loin d'être l'idée du siècle, même si tout le monde le fait.

    Puis je peux me tromper mais vu l'annonce (entres autres le fait que vous recherchez des compétences au lieu de parler de formation et répartition des taches) vous ne cherchez pas quelqu'un à former mais quelqu'un qui produit. Bref, pas un stagiaire mais bien un employé classique.

    Il est vraiment temps de changer les mentalités sur les stagiaires. Un stagiaire n'est pas un salarié sous/pas-payé. Confondre les deux n'est ni intéressant pour le stagiaire (qui finalement fait un boulot normal mais sans le salaire et les avantages), ni pour l'entreprise (qui risque d'avoir mal lors du réveil si le stagiaire est moins mouton que prévu (ce ne sont pas les mêmes obligations/législations).


    [1]: graphisme et logiciels tombent dans cette catégorie
    [2]: en cherchant rapidement on trouve http://www.droitweb.com/dw2/articles.jsp?pArticleID=27&p(...) mais si vous avez le courage de chercher le cas a visiblement été jugé plusieurs fois, en faveur du stagiaire.
  • [^] # Re: Refus de vente?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft "vend" son code source. Évalué à 7.

    > Le choix de vendre ces licenses uniquement aux editeurs de logiciels propriétaires est-il légal?

    Pourquoi pas, de toutes façons la licence du code source n'est pas libre donc je vois mal ce qu'un éditeur de logiciel libre pourrait faire avec. S'il l'utilisait il pourrait être accusé d'avoir utilisé la PI dans son soft et ça poserait plein de pb. Une partie des plus gros softs libres imposent à leurs contributeurs de ne pas regarder les sources des softs proprio en face de toutes façons, justement pour ça. Franchement, est-ce que ce n'est pas juste pour la forme que vous ralez vis à vis de cette éventuelle discrimination ?

    > Ne serait-ce pas du refus de vente?

    Sauf erreur de ma part le refus de vente n'existe qu'à destination du particulier. MS peut très bien réserver son offre aux pros, et donc choisir ses clients.


    > Cela ne revient-il pas à choisir arbitrairement les personnes autorisées a acheter ces licenses?

    Si. Reste à voir si leurs critères cadrent avec les requêtent de l'europe au sujet de la non concurrence mais ne leur faisons pas un procès pour quelque chose qu'ils n'ont pas (encore) commis, attendons.

    Si ce qu'ils ont dit revient juste à dire qu'ils ne distribueront pas leurs sources sous licence libre et donc qu'ils refuseront toute demande "pour" un logiciel libre, je vois mal ce que l'europe pourrait y reprocher (personne n'est obligé de diffuser en libre).
  • [^] # Re: En est-tu sur ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Société spécialisée dans le spam. Évalué à 3.

    > PS: je ne pense pas qu'il y ais de revendeur de base, ca doit pas etre
    > autorisé par les contract.

    Des revendeurs de base ? alors là tu en trouves à la pelle, pas besoin de chercher bien loin. La plupart des entreprises qui collectent de manière légitime les données te posent d'ailleurs la question de tu acceptes qu'elles communiquent tes données à des tiers, c'est bien poru ça (entre autres). La vente de bases profilées est une activité qui a toujours existée, même les pages jaunes le fait. Ce n'est pas vraiment ça qui est en cause.
  • [^] # Re: En est-tu sur ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Société spécialisée dans le spam. Évalué à 9.

    En fait ceux qui spamment sont assez souvent de bonne foi. J'envoie quasiment systématiquement un mail pour demander le retrait quand c'est un spam français. Le plus souvent le gars a l'air de bonne foi, ou du moins n'est pas vraiment responsable de mon entrée dans la liste : ils achètent les listes

    La déresponsabilisation est organisée.

    Les vendeurs de listes pour respecter la loi demandent à tous ceux qui font effectivement le mailing d'obtenir l'accord du destinataire, de supprimer ceux qui le demandent et de respecter la loi. L'idée c'est que quoi que tu fasses tu t'adresses à celui qui a fait le mailing, donc celui qui a acheté la base.
    Dans le meilleur des cas le spammeur se rend compte de sa bêtise et ne fait plus de spam, supprimant sa base. Dans certains cas il supprime ton entrée quand tu lui demandes. Dans la plupart des cas il te dit que de toutes façons une fois fait le mailing il supprime sa base temporaire, donc il n'a plus tes coordonnées et ne les réutilisera donc plus.

    Quoi que tu fasses, tu ne correspond qu'avec le dernier maillon. Le vendeur de liste, le réel problème, lui tu n'as pas ses coordonnées, tu ne peux pas effectuer ton accès à la base pour supprimer ton entrée. Bref, tu continues à te désinscrire de 150 acheteurs de listes mais ça ne change rien, elle continue à etre vendue.
    C'est même tellement organisé que des fois la suppression est faite sur le site du vendeur de liste, mais elle reste limité ... au mailing en cours (tu es bien supprimé, mais ton adresse reste revendue aux autres clients).

    Ce qu'il faudrait c'est forcer tout mailing à indiquer la source de la liste (pas forcément de la collecte, mais au moins de la liste), pour savoir à qui s'adresser. Le plus souvent l'acheteur refuse de donner le nom de son fournisseur. Je n'en sais rien mais je soupsonne qu'il s'engagent à ne pas le faire, par contrat lors de l'achat.
  • [^] # Re: UbuntuMac

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Nouveautés dans le monde Ubuntu. Évalué à 5.

    > Quand tu manipules ton putain de soft au boulot, toi, qui pond le code, tu n'as
    > légalement pas le droit d'en faire quoi que ce soit ailleurs. Parce que c'est pas
    > du logiciel libre.

    Repartons à la base alors. Tu manipules au boulot un logiciel créé par ta boite. Ta boite le diffuse a ses clients sous GPL (ou tout autre licence libre qui t'amuse).

    Et bien ... tu n'auras aucun droit de l'installer chez toi, de l'utiliser ou de le modifier. Personne ne t'aura diffusé le soft à toi, monsieur dupont, donc tu ne peux pas te prévaloir de la licence libre en question.
    Pourtant c'est bien une licence libre, donc tu peux appeler le logiciel "logiciel libre". J'insiste donc, le fait que tu ne puisses pas utiliser ce que tu manipules au boulot n'a rien à voir avec le fait que ce soit libre ou pas.

    L'erreur dans ta phrase c'est que quand tu manipules au boulot ce n'est pas "monsieur dupont" qui manipule, c'est "société X".


    > C'est une bonne approche pour toi ?

    Qui a dit que c'était une bonne approche ? tu dis "c'est du proprio", les autres te répondent "non, ça n'a rien à voir avec du logiciel sous licence proprio". Maintenant tu en fais ce que tu veux, tu peux essayer de diverger sur un terrain moral, il n'empêche que ce que tu disais était faux.

    > Libre à moi de croire que tu ne sais manifestement pas d'où sort le libre.

    Un soft que je ne pourrai pas faire en interne en me refusant de le diffuser ne pourrait pas factuellement être qualifié de "libre" par la FSF. Et toi tu viens le qualifier de "proprio" justement parce qu'il n'est pas distribué. Et après c'est moi qui ne voit pas d'où sort le libre ?
  • [^] # Re: j'aime pas ta soupe

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Nouveautés dans le monde Ubuntu. Évalué à 6.

    > Un logiciel sans licence est un logiciel propriétaire, car le copyright de base
    > d'applique.

    Il n'y a *rien* qui s'applique à *personne*. De plus opposer copyright et licence c'est tout de même très crétin, la licence n'étant justement *que* l'application du copyright de base : c'est à dire une concession expresse de l'auteur.
    Il y a tout de même un ou deux trucs que tu ne sembles pas avoir compris dans ce qu'est une licence visiblement. Tu peux tourner ta phrase comme tu veux, elle n'a aucun sens.

    Un logiciel libre c'est un abus de langage, c'est la licence qui est libre ou pas. Tu ne peux ici pas dire que la licence n'est pas libre, puisque justement il n'y en a pas.

    > Le fait qu'il soit diffusé ou pas ne change rien.

    Tu peux me rappeler ta définition du logiciel libre ? Celle que je vois sur la FSF demande que tous les utilisateurs se voient accorder 4 libertés précises.
    Pour dire que c'est proprio j'espère que tu peux me dire quels sont les utilisateurs du soft qui ne se sont pas vus accorder ces libertés ?
    Bonne chance pour les trouver si le soft n'est pas distribué.

    D'ailleurs, la FSF annonce elle même dans ses FAQ que développer ou modifier un soft seul dans son coin est tout à fait légitime et ne contredit pas du tout le logiciel libre. C'est même une possibilité garantie pour les logiciels libres.
    Oser dire qu'un soft est non-libre parce que non distribué c'est tout de même marcher à reculons.
  • [^] # Re: j'aime pas ta soupe

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Nouveautés dans le monde Ubuntu. Évalué à 7.

    > Un acteur qui lui joue le jeu du libre intégralement

    Tu confonds les critères de liberté du logiciel avec le principe de gestion communautaire.
    Ceux qui ne diffusent pas leurs softs ne font *rien* contre le libre, ni dans les faits ni dans l'esprit. Le principe du libre c'est de ne pas soumettre l'utilisateur a des conditions inacceptables. Si le soft n'est pas distribué alors il n'y a par principe aucun problème.

    Après tu peux raler parce que toi tu n'as pas accès au soft, mais ne va pas en tirer que Canonical fait du proprio comme tu le fais. Le libre selon la FSF c'est quatre critères bien précis. Ils sont éventuellement pas mal sujets à discussions et interprétations, mais pour le coup tout ce que fait canonical respecte pour l'instant ces principes.

    Après si ça te rassures de clamer "proprio" à tous les coins de rue pour faire peur dès que tu as une société ou quelqu'un qui ne partage pas toute sa propriété, libre à toi, mais ne vas pas t'étonner que les gens réagissent.
  • [^] # Re: UbuntuMac

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Nouveautés dans le monde Ubuntu. Évalué à 5.

    > Car l'absence de licence signifie que le développeur qui a une copie
    > du code ne peut légalement rien en faire hors de son cadre de travail.

    C'est quand même la base hein. Ca n'a rien à voir avec les licences. Quand tu fais quelque chose en tant qu'employé ce n'est pas toi qui le fait, c'est la boite, la personne morale.
    Si tu manipules un soft au boulot non, *toi* personne physique, on ne t'a pas distribué le soft.
    Ca n'a rien à voir avec le libre ou les licences ça.
  • [^] # Re: UbuntuMac

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Nouveautés dans le monde Ubuntu. Évalué à 2.

    > ces droits sont tres tres loin d une licence de logiciel libre

    ah ? dans le cas d'un soft non distribué, peux tu me dire quel utilisateur du soft n'a pas les droit accordé par la fsf ?

    Ces droits permettent à l'auteur (la seule personne concernée si le soft n'est pas distribué) de tout faire, ce qui valide largement les critères de la fsf tu ne crois pas ?
  • [^] # Re: UbuntuMac

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Nouveautés dans le monde Ubuntu. Évalué à 10.

    > Ah tiens donc , un logiciel pour avoir une licence doit etre distribué,
    > c'est nouveau ca.

    Ah ben oui !
    Tu me dis quels sens à une licence tant que tu ne distribues pas le soft ? une licence c'est fait pour savoir à quelles conditions tu distribues.
    Tu peux m'expliquer sur quels critères toi tu juges de la liberté d'un soft qui n'a pas été distribué ?



    A titre de rappel, ce n'est pas le soft qui a une licence. Le soft n'a rien en lui-même, c'est un abus de langage.
    C'est toi, utilisateur, qui a (éventuellement) une licence pour utiliser/distribuer/modifier/autre le logiciel.

    Si le soft n'est pas distribué, personne n'a de licence. Cette licence inexistante n'est donc ni libre ni non libre. Le soft n'a rien de plus proprio ue le noyeau linux.
    J'irai même jusqu'à dire que dans ce cas la seule personne (physique ou morale) a bien les 4 libertés pronées par la FSF. Cette personne a donc dans les mains une version libre. Personne n'en ayant d'autre version, personne ne peut prétendre que ce soft est autre chose que libre. CQFD
  • [^] # Re: heuuum ...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Configuration des clients mails. Évalué à 3.

    Oui, enfin si le méchant a un accès physique à la machine avec le bon utilisateur (pour lire le fichier de mot de passe) , y'a déjà un problème quelque part, et pas que avec tes mails.
  • [^] # Re: Evangéliser dans le libre...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Jabber explose !. Évalué à 4.

    > Google Talk utilise son propre logiciel serveur Jabber propriétaire.

    En quoi ça a une influence sur ton compte ? mon prestataire utilise ce qu'il veut en privé. D'ailleurs la notion de logiciel libre n'a de sens que si tu redistribues, ce qu'il ne font pas. Tant que c'est privé, tous les détenteurs du softs ont bien toutes les libertés demandées par la FSF : donc c'est libre ;)

    > Serveur qui n'implémente d'ailleur pas (encore?) autant de
    > fonctionalités que les principaux serveurs libres.

    Tiens, maintenant la "liberté" tien au nombre de fonctionnalités possibles ?

    Bref, je ne vois toujours pas pourquoi mon compte jabber sur google serait moins libre qu'un autre. Tout ça m'a l'air plutot un parti pris dès le départ.
  • [^] # Re: traduction officielle ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Première ébauche de la GPLv3. Évalué à 2.

    > La licence fonctionne implicitement, parce que sans elle tu n'as aucun
    > droit, si tu fais exercice des droits, c'est donc que tu l'acceptes.

    Euh .. certainement pas. Aucune obligation non légale ne s'applique jamais à toi implicitement sans que tu en aies connaissance, heureusement.

    La licence c'est à toi de l'accepter, volontairement. C'est d'ailleurs pour ça que les logiciels t'emm* à te faire accepter la licence et à te mettre des boutons désélectionnés, t'obliger à faire défiler le texte etc. : pour s'assurer que tu ne puisses pas dire que ça a été implicite et pour pouvoir affirmer/prouver que c'est conscient et volontaire de ta part.

    > pas de signature, pas de clic, pas de paiement, etc.

    Un contrat n'a pas besoin de signature, clic ou paiement. Ce sont juste des moyens de prouver qu'il y a eu accord et de prouver les termes de l'accord. Rien n'empêche un contrat oral ou non signé, c'est à ma connaissance tout aussi valable (pour peu que tu arrives à prouver qu'il a été accepté de manière ferme et que tu arrives à en prouver les termes exacts).


    Bref, tu me renforces au contraire dans l'idée que c'est bien un contrat là ;)
  • [^] # Re: Evangéliser dans le libre...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Jabber explose !. Évalué à 5.

    Pour info, en quoi un compte sur jabber.fr ou jabber.org est plus "libre" qu'un compte sur le serveur de google ?
  • [^] # Re: Evangéliser...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Jabber explose !. Évalué à 3.

    > Soyons déjà "heureux" que les avatars soient la.

    Euh ... autant la vidéo je trouve ça un plus non négligeable pour ceux qui ont une webcam, autant les avatars je pense qu'on aurait pu (du ?) s'en passer (idem pour les smiley)

    > N'oublions pas de jabber est à la base une messagerie instantannée
    > d'entreprise et non un truc groovy fashion tendance !

    Parce que c'est bien connu les entreprises ne font jamais de vidéo conférence et préfèrent toute utiliser des lignes ou logiciels dédiés très chers pour faire ça. Y'a pas comme une erreur ?
  • [^] # Re: Mouai

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Extrait South Park sur le piratage (en flash). Évalué à 3.

    Oui, la citation n'est pas dédiée au livre, elle marche aussi pour la vidéo.

    Ceci dit il ne faut pas confondre extrait et citation. Ce n'est pas parce que tu siffles les premières notes d'une musique que c'est une citation et que tu n'es pas soumis aux droits d'auteur. Ce n'est pas parce que c'est un extrait, même très court, que je ne pense pas que tu puisses forcément te prévaloir de l'exception de citation. Je ne sais pas quels critères sont retenus pour faire le tri, je pense qu'on s'arrête probablement au contexte de l'utilisation et au but mené.
    Je n'ai pas vu la vidéo (au boulot c'est délicat, même pendant une pause), je pensais (plus haut) qu'il s'agissait d'un doublage fait par dessus la vidéo et non d'un bête extrait. Là ça me parait discutable/litigieux.
  • [^] # Re: traduction officielle ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Première ébauche de la GPLv3. Évalué à 2.

    En France du moins on parle bien de contrat de licence. C'est un texte contracté entre les deux parties qui définit les responsabilités et obligation des deux parties.

    Je suis d'ailleurs intrigué par le paragraphe "9.[5] Not a Contract." puisque son contenu ne me parait pas en rapport avec son titre (je ne vois pas ce qui contredit la notion de contrat dans le contenu)
  • [^] # Re: Mouai

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Extrait South Park sur le piratage (en flash). Évalué à 6.

    > Ca utilise South Park, et je ne pense pas que les auteurs ou ayant droits soient OK, pour ce qui est dit ou pour la diffusion.

    Le pastiche est une des exceptions aux droits d'auteurs. Il faudrait voir si ce qui a été pris est trop important ou pas assez détourné pour constituer le pastiche, mais sur le principe c'est tout à fait correct.
  • [^] # Re: Franglais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Première ébauche de la GPLv3. Évalué à 2.

    Il me semble que c'est français (mais pas trop courant) puisque je crois l'entendre aussi de la bouche de non informaticiens. C'est dans le sens de relever / redresser.
    (ceci dit, mis à part la source latine du mot, je ne trouve rien dans le dico pour conforter mes lignes)

    En tout état de cause, même si ça venait de l'anglais, vu la source du mot (latine) et sa consonnance, il ne me parait pas impossible que ce soit les anglais qui nous l'aient piqué par le passé. Bref, c'est un mot bien de chez nous même dans le cas où il aurait fait des vacances de l'autre coté de la manche ;)
  • [^] # Re: systèmes de DRM

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Première ébauche de la GPLv3. Évalué à 2.

    > Cela veut dire qu'il faut qu'il se conforme à la loi pour le faire.


    Euh ..... il y a besoin d'une licence pour demander à ce qu'un soft se conforme à la loi ? si c'était ça le but alors on ferait aussi bien de retirer ce passage car il serait inutile.

    *Mais* ce passage ne peux pas se conformer aux lois sinon ça poserait un énorme problème : les lois de quels pays ?
  • [^] # Re: une explication.. ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Première ébauche de la GPLv3. Évalué à 2.

    > inclue dans les paquets de base (distribution) ou

    ... ou justement le truc que tu ne piges pas c'est ce dont on parle : un moceau de code qui n'a d'utilité que pour s'interfacer avec le code système.
  • [^] # Re: mouahahahah

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal un 20% pur firefox. Évalué à 1.

    argh, mais il y a vraiment des gens qui génèrent ce genre de chiffres qui ne veulent rien dire sans se poser des questions ?

    C'est ridicule de juger le taux d'utilisation avec une moyenne de moyenne ...
  • [^] # Re: Ca n'a pas traine

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal brevet logiciel, on remet ça ?. Évalué à 8.

    Euh, la loi existe déjà hein. Le problème dans notre cas ce n'est pas un manque de loi, c'est qu'elles ne sont pas appliquées.

    Ajouter ou modifier des lois (légiférer) n'arrangera rien tant que ce n'est pas pour autoriser ce qui est interdit