Ysabeau 🧶 a écrit 7698 commentaires

En fait j'ai mis le lien parce que ça me semblait une bonne analyse du phénomène et que ça répondait à une question récente sur le sujet posée dans un commentaire.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Cela représente environ 3,7% du PIB mondial. C'est en effet beaucoup d'argent, mais ce n'est techniquement pas si inaccessible si l'Humanité le souhaitait vraiment. Surtout que cette dépense ne serait pas sur une année mais étalée dans le temps.

S'il y a de l'argent pour ça, alors il y en a pour diminuer la pauvreté et les inégalités et lutter efficacement contre le réchauffement climatique.

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C'est surtout complètement à côté de la plaque. C'est plus que le PIB 2017 de presque tous les pays de la planète hormis la Chine, les USA et l'Inde.

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Même 2000 milliards de dollars pour une entreprise c'est profondément démesuré. Il y a vraiment un énorme problème.

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5000 milliards de dollars ! C'est énorme non et complètement démesuré.

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Il y a un documentaire d'Arte qui parle de ça. Je ne l'ai pas regardé, mais j'ai lu la présentation dont voici le début :

Les scandales récents ont révélé les méthodes brutales souvent imposées aux jeunes sportifs de haut niveau. Nourrie de nombreux témoignages, cette enquête accablante met au jour les rouages d’un système qui sacrifie des enfants au nom des intérêts économiques et de la gloire.

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C'est encore une histoire de propriété intellectuelle (ça va jusque là) :

Bien qu'elles soient parfois liées au système d'appellation d'origine protégée (AOP) de l'UE, les spécialités traditionnelles ne font pas partie du cadre des indications géographiques (IG), qui offre le niveau le plus élevé de protection intellectuelle pour les denrées alimentaires en Europe.

La protection ne concerne pas celle des consommateurs en l'espèce ni même vraiment la qualité des aliments.

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Ça relativise drôlement l'audience :-)

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Pour le suivi des clients, je me suis développé une base de données Base avec des boutons qui vont ouvrir des modèles : factures, devis, contrats qui ont des champs liés à la base de données. C'est très efficace. Et ça me permet en plus de faire facilement mes déclarations à l'Urssaf.

Sinon mon compte pro est effectivement un compte courant "normal" et je l'utilise pour mes dépenses professionnelles que je paie par virement.

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D'ailleurs je me demande ce qu'est cette fameuse audience ! C'est 81 % de quoi ?

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Tu pourrais offrir la recette plutôt.

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N.B. : le manager très borné se fout la qualité, seule la rentabilité l'interresse.

La rentabilité à court terme ! La qualité, sur le long terme, est plus rentable.

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Merci. Et, sérieusement, je pense en effet qu'il y a des chapitres qui sont vraiment bons dedans :-) et aussi que l'aspect technique, correcteur orthographique, incorporation des polices à un PDF, etc., est ce qui donne sa spécificité à ce guide.

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Merci, c'est mon domaine. Mais pas une passion.

Quant à l'inclusion des polices dans LibreOffice, elle n'est pas automatique, il faut l'ajouter dans l'onglet Police des Propriétés du Fichier. C'est seulement si on se base sur un modèle qui est configuré pour les embarquer que c'est "automatique". Mais on peut toujours décider de ne pas les incorporer.

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Oui c'est plus simple que de galérer à trouver un endroit où héberger l'image.

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N'empêche, je ne peux pas m'empêcher de me demander s'il y aurait eu tout ce cinéma pour un homme et de penser à Alice Recoque.

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Y'a peut-être un syndrome de l'imposteur quand on touche un à tout sans se spécialiser.

À qui le dis-tu :-) Tout à fait, mais bon. Faut se faire une raison.

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Merci pour la création de la dépêche. En revanche, tu l'as soumis, et, effectivement, elle n'est pas très finie. On va la renvoyer en rédaction pour qu'elle puisse être peaufinée. J'insiste notamment sur la nécessité d'indiquer qu'il faut des comptes Apple ou Google pour télécharger les applis de ces magasins.

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Ou alors LinuxFr + mastodon par exemple ou Diaspora si tu as plein de trucs à écrire. OU alors un forum quelque part, euh.

Mais les blogs c'est bien.

Sinon, ta recette de pâtes à la violette sera très bien accueillie ici.

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Une dépêche qui donnerait l’ensemble des questions que cela pose mettrait en lumière ce qui ne va pas.

Ce qui ne va pas en tout premier lieu : c’est le fait, étant donné que lesdites applis ne sont téléchargeables que via les magasins d’application des entreprises américaines Apple et Google, qu’il faille un compte auprès de ces entreprises. Ce qui n’est, pour commencer, pas une obligation légale, mais surtout, comme le souligne très justement Luc-Skywalker cela implique de mettre :

la "certification" dans les mains d'Apple et de Google, via l'OS et le "store" qui va avec.

L’autre facteur c’est que cela implique de posséder un ordiphone, ce qui n’est toujours pas une obligation légale, avec un OS relativement récent de surcroît.

Le troisième facteur, c’est que cette « confiance » est placée dans un matériel très mobile et surtout très « démodable » et, en ce qui me concerne, peu fiable pour contenir et véhiculer des informations sensibles. Il faudra, de toute façon, refaire l’opération à chaque changement de matériel. N’importe quel système reposant sur un matériel « bêtasse » comme un lecteur de carte serait, de mon point de vue, moins problématique.

Et enfin, le fait qu’il n’existe pas d’autre solution reste problématique, on le voit bien ici.

Pourquoi une dépêche ? Parce qu’elles ont plus d’audience que les journaux. Et cela pourrait inciter des associations ou des médias de s’emparer du sujet.

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le choix de la police d'écriture joue un grand rôle sur la vitesse de lecture (et la compréhension).

Oui ça a été dit plus haut : le dessin et le corps de la police et le gris typographique sont des facteurs importants.

Par exemple, un texte en Arial sera vite lu alors qu'un texte en Times ou en police exotique sera plus long voir difficile à lire. J'ai vu que pour les autistes ou personne ayant des dys(fonctionnements) et même chez les personnes ne présentant aucun problème s'était apparemment connu et avéré.

D'une part il n'y pas une forme unique de dyslexie, mais plusieurs (comme pour le daltonisme et apparentés). D'autre part, il n'est pas prouvé du tout de qu'un texte en Arial serait plus lisible qu'un texte en Times. Et on est en 2024, il y a un très large choix d'autres fontes moins laides et plus lisibles que celles-ci.

Il est donc recommandé pour la lisibilité et la compréhension d'éviter au maximum les polices ayant des serifs ou des polices ayant des caractères avec des ressemblances trop similaires (ex: L minuscule et I majuscule avec peu de distinction).

Non, éviter des polices à empattement (oui c'est le mot français et depuis avant l'invention de l'informatique) n'est pas spécialement recommandé. C'est le dessin de la police qui importe et la qualité de la rédaction. Pour le reste, je renvoie à cet article.

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Merci pour ce journal.

Tu sais une dépêche sur un logiciel n'a pas à être exhaustive, ni même venir d'un ou d'une super spécialiste du logiciel. C'est bien d'avoir une dépêche du point de vue d'un utilisateur ou d'une utilisatrice qui va donner ce qu'ielle considère comme des points forts et des astuces. Pour certains logiciels, et je pense que Blender en fait partie, ce point de vue "utilisateur pas forcément super chevronné" peut donner plus facilement envie à d'autres d'utiliser la logiciel.

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Pour convertir un fichier ODT dans LibreOffice Writer en EPUB, il faut passer par Exporter et pas par Enregistrer sous comme je l'avais écrit précédemment. C'est corrigé.

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Non, un exemple de ce qu'il faut éviter.

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Euh ! Ceci me paraît clair :

On écrira donc « les auteurs et les autrices », voire, « les auteurices », mais surtout pas les auteur·rice·s.

Et c'est bien un point médian qui est utilisé. Sinon, le guide est rédigé de telle sorte qu'ils y a des points médians qui se glissent.

Merci pour le compliment.

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