Mais la question centrale c'est de savoir si la femme enceinte ressent oui ou non cet embryon comme son enfant.
En l'occurrence, dans cet anecdote, la femme l'a attendu, voulu, et a même commencé à faire des achats pour l'enfant.
C'est pour cela que je parle d'enfant, et non de fœtus, car la mère la considéré comme son enfant, et en fait son deuil comme son enfant.
De plus, il s'agit ici d'avortement dit « thérapeutique », à 4/5 mois ce n'est pas considéré comme un embryon mais comme un fœtus, et là loi est différente à ce sujet, et la perception de l'être a changé, même légalement, c'est même devenu un casse-tête juridique, voir quelques exemples :
La décision, on a plusieurs semaines voir plusieurs mois pour la prendre, et elle se fait avant le rendez-vous.
Dans ce cas précis, et je n'en dirai plus ni sur le lieu, ni sur les personnes, mais cela c'est fait très vite .
J'ai moi-même eu à peine le temps de me renseigner auprès de diverses associations sur les démarche à faire en cas de réponse positive, et sur l'accompagnement que je pourrais recevoir. Ces mêmes associations qui aident habituellement les mère à accueillir leurs enfants, je ne suis pas vraiment sûr qu'elle ai vraiment pu les contacter. Moi, au moins, j'avais le carnet d'adresse.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
Le problème n'est pas que financier, ce que j'ai fait c'est une proposition humaine.
C'est autre chose que financier, autre chose que social, et c'est cela qui manque.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
on ne peut pas, comme le fait ce journal, décider à la place des femmes enceintes
En fait, concernant le fait de décider à la place des femmes, sache que dans mon cas il n'y a pas eu cette erreur, comme je l'ai dit, je me suis simplement proposé. Il arriv(ait) assez souvent que des mères prennent en charge les enfants de leur propre fille, c'est la même chose que j'ai proposé. Si tu as besoin d'aide, je suis là. Il n'e s'agit pas de décider, il s'agit d'ouvrir le champ des possibles.
Je ne suis pas le premier à me trouver confronté à cette situation, et je ne serai pas le dernier. De même, dans ce cas précis, je ne suis pas le seul à y avoir pensé, je suis seulement celui qui a proposé. La question n'est pas de prendre un enfant à sa mère, ce qui est une chose horrible, mais de proposer une alternative qui peut être moins douloureuse même si elle l'est énormément. La question peut être, Une femme aujourd'hui en 2011 est-elle en mesure de recevoir cette alternative ?
et les culpabiliser si elles ne la ressentent selon un certain schéma.
La culpabilisation est certainement la plus mauvaise chose à faire. Faire un choix en réaction, ce n'est jamais faire un choix sincère, plein et entier. On ne choisit pas de mettre au monde son enfant pour ne pas être coupable de l'avortement, ça ne marche pas. Si une mère fait un tel choix, alors elle ne pourra jamais se satisfaire de sa décision et pourra toujours la mettre en cause. […]"Mon petit, de toute manière c'est pas toi que j'ai voulu, c'est l'avortement que j'ai refusé".
[…] faire culpabiliser, c'est une violation de conscience. […] De plus, pour un catholique, la fin ne justifie jamais les moyens, et un moyen mauvais rend une fin mauvaise. Choisir quelque chose de bien par culpabilité (mauvais moyen), c'est faire un mauvais choix, c'est choisir quelque chose de mal. Faire choisir en faisant culpabiliser, c'est juste une énorme erreur.
Je ne suis nullement dans le jugement d'une personne ni de la culpabilisation, si tu as ressenti de la culpabilité, c'est un sentiment qui t'es seulement personnel.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
Je ne pense pas que la loi dise quelque chose sur le fait de culpabiliser la patiente
Euh, attention là, on peut convaincre de l'avortement ou en dissuader sans user de la culpabilisation !
Surtout que s'il s'agit de dissuader de l'avortement, la culpabilisation est certainement la plus mauvaise chose à faire.
Faire un choix en réaction, ce n'est jamais faire un choix sincère, plein et entier.
Un choix par refus est un faux choix, et impossible à accepter dans le temps : choisir le refus, mais subir l'alternative, c'est invivable.
On ne choisit pas de mettre au monde son enfant pour ne pas être coupable de l'avortement, ça ne marche pas. Si une mère fait un tel choix, alors elle ne pourra jamais se satisfaire de sa décision et pourra toujours la mettre en cause. Elle n'aura pas gardé son enfant pour le garder, mais pour ne pas avorter. J'imagine mal une mère pouvoir dire "Mon petit, de toute manière c'est pas toi que j'ai voulu, c'est l'avortement que j'ai refusé".
De même, la mère qui choisirai l'avortement par culpabilité, coupable de remettre en cause sa vie si elle garde l'enfant, ses projets ou ceux de son couple, ne pourra jamais s'en satisfaire. J'imagine mal une femme se dire "ce n'est pas mon enfant que je ne voulais pas, c'est de devoir déménager pour l'accueillir".
Un choix par réaction, ça n'apporte pas la paix, hors, dans ce genre de cas, il faut que le choix soit total pour que la personne puisse vivre avec. Accepter ou refuser un enfant, cela ne se choisit pas en refus d'autre chose. Pour supporter d'avoir gardé son enfant, ou pour supporter de l'avoir avorter, il faut avoir fait un vrai choix, et non un choix en réaction. Non, la culpabilité est vraiment le dernier des arguments.
ou d'essayer de la faire renoncer
Même critique, on ne renonce pas à l'avortement, on choisit l'enfant.
Si tu n'as jamais été confronté intimement à la question de l'avortement, tu peux au moins parcourir les forums féminins, tu verras qu'elles ne posent pas vraiment la question de la culpabilité quand elles hésitent à avorter. La seule opposition qui revient vraiment c'est le regret, oui, mais ce n'est pas la culpabilité, le regret de ne pas avoir fait le choix opposé, et c'est inhérent à tout choix.
Malgré tout cela, j'ai une petite soeur de 13 mois dont j'ai l'habitude de m'occuper. Je sais que je saurai m'occuper de cet enfant si je le garde. J'ai très envie d'avoir un enfant. Mais dans des conditions idéales, et là le contexte n'y est pas du tout.
Elle pose aussi la question du regret, ce qui est normal, et si elle choisir de garder l'enfant, dans ses épreuves elle regrettera aussi de ne pas avoir avorter. La culpabilité ? je ne vois pas !
Une femme confrontée à l'avortement a besoin d'aide, pas de culpabilité, quelque soit le choix qu'elle prendra.
Si on peut éviter de discourir en prenant des arguments complètement irréalistes et hors de propos, ça serait honnête.
Eviter le fantasme c'est pas mal aussi, les mots comme "pourrir la vie" et "culpabilité" ou "essayer de faire renoncer" sont complètement fantasmé et hors de contexte.
Si quelqu'un veut conseiller (je ne parle même pas de convaincre) en usant de la culpabilité, que ce soit pour choisir l'avortement ou pour choisir la mise au monde, il a juste tout faux. Là il ne s'agit pas de savoir s'il est provie, promort, prochoix ou que sais-je. S'il est fondamentalement en tord, ce n'est à cause de la fin qu'il propose, mais du moyen qu'il emploie.
En l'occurrence ce mauvais moyen, faire culpabiliser, c'est une violation de conscience. Si le pro vie l'est par religion, sache que pour un catholique ce serait un des pires maux que d'employer un tel moyen. De plus, pour un catholique, la fin ne justifie jamais les moyens, et un moyen mauvais rend une fin mauvaise. Choisir quelque chose de bien par culpabilité (mauvais moyen), c'est faire un mauvais choix, c'est choisir quelque chose de mal. Faire choisir en faisant culpabiliser, c'est juste une énorme erreur. C'est non seulement stupide, mais en plus c'est mauvais et c'est cause de maux.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
Oui oui, mais au final, son install de windows 1 sur dos 5, c'est déjà installer un logiciel de 1985 sur un système d'exploitation de 1989; il ne met à jour que la surcouche graphique, il ne met pas à jour le système d'exploitation, il part avec une sacré avance (bon, en même temps, il est seul dans la course :D).
Tiens par contre je viens de faire une découvert, je n'ai pas trouvé la source, mais la page wikipédia Windows_1.0 précise une fin du support de win 1 le 31 décembre 2001, il y en qui ont pensé que 640k suffirait, alors pourquoi pas qu'un windows ce soit au moins pour 16 ans ! ;)
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
Il y a une part de pipo : il ne fait pas les mises à jours d'OS quand il met à jour les Windows 1, 2, 3 etc.
En effet, il commence direct avec DOS 5. Il dit "comme requis pour les premières versions de Windows" ou quelque chose comme ça.
Hors, j'ai Windows 2.07 sur un dos 3.3
Il y a mise à jour de Windows (et donc conservation de certains paramètres) mais pas mise à jour du système d'exploitation.
Par contre je confirme pour le reversi de windows 2.07 qui tourne sous Windows XP (je l'ai fait). ou quelques autres appli windows de l'époque.
Cependant le format binaire ou je ne sais quoi a changé, déjà sous windows 3.1, on a un message d'avertissment, « attention, il y a de forte chance que ce programme ne fonctionne pas parce qu'il était prévu our un windows précédent ».
Certains programmes simples comme le reversi fonctionnent encore, mais la majeure partie non. C'est entre windows 2.07 et windows 3.1 que j'ai rencontré le plus d'incompatibilité binaire entre deux Windows.
Je confirme aussi le fait que l'on puisse modifier son thème avec un vieux binaire. Pas seulement conserver les paramètres hein, configurer windows. Avec un binaire de win 3 vous pouvez changer les couleurs du thème de win XP, avec un léger patch binaire d'un exécutable windows 1 vous pouvez changer les couleurs des fenêtres de win XP (j'ai fait ça dans le passé, je sais pas si je pourrais retrouver le lien).
Le progman de windows XP fonctionne toujours avec la conf du progman de win 3.1, et on peut toujours convertir les entrées du progman en entrée du menu démarrer.
Par contre... je n'ai jamais fait de migration de version hors services pack, là je dis chapeau ;).
Je me demande combien de reboot ça fait !
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
Je crois que non, j'ai déjà eu des soucis à lire des .doc de word pour dos avec des versions suivantes, et ce bien avant Seven.
je pourrais vérifier ;)
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
ça y est j'ai liquidé mes 5 avis :/ il me faut attendre demain.
Je n'en aurai que 5 à nouveau, si j'ai bien compris le gang international de voleur d'avis répète sa forfaiture chaque nuit.
Je l'attend de pied ferme, et armé ! Attention au premier qui montre le bout de son nez^ Wbec, je l'abat sans état d'âme c'te canard !
(rhaaaa markdown est pas compatible avec les control, il fait des exposants :/)
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
Là j'accepte plus volontiers l'argument que celui du nolife :)
Cependant dans la vrai vie la feuille n'a pas de logique et ne va pas interpréter la case à cocher, elle n'est qu'un support. Le capteur optique (ou le stagiaire) qui va analyser la paperasse il va considérer l'état de la case comme un objet à deux états.
En effet il y a différence sémantique dans le sens que la case à cocher peut être vue comme une option sur un contenu (l'exemple du formulaire) et le bouton comme une option sur une action. Mais au final dans un logiciel, poser une option sur le contenu c'est poser une option sur une action.
Dans le formulaire d'enregistrement d'OOo, cocher la case "Je suis déjà enregistré" équivaut à appuyer sur un bouton "ne m'embête pas plus longtemps ou je passe à LibreOffice".
Comme l'a relevé téthis [http://library.gnome.org/devel/gtk/stable/GtkToggleButton.ht(...)], il y a déjà un bouton bascule en plus de la case à cocher. L'avantage du bouton bascule (qui s'enfonce) est surtout de pouvoir comporter le libellé, en texte ou en image.
On voit que dans les fait, s'il y a un bouton bascule et une case à cocher, c'est déjà pour une affaire d'interface : par exemple dans un logiciel de montage audio avancé, en général le bouton "record" ne lance pas l'enregistrement, mais bascule entre le mode lecture et enregistrement. C'est super pratique parce que si on utilise un logiciel qui génère du son et un autre qui enregistre, et qu'on a un logiciel pour les contrôler en même temps, il suffit de mettre l'un en mode "enregistrement", l'un en mode "lecture" et d'appuyer sur une unique commande "play" pour que les deux démarrent en même temps, l'un en lecture, l'autre en enregistrement.
Ce genre de bascule peut être faite avec une case à cocher, en général c'est fait avec le bouton bascule parce que ça permet d'afficher un joli bouton rouge et rond qui s'allume quand on appuie dessus. On pourrait aussi afficher un bouton en forme de tige qu'on bascule, ou comme une glissière à deux états (comme dans l'iPhone), mais là on fait du thème...
Avoir des logiciels qui présentent leurs choix binaires selon trois manières différentes, case à cocher, bascule qui s'enfonce et bascule qui se déplace, c'est pas tellement dans l'esprit Gnome d'unifier les interfaces et d'offrir une ergonomie simple.
Enfin, ce n'est pas la seule chose dans gtk ou gnome qui n'est pas unifiée et qui diverge d'une appli à l'autre (par exemple les onglets, mais la raison est peut-être que ce n'est pas à l'appli de gérer le fenêtrage ;) ).
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
Si tu coche la case "mute" de ta carte son, et que le son ne se coupe pas, tu ne gueules pas ?
Je vais garder ton exemple IRL de lumière. Je viens tout juste d'emménager, l'appart est neuf. J'actionne l'interrupteur de la lampe et il n'y a pas de lumière.
Je vais au compteur, je met le courant, j'ai pas eu à revenir à l'interrupteur de la lumière.
l'interrupteur dans la vraie vie ou la case à cocher dans un logiciel sont la même chose : l'état est conservé au moment de l'action. L'effet, lui peut être tout de suite ou subordonné à un évènement (bouton "valider", alimenter le circuit électrique, ouvrir le robinet, démarrer le moteur, qu'il fasse jour, dépasser une certaine température...).
Dans la vraie vie, tu remodèles pas tes boutons avec une imprimante 3D, dans un logiciel, le bouton on/off tu peux l'afficher soit comme une case à cocher, un bouton qui s'enfonce, une bascule... et appliquer les thèmes non pas en fonction de la quincaillerie qui t'a vendu le bouton, mais ton humeur ou la taille de ton écran. C'est très pratique d'unifier tout cela pour pouvoir adapter tout d'un coup.
Mon emménagement, je t'assure c'était pas un truc de nolife.
J'ai parlé d'écrans à led pour donner un exemple où on voudrait répéter l'évènement "allumer la lumière", avant de le faire vraiment (je coche, je coche, je coche, je valide). tu peux faire ça avec les guirlandes électrique de ton sapin de noël, c'est pas nolife non-plus ça de brancher sur un même sucre plusieurs guirlandes.
Pour transposer ton exemple de lampe qui s'allume pas, je garde l'exemple de l'appart : J'ai allumé le frigo, j'ai mit le courant au compteur, le frigo s'est pas allumé et j'ai gueulé. J'ai branché le frigo dans la chambre et il a fonctionné, et j'ai encore gueulé :la prise de la cuisine pour le frigo ne semble relié à aucun circuit électrique. Et là, je m'en moque que la prise soit blanche ou jaune. Si la prise était une prise carrée au lieu d'une prise ronde, ça ne résoudrait pas mon problème. Ce n'est pas en changeant la couleur de la prise que ça va résoudre mon problème, et c'est pas parce qu'elle est blanche que je m'attend à ce que le courant y parvienne.
C'est pas nolife de faire fonctionner son frigo. Que je prenne l'exemple de l'écran à led ou du frigo, qu'est ce que ça te fais.
J'ai illustré ma pensée avec l'exemple de l'écran à LED, je peux l'illustrer avec des lampes d'habitations si ça te plait, ma pensée ne change pas. Si c'est l'illustration qui ne te plait pas, change là : c'est comme un thème ;).
L'interrupteur qui contrôle l'alimentation d'une LED ou d'une lampe de chevet, c'est la même logique, je suis désolé, je peux rien y faire.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
Pourquoi pas, dans le sens où par exemple dans beaucoup de logiciels audio on a des représentations visuelles en forme de potard à tourner ou de faders à glisser. On pourrait représenter tout ça par de simples glissières. En effet, dans la réalité ça ferait une interface énorme, et c'est bien pour cela que dans la vraie vie on ne le fait pas non plus, et que les boutons ont des formes différentes.
Si je veux représenter une table de mixage virtuelle, par exemple, je peux vouloir représenter mes différents potards alignés sur une même tranche, et je n'aurai jamais la place de mettre des glissières sur chacun. Comme dans la réalité je mettrais des boutons qui se tournent, plus compacts. Par contre, sur cette même interface en forme de table de mixage, représenter un bouton on/off par une case à cocher ou un dessin de bouton qui s'appuie, ou un dessin de bouton haut/bas, mais alors là, peu-importe ! Même la question de la forme du widget ne tient pas ! Le problème est le même pour le retour d'information : qu'une diode soit allumée, la face "on" du bouton affichée, ou la case cochée, ça signifie la même chose.
Ce qui serait vraiment intéressant, c'est que sur un ordi je puisse cocher des cases avec ma souris, et que le même logiciel, sur une tablette tactile, je puisse actionner le bouton avec un geste. C'est une question de thème.
Là il est bien question de coder en dur le thème dans la librairie de base, même pas dans un logiciel qui prendrait ses libertés (comme un logiciel de musique, pour garder le même exemple), mais bien dans la librairie de base : dupliquer les objets, les fonctions et tout, pour une histoire de thème.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
Quittons le monde du logiciel, et faisons une promenade IRL :
Si par exemple dans un circuit électrique non alimenté je met sur "on" l'interrupteur en face de ma lampe, elle ne s'allume pas.
Lorsque je vais mettre le courant, la lampe va s'allumer.
Si j'ai un écran à diode, avec autant d'interrupteurs que de diodes, je peux préparer un joli dessin lumineux qui ne s'affichera que lorsque je mettrais le courant. C'est exactement la même chose que de cocher des cases et d'appuyer sur "valider".
De même, je pourrais faire ma manipulation alors que le courant est là, et alors au fur et à mesure de mes actions sur les interrupteurs, mes lampes vont s'allumer.
L'interrupteur n'implique une réaction immédiate que parce que la logique de mon système est conçu ainsi. Je ne peux avoir un interrupteur qui implique une réaction immédiate que parce que j'ai conçu mon système ainsi.
Un pilote d'avion avant d'allumer son moteur il doit appuyer sur plein de boutons et actionner un certain nombre d'interrupteurs. Par contre, il a des boutons et divers actionneurs qu'il actionnera ou devra actionner en cours de route.
Ce qui fait que l'interrupteur implique une action immédiate ou non, c'est une question de conception du système, pas d'interrupteur.
Dans la vraie vie il n'y a pas de case à cocher, il n'y a que des interrupteurs.
Dans la vraie vie, un actionneur à deux états c'est un interrupteur.
Une case à cocher dans une IHM c'est un interrupteur. Pourquoi avoir fait visuellement des cases à cocher plutôt que des interrupteurs ? c'est une autre question, mais une case à cocher ou un interrupteur c'est la même chose : c'est une machine logique à deux états vrai/faux, oui/non, tout de suite/plus tard, toujours/jamais...
Le fait que l'action sur l'interrupteur soit prise en compte à l'exécution ou seulement après un autre évènement, c'est la conception du système qui détermine cela, pas le bouton.
Que je coche la case "couper le son" et que cela se fasse tout de suite parce qu'il faut que je réponde au téléphone, ou bien que je coche la case "éteindre l'ordinateur à la fin de la gravure" et que cela soit pris en compte effectivement à la fin de la gravure, parce que je vais me coucher, c'est l'application qui veut ça, pas le widget.
En électricité, je peux mettre mes interrupteurs en parallèle (action immédiate pour chacun) ou en série (action dans un futur lointain pour le second), par exemple. Je n'ai pas deux types d'interrupteurs pour ces deux montages.
Je dénonçais le fait que le widget "interrupteur" n'était en fait qu'un doublon pour coder en dur une apparence différente, et bien je dénonce (grave :) le fait que le widget "interrupteur" ne soit en fait qu'un doublon pour coder en dur une gestion des évènements différentes et un schéma logique différent.
De plus, dans Gnome, la philosophie c'est d'avoir des actions actives et propagées dès l'action, de ne pas avoir un bouton "valider les préférences" mais "fermer les préférences", le doublon case/interrupteur est d'autant plus idiot pour Gnome qui veut simplifier l'IHM. Au final, même si l'effet est dans un avenir lointain, la configuration est prise en compte tout de suite.
Dans Gnome il y a des cases à cocher "ne pas demander de mot de passe à la sortie de veille", ou bien "mettre en veille à l'inactivité" ou bien "couper le son", etc. Les effets sont immédiats ou dans un avenir lointain, ou soumis à d'autres évènements ou non, ce sont dans tout les cas des cases à cocher, on peut toutes les remplacer par des interrupteurs, c'est la même chose.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
BohwaZ
Nouveau widget "interrupteur" [...] alors qu'une case à cocher ben tout le monde connaît, c'est clair à première vue dans quel état elle est, bref... mais pourquoi ce truc ?
Ernest H
Sur une interface tactile, faire glisser un bouton est sans doute plus robuste que de juste cliquer. Si ce n'est utilisé que dans les interfaces mobiles, pourquoi pas.
En fait c'est là l'erreur, ce devrait être un thème, pas un widget de plus.
L'objet logique à deux états "vrai/faux", "on/off", "actif/inactif", "oui/non" existe déjà sous forme de case à cocher, ce widget est un doublon !
Faire apparaitre le widget "deux états" sous forme d'une case à cocher ou d'un interrupteur, c'est un problème de thème. Le fait qu'il réagisse à un clic ou à un geste, c'est aussi une question de thème.
Enfin, le mot thème ne convient plus, ce n'est plus l'apparence visuelle, mais l'idée est la même. Tout comme sous KDE on choisissait avant entre "look windows/mac/unix" avec des raccourcis claviers qui changeaient il me semble en plus de l'apparence, on pourrait choisir entre "environnement PC classique" ou "Gadget avec écran ridicule et pas de clavier ni de souris"
On peut imaginer un objet unique "choix binaire", avec un thème "ordinateur classique" qui affiche une "case à cocher" et qui réagit à l'évènement "clic", ou un thème "gadget" qui affiche un "interrupteur" et qui réagit à l'évènement "glisser".
C'est vrai que le doigt est plus gros qu'un pointeur de souris, et qu'à cliquer sur une case, tu ne sais pas quel est l'état en dessous de ton gros doigt.
De plus, avec des gestes, tu peux faire des évènements plus précis, l'un pour activer quoi qu'il arrive (monter par exemple), et l'autre pour désactiver, ce qui serait horripilant à la souris, on a déjà trois boutons et le double clic, faut pas en rajouter ! Mais ce n'est qu'une question de thème...
D'ailleurs ce serait une très bonne piste, de " thémer " les interactions : qu'avec une souris je puisse faire un double-clic pour ouvrir un fichier, mais quand je replie le pc en mode tablette, je puisse faire un simple toucher, et pas en changeant les options du pointeur, mais en changeant de thème (avec l'orientation de l'écran qui pourrait changer, des barre d'outils avec de plus grosses icônes, etc.) ...
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
En fait c'est juste une nouvelle forme de culpabilisation.
Au début on a eu droit à « le téléchargement c'est mal »
Prenons l'exemple du film. Une fois que les gens ont oublié que ce qui était mal c'était de visionner le film sans payer sa place de ciné, mais que c'était le moyen (le téléchargement) qui était mal, alors ils se sont mit à regarder leur film en streaming en qualité pourrie. Puisque c'est le téléchargement qui est illégal, comme ce n'est pas du téléchargement (et encore, mais shut) ce n'est donc pas illégal.
S'est donc développé une mentalité « J'ai pas téléchargé ! J'ai pas fauté » qui ne se pose plus la question « est ce que j'avais le droit de voir le film ? ».
De même on avait eu droit au « le P2P c'est mal », ce qui fait qu'ajourd'hui les gens téléchargent en HTTP 1.1 et pensent être en bonne conscience « J'ai un MSOffice tipiaké, mais j'ai pas fauté, c'est pas sur zMule que je l'ai téléchargé »
Tout cela ce sont des formes de culpabilisation sur les moyens, mais là Eric Besson est vraiment malin. Plutôt que de culpabiliser sans fin, un à un, les moyens qui sont inventés (téléchargement direct, p2p, streaming) et donc d'avoir toujours un train de retard (il faut que le moyen prenne de l'ampleur pour pouvoir le stigmatier) Eric Besson veut culpabiliser l'outil qui permet tout ces moyens : Internet.
Et oui, utiliser Internet c'est mal. En fait, si vous échangez une archive de 2go de photos de vos dernières vacances sur dl.free.fr ou téléchargez les 52 CDs de la dernière Debian via bittorrent, même si le contenu est légal vous êtes coupable : vous faites du débit, et ça c'est mal. Si vous êtes un artiste indépendant, que vous n'êtes pas sociétaire SACEM, et que vous groupies vous téléchargent sur dogmazic, vous êtes coupable !
Par contre si vous regardez la vidéo de TF1 par internet, en HD, et que vous écoutez la musique d'Orange sur deezer, là vous pouvez avoir la conscience tranquile.
C'est juste une tentative comme une autre de culpabilisation de ne pas regarder TF1, de ne pas passer par la SACEM, etc. Bref, être coupable de ne pas être une vache à lait et de se savoir se débrouiller tout seul.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
après recherche, je crois que ce sont les [[Clé_USB_U3]]
C'est intéressant, on lit sur la page wikipedia qu'il existe un « utilitaire […], u3-tool . Ce logiciel libre permet de manipuler le CD virtuel (en le supprimant ou en le réecrivant). »,
ce qui signifie qu'il est tout à fait possible pour un virus de modifier une clé U3-capable pour la rendre visible comme un CD, et donc de réactiver l'autorun. (ok ce n'est qu'un sous ensemble des clé USB, mais c'est faisable).
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
Sur la page d'un correctif plus ancien à installer soi-même cité par zdnet [http://support.microsoft.com/kb/971029], il est indiqué que « Certains lecteurs flash USB possèdent des microprogrammes qui présentent ces lecteurs flash USB comme des lecteurs CD lorsque vous les insérez dans un ordinateur. Ces lecteurs flash USB ne sont pas affectés par cette mise à jour. » comprendre : l'autorun fonctionne toujours.
De fait j'ai déjà vu des cochonceté de clé USB qui apparaissent en plusieurs volumes, au moins un vu comme un disque pour les données, et un autre vu comme un CD et bardé d'un autorun et de crapwares infects, et l'insertion de ce genre de clé dans une bécane sous windows provoque l'exécution de code arbitraire et la modification du windows installé. Ce comportement est prévu par le constructeur de la clé USB ! beurk, à fuir.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
c'est au contraire d'un très grand intérêt pour les créateurs de virus de mettre un autorun.inf sur le maximum de périph usb possible… c'est bien de cela qu'on parle non ?
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Choix des mots
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal [Journée internationale de la femme] droit, peine et liberté. Évalué à -1.
En l'occurrence, dans cet anecdote, la femme l'a attendu, voulu, et a même commencé à faire des achats pour l'enfant. C'est pour cela que je parle d'enfant, et non de fœtus, car la mère la considéré comme son enfant, et en fait son deuil comme son enfant.
De plus, il s'agit ici d'avortement dit « thérapeutique », à 4/5 mois ce n'est pas considéré comme un embryon mais comme un fœtus, et là loi est différente à ce sujet, et la perception de l'être a changé, même légalement, c'est même devenu un casse-tête juridique, voir quelques exemples :
http://www.oboulo.com/chambre-criminelle-cour-cassation-2-decembre-2003-statut-foetus-65955.html
http://www.oboulo.com/cas-pratique-meurtre-foetus-98254.html
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Du troll, du faux et de la mauvaise foi
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal [Journée internationale de la femme] droit, peine et liberté. Évalué à 0.
Dans ce cas précis, et je n'en dirai plus ni sur le lieu, ni sur les personnes, mais cela c'est fait très vite . J'ai moi-même eu à peine le temps de me renseigner auprès de diverses associations sur les démarche à faire en cas de réponse positive, et sur l'accompagnement que je pourrais recevoir. Ces mêmes associations qui aident habituellement les mère à accueillir leurs enfants, je ne suis pas vraiment sûr qu'elle ai vraiment pu les contacter. Moi, au moins, j'avais le carnet d'adresse.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Vraie question sur le droit des femmes
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal [Journée internationale de la femme] droit, peine et liberté. Évalué à -2.
Le problème n'est pas que financier, ce que j'ai fait c'est une proposition humaine. C'est autre chose que financier, autre chose que social, et c'est cela qui manque.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Vraie question sur le droit des femmes
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal [Journée internationale de la femme] droit, peine et liberté. Évalué à -7.
Ce journal ?
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Choix des mots
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal [Journée internationale de la femme] droit, peine et liberté. Évalué à -1.
En fait, concernant le fait de décider à la place des femmes, sache que dans mon cas il n'y a pas eu cette erreur, comme je l'ai dit, je me suis simplement proposé. Il arriv(ait) assez souvent que des mères prennent en charge les enfants de leur propre fille, c'est la même chose que j'ai proposé. Si tu as besoin d'aide, je suis là. Il n'e s'agit pas de décider, il s'agit d'ouvrir le champ des possibles.
Je ne suis pas le premier à me trouver confronté à cette situation, et je ne serai pas le dernier. De même, dans ce cas précis, je ne suis pas le seul à y avoir pensé, je suis seulement celui qui a proposé. La question n'est pas de prendre un enfant à sa mère, ce qui est une chose horrible, mais de proposer une alternative qui peut être moins douloureuse même si elle l'est énormément. La question peut être, Une femme aujourd'hui en 2011 est-elle en mesure de recevoir cette alternative ?
Quant au sujet de la culpabilité, voici ce que j'ai répondu hier-même à ce sujet :
Je ne suis nullement dans le jugement d'une personne ni de la culpabilisation, si tu as ressenti de la culpabilité, c'est un sentiment qui t'es seulement personnel.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Mouais
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal 8 mars 2011 : International Women Day. Évalué à 7.
Euh, attention là, on peut convaincre de l'avortement ou en dissuader sans user de la culpabilisation !
Surtout que s'il s'agit de dissuader de l'avortement, la culpabilisation est certainement la plus mauvaise chose à faire. Faire un choix en réaction, ce n'est jamais faire un choix sincère, plein et entier. Un choix par refus est un faux choix, et impossible à accepter dans le temps : choisir le refus, mais subir l'alternative, c'est invivable. On ne choisit pas de mettre au monde son enfant pour ne pas être coupable de l'avortement, ça ne marche pas. Si une mère fait un tel choix, alors elle ne pourra jamais se satisfaire de sa décision et pourra toujours la mettre en cause. Elle n'aura pas gardé son enfant pour le garder, mais pour ne pas avorter. J'imagine mal une mère pouvoir dire "Mon petit, de toute manière c'est pas toi que j'ai voulu, c'est l'avortement que j'ai refusé".
De même, la mère qui choisirai l'avortement par culpabilité, coupable de remettre en cause sa vie si elle garde l'enfant, ses projets ou ceux de son couple, ne pourra jamais s'en satisfaire. J'imagine mal une femme se dire "ce n'est pas mon enfant que je ne voulais pas, c'est de devoir déménager pour l'accueillir".
Un choix par réaction, ça n'apporte pas la paix, hors, dans ce genre de cas, il faut que le choix soit total pour que la personne puisse vivre avec. Accepter ou refuser un enfant, cela ne se choisit pas en refus d'autre chose. Pour supporter d'avoir gardé son enfant, ou pour supporter de l'avoir avorter, il faut avoir fait un vrai choix, et non un choix en réaction. Non, la culpabilité est vraiment le dernier des arguments.
Si tu n'as jamais été confronté intimement à la question de l'avortement, tu peux au moins parcourir les forums féminins, tu verras qu'elles ne posent pas vraiment la question de la culpabilité quand elles hésitent à avorter. La seule opposition qui revient vraiment c'est le regret, oui, mais ce n'est pas la culpabilité, le regret de ne pas avoir fait le choix opposé, et c'est inhérent à tout choix.
Par exemple, avant-hier le forum aufeminin :
Elle pose aussi la question du regret, ce qui est normal, et si elle choisir de garder l'enfant, dans ses épreuves elle regrettera aussi de ne pas avoir avorter. La culpabilité ? je ne vois pas !
Une femme confrontée à l'avortement a besoin d'aide, pas de culpabilité, quelque soit le choix qu'elle prendra.
Si on peut éviter de discourir en prenant des arguments complètement irréalistes et hors de propos, ça serait honnête. Eviter le fantasme c'est pas mal aussi, les mots comme "pourrir la vie" et "culpabilité" ou "essayer de faire renoncer" sont complètement fantasmé et hors de contexte.
Si quelqu'un veut conseiller (je ne parle même pas de convaincre) en usant de la culpabilité, que ce soit pour choisir l'avortement ou pour choisir la mise au monde, il a juste tout faux. Là il ne s'agit pas de savoir s'il est provie, promort, prochoix ou que sais-je. S'il est fondamentalement en tord, ce n'est à cause de la fin qu'il propose, mais du moyen qu'il emploie.
En l'occurrence ce mauvais moyen, faire culpabiliser, c'est une violation de conscience. Si le pro vie l'est par religion, sache que pour un catholique ce serait un des pires maux que d'employer un tel moyen. De plus, pour un catholique, la fin ne justifie jamais les moyens, et un moyen mauvais rend une fin mauvaise. Choisir quelque chose de bien par culpabilité (mauvais moyen), c'est faire un mauvais choix, c'est choisir quelque chose de mal. Faire choisir en faisant culpabiliser, c'est juste une énorme erreur. C'est non seulement stupide, mais en plus c'est mauvais et c'est cause de maux.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Il y a une part de pipo (dos n'est pas mit à jour)
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Un OS robuste qui résiste à 26 ans de mises à jour !. Évalué à 6.
Oui oui, mais au final, son install de windows 1 sur dos 5, c'est déjà installer un logiciel de 1985 sur un système d'exploitation de 1989; il ne met à jour que la surcouche graphique, il ne met pas à jour le système d'exploitation, il part avec une sacré avance (bon, en même temps, il est seul dans la course :D).
Tiens par contre je viens de faire une découvert, je n'ai pas trouvé la source, mais la page wikipédia Windows_1.0 précise une fin du support de win 1 le 31 décembre 2001, il y en qui ont pensé que 640k suffirait, alors pourquoi pas qu'un windows ce soit au moins pour 16 ans ! ;)
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
# Il y a une part de pipo (dos n'est pas mit à jour)
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Un OS robuste qui résiste à 26 ans de mises à jour !. Évalué à 10.
Il y a une part de pipo : il ne fait pas les mises à jours d'OS quand il met à jour les Windows 1, 2, 3 etc.
En effet, il commence direct avec DOS 5. Il dit "comme requis pour les premières versions de Windows" ou quelque chose comme ça.
Hors, j'ai Windows 2.07 sur un dos 3.3
Il y a mise à jour de Windows (et donc conservation de certains paramètres) mais pas mise à jour du système d'exploitation.
Par contre je confirme pour le reversi de windows 2.07 qui tourne sous Windows XP (je l'ai fait). ou quelques autres appli windows de l'époque.
Cependant le format binaire ou je ne sais quoi a changé, déjà sous windows 3.1, on a un message d'avertissment, « attention, il y a de forte chance que ce programme ne fonctionne pas parce qu'il était prévu our un windows précédent ». Certains programmes simples comme le reversi fonctionnent encore, mais la majeure partie non. C'est entre windows 2.07 et windows 3.1 que j'ai rencontré le plus d'incompatibilité binaire entre deux Windows.
Je confirme aussi le fait que l'on puisse modifier son thème avec un vieux binaire. Pas seulement conserver les paramètres hein, configurer windows. Avec un binaire de win 3 vous pouvez changer les couleurs du thème de win XP, avec un léger patch binaire d'un exécutable windows 1 vous pouvez changer les couleurs des fenêtres de win XP (j'ai fait ça dans le passé, je sais pas si je pourrais retrouver le lien).
Le progman de windows XP fonctionne toujours avec la conf du progman de win 3.1, et on peut toujours convertir les entrées du progman en entrée du menu démarrer.
Par contre... je n'ai jamais fait de migration de version hors services pack, là je dis chapeau ;). Je me demande combien de reboot ça fait !
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: La vraie question
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Un OS robuste qui résiste à 26 ans de mises à jour !. Évalué à 4.
Je crois que non, j'ai déjà eu des soucis à lire des .doc de word pour dos avec des versions suivantes, et ce bien avant Seven.
je pourrais vérifier ;)
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Sprintime.css
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Des icônes pour les liens Wikipedia plus adaptées ?. Évalué à 2.
rhaa qu'elle me manque cette CSS :'(
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Karma remis à pas beaucoup?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Nouvelle version de LinuxFr.org. Évalué à 5.
avec un peu d'efforts tu arriveras peut-être à descendre à INT_MAX
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: la kabbale m'a retiré mes av
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Message à caractère informatif. Évalué à 5.
ça y est j'ai liquidé mes 5 avis :/ il me faut attendre demain. Je n'en aurai que 5 à nouveau, si j'ai bien compris le gang international de voleur d'avis répète sa forfaiture chaque nuit. Je l'attend de pied ferme, et armé ! Attention au premier qui montre le bout de son nez^ Wbec, je l'abat sans état d'âme c'te canard !
(rhaaaa markdown est pas compatible avec les control, il fait des exposants :/)
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
# la kabbale m'a retiré mes avis
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Message à caractère informatif. Évalué à 10.
Je suis redevenu un nioubie, j'ai perdu 20 occasions de donner mon avis.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: URL or it did not happen
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Un projet tout neuf. Évalué à 2.
s/tunisienne/Tunisienne/
grammaire :
s/sauvé/sauvée/
vocabulaire :
s/l'orthographe/la grammaire/
Quand à moi, je mettrais en abîme la belle tradition qui inspire l'usage de commettre au moins autant de fautes que d'en relever. Les trouverez-vous ?
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Interrupteur
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Sortie officielle de GTK+ 3.0 !. Évalué à 3.
Cependant dans la vrai vie la feuille n'a pas de logique et ne va pas interpréter la case à cocher, elle n'est qu'un support. Le capteur optique (ou le stagiaire) qui va analyser la paperasse il va considérer l'état de la case comme un objet à deux états.
En effet il y a différence sémantique dans le sens que la case à cocher peut être vue comme une option sur un contenu (l'exemple du formulaire) et le bouton comme une option sur une action. Mais au final dans un logiciel, poser une option sur le contenu c'est poser une option sur une action.
Dans le formulaire d'enregistrement d'OOo, cocher la case "Je suis déjà enregistré" équivaut à appuyer sur un bouton "ne m'embête pas plus longtemps ou je passe à LibreOffice".
Comme l'a relevé téthis [http://library.gnome.org/devel/gtk/stable/GtkToggleButton.ht(...)], il y a déjà un bouton bascule en plus de la case à cocher. L'avantage du bouton bascule (qui s'enfonce) est surtout de pouvoir comporter le libellé, en texte ou en image.
On voit que dans les fait, s'il y a un bouton bascule et une case à cocher, c'est déjà pour une affaire d'interface : par exemple dans un logiciel de montage audio avancé, en général le bouton "record" ne lance pas l'enregistrement, mais bascule entre le mode lecture et enregistrement. C'est super pratique parce que si on utilise un logiciel qui génère du son et un autre qui enregistre, et qu'on a un logiciel pour les contrôler en même temps, il suffit de mettre l'un en mode "enregistrement", l'un en mode "lecture" et d'appuyer sur une unique commande "play" pour que les deux démarrent en même temps, l'un en lecture, l'autre en enregistrement.
Ce genre de bascule peut être faite avec une case à cocher, en général c'est fait avec le bouton bascule parce que ça permet d'afficher un joli bouton rouge et rond qui s'allume quand on appuie dessus. On pourrait aussi afficher un bouton en forme de tige qu'on bascule, ou comme une glissière à deux états (comme dans l'iPhone), mais là on fait du thème...
Avoir des logiciels qui présentent leurs choix binaires selon trois manières différentes, case à cocher, bascule qui s'enfonce et bascule qui se déplace, c'est pas tellement dans l'esprit Gnome d'unifier les interfaces et d'offrir une ergonomie simple.
Enfin, ce n'est pas la seule chose dans gtk ou gnome qui n'est pas unifiée et qui diverge d'une appli à l'autre (par exemple les onglets, mais la raison est peut-être que ce n'est pas à l'appli de gérer le fenêtrage ;) ).
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Interrupteur
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Sortie officielle de GTK+ 3.0 !. Évalué à 2.
Je vais garder ton exemple IRL de lumière. Je viens tout juste d'emménager, l'appart est neuf. J'actionne l'interrupteur de la lampe et il n'y a pas de lumière.
Je vais au compteur, je met le courant, j'ai pas eu à revenir à l'interrupteur de la lumière.
l'interrupteur dans la vraie vie ou la case à cocher dans un logiciel sont la même chose : l'état est conservé au moment de l'action. L'effet, lui peut être tout de suite ou subordonné à un évènement (bouton "valider", alimenter le circuit électrique, ouvrir le robinet, démarrer le moteur, qu'il fasse jour, dépasser une certaine température...).
Dans la vraie vie, tu remodèles pas tes boutons avec une imprimante 3D, dans un logiciel, le bouton on/off tu peux l'afficher soit comme une case à cocher, un bouton qui s'enfonce, une bascule... et appliquer les thèmes non pas en fonction de la quincaillerie qui t'a vendu le bouton, mais ton humeur ou la taille de ton écran. C'est très pratique d'unifier tout cela pour pouvoir adapter tout d'un coup.
Mon emménagement, je t'assure c'était pas un truc de nolife.
J'ai parlé d'écrans à led pour donner un exemple où on voudrait répéter l'évènement "allumer la lumière", avant de le faire vraiment (je coche, je coche, je coche, je valide). tu peux faire ça avec les guirlandes électrique de ton sapin de noël, c'est pas nolife non-plus ça de brancher sur un même sucre plusieurs guirlandes.
Pour transposer ton exemple de lampe qui s'allume pas, je garde l'exemple de l'appart : J'ai allumé le frigo, j'ai mit le courant au compteur, le frigo s'est pas allumé et j'ai gueulé. J'ai branché le frigo dans la chambre et il a fonctionné, et j'ai encore gueulé :la prise de la cuisine pour le frigo ne semble relié à aucun circuit électrique. Et là, je m'en moque que la prise soit blanche ou jaune. Si la prise était une prise carrée au lieu d'une prise ronde, ça ne résoudrait pas mon problème. Ce n'est pas en changeant la couleur de la prise que ça va résoudre mon problème, et c'est pas parce qu'elle est blanche que je m'attend à ce que le courant y parvienne.
C'est pas nolife de faire fonctionner son frigo. Que je prenne l'exemple de l'écran à led ou du frigo, qu'est ce que ça te fais.
J'ai illustré ma pensée avec l'exemple de l'écran à LED, je peux l'illustrer avec des lampes d'habitations si ça te plait, ma pensée ne change pas. Si c'est l'illustration qui ne te plait pas, change là : c'est comme un thème ;).
L'interrupteur qui contrôle l'alimentation d'une LED ou d'une lampe de chevet, c'est la même logique, je suis désolé, je peux rien y faire.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Interrupteur
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Sortie officielle de GTK+ 3.0 !. Évalué à 3.
Si je veux représenter une table de mixage virtuelle, par exemple, je peux vouloir représenter mes différents potards alignés sur une même tranche, et je n'aurai jamais la place de mettre des glissières sur chacun. Comme dans la réalité je mettrais des boutons qui se tournent, plus compacts. Par contre, sur cette même interface en forme de table de mixage, représenter un bouton on/off par une case à cocher ou un dessin de bouton qui s'appuie, ou un dessin de bouton haut/bas, mais alors là, peu-importe ! Même la question de la forme du widget ne tient pas ! Le problème est le même pour le retour d'information : qu'une diode soit allumée, la face "on" du bouton affichée, ou la case cochée, ça signifie la même chose.
Ce qui serait vraiment intéressant, c'est que sur un ordi je puisse cocher des cases avec ma souris, et que le même logiciel, sur une tablette tactile, je puisse actionner le bouton avec un geste. C'est une question de thème.
Là il est bien question de coder en dur le thème dans la librairie de base, même pas dans un logiciel qui prendrait ses libertés (comme un logiciel de musique, pour garder le même exemple), mais bien dans la librairie de base : dupliquer les objets, les fonctions et tout, pour une histoire de thème.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Interrupteur
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Sortie officielle de GTK+ 3.0 !. Évalué à 3.
Si par exemple dans un circuit électrique non alimenté je met sur "on" l'interrupteur en face de ma lampe, elle ne s'allume pas.
Lorsque je vais mettre le courant, la lampe va s'allumer.
Si j'ai un écran à diode, avec autant d'interrupteurs que de diodes, je peux préparer un joli dessin lumineux qui ne s'affichera que lorsque je mettrais le courant. C'est exactement la même chose que de cocher des cases et d'appuyer sur "valider".
De même, je pourrais faire ma manipulation alors que le courant est là, et alors au fur et à mesure de mes actions sur les interrupteurs, mes lampes vont s'allumer.
L'interrupteur n'implique une réaction immédiate que parce que la logique de mon système est conçu ainsi. Je ne peux avoir un interrupteur qui implique une réaction immédiate que parce que j'ai conçu mon système ainsi.
Un pilote d'avion avant d'allumer son moteur il doit appuyer sur plein de boutons et actionner un certain nombre d'interrupteurs. Par contre, il a des boutons et divers actionneurs qu'il actionnera ou devra actionner en cours de route.
Ce qui fait que l'interrupteur implique une action immédiate ou non, c'est une question de conception du système, pas d'interrupteur.
Dans la vraie vie il n'y a pas de case à cocher, il n'y a que des interrupteurs.
Dans la vraie vie, un actionneur à deux états c'est un interrupteur.
Une case à cocher dans une IHM c'est un interrupteur. Pourquoi avoir fait visuellement des cases à cocher plutôt que des interrupteurs ? c'est une autre question, mais une case à cocher ou un interrupteur c'est la même chose : c'est une machine logique à deux états vrai/faux, oui/non, tout de suite/plus tard, toujours/jamais...
Le fait que l'action sur l'interrupteur soit prise en compte à l'exécution ou seulement après un autre évènement, c'est la conception du système qui détermine cela, pas le bouton.
Que je coche la case "couper le son" et que cela se fasse tout de suite parce qu'il faut que je réponde au téléphone, ou bien que je coche la case "éteindre l'ordinateur à la fin de la gravure" et que cela soit pris en compte effectivement à la fin de la gravure, parce que je vais me coucher, c'est l'application qui veut ça, pas le widget.
En électricité, je peux mettre mes interrupteurs en parallèle (action immédiate pour chacun) ou en série (action dans un futur lointain pour le second), par exemple. Je n'ai pas deux types d'interrupteurs pour ces deux montages.
Je dénonçais le fait que le widget "interrupteur" n'était en fait qu'un doublon pour coder en dur une apparence différente, et bien je dénonce (grave :) le fait que le widget "interrupteur" ne soit en fait qu'un doublon pour coder en dur une gestion des évènements différentes et un schéma logique différent.
De plus, dans Gnome, la philosophie c'est d'avoir des actions actives et propagées dès l'action, de ne pas avoir un bouton "valider les préférences" mais "fermer les préférences", le doublon case/interrupteur est d'autant plus idiot pour Gnome qui veut simplifier l'IHM. Au final, même si l'effet est dans un avenir lointain, la configuration est prise en compte tout de suite.
Dans Gnome il y a des cases à cocher "ne pas demander de mot de passe à la sortie de veille", ou bien "mettre en veille à l'inactivité" ou bien "couper le son", etc. Les effets sont immédiats ou dans un avenir lointain, ou soumis à d'autres évènements ou non, ce sont dans tout les cas des cases à cocher, on peut toutes les remplacer par des interrupteurs, c'est la même chose.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Interrupteur
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Sortie officielle de GTK+ 3.0 !. Évalué à 10.
Nouveau widget "interrupteur" [...] alors qu'une case à cocher ben tout le monde connaît, c'est clair à première vue dans quel état elle est, bref... mais pourquoi ce truc ?
Ernest H
Sur une interface tactile, faire glisser un bouton est sans doute plus robuste que de juste cliquer. Si ce n'est utilisé que dans les interfaces mobiles, pourquoi pas.
En fait c'est là l'erreur, ce devrait être un thème, pas un widget de plus.
L'objet logique à deux états "vrai/faux", "on/off", "actif/inactif", "oui/non" existe déjà sous forme de case à cocher, ce widget est un doublon !
Faire apparaitre le widget "deux états" sous forme d'une case à cocher ou d'un interrupteur, c'est un problème de thème. Le fait qu'il réagisse à un clic ou à un geste, c'est aussi une question de thème.
Enfin, le mot thème ne convient plus, ce n'est plus l'apparence visuelle, mais l'idée est la même. Tout comme sous KDE on choisissait avant entre "look windows/mac/unix" avec des raccourcis claviers qui changeaient il me semble en plus de l'apparence, on pourrait choisir entre "environnement PC classique" ou "Gadget avec écran ridicule et pas de clavier ni de souris"
On peut imaginer un objet unique "choix binaire", avec un thème "ordinateur classique" qui affiche une "case à cocher" et qui réagit à l'évènement "clic", ou un thème "gadget" qui affiche un "interrupteur" et qui réagit à l'évènement "glisser".
C'est vrai que le doigt est plus gros qu'un pointeur de souris, et qu'à cliquer sur une case, tu ne sais pas quel est l'état en dessous de ton gros doigt.
De plus, avec des gestes, tu peux faire des évènements plus précis, l'un pour activer quoi qu'il arrive (monter par exemple), et l'autre pour désactiver, ce qui serait horripilant à la souris, on a déjà trois boutons et le double clic, faut pas en rajouter ! Mais ce n'est qu'une question de thème...
D'ailleurs ce serait une très bonne piste, de " thémer " les interactions : qu'avec une souris je puisse faire un double-clic pour ouvrir un fichier, mais quand je replie le pc en mode tablette, je puisse faire un simple toucher, et pas en changeant les options du pointeur, mais en changeant de thème (avec l'orientation de l'écran qui pourrait changer, des barre d'outils avec de plus grosses icônes, etc.) ...
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
# culpabilisation
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Neutralité d'internet, téléscopage. Évalué à 3.
Au début on a eu droit à « le téléchargement c'est mal »
Prenons l'exemple du film. Une fois que les gens ont oublié que ce qui était mal c'était de visionner le film sans payer sa place de ciné, mais que c'était le moyen (le téléchargement) qui était mal, alors ils se sont mit à regarder leur film en streaming en qualité pourrie. Puisque c'est le téléchargement qui est illégal, comme ce n'est pas du téléchargement (et encore, mais shut) ce n'est donc pas illégal.
S'est donc développé une mentalité « J'ai pas téléchargé ! J'ai pas fauté » qui ne se pose plus la question « est ce que j'avais le droit de voir le film ? ».
De même on avait eu droit au « le P2P c'est mal », ce qui fait qu'ajourd'hui les gens téléchargent en HTTP 1.1 et pensent être en bonne conscience « J'ai un MSOffice tipiaké, mais j'ai pas fauté, c'est pas sur zMule que je l'ai téléchargé »
Tout cela ce sont des formes de culpabilisation sur les moyens, mais là Eric Besson est vraiment malin. Plutôt que de culpabiliser sans fin, un à un, les moyens qui sont inventés (téléchargement direct, p2p, streaming) et donc d'avoir toujours un train de retard (il faut que le moyen prenne de l'ampleur pour pouvoir le stigmatier) Eric Besson veut culpabiliser l'outil qui permet tout ces moyens : Internet.
Et oui, utiliser Internet c'est mal. En fait, si vous échangez une archive de 2go de photos de vos dernières vacances sur dl.free.fr ou téléchargez les 52 CDs de la dernière Debian via bittorrent, même si le contenu est légal vous êtes coupable : vous faites du débit, et ça c'est mal. Si vous êtes un artiste indépendant, que vous n'êtes pas sociétaire SACEM, et que vous groupies vous téléchargent sur dogmazic, vous êtes coupable !
Par contre si vous regardez la vidéo de TF1 par internet, en HD, et que vous écoutez la musique d'Orange sur deezer, là vous pouvez avoir la conscience tranquile.
C'est juste une tentative comme une autre de culpabilisation de ne pas regarder TF1, de ne pas passer par la SACEM, etc. Bref, être coupable de ne pas être une vache à lait et de se savoir se débrouiller tout seul.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Clé USB vu comme lecteur CD
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Virus autorun sous Linux par l'exemple. Évalué à 3.
(enfin j'espère…)
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Clé USB vu comme lecteur CD
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Virus autorun sous Linux par l'exemple. Évalué à 2.
C'est intéressant, on lit sur la page wikipedia qu'il existe un « utilitaire […], u3-tool . Ce logiciel libre permet de manipuler le CD virtuel (en le supprimant ou en le réecrivant). »,
ce qui signifie qu'il est tout à fait possible pour un virus de modifier une clé U3-capable pour la rendre visible comme un CD, et donc de réactiver l'autorun. (ok ce n'est qu'un sous ensemble des clé USB, mais c'est faisable).
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
# Clé USB vu comme lecteur CD
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Virus autorun sous Linux par l'exemple. Évalué à 2.
De fait j'ai déjà vu des cochonceté de clé USB qui apparaissent en plusieurs volumes, au moins un vu comme un disque pour les données, et un autre vu comme un CD et bardé d'un autorun et de crapwares infects, et l'insertion de ce genre de clé dans une bécane sous windows provoque l'exécution de code arbitraire et la modification du windows installé. Ce comportement est prévu par le constructeur de la clé USB ! beurk, à fuir.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Question
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche WebODF et Sylpheed. Évalué à 2.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: ouin
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Virus autorun sous Linux par l'exemple. Évalué à 2.
ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes