Concernant Doctolib ou ViteMaDose, à chaque fois la prise de RDV échoue à la fin. Je dois choisir ma catégorie, Plus de 60, personnel médical ou patient à risque.
Je suppose qu’ils ont épuisé tous les créneaux généraux mais réservent des créneaux pour des personnes prioritaires.
Tu n’as pas de bol, je viens de regarder pour le centre de vaccination à moins de 10 km à vol d’oiseau de chez moi, il a des créneaux disponibles dès le 21 juillet (1ʳᵉ injection de Pfizer, plus de 12 ans).
On fait quoi concrètement ?
Euh… tu déménages. ;‐)
Plus sérieusement, regarde si dans les catégories prioritaires (plus de 60 ans, etc.), un centre de vaccination a des créneaux pour le lendemain (il suffit de ne pas finaliser la réservation). Si jamais c’est le cas, il y a des chances qu’ils ne se remplissent pas et qu’il reste des doses. Dans ce cas, tu pourrais tenter ta chance sur place. Sans garantie.
Ça vaut peut-être aussi le coup de regarder les centres de vaccination dans les départements voisins. Les situations peuvent être assez différentes d’un département à l’autre (exemple : à Paris, plus rien en juillet, mais à Enghien‐les-Bains ou à Livry-Gargan, des créneaux dès le 21 juillet). Ou sur ton lieu de vacances, si tu as prévu de partir. Finalement, ils se sont décidés à acheminer plus de doses vers les lieux de vacances les plus fréquentés.
ViteMaDose ne fournit pas forcément des informations très fiables avec l’affluence actuelle, mais permet avec un peu de chance de repérer les plus gros centres de vaccination (ceux qui ont plus d’un millier de créneaux). C’est généralement ceux qui proposent des créneaux au plus court terme. Pour les centres près de chez moi, l’un n’a plus de créneau en première injection aussi vite qu’indiqué par ViteMaDose, mais l’autre en a plus tôt ! Je suppose qu’en cas de besoin, les grands centres sont réapprovisionnés avant les dates initialement prévues ou qu’il recrutent des personnels supplémentaires pour vacciner si c’est ce qui bloque.
Du coup, tu peux aussi regarder régulièrement les grands centres proches de chez toi, il y a une chance que des créneaux plus tôt réapparaissent.
Bonne chance !
Remarque, il doit y avoir un tas de doses d’AstraZeneca qui ne font rien. Si tu trouves un professionnel qui veuille bien t’en injecter sans que tu sois dans la tranche d’âge préconisée (la dernière fois que j’avais regardé, le risque mortel semblait être d’environ deux pour un million d’injections), il lui restera le problème de trouver neuf autres personnes pour les autres doses du flacon (ce serait quand même dommage de gâcher, alors qu’il y a des pays où les gens aimeraient bien avoir ça !)…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
D’une part, c’est illisible pour un contenu intéressant (donc un peu long). Je considère les wikis comme un progrès du web : un format d’hébergement d’informations qui permet facilement de corriger, améliorer, mettre à jour au fil du temps. Twitter, avec son empilement de mini‐messages, en est l’antithèse.
Qui plus est, il demande de se connecter pour accéder au premier lien (je n’ai évidemment pas de compte).
Comment des gens apparemment censés peuvent‐ils penser à utiliser ce truc pour publier quelque chose d’intéressant ?
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Puis je peux retourner aussi la question : pourquoi ne pas se faire vacciner pour toutes les maladies pour lesquelles un vaccin existe alors ?
Selon la même logique, tu n’es pas vacciné contre le tétanos non plus ?
Tu n’as sûrement pas prévu de te blesser sur un bout de ferraille rouillé, et puis actuellement, il y a bien moins de risques de l’attraper que le covid‐19. Cerise sur le gâteau : tu ne risques pas de le transmettre à tes proches.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Pas si on accepte des centaines de milliers ou des millions de morts, en effet.
Si c’est un choix qui te plaît, tu devrais demander l’asile politique au Brésil. En plus, ils doivent déjà avoir bien avancé sur le développement d’une nouvelle immunité globale contre le variant actuel (ils payent un lourd tribu pour ça). Jusqu’au prochain variant.
Moi je serais d’accord pour qu’on laisse les antivaccins, anti‐masques, anti-distanciation, anti-tout vivre ensemble comme ils l’entendent. Mais qu’ils ne côtoient pas les autres et qu’on leur fournisse les capacités hospitalières strictement proportionnelles à leur nombre. Il n’y a pas de raison pour les autres payent pour leur connerie.
Et amusez‐vous bien ! Rappelez vous, « le virus n’est pas si dangereux »…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
À priori la situation actuelle devrait être significativement meilleure
Je partage ton analyse, si ce n’est que le variant Delta est nettement plus contagieux que la souche originelle et que le Brésil nous a prouvé que l’immunité gagnée après avoir guéri d’une infection ne suffit pas forcément à protéger d’un autre variant (d’ailleurs le gouvernement préconise une injection de vaccin pour ceux qui ont été infectés précédemment).
La situation serait certainement excellente par rapport à la souche originelle et bonne par rapport au variant Alpha, mais à voir la progression du variant Delta (un doublement en moins d’une semaine !), elle est encore loin d’être satisfaisante par rapport à cette souche.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Si personne n’était vacciné, il faudrait refermer les restaurants, les bars, les cinémas, etc. et certainement remettre un couvre‐feu, voire refaire un confinement (sauf à vouloir ramasser les morts à la pelle — et pas que des vieux — dans les files d’attente devant les hôpitaux, comme dans les pays qui se sont laissés dépasser).
Les non vaccinés sont au pire dans la situation où ils seraient si tout le monde faisait comme eux. C’est la conséquence normale de leur propre choix (pour les adolescents qui ne pouvaient pas se faire vacciner jusqu’à il y a peu, le délai a été repoussé jusqu’à fin août).
Tu ne veux pas te vacciner ? Accepte de vivre comme s’il n’y avait pas de vaccin.
Et encore, tu peux te faire tester et profiter de la même vie sociale que les autres pendant 48 h (à chaque test).
Il y a plus radical que Macron sur la vaccination.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Cependant, il est entièrement dans le code source de la page. Donc un copier‐coller plus loin…
Très intéressant, en effet. Il peut éventuellement convaincre des sceptiques.
Mais à mon avis pas tous. Convaincre par la réflexion ceux qui sont complètement irrationnels, ça me paraît très optimiste.
Si j’étais le gouvernement, je jouerais plus sur l’émotionnel : des spots avec des interviews de vrais gens qui ont perdu un proche à cause du virus avant l’arrivée du vaccin, ou qui ont eu des séquelles longues voire permanentes, notamment pulmonaires ou neurologiques (même si une atteinte du cerveau pourrait moins se voir chez certains complotistes…).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Dans les étages, il fait plus chaud qu’au sous‐sol.
J’ai eu ce genre de problèmes. C’est difficile d’obtenir la réparation d’un PC garanti avec retour atelier quand il ne plante pas dans l’atelier (dans mon bureau au rez de chaussée non plus, mais si on ne peut pas l’utiliser au 3ᵉ, c’est quand même un souci).
Bon, manifestement, pour celui dont tu parles, c’était un problème de poussière. Dans notre cas, c’était une série de cartes mères qui vieillissait mal.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
C’est facile un an après, de regarder en arrière, et de dire : « il aurait fallu faire ça. ».
Ça a souvent été facile au moment même de se rendre compte que les actions effectuées ou justement pas effectuées était idiotes, au point que ça m’a souvent effaré.
Quelques exemples :
les Français rapatriés de Chine au début de l’épidémie qui étaient eux‐mêmes étonnés qu’à leur arrivée on ne leur demande rien, même pas s’ils avaient des symptômes ;
le match de foot avec une équipe italienne où on a laissé les supporters italiens venir alors que l’Italie était déjà fortement contaminée, en particulier la région dont venaient les supporters en question ;
la première commande de masques, très tardive, qui a été annoncée haut et fort, mais dont personne n’a vu trace (ils n’ont pas dû penser qu’il ne suffisait pas d’annoncer quelque chose pour que ça se fasse, mais qu’il fallait aussi charger quelqu’un de le faire vraiment) ;
la date du premier confinement : on savait qu’on n’avait que quelques semaines de retard sur l’Italie pour l’épidémie, plutôt que de prendre les devants, Macron a attendu qu’on soit presque autant dans la merde qu’eux pour confiner ;
les EHPAD qui ont été laissés complètement dans la merde (en particuliers sans équipements de protection) jusqu’à ce que ça commence à faire un peu de bruit dans la presse ;
le tester, tracer, isoler qui n’a jamais été que la version Jean Foutre de ce qui se faisait dans les pays sérieux ;
l’été 2000 où Macron et son gouvernement étaient très optimistes avec un R₀ supérieur à 1 (un R₀ supérieur à 1 au moment le plus favorable de l’année, ça n’augure rien de bon pour la suite) ;
« il faut vivre avec le covid » (!) ;
les divers variants exotiques, qu’on a laissé venir avant d’éventuellement prendre des mesures pour essayer de les éviter, alors que rien ne disait encore si les vaccins disponibles permettaient de les combattre (arrivé au 4ᵉ, le variant indien, ils ont réagi un peu plus vite quand même) ;
l’absence de reconfinement en janvier 2021, contrairement à beaucoup de pays européens (alors que le temps froid et moche ne donnait pas envie de sortir, ça aurait pu passer assez facilement) et malgré la présence de variants plus contagieux ; maintenant, on va aborder l’été avec un niveau d’épidémie si élevé que certains experts craignent une 4ᵉ vague dès l’été, malgré les vaccins…
Ça a été un festival d’incurie, d’incompétence, de mensonges (les masques qui « ne servent à rien »), de mépris (vous n’avez pas besoin de masques parce que vous êtes trop cons pour les mettre correctement) et d’auto‐congratulation (la cerise sur le gâteau).
Je ne sais pas s’il aurait été possible de faire beaucoup mieux (les français n’auraient‐ils pas été réticents aux mesures de restriction si la situation avait été moins grave ? la plupart des pays voisins, avec lesquels ont a des relations étroites, notamment économiques, ont mal géré la pandémie aussi…), mais il n’aurait pas été difficile de faire mieux. La preuve : l’Allemagne a plus de 20000 morts de moins, alors qu’ils ont une population plus importante, une densité deux fois plus élevée et qu’ils sont aussi bordés de pays qui ont mal géré l’épidémie (à commencer par le nôtre, mais aussi la Belgique, la Suisse…).
Au début de la pandémie, il y avait trois stratégies possibles :
1. laisser faire, comme Bolsonaro, en comptant qu’il y aurait un jour une immunité globale ;
2. essayer de limiter les contamination juste assez pour que les hôpitaux ne soient pas débordés (comme la France) ;
3. viser ce qu’on appelle maintenant le zéro covid (comme une bonne partie des pays asiatiques, la Nouvelle‐Zélande, l’Australie).
Non seulement la première s’apparente à un génocide (j’espère que Bolsonaro finira en prison à vie pour ça), mais en plus l’expérience a montré qu’elle ne fonctionne pas : le virus mute, l’immunité acquise par contamination finit par s’affaiblir.
J’ai toujours pensé que la troisième était la seule viable. Pas besoin d’être épidémiologiste : quand on sait qu’un phénomène mortel est exponentiel, comprendre ce qu’est une exponentielle suffit normalement à penser qu’il faut agir fort dès le début. Après, on ne pouvait pas être sûr de la faisabilité d’avance (mais ce n’est pas parce que le zéro covid ne pouvait peut-être pas être atteint qu’il n’aurait pas été intéressant de le viser quand même).
Le fait est qu’un an après l’épidémie, les pays qui ont choisi la statégie zéro covid ont certes eu éventuellement des restrictions bien plus fortes, mais plus brèves aussi et ont des conséquences économiques plus limitées. La Chine a prouvé que c’était faisable à l’échelle d’une très grande population, même en ayant pratiqué la politique de l’autruche au départ.
Mais la question n’est plus tant de savoir si les dirigeants des pays européens ont fait le bon choix à un moment où il n’était pas évident, elle est de savoir si avec le recul, ils le feraient la prochaine fois dans une situation similaire.
Je n’en ai pas l’impression, en tout cas pour Macron.
Cependant, le mauvais choix du point de vue du nombre de victimes et même de l’économie n’est peut-être pas un mauvais choix politique : les français râlent plus pour les restrictions que pour les morts et beaucoup sont prêts pour éviter l’extrême droite à revoter pour quelqu’un dont l’incurie a causé des dizaines de milliers de morts, sans envisager d’autres choix. Si les français eux‐mêmes n’accordent pas de prix à leur vie, pourquoi les élus le devraient-ils ?
D’ailleurs, ce n’est pas clair que le reste de la classe politique ait non plus tiré la leçon de cette pandémie, mais il y a un message à lui envoyer aux prochaines élections : il y a des choses qui sont impardonnables.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Le terme « ruissellement » n’est pas si inapproprié, à la réflexion : l’eau aussi ruisselle vers l’endroit où il y en a déjà le plus.
Concernant l’argent, il y a plusieurs mécanismes pour cela, comme la marge, les intérêts, les loyers… Mais le principe de base est que les riches n’investissent que s’ils peuvent espérer un retour sur investissement, c’est à dire récupérer plus que ce qu’ils investissent. Et plus on monte en richesse, moins on dépense ce qu’on gagne.
D’un autre côté, les plus pauvres dépensent tout ce qu’ils gagnent simplement pour vivre, sans échapper aux mécanismes précédents.
L’augmentation des inégalités est la conséquence naturelle du capitalisme, en l’absence de mécanismes de redistribution (impôts progressifs, aides sociales, services publics…).
La théorie du ruissellement qui marcherait dans l’autre sens (même mal déguisée sous le terme « premiers de cordées »), n’est rien d’autre qu’un mensonge de la part de ceux qui ne servent que les plus riches, ceux‐là mêmes qui font de leur mieux pour détruire les mécanismes de redistribution.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Le coin du bas à droite de la photo me donne l’impression que c’est un fixe.
Qu'est-ce qu'il y a comme carte graphique ?
C’est la bonne question.
masfanto, si tu ne connais pas la réponse, la commande lspci devrait donner l’information (après, il faut arriver à afficher la sortie à un endroit lisible de l’écran…).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Tout ça pour pousser les vaccins et enrichir les laboratoires…
Si tu veux enrichir le moins possible les laboratoires, fais-toi vacciner avec de l’AstraZeneca. Il est censé être vendu actuellement à prix coûtant et de toute façon, il est à moins de 2 € la dose.
Enfin si tu as moins de 55 ans, il faudra peut-être insister.
Après, il y a un risque (très faible en nombre de personnes touchées, mais mortel) qu’il ne semble pas y avoir avec des vaccins qui rapportent plus aux laboratoires…
D’un autre côté, si tu ne te fais pas vacciner et que tu attrapes le covid, tu enrichiras aussi des laboratoires et tu coûteras à la sécu.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Les intérêts servent également à payer les employés de la banque, tout les fournisseurs, etc.
C’est effectivement un mécanisme pour retransférer de l’argent dans l’autre sens, mais ça ne suffit pas. Voir ce qui est arrivé à la Grèce : les plus aisés échappant à l’impôt, les dettes de l’État et de la population se sont accumulées jusqu’à ce que tout s’écroule, non sans que les riches abritent auparavant leur argent ailleurs.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Mais le particulier doit toujours rembourser les intérêts à la banque (qui possède donc 100 de plus que les 1000 initiaux. La banque a gagné 100 en accordant l'emprunt). On a désormais une masse monétaire de 1 000 100.
L’emprunteur n’a pas imprimé un billet de 100 et cette somme n’est pas apparue par magie sur son compte. Il a bien fallu qu’il prenne 100 qui existaient déjà, typiquement en travaillant pour les gagner.
Et au final, la banque à 100 de plus. Les intérêts ne sont pour moi qu’un mécanisme pour transférer de l’argent de ceux qui en ont le plus besoin à ceux qui en ont le moins besoin (les banques et leurs actionnaires).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: On ne peut pas se faire vacciner de toutes façons...
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Petite question sur l'immunité collective. Évalué à 2.
Je suppose qu’ils ont épuisé tous les créneaux généraux mais réservent des créneaux pour des personnes prioritaires.
Tu n’as pas de bol, je viens de regarder pour le centre de vaccination à moins de 10 km à vol d’oiseau de chez moi, il a des créneaux disponibles dès le 21 juillet (1ʳᵉ injection de Pfizer, plus de 12 ans).
Euh… tu déménages. ;‐)
Plus sérieusement, regarde si dans les catégories prioritaires (plus de 60 ans, etc.), un centre de vaccination a des créneaux pour le lendemain (il suffit de ne pas finaliser la réservation). Si jamais c’est le cas, il y a des chances qu’ils ne se remplissent pas et qu’il reste des doses. Dans ce cas, tu pourrais tenter ta chance sur place. Sans garantie.
Ça vaut peut-être aussi le coup de regarder les centres de vaccination dans les départements voisins. Les situations peuvent être assez différentes d’un département à l’autre (exemple : à Paris, plus rien en juillet, mais à Enghien‐les-Bains ou à Livry-Gargan, des créneaux dès le 21 juillet). Ou sur ton lieu de vacances, si tu as prévu de partir. Finalement, ils se sont décidés à acheminer plus de doses vers les lieux de vacances les plus fréquentés.
ViteMaDose ne fournit pas forcément des informations très fiables avec l’affluence actuelle, mais permet avec un peu de chance de repérer les plus gros centres de vaccination (ceux qui ont plus d’un millier de créneaux). C’est généralement ceux qui proposent des créneaux au plus court terme. Pour les centres près de chez moi, l’un n’a plus de créneau en première injection aussi vite qu’indiqué par ViteMaDose, mais l’autre en a plus tôt ! Je suppose qu’en cas de besoin, les grands centres sont réapprovisionnés avant les dates initialement prévues ou qu’il recrutent des personnels supplémentaires pour vacciner si c’est ce qui bloque.
Du coup, tu peux aussi regarder régulièrement les grands centres proches de chez toi, il y a une chance que des créneaux plus tôt réapparaissent.
Bonne chance !
Remarque, il doit y avoir un tas de doses d’AstraZeneca qui ne font rien. Si tu trouves un professionnel qui veuille bien t’en injecter sans que tu sois dans la tranche d’âge préconisée (la dernière fois que j’avais regardé, le risque mortel semblait être d’environ deux pour un million d’injections), il lui restera le problème de trouver neuf autres personnes pour les autres doses du flacon (ce serait quand même dommage de gâcher, alors qu’il y a des pays où les gens aimeraient bien avoir ça !)…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Twitter 👎
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Une collection de sources scientifiques (vulgarisées ou non) sur le Covid et son vaccin. Évalué à 3.
Oui, enfin un quotidien n’ira pas saucissonner pour autant ses articles en petits bouts…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Twitter 👎
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Une collection de sources scientifiques (vulgarisées ou non) sur le Covid et son vaccin. Évalué à 10.
Twitter, quelle plaie !
D’une part, c’est illisible pour un contenu intéressant (donc un peu long). Je considère les wikis comme un progrès du web : un format d’hébergement d’informations qui permet facilement de corriger, améliorer, mettre à jour au fil du temps. Twitter, avec son empilement de mini‐messages, en est l’antithèse.
Qui plus est, il demande de se connecter pour accéder au premier lien (je n’ai évidemment pas de compte).
Comment des gens apparemment censés peuvent‐ils penser à utiliser ce truc pour publier quelque chose d’intéressant ?
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Vaccin ou pas vaccin
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Petite question sur l'immunité collective. Évalué à 5.
Selon la même logique, tu n’es pas vacciné contre le tétanos non plus ?
Tu n’as sûrement pas prévu de te blesser sur un bout de ferraille rouillé, et puis actuellement, il y a bien moins de risques de l’attraper que le covid‐19. Cerise sur le gâteau : tu ne risques pas de le transmettre à tes proches.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Il faut assumer ses choix
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Petite question sur l'immunité collective. Évalué à 7.
Pas si on accepte des centaines de milliers ou des millions de morts, en effet.
Si c’est un choix qui te plaît, tu devrais demander l’asile politique au Brésil. En plus, ils doivent déjà avoir bien avancé sur le développement d’une nouvelle immunité globale contre le variant actuel (ils payent un lourd tribu pour ça). Jusqu’au prochain variant.
Moi je serais d’accord pour qu’on laisse les antivaccins, anti‐masques, anti-distanciation, anti-tout vivre ensemble comme ils l’entendent. Mais qu’ils ne côtoient pas les autres et qu’on leur fournisse les capacités hospitalières strictement proportionnelles à leur nombre. Il n’y a pas de raison pour les autres payent pour leur connerie.
Et amusez‐vous bien ! Rappelez vous, « le virus n’est pas si dangereux »…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Ce qu'on aimerait (tous?) éviter ...
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Petite question sur l'immunité collective. Évalué à 3.
Je partage ton analyse, si ce n’est que le variant Delta est nettement plus contagieux que la souche originelle et que le Brésil nous a prouvé que l’immunité gagnée après avoir guéri d’une infection ne suffit pas forcément à protéger d’un autre variant (d’ailleurs le gouvernement préconise une injection de vaccin pour ceux qui ont été infectés précédemment).
La situation serait certainement excellente par rapport à la souche originelle et bonne par rapport au variant Alpha, mais à voir la progression du variant Delta (un doublement en moins d’une semaine !), elle est encore loin d’être satisfaisante par rapport à cette souche.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Il faut assumer ses choix
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Petite question sur l'immunité collective. Évalué à 6.
Si personne n’était vacciné, il faudrait refermer les restaurants, les bars, les cinémas, etc. et certainement remettre un couvre‐feu, voire refaire un confinement (sauf à vouloir ramasser les morts à la pelle — et pas que des vieux — dans les files d’attente devant les hôpitaux, comme dans les pays qui se sont laissés dépasser).
Les non vaccinés sont au pire dans la situation où ils seraient si tout le monde faisait comme eux. C’est la conséquence normale de leur propre choix (pour les adolescents qui ne pouvaient pas se faire vacciner jusqu’à il y a peu, le délai a été repoussé jusqu’à fin août).
Tu ne veux pas te vacciner ? Accepte de vivre comme s’il n’y avait pas de vaccin.
Et encore, tu peux te faire tester et profiter de la même vie sociale que les autres pendant 48 h (à chaque test).
Il y a plus radical que Macron sur la vaccination.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Mode lecture sombre
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Arguments pour répondre aux vaccino-sceptiques. Évalué à 3.
Je viens de découvrir un truc : on peut passer le mode lecture en mode sombre.
Le fond blanc qui éclate les yeux me dissuadait de l’utiliser.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Article masqué
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Arguments pour répondre aux vaccino-sceptiques. Évalué à 4.
Je ne vois aussi que le début de l’article.
Cependant, il est entièrement dans le code source de la page. Donc un copier‐coller plus loin…
Très intéressant, en effet. Il peut éventuellement convaincre des sceptiques.
Mais à mon avis pas tous. Convaincre par la réflexion ceux qui sont complètement irrationnels, ça me paraît très optimiste.
Si j’étais le gouvernement, je jouerais plus sur l’émotionnel : des spots avec des interviews de vrais gens qui ont perdu un proche à cause du virus avant l’arrivée du vaccin, ou qui ont eu des séquelles longues voire permanentes, notamment pulmonaires ou neurologiques (même si une atteinte du cerveau pourrait moins se voir chez certains complotistes…).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Effets secondaires
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Petite question sur l'immunité collective. Évalué à 5.
Pas trop cette année…
Comme quoi la vaccination a des effets secondaires négatifs sur les non vaccinés. Mieux vaut être vacciné !
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Fossil, un gestionnaire de versions du même auteur
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Le petite histoire derrière SQLite (une interview de Richard Hipp). Évalué à 9.
Richard Hipp est aussi l’auteur de Fossil, un gestionnaire de versions décentralisé étroitement basé sur SQLite pour garantir l’intégrité des données.
Fossil fourni un exécutable unique compact qui assure tout : gestion des versions, interface web, bug tracker…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Privoxy
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message Bloquer des sites web. Évalué à 2.
Privoxy est un proxy sans cache prévu justement pour filtrer le web. Il propose des filtres par défaut, mais tu peux les adapter ou les changer.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Plutôt la température
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche La voiture allergique à la glace à la vanille, et autres bugs. Évalué à 4.
Dans les étages, il fait plus chaud qu’au sous‐sol.
J’ai eu ce genre de problèmes. C’est difficile d’obtenir la réparation d’un PC garanti avec retour atelier quand il ne plante pas dans l’atelier (dans mon bureau au rez de chaussée non plus, mais si on ne peut pas l’utiliser au 3ᵉ, c’est quand même un souci).
Bon, manifestement, pour celui dont tu parles, c’était un problème de poussière. Dans notre cas, c’était une série de cartes mères qui vieillissait mal.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Bah si on arrête l’avion, il va tomber !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Pourquoi arrêter l’avion ne devrait plus être un débat. Évalué à 8.
Non ???
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Même au moment, ce n’était pas difficile de se rendre compte
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Covid-19 : comment Emmanuel Macron a tout raté. Évalué à 6.
Ça a souvent été facile au moment même de se rendre compte que les actions effectuées ou justement pas effectuées était idiotes, au point que ça m’a souvent effaré.
Quelques exemples :
Ça a été un festival d’incurie, d’incompétence, de mensonges (les masques qui « ne servent à rien »), de mépris (vous n’avez pas besoin de masques parce que vous êtes trop cons pour les mettre correctement) et d’auto‐congratulation (la cerise sur le gâteau).
Je ne sais pas s’il aurait été possible de faire beaucoup mieux (les français n’auraient‐ils pas été réticents aux mesures de restriction si la situation avait été moins grave ? la plupart des pays voisins, avec lesquels ont a des relations étroites, notamment économiques, ont mal géré la pandémie aussi…), mais il n’aurait pas été difficile de faire mieux. La preuve : l’Allemagne a plus de 20000 morts de moins, alors qu’ils ont une population plus importante, une densité deux fois plus élevée et qu’ils sont aussi bordés de pays qui ont mal géré l’épidémie (à commencer par le nôtre, mais aussi la Belgique, la Suisse…).
Au début de la pandémie, il y avait trois stratégies possibles :
1. laisser faire, comme Bolsonaro, en comptant qu’il y aurait un jour une immunité globale ;
2. essayer de limiter les contamination juste assez pour que les hôpitaux ne soient pas débordés (comme la France) ;
3. viser ce qu’on appelle maintenant le zéro covid (comme une bonne partie des pays asiatiques, la Nouvelle‐Zélande, l’Australie).
Non seulement la première s’apparente à un génocide (j’espère que Bolsonaro finira en prison à vie pour ça), mais en plus l’expérience a montré qu’elle ne fonctionne pas : le virus mute, l’immunité acquise par contamination finit par s’affaiblir.
J’ai toujours pensé que la troisième était la seule viable. Pas besoin d’être épidémiologiste : quand on sait qu’un phénomène mortel est exponentiel, comprendre ce qu’est une exponentielle suffit normalement à penser qu’il faut agir fort dès le début. Après, on ne pouvait pas être sûr de la faisabilité d’avance (mais ce n’est pas parce que le zéro covid ne pouvait peut-être pas être atteint qu’il n’aurait pas été intéressant de le viser quand même).
Le fait est qu’un an après l’épidémie, les pays qui ont choisi la statégie zéro covid ont certes eu éventuellement des restrictions bien plus fortes, mais plus brèves aussi et ont des conséquences économiques plus limitées. La Chine a prouvé que c’était faisable à l’échelle d’une très grande population, même en ayant pratiqué la politique de l’autruche au départ.
Mais la question n’est plus tant de savoir si les dirigeants des pays européens ont fait le bon choix à un moment où il n’était pas évident, elle est de savoir si avec le recul, ils le feraient la prochaine fois dans une situation similaire.
Je n’en ai pas l’impression, en tout cas pour Macron.
Cependant, le mauvais choix du point de vue du nombre de victimes et même de l’économie n’est peut-être pas un mauvais choix politique : les français râlent plus pour les restrictions que pour les morts et beaucoup sont prêts pour éviter l’extrême droite à revoter pour quelqu’un dont l’incurie a causé des dizaines de milliers de morts, sans envisager d’autres choix. Si les français eux‐mêmes n’accordent pas de prix à leur vie, pourquoi les élus le devraient-ils ?
D’ailleurs, ce n’est pas clair que le reste de la classe politique ait non plus tiré la leçon de cette pandémie, mais il y a un message à lui envoyer aux prochaines élections : il y a des choses qui sont impardonnables.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # RMS innocent
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Les doutes d'un gars qui écrit: sérieusement se mettre à Emacs, ou pas ?. Évalué à 2.
Ce n’est pas lui qui a commis l’« ergonomie » d’emacs !
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Et plus globalement…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Covid-19 : comment Emmanuel Macron a tout raté. Évalué à 1.
Coronavirus : La pandémie aurait pu être évitée, selon les experts indépendants de l'OMS (bon, c’est histoire de ne pas publier un second lien hors sujet de suite dans la section Liens).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# « Ruissellement »
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Joe Biden : "L'économie du ruissellement n'a jamais fonctionné" - lalibre.be. Évalué à 7. Dernière modification le 01 mai 2021 à 08:38.
Le terme « ruissellement » n’est pas si inapproprié, à la réflexion : l’eau aussi ruisselle vers l’endroit où il y en a déjà le plus.
Concernant l’argent, il y a plusieurs mécanismes pour cela, comme la marge, les intérêts, les loyers… Mais le principe de base est que les riches n’investissent que s’ils peuvent espérer un retour sur investissement, c’est à dire récupérer plus que ce qu’ils investissent. Et plus on monte en richesse, moins on dépense ce qu’on gagne.
D’un autre côté, les plus pauvres dépensent tout ce qu’ils gagnent simplement pour vivre, sans échapper aux mécanismes précédents.
L’augmentation des inégalités est la conséquence naturelle du capitalisme, en l’absence de mécanismes de redistribution (impôts progressifs, aides sociales, services publics…).
La théorie du ruissellement qui marcherait dans l’autre sens (même mal déguisée sous le terme « premiers de cordées »), n’est rien d’autre qu’un mensonge de la part de ceux qui ne servent que les plus riches, ceux‐là mêmes qui font de leur mieux pour détruire les mécanismes de redistribution.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: affichage étrange
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message affichage étrange. Évalué à 2.
Pour lspci, un copier-coller texte sera plus pratique (et en plus pas parasité par les problèmes d’affichage).
S’il y a bien une ligne VGA, elle suffira.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: driver carte graphique
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message affichage étrange. Évalué à 2.
Bonjour,
Le coin du bas à droite de la photo me donne l’impression que c’est un fixe.
C’est la bonne question.
masfanto, si tu ne connais pas la réponse, la commande
lspci
devrait donner l’information (après, il faut arriver à afficher la sortie à un endroit lisible de l’écran…).« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Jami ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Signal envoie des signaux inquiétants. Évalué à 3.
De ce que j’en ai compris, Jami en fait et en tout cas, il ne demande pas le numéro de téléphone.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: traitements
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Brevets sur les vaccins: "Ouvrez la production du vaccin au reste du monde". Évalué à 2.
Si tu veux enrichir le moins possible les laboratoires, fais-toi vacciner avec de l’AstraZeneca. Il est censé être vendu actuellement à prix coûtant et de toute façon, il est à moins de 2 € la dose.
Enfin si tu as moins de 55 ans, il faudra peut-être insister.
Après, il y a un risque (très faible en nombre de personnes touchées, mais mortel) qu’il ne semble pas y avoir avec des vaccins qui rapportent plus aux laboratoires…
D’un autre côté, si tu ne te fais pas vacciner et que tu attrapes le covid, tu enrichiras aussi des laboratoires et tu coûteras à la sécu.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# J’adore le nom !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien PlutoCon 2021. Évalué à 10.
Mais je ne pense pas avoir l’utilité de ce genre d’outils. C’est PlutoCon…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Intérêts
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal La Bourse ou la vie ?. Évalué à 0.
C’est effectivement un mécanisme pour retransférer de l’argent dans l’autre sens, mais ça ne suffit pas. Voir ce qui est arrivé à la Grèce : les plus aisés échappant à l’impôt, les dettes de l’État et de la population se sont accumulées jusqu’à ce que tout s’écroule, non sans que les riches abritent auparavant leur argent ailleurs.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Intérêts
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal La Bourse ou la vie ?. Évalué à 4.
L’emprunteur n’a pas imprimé un billet de 100 et cette somme n’est pas apparue par magie sur son compte. Il a bien fallu qu’il prenne 100 qui existaient déjà, typiquement en travaillant pour les gagner.
Et au final, la banque à 100 de plus. Les intérêts ne sont pour moi qu’un mécanisme pour transférer de l’argent de ceux qui en ont le plus besoin à ceux qui en ont le moins besoin (les banques et leurs actionnaires).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone