Il y a système « tout bête » qui permet de profiter facilement des cartes avantages pourvu qu’on voyage régulièrement. Il s’agit de « croiser » les aller-retours sur 2 périodes : ça demande un peu de gymnastique, mais ça permet de belles économies (astuce fournie par l'assistance téléphonique de la SNCF a qui j’avais demandé le réel intérêt de ces cartes);
Le principe (en supposant un voyage par semaine) entre A départ jour1 et B retour jour2 :
- voyage 1 : aller de A jour1 et retour vers B jour2 semaine + 1
- voyage 2 : aller de B jour2 et retour vers A jour1 semaine + 1
Il faut « recomposer » les trajets comme suit :
L’« aller » du voyage 2 est en fait le « retour » voyage 1, de même que le « retour » du voyage 1 est en fait l’« aller » du voyage 2.
Comme il y a un vendredi entre chaque aller et retour, les réductions s’appliquent. (ˆ_ˆ)
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Pour ne pas se priver des chemins non-goudronnés comme les pistes agricoles ou forestières :
- une fourche suspendue pour limiter les vibrations dans les bras ;
- des pneus relativement larges pour ne pas s’enliser dans les flaques boueuses ou les portions sablonneuses.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Le plus important est de se focaliser sur le besoin. Malheureusement, la plupart des acheteurs, comme pour l’automobile, se focalisent sur l’apparence. Résultat, plus de la moitié des vélos vendus sont de VTT qui ne rouleront jamais que sur du goudron.
Personnellement, adepte du vélo balade, je privilégierai :
- le cadre bas (col de cygne) : tellement plus pratique ;
- une position haute, pour profiter du paysage ;
- un guidon à la hollandaise (voir ci-dessus) ;
- une boite de vitesse dans le moyeu pour pouvoir changer de vitesse facilement, même à l’arrêt ;
- un système à capteur de force pour un pédalage « naturel » : c’est le cas de la plupart des moteurs-pédaliers, mais ces derniers ne permettent pas la récupération d’énergie (système peu répandu de toute façon) ;
- une courroie pour l’absence de graissage ;
- une batterie (amovible) permettant une sortie de plus 60 km ;
- de quoi embarquer le minimum et l’accessoire : sacoches, paniers selon les goûts ;
- « investir » dans des pneus limitant grandement le risque de crevaison (Marathon plus au hasard) ;
- choisir des valves dunlop qui limite les pertes d’air ;
- une bonne sonnette pour abuser de son usage ;
- un (très) bon éclairage ;
- un rétroviseur pour sa sécurité ;
- un gilet jaune quand la luminosité baisse ;
- des gardes-boues (avec celui arrière descendant bien bas) ;
- un support de gourde ;
- un support d’ordiphone (voir ci-dessous) ;
- un pantalon et une veste de pluie (les capes de pluie sont inutilisables dès qu’il y a du vent) ;
- des lunettes à verre interchangeables (transparent, pluie, soleil) pour parer à toute éventualité (comme les moucherons le soir).
En complément :
- l’application Cyclestreet pour trouver des itinéraires et le guidage ;
- un porte-vélo : au bon d’un certains temps, on finit par avoir éculé tous les chemins des environs : pouvoir partir d’un autre point permet de découvrir d’autres balades, sans compter qu’emporter son vélo en vacances permet de laisser la voiture garée sans se soucier de son stationnement souvent galère en zone touristique.
J’espère avoir pensé à (presque) tout.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Le train, c'est pas fiable, et dès qu'on est plus de 1, ça coûte plus cher que la voiture.
Même quand on est seul, les problèmes de fiabilités sont tellement élevés que ce n'est pas si intéressant que ça
Le train en France… J’ai fait l’expérience du train (et des autres TP, dont le bateau) en Suisse : c’est assez extraordinaire !
Comme les trains partent très généralement à l’heure, il n’y a pas d’annonce de départ : des touristes en ont fait les frais lors d’un arrêt et ont vu le train repartir sans eux mais avec leurs bagages…
Il est important de rappeler que la casse du service public ferroviaire est une action de longue haleine de nos chers dominants pour imposer l’automobile et tout ce qui va avec (travaux publics à gogo tel l’A69, ventes de véhicules, « extorsion » de fond via les péages, etc.), comme le démontre très bien le documentaire « Voyage à Vésège »
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Allez, un petit mot sur l’ergonomie. Je reste fondamentalement un vieil ingénieur. Pour moi, le menu hiérarchique reste le meilleur, car je peux m’y retrouver par déduction et non par mémorisation. Mais j’ai des collègues qui ne pratiquent que par mémorisations. Donc je pense qu’une ergonomie unique ne peut pas répondre aux besoins de tous.
Je pense que vous faites de la mémorisation sans le savoir : il y a toujours dans un système hiérarchique une part d’arbitraire dans le classement d’une information.
Par exemple le présent article serait à ranger dans « suites bureautiques » > « logiciels libres » ou dans « logiciels libres » > « suites bureautiques » ?
Les interfaces seront réellement ergonomiques quand elles permettrons à l’usager lui-même de choisir l’agencement des commandes.
Eclipse propose avec la zone d’accès rapide un embryon de ce principe : en tapant une suite de caractères, toutes les actions correspondantes apparaissent dans diverses catégories, le même résultat pouvant apparaitre plusieurs fois, ce qui est fondamental : ça permet de ne pas préjuger de la manière dont l’utilisateur classe de lui-même les informations. Il n’est cependant pas possible de créer son propre menu un pré-classement des actions étant incontournable.
D’ailleurs, il fût un temps, où MSO le proposait, bien malgré lui : le passage à l’interface ruban a été tellement brutal qu’il existait un zone de recherche de fonctionnalité. Il me semble qu’elle existe toujours, mais elle n’est pas accessible de manière triviale (un comble).
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Je vais donner un exemple pour tenter d'éclaircir le débat. Un contributeur (qui avait donc déjà franchit l’unique étape nécessaire à la contribution) trouvait qu’il aurait été bien si les articles de mathématique de présentaient tous de telle manière.
La réponse unanime des autres contributeurs a été : « fais-le donc ! ».
C’est exactement ce que je veux dire : on peut toujours donner son avis et déplorer ceci ou cela, mais quand un système n’attend que votre participation pour changer, entrez dedans et accomplissez ledit changement !
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Je ne comprends pas : n’importe qui peut — et sans aucune condition — contribuer et participer à la vie de Wikipédia. Il existe bien quelques restrictions pour les débutants (exactement comme le droit de vote qu’on acquiert qu’à 18 ans), mais à part ça je ne vois de quelle condition il serait question !
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Je ne suis pas d'accord. Si Wikipedia a l'ambition d'être un commun, il est l'affaire de tous.
Encore faut-il que « tous » participent ! Et c’est bien parce la faible participation qui rend possible « l’accaparement » de ce commun par certains.
À noter que ça n’est pas propre à Wikpédia : sans en être (et heureusement) à ce niveau, les choses changent également dans OSM, avec des causes identiques : le plus dur (et le plus « intéressant » de prime abord) a été fait, et même s’il reste énormément de travail, là encore, les espaces vierges ont tous été défrichés.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Ceux qui ne sont pas prêts à pas passer du temps à « batailler » pour que ça change ne devraient pas « chouiner » que Wikipédia n’est pas ce qu’il devrait être (ou plus ce qu’il a été). Contribuer à Wikipédia ne demande rien qu’un peu de bonne volonté.
Et au passage, il existe mille-et-une façon de contribuer : catégoriser, relire, illustrer, mettre en forme, etc. La contribution ne se limite pas à l’ajout de contenu « neuf ».
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Dommage de ne pas avoir cité le vénérable EBCDIC, format dans lequel est stocké l’immense majorité du code et des données hébergées sous z/OS, ce qui représente vraisemblablement des tas de péta-octets (voire même peut-être bien plus) de données.
[edit] Bon en fait, ça n’est pas un format…
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Il y a woke dans le sens prendre conscience des discriminations. Pour ceux qui en doutent, on peut être victime de discrimination et s’en défendre, voir le cas de Pepita. Il peut donc bien exister bien donc un « réveil » qui permet de se rendre compte de l’anormalité de sa propre situation.
Il me semble qu’être de gauche nécessite d’être woke. Et il apparait clairement que les dominants le savent aussi. La répression féroce du mouvement des gilets jaunes — quelle plus éclairante preuve de « wokisme » que de sortir de son invisibilité avec un gilet jaune — en est la plus éclatante des preuves.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Par construction, Wikipédia est un projet conservateur, au sens où il faut pouvoir montrer « patte blanche » pour ajouter du contenu. Ça s’appelle les règles d’admissibilité.
Il faut toutefois reconnaitre que le temps passant, celles-ci se sont durcies, et qu’il n’y a plus beaucoup « d’espace vierge » : je trouve qu’il était bien plus amusant de contribuer quand j’ai découvert Wikipédia en 2004 qu’aujourd’hui.
Mais il est important de réaliser que :
- ce conservatisme vaut pour beaucoup de catégories : il a fallu beaucoup d'opiniâtreté pour que l’article Pokémon survive et soit même labellisé en son temps ;
- comme tout site communautaire, Wikipédia est le reflet des contributeurs les plus actifs : plutôt que de « chouiner », investissez-vous dans la contribution. Contribuer n’est réservé à personne !
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Comme relevé dans un autre commentaire, il est tout à fait envisageable de rendre les services numériques accessibles, même à des personnes n’ayant pas l’habitude d’utiliser un ordinateur.
Faudrait-il limiter l’usage de l’écrit si le taux d’alphabétisation baissait ? D’ailleurs, j’imagine que les personnes ayant des problèmes avec le numérique risque d’être les mêmes personnes pouvant avoir des problèmes avec des formulaires (sans oublier le syndrôme de la-maison-qui-rend-fou qui se paye le luxe de se passer même de formulaire…).
Ce qui importe, c’est d’avoir :
- des sites en ligne le plus accessibles possible (au sens des personnes n’ayant pas l’habitude du numérique).
- des lieux publics d’accès au numérique. On installe bien des bornes de recharge partout, pourquoi des bornes de services numériques ?
- de l’assistance humaine disponible. Pour reprendre l’exemple des bornes de recharges, chez Total il y avait une personne en permanence près des bornes pour aider les clients (mais bon, pas formés tout ça tout ça, mais je parle du principe).
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Dans le monde merveilleux de l’informatique de gestion, on nous dit que l’avenir, c’est de sortir du quasi-monopole d’IBM avec z/OS pour aller dans le cloud « où que ça sera vachement mieux ».
Quand on (les « dinosaures comme moi ») demande pourquoi, — pas pour défendre IBM, mais juste pour savoir ce qu’on va y gagner — en général la réponse c’est : « le cloud c’est vachement mieux ». Par exemple, les déploiements c’est tellement simple dans le cloud. Sauf que s’il y a un point où le site central excelle, c’est dans la rapidité de déploiement !
Oui c’est plus simple dans le cloud parce que le déploiement du non z/OS est très compliqué : ça fait des décennies qu’on déploie sur site central d’un simple clic.
Le plus « drôle » dans tout ça c’est qu’en général, il est reproché au site central « sa lourdeur », et la difficulté « d’être time to market », alors qu’en fait toute cette lourdeur est lié à des processus internes complètement indépendant de la technologie…
Bref, quand on veut tuer son chien…
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
L’actualisation des exemples change complètement la donne : en y ajoutant des actions, ça fait clairement entrer chaque cas dans l’illégalité.
Il me semble pourtant important d’ajouter que contrairement à l’affirmation du dernier paragraphe, il n’y a pas symétrie.
Simplement parce que je n’ai écrit nul part que vous n’aviez pas à vous exprimer. J’ai même écrit l’inverse : c’est la possibilité de s’exprimer qui permet le dialogue et entre autres, cette discussion.
Dire qu’on est pas d’accord avec quelqu'un, ça n’est pas l’empêcher de s’exprimer.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
L’exercice est effectivement difficile, mais que faut-il faire ?
À la première « incartade » c’est fini, on est fiché, catégorisé comme « irrécupérable » ?
Faut-il mettre en prison celles et ceux qui « ne pensent pas comme il faut » ? Créer des centres de « rééducation » ? Surveiller, écouter, lire tous les écrits et discours de chacun pour vérifier leur adéquation à la loi ?
Sincèrement, sans possibilité de discussion et donc d’expression, je ne vois pas comment il est possible de créer un « vivre ensemble » qui ne pas baser sur la coercition, qui pour moi ne crée que du « vivre à côté ».
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Je ne suis pas d’accord : le texte de vote lien l’indique clairement : « La discrimination inclut : Tout agissement …»
Or les exemples ne mentionnent que des pensées (sauf le premier), pas des actes : si machin trouve que, pense que, selon machin il faudrait.
Comme déjà écrit auparavant, il est très important de qualifier ces pensées pour ce qu’elles sont, pour lorsqu’elles sont exprimées, on puisse faire réfléchir la personne autrice du discours sur leur portée. C’est exactement ce qui s’est passé avec les gilets jaunes sur les rond-points, où les idéalistes-puristes voyaient partout des « fachos ». Ça été pourtant un grand moment de discussions qui auraient été impossible si la moindre expression de pensées « répréhensibles » avaient été ostracisées (ce dont les médias dominants ne se pas privés).
Sans possibilité d’expression, pas de dialogue ; sans dialogue, pas de société.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Je pense que vous touchez du doigt toute la difficulté de légiférer : où et quand s’arrête nos libertés d’agir et de penser.
Je rappelle encore une fois au passage que la législation se borne aux actes, pas aux pensées. Ce qui fait que seul votre 1er exemple est légalement répréhensible.
Les autres exemples sont juste une description des états d’âmes qui font de nous des humains et pas des robots. Remplacez dans vos exemples « homosexuel » par « mangeurs de viande » et vous verrez que par les temps qui courent, cette dernière catégorie à de quoi se sentir stigmatisée.
Reste un cas à part, le dernier : un chrétien « ne pense pas » que tel ou tel chose est un pêché. C’est définit par le dogme. Votre exemple met en avant une autre difficulté : comment concilier religion et État de droit ?
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Je comprends votre point de vue, mais d’un site qui définit légalement ce qu’est l’homophobie, et comme — bien heureusement — notre pays ne condamne (pas encore) les personnes selon ce qui leur passe par la tête, mais selon leurs actes, il est logique que la définition soit « personnifié ».
Pour abonder dans vote sens toutefois, certains fustigent l’idée qu’on puisse qualifier de racistes les personnes qui votent RN « parce qu’elles souhaiteraient avant tout montrer leur ras-le-bol ». Or il est essentiel de dire et répéter que si penser qu’on aime pas tel ou tel personne juste parce que sa peau est un peu s’en faut « trop foncé » sans avoir rien d’autre à lui reprocher par ailleurs, ou se penser en danger parce que dans tel quartier « on se sent mlus chez nous » sont des pensées racistes.
Je pense que ça ne fait pas de ceux auxquels ces pensées surviennent des racistes. Mais, il ne faut pas minimiser ces situations : il est très important donc de rappeler le caractère raciste de ces pensées, au moins pour que la personne en question s’interroge sur ce qui a pu motiver ces pensées.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Pour ma part,
Posté par PhRæD . En réponse au message Des e-cyclistes dans le coin ?. Évalué à 1.
J’en suis équipé et j’en suis satisfait. Ça permet de penser à jeter un coup d’œil dans le rétro.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: .
Posté par PhRæD . En réponse au lien Ce futur système de réservation de la SNCF suscite la polémique . Évalué à 7. Dernière modification le 18 août 2024 à 20:48.
Il y a système « tout bête » qui permet de profiter facilement des cartes avantages pourvu qu’on voyage régulièrement. Il s’agit de « croiser » les aller-retours sur 2 périodes : ça demande un peu de gymnastique, mais ça permet de belles économies (astuce fournie par l'assistance téléphonique de la SNCF a qui j’avais demandé le réel intérêt de ces cartes);
Le principe (en supposant un voyage par semaine) entre A départ jour1 et B retour jour2 :
- voyage 1 : aller de A jour1 et retour vers B jour2 semaine + 1
- voyage 2 : aller de B jour2 et retour vers A jour1 semaine + 1
Il faut « recomposer » les trajets comme suit :
L’« aller » du voyage 2 est en fait le « retour » voyage 1, de même que le « retour » du voyage 1 est en fait l’« aller » du voyage 2.
Comme il y a un vendredi entre chaque aller et retour, les réductions s’appliquent. (ˆ_ˆ)
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Pour ma part,
Posté par PhRæD . En réponse au message Des e-cyclistes dans le coin ?. Évalué à 2.
Je savais que j’en avais oublié !
Pour ne pas se priver des chemins non-goudronnés comme les pistes agricoles ou forestières :
- une fourche suspendue pour limiter les vibrations dans les bras ;
- des pneus relativement larges pour ne pas s’enliser dans les flaques boueuses ou les portions sablonneuses.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
# Pour ma part,
Posté par PhRæD . En réponse au message Des e-cyclistes dans le coin ?. Évalué à 7.
Le plus important est de se focaliser sur le besoin. Malheureusement, la plupart des acheteurs, comme pour l’automobile, se focalisent sur l’apparence. Résultat, plus de la moitié des vélos vendus sont de VTT qui ne rouleront jamais que sur du goudron.
Personnellement, adepte du vélo balade, je privilégierai :
- le cadre bas (col de cygne) : tellement plus pratique ;
- une position haute, pour profiter du paysage ;
- un guidon à la hollandaise (voir ci-dessus) ;
- une boite de vitesse dans le moyeu pour pouvoir changer de vitesse facilement, même à l’arrêt ;
- un système à capteur de force pour un pédalage « naturel » : c’est le cas de la plupart des moteurs-pédaliers, mais ces derniers ne permettent pas la récupération d’énergie (système peu répandu de toute façon) ;
- une courroie pour l’absence de graissage ;
- une batterie (amovible) permettant une sortie de plus 60 km ;
- de quoi embarquer le minimum et l’accessoire : sacoches, paniers selon les goûts ;
- « investir » dans des pneus limitant grandement le risque de crevaison (Marathon plus au hasard) ;
- choisir des valves dunlop qui limite les pertes d’air ;
- une bonne sonnette pour abuser de son usage ;
- un (très) bon éclairage ;
- un rétroviseur pour sa sécurité ;
- un gilet jaune quand la luminosité baisse ;
- des gardes-boues (avec celui arrière descendant bien bas) ;
- un support de gourde ;
- un support d’ordiphone (voir ci-dessous) ;
- un pantalon et une veste de pluie (les capes de pluie sont inutilisables dès qu’il y a du vent) ;
- des lunettes à verre interchangeables (transparent, pluie, soleil) pour parer à toute éventualité (comme les moucherons le soir).
En complément :
- l’application Cyclestreet pour trouver des itinéraires et le guidage ;
- un porte-vélo : au bon d’un certains temps, on finit par avoir éculé tous les chemins des environs : pouvoir partir d’un autre point permet de découvrir d’autres balades, sans compter qu’emporter son vélo en vacances permet de laisser la voiture garée sans se soucier de son stationnement souvent galère en zone touristique.
J’espère avoir pensé à (presque) tout.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: .
Posté par PhRæD . En réponse au lien Ce futur système de réservation de la SNCF suscite la polémique . Évalué à 10.
Le train en France… J’ai fait l’expérience du train (et des autres TP, dont le bateau) en Suisse : c’est assez extraordinaire !
Comme les trains partent très généralement à l’heure, il n’y a pas d’annonce de départ : des touristes en ont fait les frais lors d’un arrêt et ont vu le train repartir sans eux mais avec leurs bagages…
Il est important de rappeler que la casse du service public ferroviaire est une action de longue haleine de nos chers dominants pour imposer l’automobile et tout ce qui va avec (travaux publics à gogo tel l’A69, ventes de véhicules, « extorsion » de fond via les péages, etc.), comme le démontre très bien le documentaire « Voyage à Vésège »
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ma vie - Stabilité
Posté par PhRæD . En réponse au sondage Quelle est ma suite bureautique libre ? . Évalué à 1.
Je pense que vous faites de la mémorisation sans le savoir : il y a toujours dans un système hiérarchique une part d’arbitraire dans le classement d’une information.
Par exemple le présent article serait à ranger dans « suites bureautiques » > « logiciels libres » ou dans « logiciels libres » > « suites bureautiques » ?
Les interfaces seront réellement ergonomiques quand elles permettrons à l’usager lui-même de choisir l’agencement des commandes.
Eclipse propose avec la zone d’accès rapide un embryon de ce principe : en tapant une suite de caractères, toutes les actions correspondantes apparaissent dans diverses catégories, le même résultat pouvant apparaitre plusieurs fois, ce qui est fondamental : ça permet de ne pas préjuger de la manière dont l’utilisateur classe de lui-même les informations. Il n’est cependant pas possible de créer son propre menu un pré-classement des actions étant incontournable.
D’ailleurs, il fût un temps, où MSO le proposait, bien malgré lui : le passage à l’interface ruban a été tellement brutal qu’il existait un zone de recherche de fonctionnalité. Il me semble qu’elle existe toujours, mais elle n’est pas accessible de manière triviale (un comble).
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ça ne date pas d’hier…
Posté par PhRæD . En réponse au lien Mon histoire d’amour avec Wikipédia est une tragédie . Évalué à 1.
Je vais donner un exemple pour tenter d'éclaircir le débat. Un contributeur (qui avait donc déjà franchit l’unique étape nécessaire à la contribution) trouvait qu’il aurait été bien si les articles de mathématique de présentaient tous de telle manière.
La réponse unanime des autres contributeurs a été : « fais-le donc ! ».
C’est exactement ce que je veux dire : on peut toujours donner son avis et déplorer ceci ou cela, mais quand un système n’attend que votre participation pour changer, entrez dedans et accomplissez ledit changement !
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ça ne date pas d’hier…
Posté par PhRæD . En réponse au lien Mon histoire d’amour avec Wikipédia est une tragédie . Évalué à 1.
Je ne comprends pas : n’importe qui peut — et sans aucune condition — contribuer et participer à la vie de Wikipédia. Il existe bien quelques restrictions pour les débutants (exactement comme le droit de vote qu’on acquiert qu’à 18 ans), mais à part ça je ne vois de quelle condition il serait question !
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Et EBCDIC ?
Posté par PhRæD . En réponse à la dépêche Une histoire de formats : il n’y a pas que la taille qui compte. Évalué à 1.
Il y a déjà pas mal de chose dans Wikipédia.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Et EBCDIC ?
Posté par PhRæD . En réponse à la dépêche Une histoire de formats : il n’y a pas que la taille qui compte. Évalué à 1. Dernière modification le 13 août 2024 à 20:40.
Je pense qu’il sera intéressant d’évoquer le code page, qui représente les « saveurs » d’un encodage.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Et EBCDIC ?
Posté par PhRæD . En réponse à la dépêche Une histoire de formats : il n’y a pas que la taille qui compte. Évalué à 1. Dernière modification le 13 août 2024 à 20:37.
En y réfléchissant, à ma connaissance, z/OS ne propose aucun « format ». Je ne l’avais jamais réalisé jusqu’à présent.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ça ne date pas d’hier…
Posté par PhRæD . En réponse au lien Mon histoire d’amour avec Wikipédia est une tragédie . Évalué à 2.
Encore faut-il que « tous » participent ! Et c’est bien parce la faible participation qui rend possible « l’accaparement » de ce commun par certains.
À noter que ça n’est pas propre à Wikpédia : sans en être (et heureusement) à ce niveau, les choses changent également dans OSM, avec des causes identiques : le plus dur (et le plus « intéressant » de prime abord) a été fait, et même s’il reste énormément de travail, là encore, les espaces vierges ont tous été défrichés.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ça ne date pas d’hier…
Posté par PhRæD . En réponse au lien Mon histoire d’amour avec Wikipédia est une tragédie . Évalué à 1.
(Je ne parle pas de votre cas en particulier)
Ceux qui ne sont pas prêts à pas passer du temps à « batailler » pour que ça change ne devraient pas « chouiner » que Wikipédia n’est pas ce qu’il devrait être (ou plus ce qu’il a été). Contribuer à Wikipédia ne demande rien qu’un peu de bonne volonté.
Et au passage, il existe mille-et-une façon de contribuer : catégoriser, relire, illustrer, mettre en forme, etc. La contribution ne se limite pas à l’ajout de contenu « neuf ».
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Gain de temps sur support numérique
Posté par PhRæD . En réponse au sondage Lit-on plus vite sur papier ou sur écran ? . Évalué à 2.
En utilisant le Wiktionnaire, on se passe de ces désagréments.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
# Gain de temps sur support numérique
Posté par PhRæD . En réponse au sondage Lit-on plus vite sur papier ou sur écran ? . Évalué à 1.
Sur papier : encore un mot que je ne connais pas > chercher le dictionnaire > trouver le mot > retrouver la page…
Sur support numérique : encore un mot que je ne connais pas > sélectionner le mot > rechercher > c’est fini. (ˆ_ˆ)
C’est d’autant plus génial pour lire en VO.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
# Et EBCDIC ?
Posté par PhRæD . En réponse à la dépêche Une histoire de formats : il n’y a pas que la taille qui compte. Évalué à 1. Dernière modification le 12 août 2024 à 17:40.
Dommage de ne pas avoir cité le vénérable EBCDIC, format dans lequel est stocké l’immense majorité du code et des données hébergées sous z/OS, ce qui représente vraisemblablement des tas de péta-octets (voire même peut-être bien plus) de données.
[edit] Bon en fait, ça n’est pas un format…
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
# Le woke, le woke, la gauche et les gilets jaunes
Posté par PhRæD . En réponse au lien Cérémonie d’ouverture des JO : qu’est-ce que ce « wokisme » tant critiqué ? [HS]. Évalué à 2.
Il y a woke dans le sens prendre conscience des discriminations. Pour ceux qui en doutent, on peut être victime de discrimination et s’en défendre, voir le cas de Pepita. Il peut donc bien exister bien donc un « réveil » qui permet de se rendre compte de l’anormalité de sa propre situation.
Il y a aussi woke dans le sens de prendre conscience de la discrimination des autres. Je me suis vraiment pris une baffe dernièrement en regardant la vidéo (un peu mise en scène, mais on s’en fout finalement) du rappeur Nas découvrant l’acte de vente de son aïeule, en comprenant que je ne pourrais être dans la peau de quelqu’un ayant vécu ça.
Il me semble qu’être de gauche nécessite d’être woke. Et il apparait clairement que les dominants le savent aussi. La répression féroce du mouvement des gilets jaunes — quelle plus éclairante preuve de « wokisme » que de sortir de son invisibilité avec un gilet jaune — en est la plus éclatante des preuves.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
# Ça ne date pas d’hier…
Posté par PhRæD . En réponse au lien Mon histoire d’amour avec Wikipédia est une tragédie . Évalué à 2.
Et le problème n’est pas que le sexisme.
Par construction, Wikipédia est un projet conservateur, au sens où il faut pouvoir montrer « patte blanche » pour ajouter du contenu. Ça s’appelle les règles d’admissibilité.
Il faut toutefois reconnaitre que le temps passant, celles-ci se sont durcies, et qu’il n’y a plus beaucoup « d’espace vierge » : je trouve qu’il était bien plus amusant de contribuer quand j’ai découvert Wikipédia en 2004 qu’aujourd’hui.
Mais il est important de réaliser que :
- ce conservatisme vaut pour beaucoup de catégories : il a fallu beaucoup d'opiniâtreté pour que l’article Pokémon survive et soit même labellisé en son temps ;
- comme tout site communautaire, Wikipédia est le reflet des contributeurs les plus actifs : plutôt que de « chouiner », investissez-vous dans la contribution. Contribuer n’est réservé à personne !
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
# Mauvaise réponse à une réelle problématique
Posté par PhRæD . En réponse au lien Tout le monde doit avoir accès aux services essentiels sans passer par le numérique. Évalué à 2.
Il me semble que la problématique est mal posée.
Comme relevé dans un autre commentaire, il est tout à fait envisageable de rendre les services numériques accessibles, même à des personnes n’ayant pas l’habitude d’utiliser un ordinateur.
Faudrait-il limiter l’usage de l’écrit si le taux d’alphabétisation baissait ? D’ailleurs, j’imagine que les personnes ayant des problèmes avec le numérique risque d’être les mêmes personnes pouvant avoir des problèmes avec des formulaires (sans oublier le syndrôme de la-maison-qui-rend-fou qui se paye le luxe de se passer même de formulaire…).
Ce qui importe, c’est d’avoir :
- des sites en ligne le plus accessibles possible (au sens des personnes n’ayant pas l’habitude du numérique).
- des lieux publics d’accès au numérique. On installe bien des bornes de recharge partout, pourquoi des bornes de services numériques ?
- de l’assistance humaine disponible. Pour reprendre l’exemple des bornes de recharges, chez Total il y avait une personne en permanence près des bornes pour aider les clients (mais bon, pas formés tout ça tout ça, mais je parle du principe).
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
# M’enfin !
Posté par PhRæD . En réponse au lien Les pannes informatiques mondiales, révélatrices de l’oligopole du cloud. Évalué à 3.
Dans le monde merveilleux de l’informatique de gestion, on nous dit que l’avenir, c’est de sortir du quasi-monopole d’IBM avec z/OS pour aller dans le cloud « où que ça sera vachement mieux ».
Quand on (les « dinosaures comme moi ») demande pourquoi, — pas pour défendre IBM, mais juste pour savoir ce qu’on va y gagner — en général la réponse c’est : « le cloud c’est vachement mieux ». Par exemple, les déploiements c’est tellement simple dans le cloud. Sauf que s’il y a un point où le site central excelle, c’est dans la rapidité de déploiement !
Oui c’est plus simple dans le cloud parce que le déploiement du non z/OS est très compliqué : ça fait des décennies qu’on déploie sur site central d’un simple clic.
Le plus « drôle » dans tout ça c’est qu’en général, il est reproché au site central « sa lourdeur », et la difficulté « d’être time to market », alors qu’en fait toute cette lourdeur est lié à des processus internes complètement indépendant de la technologie…
Bref, quand on veut tuer son chien…
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Il existe un mot
Posté par PhRæD . En réponse au journal Linuxfr sous les drapeaux. Évalué à 0.
L’actualisation des exemples change complètement la donne : en y ajoutant des actions, ça fait clairement entrer chaque cas dans l’illégalité.
Il me semble pourtant important d’ajouter que contrairement à l’affirmation du dernier paragraphe, il n’y a pas symétrie.
Simplement parce que je n’ai écrit nul part que vous n’aviez pas à vous exprimer. J’ai même écrit l’inverse : c’est la possibilité de s’exprimer qui permet le dialogue et entre autres, cette discussion.
Dire qu’on est pas d’accord avec quelqu'un, ça n’est pas l’empêcher de s’exprimer.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Il existe un mot
Posté par PhRæD . En réponse au journal Linuxfr sous les drapeaux. Évalué à 3.
L’exercice est effectivement difficile, mais que faut-il faire ?
À la première « incartade » c’est fini, on est fiché, catégorisé comme « irrécupérable » ?
Faut-il mettre en prison celles et ceux qui « ne pensent pas comme il faut » ? Créer des centres de « rééducation » ? Surveiller, écouter, lire tous les écrits et discours de chacun pour vérifier leur adéquation à la loi ?
Sincèrement, sans possibilité de discussion et donc d’expression, je ne vois pas comment il est possible de créer un « vivre ensemble » qui ne pas baser sur la coercition, qui pour moi ne crée que du « vivre à côté ».
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Il existe un mot
Posté par PhRæD . En réponse au journal Linuxfr sous les drapeaux. Évalué à -1.
Je ne suis pas d’accord : le texte de vote lien l’indique clairement : « La discrimination inclut : Tout agissement …»
Or les exemples ne mentionnent que des pensées (sauf le premier), pas des actes : si machin trouve que, pense que, selon machin il faudrait.
Comme déjà écrit auparavant, il est très important de qualifier ces pensées pour ce qu’elles sont, pour lorsqu’elles sont exprimées, on puisse faire réfléchir la personne autrice du discours sur leur portée. C’est exactement ce qui s’est passé avec les gilets jaunes sur les rond-points, où les idéalistes-puristes voyaient partout des « fachos ». Ça été pourtant un grand moment de discussions qui auraient été impossible si la moindre expression de pensées « répréhensibles » avaient été ostracisées (ce dont les médias dominants ne se pas privés).
Sans possibilité d’expression, pas de dialogue ; sans dialogue, pas de société.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Il existe un mot
Posté par PhRæD . En réponse au journal Linuxfr sous les drapeaux. Évalué à 0.
Je pense que vous touchez du doigt toute la difficulté de légiférer : où et quand s’arrête nos libertés d’agir et de penser.
Je rappelle encore une fois au passage que la législation se borne aux actes, pas aux pensées. Ce qui fait que seul votre 1er exemple est légalement répréhensible.
Les autres exemples sont juste une description des états d’âmes qui font de nous des humains et pas des robots. Remplacez dans vos exemples « homosexuel » par « mangeurs de viande » et vous verrez que par les temps qui courent, cette dernière catégorie à de quoi se sentir stigmatisée.
Reste un cas à part, le dernier : un chrétien « ne pense pas » que tel ou tel chose est un pêché. C’est définit par le dogme. Votre exemple met en avant une autre difficulté : comment concilier religion et État de droit ?
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Il existe un mot
Posté par PhRæD . En réponse au journal Linuxfr sous les drapeaux. Évalué à 1.
Je comprends votre point de vue, mais d’un site qui définit légalement ce qu’est l’homophobie, et comme — bien heureusement — notre pays ne condamne (pas encore) les personnes selon ce qui leur passe par la tête, mais selon leurs actes, il est logique que la définition soit « personnifié ».
Pour abonder dans vote sens toutefois, certains fustigent l’idée qu’on puisse qualifier de racistes les personnes qui votent RN « parce qu’elles souhaiteraient avant tout montrer leur ras-le-bol ». Or il est essentiel de dire et répéter que si penser qu’on aime pas tel ou tel personne juste parce que sa peau est un peu s’en faut « trop foncé » sans avoir rien d’autre à lui reprocher par ailleurs, ou se penser en danger parce que dans tel quartier « on se sent mlus chez nous » sont des pensées racistes.
Je pense que ça ne fait pas de ceux auxquels ces pensées surviennent des racistes. Mais, il ne faut pas minimiser ces situations : il est très important donc de rappeler le caractère raciste de ces pensées, au moins pour que la personne en question s’interroge sur ce qui a pu motiver ces pensées.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »