Depuis quand Wine a-t-il besoin de mise à jour ? Je parle de mise à jour du système d'exploitation ici. Le but de Wine, c'est justement de réimplémenter tout ça. Les bibliothèques système ? Wine les réimplémente. Les pilotes, les trucs de très bas niveau ? Wine utilise les pilotes Linux et X Window, des fichiers Windows n'auraient rien à faire ici. Les utilitaires utiles ? C'est vrai, on pourrait vouloir les choper. Ceci dit, ils sont la propriété de Microsoft, font partie du système d'exploitation, et il est pleinement dans le droit de Microsoft de refuser de les distribuer à des gens qui n'ont pas acquis une licence.
Et puis, que se passerait-il si Microsoft ne détectait pas la présence de Wine et si ses mises à jour mettaient le boxon dans Wine ? Après tout, la base de registre pourrait être modifiée de manière pas supportée par Wine, des fichiers système genre win.ini pourraient être modifiés de manière à rendre une réinstallation de Wine et des logiciels Windows nécessaires, des bibliothèques natives Windows qui marchent bien sous Wine pourraient être remplacées par des versions plus récentes qui ne marchent pas sous Wine. La communauté hurlerait au sabotage, non ? Quand on fait des mises à jour automatisées, le minimum est de ne pas faire de modifications quand l'environnement visé ne fait pas partie de ceux que l'on a minutieusement testés. Et il est absolument normal que Microsoft ne teste pas Wine, qui n'est pas un de leur produits et qui est un concurrent direct.
Ensuite, notons que tout ceci ne concerne normalement que les mises à jour du système d'exploitation. Les mises à jour de logiciels (typiquement Office) qui ont fort bien pu être achetés par l'utilisateur en vue de les faire tourner sous Wine, devraient fonctionner normalement.
Au final donc, on voit que Microsoft ne fait que quelque chose de tout à fait normal et justifiable, et on voit surtout que Microsoft connait Wine et lui reconnait une certaine popularité. Et ça, c'est une bonne nouvelle. :-)
Au plus près de la définition, un logiciel qui enregistre le comportement de l'utilisateur et transmet les informations collectées à l'entreprise qui l'a créé afin que celle-ci puisse bénéficier de l'aggrégation des informations collectées auprès de tous les utilisateurs du logiciel.
Bien sûr, si l'entreprise expliquait clairement le but du programme aux utilisateurs, ceux-ci ne l'installeraient pas, un spyware c'est donc aussi en général un programme qui prétend faire quelque chose de vaguement utile, présenté sous forme attractive (« ouah c'est cool installez ça ») ou mensongère (« votre PC va mal, installez ça ») ou juste sous la forme d'une boîte de dialogue d'installation de programme (la plupart des utilisateurs cliquent « Ok » par réflexe) ou installé automatiquement en tant que sous-partie d'un logiciel d'échange pair-à-pair, pour financer le réseau.
Bien sûr, une fois que l'utilisateur a compris que le programme ne fait pas ce qu'il faut et qu'il pourrit son PC, il pourrait vouloir l'enlever, les spywares utilisent donc toutes les techniques les plus tordues pour être inenlevables des PC sur lesquels ils sont installés, et en premier lieu pour ne pas être détectés.
Tout ceci fait que leur présence est hautement indésirable, qu'ils sont difficiles à détecter et à enlever. D'où la création de logiciels spécialisés dans cette lutte anti-pourriciels.
pourquoi un spyware n'est pas simplement considéré comme une variété particulière de virus ?
Parce qu'en général il ne cherche pas à se reproduire ou à se transmettre à d'autres machines sur le réseau, et parce que le plus souvent c'est l'utilisateur lui-même qui a lancé l'installeur, lu (enfin, aperçu) la licence d'utilisation, et a cliqué sur « Ok ». D'un point de vue informatique, une installation de logiciel absolument valable.
pourquoi avoir inventé les "anti-spyware", et ne pas avoir confié la détection des ces programmes "malicieux" aux antivirus ?
Parce que le savoir-faire à mettre en place est différent de celui-ci utilisé dans la lutte des virus ? On peut parier que les sociétés d'anti-virus (qui sont beaucoup devenues des sociétés « anti-problèmes-d'Internet » ces dernières années) vont finir par s'y mettre, mais il faut qu'elles se spécialisent dans le problème, ou embauchent des gens spécialisés, ou rachetent des entreprises qui travaillent déjà dans le domaine. Comme tout ça est assez frais, ce n'est pas encore fait.
Au sens propre des mots, il s'agit bien sûr d'un concours de programmation, et il s'agit de le faire en Python, ok. Mais en quoi cela prouve-t-il la force ou l'intérêt de Python ? Vu le sujet, je dirais plutôt qu'il s'agit d'un concours de programmation d'intelligence artificielle en Python, et donc pour les gens à même de gagner le concours (des passionnés d'IA), la seule chose nouvelle c'est de mettre LISP de côté quelques temps pour faire du Python. ;-)
Pour moi Python c'est du développement rapide d'application, et c'est une large gamme de modules offrant tout plein de services variés. Rien dans le sujet ne semble mettre cela en avant, n'importe quel langage ayant un minimum de structures de contrôle et capable d'afficher sur une sortie standard pourrait faire l'affaire.
Un sujet qui taperait à la fois dans l'interface graphique et dans la communication réseau, avec une complexité fonctionnelle moyennement élevée et une contrainte de temps (intelligemment) assez forte, ça ce serait quelque chose à même de montrer l'intérêt de Python.
Asynchrone, vraiment ? Bon, techniquement oui, tout autant que chaque site web du monde. Mais je pense qu'ici on entendait par asynchrone le fait que tu donnes tes ordres à un serveur, et qu'ils sont exécutés ultérieurement, en batch et en combinant les ordres de plusieurs (voire tous) les joueurs.
Ce n'est pas le cas de Mounty Hall, qui est de ce point de vue « temps réel » : quand tu fais une action, elle affecte immédiatement le monde qui t'entoure, et pendant que tu ne fais pas d'action, le monde continue de tourner (et de te taper dessus, bien sûr). La seule chose qui fait qu'on n'y passe pas des heures entières, c'est que l'on ne dispose que de six points d'action par tour, qui dure en gros douze heures, et que pas mal d'actions coûtent deux ou quatre points. Heureusement, les adversaires sont dans la même situation ! (Sauf les monstres ultra-balaizes des profondeurs, hélas.) En général, on les dépense tous d'un coup en un petit quart d'heure, mais rien n'interdit de faire une action, une pause de quatre heures, une autre action, etc.
deux serveurs sont sous debian
Il y en a un troisième pour le forum aussi.
Mountyhall est riche par ses multiples possibilités
Mountyhall est en perpétuel développement
C'est vrai qu'on s'y laisse bien prendre. Ça fait plus de huit mois que j'y joue tous les jours ou presque. :-)
J'ai lu sa question sur la page principale des forums et je n'ai pas prêté attention à la catégorie dans laquelle elle avait été mise. Ma réponse aurait été différente si je l'avais vu, bien sûr.
Quant à écrire des conneries, je te fais remarquer que sa question ne contient pas le mot Mandrake, et que KDE ce n'est pas du mode texte (et que KDE ne propose pas d'outil de configuration du réseau, même si de nombreuses distributions en ajoutent un bien sûr).
Encore un truc que tous les paranos de la terre comprennent de travers, avec réactions immédiates genre « pondons des pages verrouillées de partout ».
Moi ce que je remarque c'est :
* C'est à l'utilisateur d'installer l'outil (Google Toolbar)
* C'est à l'utilisateur d'activer la création de liens, c'est désactivé par défaut
* C'est à l'utilisateur de l'activer dans chaque page qu'il visite (bouton dans la toolbar)
Ce qui est bien différent de ce qu'avait proposé Microsoft à l'époque (une fonctionnalité d'Office activée par défaut pour tous les documents).
Bref, rien de caché, rien de secret, juste une fonctionnalité que certains utilisateurs peuvent apprécier.
Quant aux webmasters paranos, j'ai juste ceci à dire : une fois que les données ont quitté votre serveur, vous êtes foutus. Vous n'avez plus le contrôle, tout ce que vous avez pu surcharger dans votre page, détecteurs et surdétecteurs de comportement imprévu d'utilisateur, rien ne peut résister à un soft adéquat installé sur le PC de celui-ci.
Une petite appli XUL+JavaScript qui ajoute un lien vers Google (ou Yahoo, ou Wikipedia) sur tous les mots reçus, je peux le faire sans trop de difficulté. Et le jour où les webmasters auront les moyens techniques d'empêcher cela, eh bien, ce sera aussi celui où Microsoft et les majors du disque et du cinéma pourront empêcher quiconque de lire un fichier sans les payer au passage. À vous de voir ce que vous préférez.
(P.S. : Quant à la manière qu'a Pooly d'exprimer son opinion, sans commentaire.)
Tu ne dis pas quelle distribution de Linux tu as installée, et c'est sans doute le point le plus crucial à savoir pour que quelqu'un connaissant cette distribution te donne des tuyaux utiles.
Quelle distribution, donc ? Mandrake ? Debian ? Fedora ? Slackware ? Chacune a sa petite particularité pour la configuration du réseau, souvent un outil graphique, parfois un fichier texte à compléter.
Carte de la Suisse : interface assez proche de celle proposée par Google, zoom impressionant, surimpression de photos satellites et de tracés vectoriels (pour les routes, rues, voies de chemin de fer, etc.). Très beau.
J'ai vu ça hier soir, effectivement. C'est donc un don, mais toujours dans la perspective de payer pour l'utilisation de Slackware, et non pas de faire la charité à un pauvre gars malade.
Si la musique ultra-pompeuse et les manchots qui parlent vous donnent envie de fui, pensez à apporter de la bonne musique et un gros casque audio qui isole bien... ;-)
C'est pourtant pas faute de l'avoir répété dans chacun de ses bulletins de santé messages récents : Patrick Volkerding ne vit pas de dons, d'ailleurs il n'accepte pas de dons. Il a toujours gagné sa vie en vendant Slackware, et il compte bien continuer comme ça.
Bien sûr, vu le coût de la médecine aux États-Unis, il encourage vivement ceux qui utilisent Slackware à ne pas se contenter cette fois-ci de télécharger les ISO, mais également de passer faire un tour dans son magasin. Et franchement, avec les taux de change actuels qui offrent les frais de port, pourquoi s'en priver ?
Je ne vois pas de blague dans son journal, juste un appel à l'aide de quelqu'un qui aimerait en savoir plus sur les relations sentimentales. Si tous les gens répondent comme toi, ça m'étonne pas qu'il ait besoin d'un mode d'emploi avec les filles.
Par ailleurs, j'ai aussi le sentiment que ton « désolé » est hypocrite.
A partir du moment où plusieurs utilisateurs risquent potentiellement d'écrire au même moment dans le fichier, je vois mal comment tu peux espérer te passer du daemon.
C'est pour gérer ces problèmes qu'on a inventé les verrous.
Il y a peu de chances, certes, m'enfin bon.
Dès qu'il y a des tâches automatisées, les chances peuvent devenir très surprenantes. (Exemple de surprise : ton noyau lance trois instance d'un script au même moment, puis forcément il répartit la charge de la machine de manière équitable entre les trois instances, et donc la même ligne de chaque instance est exécutée avant de passer à la suivante. Bien le bonjour à un éventuel « si le fichier n'existe pas alors je le créé », qui sera exécuté sous la forme « si le fichier n'existe pas » x 3, « alors je le créé » x3...)
Si je n'avais pas à me pencher en détail sur ces problèmes de verrous, j'aurais juste eu besoin de faire un script genre « cat mail.txt >> /var/spool/mail/boa13 ». Mais vu que d'autres ont déjà bossé sur le problème, autant se servir de leur boulot. :-)
il risque fort de passer les trois quarts de son temps à attendre proprement. Bref, à part un peu d'occupation mémoire (à mesurer si besoin), c'est pas violent.
Je dirais même, plus de 95% du temps. C'est la potentielle occupation mémoire qui me gonfle, j'ai déjà trop de démons qui tournent.
Maildrop correspond à ce que je recherche. Ça a encore l'air pas mal lourd (langage de programmation pour les fichiers de configuration, quatorze mégas de sources C++), mais on va pas faire la fine bouche. http://www.courier-mta.org/maildrop/(...)
Ah, quoique... Après quelques recherches supplémentaires, on part dans l'excès inverse, le limite trop léger (dix kilos de sources Python), mais ça à l'air de correspondre pile-poil à ce qu'il me faut. Ceci dit, c'est pas le genre de script que je mettrais en production sur un truc pro. http://sourceforge.net/projects/pympsort(...)
Quitte à prendre un serveur de mail complet, je prendrai Postfix, que je connais déjà. Mais je suis vraiment le seul à me dire qu'avoir un démon qui tourne en permanence juste pour faire quelques append de manière sûre dans un fichier sur le disque dur, c'est trop lourd ? :-)
Le débat reste entier quand il s'agit de la formule prononcée en cas d'erreur (notamment — mais pas exclusivement — de la part d'un supérieur ou responsable s'adressant ainsi à ses subordonnés).
et plus bas :
Les interrogations sur les graphies autant/au temps pour moi témoignent surtout d'un souci de recherche de la vérité révélée, de la norme supérieure, alors même que la libre réflexion sur la langue peut conduire à admettre plusieurs graphies homophones pour cette locution. On s'assommera donc en faisant référence aux zautorités linguistiques ; problème, en creusant bien, on trouve des nuances d'expression.
Raté ! Implémenter n'existe pas en français. Je sais moi aussi ça me chagrine, mais il faudrait traduire to implement par implanter. Et oui ça sonne mal...
P.S. : sisi, sors ton Larousse, tu verras !
Ouais, enfin le Larousse, c'est pas les rois de l'informatique, hein. Voici ce qu'en a dit la Commission Générale de Terminologie, par exemple :
Implanter, v.
Installer un logiciel ou un sous-système donné en réalisant les adaptations nécessaires à leur fonctionnement dans un environnement défini.
Anglais : to implement.
À ne pas confondre avec :
Implémenter, v.
Réaliser la phase finale d'élaboration d'un système qui permet au matériel, aux logiciels et aux procédures d'entrer en fonction.
Note : Il convient de ne pas utiliser le terme implémenter comme synonyme d'implanter appliqué à un logiciel.
Anglais : to implement.
J'ai beau explorer Google, je ne retrouve pas la page contenant le texte officiel (un décret je crois), mais les définitions elles-mêmes se retrouvent un peu partout sur Internet.
Et de toute façon, toute la profession utilise « implémenter » dans un sens assez précis, ce n'est pas parce que les dicos sont à la traîne qu'ils ont raison.
[^] # Re: trad
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal [rot13]gbhg ha wbheany ra ebg13[/rot13]. Évalué à 3.
Facile, c'est du rot10 (et donc, pour déchiffrer, faire un rot16).
# hej gkqhqdju-tukn uj pehbqdwku
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal [rot13]gbhg ha wbheany ra ebg13[/rot13]. Évalué à 2.
[^] # Re: Trollons un peut :
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal coup de coeur. Évalué à 2.
Pff, qu'est-ce qui m'a pris ? 39831 je voulais écrire. L'autre là, y va rien comprendre...
# On s'en fout presque
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal Wine interdit de mise à jour ?. Évalué à 10.
Et puis, que se passerait-il si Microsoft ne détectait pas la présence de Wine et si ses mises à jour mettaient le boxon dans Wine ? Après tout, la base de registre pourrait être modifiée de manière pas supportée par Wine, des fichiers système genre win.ini pourraient être modifiés de manière à rendre une réinstallation de Wine et des logiciels Windows nécessaires, des bibliothèques natives Windows qui marchent bien sous Wine pourraient être remplacées par des versions plus récentes qui ne marchent pas sous Wine. La communauté hurlerait au sabotage, non ? Quand on fait des mises à jour automatisées, le minimum est de ne pas faire de modifications quand l'environnement visé ne fait pas partie de ceux que l'on a minutieusement testés. Et il est absolument normal que Microsoft ne teste pas Wine, qui n'est pas un de leur produits et qui est un concurrent direct.
Ensuite, notons que tout ceci ne concerne normalement que les mises à jour du système d'exploitation. Les mises à jour de logiciels (typiquement Office) qui ont fort bien pu être achetés par l'utilisateur en vue de les faire tourner sous Wine, devraient fonctionner normalement.
Au final donc, on voit que Microsoft ne fait que quelque chose de tout à fait normal et justifiable, et on voit surtout que Microsoft connait Wine et lui reconnait une certaine popularité. Et ça, c'est une bonne nouvelle. :-)
[^] # Re: Qu'est-ce qu'un spyware ?
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal Encore le grand méchant loup..... Évalué à 10.
Au plus près de la définition, un logiciel qui enregistre le comportement de l'utilisateur et transmet les informations collectées à l'entreprise qui l'a créé afin que celle-ci puisse bénéficier de l'aggrégation des informations collectées auprès de tous les utilisateurs du logiciel.
Bien sûr, si l'entreprise expliquait clairement le but du programme aux utilisateurs, ceux-ci ne l'installeraient pas, un spyware c'est donc aussi en général un programme qui prétend faire quelque chose de vaguement utile, présenté sous forme attractive (« ouah c'est cool installez ça ») ou mensongère (« votre PC va mal, installez ça ») ou juste sous la forme d'une boîte de dialogue d'installation de programme (la plupart des utilisateurs cliquent « Ok » par réflexe) ou installé automatiquement en tant que sous-partie d'un logiciel d'échange pair-à-pair, pour financer le réseau.
Bien sûr, une fois que l'utilisateur a compris que le programme ne fait pas ce qu'il faut et qu'il pourrit son PC, il pourrait vouloir l'enlever, les spywares utilisent donc toutes les techniques les plus tordues pour être inenlevables des PC sur lesquels ils sont installés, et en premier lieu pour ne pas être détectés.
Tout ceci fait que leur présence est hautement indésirable, qu'ils sont difficiles à détecter et à enlever. D'où la création de logiciels spécialisés dans cette lutte anti-pourriciels.
pourquoi un spyware n'est pas simplement considéré comme une variété particulière de virus ?
Parce qu'en général il ne cherche pas à se reproduire ou à se transmettre à d'autres machines sur le réseau, et parce que le plus souvent c'est l'utilisateur lui-même qui a lancé l'installeur, lu (enfin, aperçu) la licence d'utilisation, et a cliqué sur « Ok ». D'un point de vue informatique, une installation de logiciel absolument valable.
pourquoi avoir inventé les "anti-spyware", et ne pas avoir confié la détection des ces programmes "malicieux" aux antivirus ?
Parce que le savoir-faire à mettre en place est différent de celui-ci utilisé dans la lutte des virus ? On peut parier que les sociétés d'anti-virus (qui sont beaucoup devenues des sociétés « anti-problèmes-d'Internet » ces dernières années) vont finir par s'y mettre, mais il faut qu'elles se spécialisent dans le problème, ou embauchent des gens spécialisés, ou rachetent des entreprises qui travaillent déjà dans le domaine. Comme tout ça est assez frais, ce n'est pas encore fait.
# Concours de quoi ?
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse à la dépêche Concours de programmation Python. Évalué à 10.
Pour moi Python c'est du développement rapide d'application, et c'est une large gamme de modules offrant tout plein de services variés. Rien dans le sujet ne semble mettre cela en avant, n'importe quel langage ayant un minimum de structures de contrôle et capable d'afficher sur une sortie standard pourrait faire l'affaire.
Un sujet qui taperait à la fois dans l'interface graphique et dans la communication réseau, avec une complexité fonctionnelle moyennement élevée et une contrainte de temps (intelligemment) assez forte, ça ce serait quelque chose à même de montrer l'intérêt de Python.
[^] # Re: Trollons un peut :
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal coup de coeur. Évalué à 2.
Asynchrone, vraiment ? Bon, techniquement oui, tout autant que chaque site web du monde. Mais je pense qu'ici on entendait par asynchrone le fait que tu donnes tes ordres à un serveur, et qu'ils sont exécutés ultérieurement, en batch et en combinant les ordres de plusieurs (voire tous) les joueurs.
Ce n'est pas le cas de Mounty Hall, qui est de ce point de vue « temps réel » : quand tu fais une action, elle affecte immédiatement le monde qui t'entoure, et pendant que tu ne fais pas d'action, le monde continue de tourner (et de te taper dessus, bien sûr). La seule chose qui fait qu'on n'y passe pas des heures entières, c'est que l'on ne dispose que de six points d'action par tour, qui dure en gros douze heures, et que pas mal d'actions coûtent deux ou quatre points. Heureusement, les adversaires sont dans la même situation ! (Sauf les monstres ultra-balaizes des profondeurs, hélas.) En général, on les dépense tous d'un coup en un petit quart d'heure, mais rien n'interdit de faire une action, une pause de quatre heures, une autre action, etc.
deux serveurs sont sous debian
Il y en a un troisième pour le forum aussi.
Mountyhall est riche par ses multiples possibilités
Mountyhall est en perpétuel développement
C'est vrai qu'on s'y laisse bien prendre. Ça fait plus de huit mois que j'y joue tous les jours ou presque. :-)
[^] # Re: Trollons un peut :
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal coup de coeur. Évalué à 2.
C'est quoi ton numéro de trøll ? Moi c'est 39761.
[^] # Re: Distribution ?
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au message KDE + connection internet. Évalué à 2.
Quant à écrire des conneries, je te fais remarquer que sa question ne contient pas le mot Mandrake, et que KDE ce n'est pas du mode texte (et que KDE ne propose pas d'outil de configuration du réseau, même si de nombreuses distributions en ajoutent un bien sûr).
# Commentaire
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal Google Autolink. Évalué à 10.
Moi ce que je remarque c'est :
* C'est à l'utilisateur d'installer l'outil (Google Toolbar)
* C'est à l'utilisateur d'activer la création de liens, c'est désactivé par défaut
* C'est à l'utilisateur de l'activer dans chaque page qu'il visite (bouton dans la toolbar)
Ce qui est bien différent de ce qu'avait proposé Microsoft à l'époque (une fonctionnalité d'Office activée par défaut pour tous les documents).
Bref, rien de caché, rien de secret, juste une fonctionnalité que certains utilisateurs peuvent apprécier.
Quant aux webmasters paranos, j'ai juste ceci à dire : une fois que les données ont quitté votre serveur, vous êtes foutus. Vous n'avez plus le contrôle, tout ce que vous avez pu surcharger dans votre page, détecteurs et surdétecteurs de comportement imprévu d'utilisateur, rien ne peut résister à un soft adéquat installé sur le PC de celui-ci.
Une petite appli XUL+JavaScript qui ajoute un lien vers Google (ou Yahoo, ou Wikipedia) sur tous les mots reçus, je peux le faire sans trop de difficulté. Et le jour où les webmasters auront les moyens techniques d'empêcher cela, eh bien, ce sera aussi celui où Microsoft et les majors du disque et du cinéma pourront empêcher quiconque de lire un fichier sans les payer au passage. À vous de voir ce que vous préférez.
(P.S. : Quant à la manière qu'a Pooly d'exprimer son opinion, sans commentaire.)
# Distribution ?
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au message KDE + connection internet. Évalué à 0.
Quelle distribution, donc ? Mandrake ? Debian ? Fedora ? Slackware ? Chacune a sa petite particularité pour la configuration du réseau, souvent un outil graphique, parfois un fichier texte à compléter.
# Autres cartes intéressantes
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal Google maps. Évalué à 9.
http://map.search.ch/(...)
Carte des États-Unis, du Canada et de l'Europe. Application Java pas trop lourde, tout est vectoriel, excellente interactivité.
http://www.map24.com/(...)
[^] # Re: Pas de^W^W dons
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse à la dépêche Slackware 10.1 est sortie. Évalué à 3.
# Oreillettes
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal La Marche l'Empereur .... Évalué à 2.
(Les images sont superbes.)
# Pas de dons
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse à la dépêche Slackware 10.1 est sortie. Évalué à 10.
Bien sûr, vu le coût de la médecine aux États-Unis, il encourage vivement ceux qui utilisent Slackware à ne pas se contenter cette fois-ci de télécharger les ISO, mais également de passer faire un tour dans son magasin. Et franchement, avec les taux de change actuels qui offrent les frais de port, pourquoi s'en priver ?
[^] # Re: puisqu'il faut bien que quelqu'un le fasse
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal [joke] il me manque un manuel sous linux. Évalué à 7.
$ make love
not war?
[^] # Re: Hmmm
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal [joke] il me manque un manuel sous linux. Évalué à 1.
Par ailleurs, j'ai aussi le sentiment que ton « désolé » est hypocrite.
# VO
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal [joke] il me manque un manuel sous linux. Évalué à 10.
$ man girl
No manual entry for girl
[^] # Re: Ah...
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au message wine money. Évalué à 1.
http://www.moneydance.com/(...)
[^] # Re: Un serveur de mail sans serveur de mail ?
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au message Envoi de mail local dans une boîte locale. Évalué à 2.
C'est pour gérer ces problèmes qu'on a inventé les verrous.
Il y a peu de chances, certes, m'enfin bon.
Dès qu'il y a des tâches automatisées, les chances peuvent devenir très surprenantes. (Exemple de surprise : ton noyau lance trois instance d'un script au même moment, puis forcément il répartit la charge de la machine de manière équitable entre les trois instances, et donc la même ligne de chaque instance est exécutée avant de passer à la suivante. Bien le bonjour à un éventuel « si le fichier n'existe pas alors je le créé », qui sera exécuté sous la forme « si le fichier n'existe pas » x 3, « alors je le créé » x3...)
Si je n'avais pas à me pencher en détail sur ces problèmes de verrous, j'aurais juste eu besoin de faire un script genre « cat mail.txt >> /var/spool/mail/boa13 ». Mais vu que d'autres ont déjà bossé sur le problème, autant se servir de leur boulot. :-)
il risque fort de passer les trois quarts de son temps à attendre proprement. Bref, à part un peu d'occupation mémoire (à mesurer si besoin), c'est pas violent.
Je dirais même, plus de 95% du temps. C'est la potentielle occupation mémoire qui me gonfle, j'ai déjà trop de démons qui tournent.
# J'ai trouvé des trucs
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au message Envoi de mail local dans une boîte locale. Évalué à 2.
http://www.courier-mta.org/maildrop/(...)
Ah, quoique... Après quelques recherches supplémentaires, on part dans l'excès inverse, le limite trop léger (dix kilos de sources Python), mais ça à l'air de correspondre pile-poil à ce qu'il me faut. Ceci dit, c'est pas le genre de script que je mettrais en production sur un truc pro.
http://sourceforge.net/projects/pympsort(...)
Bon, ben reste à bidouiller tout ça. :-)
[^] # Re: Un serveur de mail sans serveur de mail ?
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au message Envoi de mail local dans une boîte locale. Évalué à 2.
[^] # Re: Origine du message ?
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal Drôle d'info à la radio. Évalué à 2.
Ah ouais ? Donne-moi une source militaire qui corrobore tes dires, pour voir. :-)
[^] # Re: Origine du message ?
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal Drôle d'info à la radio. Évalué à 3.
Le débat reste entier quand il s'agit de la formule prononcée en cas d'erreur (notamment — mais pas exclusivement — de la part d'un supérieur ou responsable s'adressant ainsi à ses subordonnés).
et plus bas :
Les interrogations sur les graphies autant/au temps pour moi témoignent surtout d'un souci de recherche de la vérité révélée, de la norme supérieure, alors même que la libre réflexion sur la langue peut conduire à admettre plusieurs graphies homophones pour cette locution. On s'assommera donc en faisant référence aux zautorités linguistiques ; problème, en creusant bien, on trouve des nuances d'expression.
[^] # Re: Origine du message ?
Posté par Boa Treize (site web personnel) . En réponse au journal Drôle d'info à la radio. Évalué à 3.
P.S. : sisi, sors ton Larousse, tu verras !
Ouais, enfin le Larousse, c'est pas les rois de l'informatique, hein. Voici ce qu'en a dit la Commission Générale de Terminologie, par exemple :
Implanter, v.
Installer un logiciel ou un sous-système donné en réalisant les adaptations nécessaires à leur fonctionnement dans un environnement défini.
Anglais : to implement.
À ne pas confondre avec :
Implémenter, v.
Réaliser la phase finale d'élaboration d'un système qui permet au matériel, aux logiciels et aux procédures d'entrer en fonction.
Note : Il convient de ne pas utiliser le terme implémenter comme synonyme d'implanter appliqué à un logiciel.
Anglais : to implement.
J'ai beau explorer Google, je ne retrouve pas la page contenant le texte officiel (un décret je crois), mais les définitions elles-mêmes se retrouvent un peu partout sur Internet.
Et de toute façon, toute la profession utilise « implémenter » dans un sens assez précis, ce n'est pas parce que les dicos sont à la traîne qu'ils ont raison.