Lien Un éditeur de logiciel-espion ciblant WhatsApp met fin à un contrat avec l'Italie

La revue de presse de l'April est régulièrement éditée par les membres de l'association. Elle couvre l'actualité de la presse en ligne, liée au logiciel libre. Il s'agit donc d'une sélection d'articles de presse et non de prises de position de l'association de promotion et de défense du logiciel libre.
La revue de presse de l'April est régulièrement éditée par les membres de l'association. Elle couvre l'actualité de la presse en ligne, liée au logiciel libre. Il s'agit donc d'une sélection d'articles de presse et non de prises de position de l'association de promotion et de défense du logiciel libre.
La revue de presse de l'April est régulièrement éditée par les membres de l'association. Elle couvre l'actualité de la presse en ligne, liée au logiciel libre. Il s'agit donc d'une sélection d'articles de presse et non de prises de position de l'association de promotion et de défense du logiciel libre.
Le ministère italien de la défense va lancer une migration vers Libre Office et ODF à partir du mois prochain. Il est prévu qu'elle soit terminée fin 2016 et elle concerne 150 000 postes. Le logiciel précédent était bien entendu Microsoft Office.
Cette migration sera cogérée par l'association LibreItalia.
Ce ministère va de plus développer des cours de formation qui seront reversés à la communauté sous licence Creative Commons.
Sources :
http://news.softpedia.com/news/italy-s-ministry-of-defense-to-drop-microsoft-office-in-favor-of-libreoffice-491850.shtml
http://www.libreitalia.it/accordo-di-collaborazione-tra-associazione-libreitalia-onlus-e-difesa-per-ladozione-del-prodotto-libreoffice-quale-pacchetto-di-produttivita-open-source-per-loffice-automation/
http://www.zdnet.fr/actualites/libreoffice-entre-au-ministere-de-la-defense-mais-en-italie-39825032.htm
Le parlement italien a voté le 7 août 2012 une modification du code des marchés publics stipulant que :
L’acquisition de logiciel propriétaire n’est autorisée que dans le cas où une analyse comparative, technique et économique, aura démontré l’impossibilité d’adopter des solutions open source ou toute autre solution déjà développée (à un coût inférieur) au sein de l’administration publique.
Cette modification ne peut qu’encourager fortement l’utilisation des logiciels libres dans l’administration publique italienne, et devrait servir d’exemple au nouveau gouvernement français pour prendre une initiative similaire, 13 ans après la proposition de loi du sénateur Laffitte qui proposait, de manière encore plus radicale, l’interdiction du logiciel propriétaire à partir de 2002 dans l’administration française, et qui avait suscité 337 (!) commentaires sur LinuxFr.org.
Un projet de loi a été déposé à la Chambre des députés italienne, dans le but de modifier la loi actuellement en vigueur sur la presse en Italie. Si ce projet de loi est adopté, il imposera à tout éditeur de corriger sous 48 heures tout propos jugé offensant par la « partie plaignante », et ceci sans passer par l’avis d’un juge sur l’opportunité de la requête.
Ceci pose problème à la presse en ligne où les commentaires sont parfois critiques, et notamment à l’encyclopédie Wikipédia qui, par son mode de fonctionnement, interdit les « versions officielles » comme, par exemple, les articles sur les entreprises ou les politiques.
En réaction, Wikipédia a bloqué la consultation de sa version italienne en la remplaçant par un communiqué.
Bonjour,
Dascritch< a signalé cette info sur son compte twitter [1]. L'info n'est pas encore passée ici on dirait. Petit journal bookmark pour la signaler donc (l'info parle d'elle-même). L'heure est grave, Messieurs [2] !
Comme vous pouvez le constater vous-même http://it.wikipedia.org/wiki/Wikipedia:Comunicato_4_ottobre_2011/fr, impossible de consulter la partie italienne de Wikipédia.
D'après ce que j'ai compris [3], c'est lié à un projet de réforme de loi qui menacerait la liberté d'expression. J'espère que la commission européenne prendra les sanctions qui (…)