Il me semble bien me souvenir que quand ce truc est arrivé sur mon téléphone à l'occasion d'une mise à jour de l'OS, j'ai reçu une notification me demandant si je voulais l'activer. Je ne me souviens pas des détails, mais j'ai refusé.
Aujourd'hui si je veux l'activer, l'OS me dit qu'il faut d'abord installer une appli compatible.
Entre deux risques :
le risque que l'administration US accède aux données personnelles des élèves.
le risque que les données fuitent dans la nature parce qu'elles ont été hébergées en interne, ou chez un hébergeur sous-traitant qui ne respecte pas le RGS de l'Ansii, puis piratées.
Il y a 2 hypothèses implicites dans cette alternative qui sont très critiquables :
1/ supposer que ces « 2 risques » sont différents. Pour moi le 2e recouvre le premier : si l'administration US accède aux données personnelles des élèves, alors ces données sont dans la nature et elles ont été piratées. Croire qu'elles ne seront pas revendues par un service étatique est de l'aveuglement volontaire.
2/ supposer que les gros hébergeurs US comme Amazon, Google ou Microsoft sont automatiquement fiables, qu'ils ne laisseront pas fuiter des données et qu'ils ne seront pas piratés.
En fait le problème c'est qu'on n'a jamais viré quelqu'un pour avoir acheté du Microsoft, et donc le décideur prend moins de risque pour lui-même en sous-traitant à Microsoft qu'en mettant en place un service interne.
Calc a tout ce qu'il faut pour le faire, il suffit d'utiliser la fonction SOMME.SI() avec un critère sur la date. Cela permet de construire une table réduite avec, pour chaque jour, la somme des données de tous les départements.
Pour le jeu de données sur les tests, on peut tracer directement le graphique si on a auparavant filtré sur la classe d'âge en ne gardant que la classe 0.
Sur ce graphique, si on ajoute une courbe de tendance polynomiale (j'ai pris degré 3) à la série des tests positifs, on voit bien une tendance à la hausse des contaminations depuis la mi juin.
Pas forcément. À quoi bon faire autant de tests dans une région où le virus est peu présent et dans une région où il l'est beaucoup plus ?
Je dirais plutôt que plus le pays est grand, plus la répartition du virus a des chances d'être hétérogène et moins il est pertinent de tester de façon uniforme.
Ce que tu omets de dire c'est que l'Irlande a 13 fois moins d'habitants que la France. Avec tes chiffres l'Irlande fait environ 7300 tests par jour et la France environ 51000. Il faut se méfier des linéarisations arbitraires ou du moins non justifiées. Il serait plus pertinent de comparer le nombre de tests quotidiens de l'Irlande avec ceux d'une région française de population équivalente.
Merci. Je ne peux ouvrir que le capuchon ; pour ouvrir plus il faut casser la coque, ce qui rendrait la clé de fait inadaptée à mon usage (plus de capuchon ni d'anneau).
Merci, tu me rassures. Je connaissais déjà le lavage à grande eau des claviers (c'est un des trucs les plus crades que je connaisse) mais je ne savais pas que c'est une pratique courante pour les circuits électroniques.
C'était un programme « couleur » donc probablement pas d'agent blanchissant. En plus avec le capuchon fermé, j'ai l'impression que bien peu d'eau a pu entrer.
Cette clé n'a rien de précieux, ce n'est qu'un de mes supports de sauvegarde, j'ai donc tout son contenu sur au moins 2 autres supports. Le seul truc qui m’ennuierait si elle ne fonctionnait plus c'est que jusqu'à présent c'est la clé la meilleure que j'ai eu. Malheureusement elle ne se fait plus. :-(
Oh, moi je n'ai pas dit que je voulais quelque chose. J'ai juste affirmé au contraire de ceux qui confondent la théorie et la pratique, que l'anonymat en ligne existe bel et bien en pratique. C'est à dire que quelqu'un qui veut intervenir dans un débat en ligne en cachant son identité réelle, peut facilement le faire avec un risque quasi nul que son identité soit révélée.
J'ai ensuite affirmé que cet état de fait a des effets pervers sur la qualité des échanges. Et je n'ai rien dit sur les possibles effets pervers d'empêcher cet état de fait.
Après on me répond à coups de procès d'intention, en balançant des distinctions vaines entre anonymat et pseudonymat, et en disant que la justice a tout ce qu'il faut pour lever l'anonymat/pseudonymat d'un internaute. Autrement dit mes contradicteurs considèrent qu'à partir du moment où une action est possible, elle est effectivement réalisée… Ce qui est bien évidemment faux, tout un chacun peut le constater, surtout quand ça concerne la justice.
Comparaison foireuse : un bar c'est limité à quelques personnes alors qu'une discussion sur un forum ou un réseau social peut toucher des millions de gens. Il y a une différence d'échelle qui change la nature des échanges.
Censure ? Quelle censure ? En quoi l'interdiction de l'anonymat sur les réseaux sociaux ou sur les forums de discussion serait un acte de censure ? Cela n'ajoute rien aux limitations actuelles de la liberté d'expression.
Après, évidemment, cela pousserait à plus d'auto-censure de la part des intervenants. Et alors ? L'auto-censure est quand même une des nécessités de base de la vie en société, qui rend les rapports humains possibles. Heureusement que tous les gens qui ont un minimum de savoir-vivre se retiennent de dire tout ce qu'ils pensent des autres personnes, sinon l'humanité aurait disparu depuis longtemps.
Enfin cela n'empêcherait personne de publier des informations ou des idées de façon anonyme. Que ce soit le Comité Invisible ou Chelsea Manning, ils n'ont pas utilisé les réseaux sociaux ni les espaces de discussion de journaux pour faire savoir ce qu'ils voulaient faire savoir.
C'est toi qui parle de faire taire. Moi je soutiens juste que quand quelqu'un me parle, je préfère savoir de qui il s'agit et que cela permet des échanges de meilleure qualité. Quand quelqu'un affirme quelque chose que je n'ai pas les moyens de vérifier, il m'est beaucoup plus difficile de croire quelqu'un d'anonyme que de croire quelqu'un que je connais déjà (au sens où je peux relier ce qu'il vient d'écrire à d'autres écrits précédent de la même personne).
Oh que non, ce n'est pas la même chose justement puisqu'on peut retrouver la personne.
Ce que je soutiens c'est que le fait qu'on puisse retrouver la personne n'a, la plupart du temps aucune importance. Tant que les trolls, les manipulateurs ne dépassent pas la ligne rouge du délit, ils vont rester anonymes et pourront continuer tranquillement leur travail de sape du débat démocratique.
Et quelle est la différence pour l'internaute ? Quand je vois un pseudonyme je ne vois pas le nom réel de la personne et je suis bien incapable de le trouver, donc pour moi il est anonyme. Tout le reste n'est que tétrapilectomie.
Ce n'est pas parce que la justice, si elle le veut bien, peut lever l'anonymat d'un internaute que cet anonymat n'existe pas. Tant que l'anonymat d'un internaute n'est pas levé, cet internaute reste anonyme.
Quand je lis la discussion qui suit un article d'un journal ou de revue en ligne, je ne vois que des contributions anonymes. Je suis convaincu que bien des discussions gagneraient en qualité si le nom réel des contributeurs apparaissait. Je vois bien qu'il y a des réelles difficultés techniques pour réaliser ça, mais est-ce une raison pour laisser les pleins pouvoirs aux trolls et aux manipulateurs ?
Je l'enregistre en odt, le modifie avec LibreOffice et le renvoie en docx. Si l'import par LibreOffice semble mal se passer, je lui demande un pdf pour pouvoir comparer ce que lui voit avec sa version de MS-Word et ce que moi je vois avec LibreOffice. Si ça se passe vraiment mal avec LibreOffice, j'essaye avec OnlyOffice, mais dans la plupart des cas où ça m'est arrivé, il n'a pas fait mieux que LibreOffice. Dans ce cas je me fais un modèle propre en OpenDocument qui reproduit l'apparence du pdf, je fais mon doc avec puis j'exporte en OOXML. Si renvoie le OOXML et, si je peux me le permettre, je lui dis que son document est mal foutu et que j'ai fait comme j'ai pu et que c'est comme ça, point.
Et au besoin je passe mon modèle OpenDocument aux autres collègues qui travaillent encore sous MS-Windows et qui doivent compléter le même document, pour leur permettre de le faire avec LibreOffice au lieu de s'arracher les cheveux sur le docx d'origine avec une version de MS-Word différente de celle utilisée pour le réaliser.
[^] # Re: plus de détails chez nextimpact.com
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Encrochat : les autorités infiltrent un réseau de téléphones chiffrés. Évalué à 3.
L'article est passé en libre accès.
# « … sans que j'en aie été mis au courant! ». Vraiment ?
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au journal Un service de notification COVID19 a été installée sur mon téléphone Android.... Évalué à 3.
Il me semble bien me souvenir que quand ce truc est arrivé sur mon téléphone à l'occasion d'une mise à jour de l'OS, j'ai reçu une notification me demandant si je voulais l'activer. Je ne me souviens pas des détails, mais j'ai refusé.
Aujourd'hui si je veux l'activer, l'OS me dit qu'il faut d'abord installer une appli compatible.
[^] # Re: Intérêt
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Tout comprendre au projet de loi bioéthique (podcast France Inter, 23 min). Évalué à 8.
Parce qu'il n'a aucun rapport ni avec Linux ni avec les logiciels libres ?
[^] # Re: Pas du tout, en effet.
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au message Invalidation du privacy shield. Évalué à 3.
Il y a 2 hypothèses implicites dans cette alternative qui sont très critiquables :
1/ supposer que ces « 2 risques » sont différents. Pour moi le 2e recouvre le premier : si l'administration US accède aux données personnelles des élèves, alors ces données sont dans la nature et elles ont été piratées. Croire qu'elles ne seront pas revendues par un service étatique est de l'aveuglement volontaire.
2/ supposer que les gros hébergeurs US comme Amazon, Google ou Microsoft sont automatiquement fiables, qu'ils ne laisseront pas fuiter des données et qu'ils ne seront pas piratés.
En fait le problème c'est qu'on n'a jamais viré quelqu'un pour avoir acheté du Microsoft, et donc le décideur prend moins de risque pour lui-même en sous-traitant à Microsoft qu'en mettant en place un service interne.
# ni code ni base de données
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au journal Covid-19 : bon, mais alors ? Ça repart ou pas ?. Évalué à 6.
Calc a tout ce qu'il faut pour le faire, il suffit d'utiliser la fonction SOMME.SI() avec un critère sur la date. Cela permet de construire une table réduite avec, pour chaque jour, la somme des données de tous les départements.
Pour le jeu de données sur les tests, on peut tracer directement le graphique si on a auparavant filtré sur la classe d'âge en ne gardant que la classe 0.
Sur ce graphique, si on ajoute une courbe de tendance polynomiale (j'ai pris degré 3) à la série des tests positifs, on voit bien une tendance à la hausse des contaminations depuis la mi juin.
[^] # Re: Tests
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien le succès de l'appli irlandaise de distanciation pour le Covid. Évalué à 2.
Pas forcément. À quoi bon faire autant de tests dans une région où le virus est peu présent et dans une région où il l'est beaucoup plus ?
Je dirais plutôt que plus le pays est grand, plus la répartition du virus a des chances d'être hétérogène et moins il est pertinent de tester de façon uniforme.
[^] # Re: Tests
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien le succès de l'appli irlandaise de distanciation pour le Covid. Évalué à 0.
Ce que tu omets de dire c'est que l'Irlande a 13 fois moins d'habitants que la France. Avec tes chiffres l'Irlande fait environ 7300 tests par jour et la France environ 51000. Il faut se méfier des linéarisations arbitraires ou du moins non justifiées. Il serait plus pertinent de comparer le nombre de tests quotidiens de l'Irlande avec ceux d'une région française de population équivalente.
[^] # Re: relax
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au message clé USB et lave-linge. Évalué à 8.
Il a conjecturé que c'est mon épouse qui a fait la lessive en question.
Il a juste utilisé ingénument une figure de style qui en fait sert à camoufler l'oppression patriarcale sous une allure romantique.
[^] # Re: Pas forcément d'inquiétude
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au message clé USB et lave-linge. Évalué à 4.
Merci. Je ne peux ouvrir que le capuchon ; pour ouvrir plus il faut casser la coque, ce qui rendrait la clé de fait inadaptée à mon usage (plus de capuchon ni d'anneau).
[^] # Re: Oxydation
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au message clé USB et lave-linge. Évalué à 2.
Ça n'en vaut pas la peine. Je vais me contenter de la conserver telle quelle tant qu'elle fonctionne.
[^] # Re: relax
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au message clé USB et lave-linge. Évalué à 2.
Merci, tu me rassures. Je connaissais déjà le lavage à grande eau des claviers (c'est un des trucs les plus crades que je connaisse) mais je ne savais pas que c'est une pratique courante pour les circuits électroniques.
[^] # Re: relax
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au message clé USB et lave-linge. Évalué à 3.
C'était un programme « couleur » donc probablement pas d'agent blanchissant. En plus avec le capuchon fermé, j'ai l'impression que bien peu d'eau a pu entrer.
Cette clé n'a rien de précieux, ce n'est qu'un de mes supports de sauvegarde, j'ai donc tout son contenu sur au moins 2 autres supports. Le seul truc qui m’ennuierait si elle ne fonctionnait plus c'est que jusqu'à présent c'est la clé la meilleure que j'ai eu. Malheureusement elle ne se fait plus. :-(
[^] # Re: débat public
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Company that contributes majority of LibreOffice code complains ecosystem is 'beyond utterly broken'. Évalué à 2.
L'introduction de la mention «Personal Edition» ou d'une mention analogue a été repoussée à plus tard : https://blog.documentfoundation.org/blog/2020/07/20/update-on-marketing-and-communication-plans-for-the-libreoffice-7-x-series/
[^] # Re: Bien sûr que si l'anonymat en ligne existe
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Il est temps d’arrêter de nous bassiner avec l’anonymat en ligne. Évalué à 3.
Oh, moi je n'ai pas dit que je voulais quelque chose. J'ai juste affirmé au contraire de ceux qui confondent la théorie et la pratique, que l'anonymat en ligne existe bel et bien en pratique. C'est à dire que quelqu'un qui veut intervenir dans un débat en ligne en cachant son identité réelle, peut facilement le faire avec un risque quasi nul que son identité soit révélée.
J'ai ensuite affirmé que cet état de fait a des effets pervers sur la qualité des échanges. Et je n'ai rien dit sur les possibles effets pervers d'empêcher cet état de fait.
Après on me répond à coups de procès d'intention, en balançant des distinctions vaines entre anonymat et pseudonymat, et en disant que la justice a tout ce qu'il faut pour lever l'anonymat/pseudonymat d'un internaute. Autrement dit mes contradicteurs considèrent qu'à partir du moment où une action est possible, elle est effectivement réalisée… Ce qui est bien évidemment faux, tout un chacun peut le constater, surtout quand ça concerne la justice.
[^] # Re: Bien sûr que si l'anonymat en ligne existe
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Il est temps d’arrêter de nous bassiner avec l’anonymat en ligne. Évalué à 2.
Comparaison foireuse : un bar c'est limité à quelques personnes alors qu'une discussion sur un forum ou un réseau social peut toucher des millions de gens. Il y a une différence d'échelle qui change la nature des échanges.
[^] # Re: Bien sûr que si l'anonymat en ligne existe
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Il est temps d’arrêter de nous bassiner avec l’anonymat en ligne. Évalué à 0.
Censure ? Quelle censure ? En quoi l'interdiction de l'anonymat sur les réseaux sociaux ou sur les forums de discussion serait un acte de censure ? Cela n'ajoute rien aux limitations actuelles de la liberté d'expression.
Après, évidemment, cela pousserait à plus d'auto-censure de la part des intervenants. Et alors ? L'auto-censure est quand même une des nécessités de base de la vie en société, qui rend les rapports humains possibles. Heureusement que tous les gens qui ont un minimum de savoir-vivre se retiennent de dire tout ce qu'ils pensent des autres personnes, sinon l'humanité aurait disparu depuis longtemps.
Enfin cela n'empêcherait personne de publier des informations ou des idées de façon anonyme. Que ce soit le Comité Invisible ou Chelsea Manning, ils n'ont pas utilisé les réseaux sociaux ni les espaces de discussion de journaux pour faire savoir ce qu'ils voulaient faire savoir.
[^] # Re: Bien sûr que si l'anonymat en ligne existe
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Il est temps d’arrêter de nous bassiner avec l’anonymat en ligne. Évalué à -2.
C'est qui « les anonymes » ? On naît comme ça ou bien on le devient ? Ils ont une association représentative ?
[^] # Re: Bien sûr que si l'anonymat en ligne existe
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Il est temps d’arrêter de nous bassiner avec l’anonymat en ligne. Évalué à 4.
Le vote n'est pas anonyme, il est secret. La liste d'émargement est publique.
[^] # Re: Bien sûr que si l'anonymat en ligne existe
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Il est temps d’arrêter de nous bassiner avec l’anonymat en ligne. Évalué à -2.
Bravo ! Tu as beaucoup d'imagination. Attention quand même, la frontière avec le délire n'est pas toujours facile à distinguer.
[^] # Re: Bien sûr que si l'anonymat en ligne existe
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Il est temps d’arrêter de nous bassiner avec l’anonymat en ligne. Évalué à -2.
C'est toi qui parle de faire taire. Moi je soutiens juste que quand quelqu'un me parle, je préfère savoir de qui il s'agit et que cela permet des échanges de meilleure qualité. Quand quelqu'un affirme quelque chose que je n'ai pas les moyens de vérifier, il m'est beaucoup plus difficile de croire quelqu'un d'anonyme que de croire quelqu'un que je connais déjà (au sens où je peux relier ce qu'il vient d'écrire à d'autres écrits précédent de la même personne).
[^] # Re: Bien sûr que si l'anonymat en ligne existe
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Il est temps d’arrêter de nous bassiner avec l’anonymat en ligne. Évalué à 1.
Ce que je soutiens c'est que le fait qu'on puisse retrouver la personne n'a, la plupart du temps aucune importance. Tant que les trolls, les manipulateurs ne dépassent pas la ligne rouge du délit, ils vont rester anonymes et pourront continuer tranquillement leur travail de sape du débat démocratique.
[^] # Re: Bien sûr que si l'anonymat en ligne existe
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Il est temps d’arrêter de nous bassiner avec l’anonymat en ligne. Évalué à -8.
Et quelle est la différence pour l'internaute ? Quand je vois un pseudonyme je ne vois pas le nom réel de la personne et je suis bien incapable de le trouver, donc pour moi il est anonyme. Tout le reste n'est que tétrapilectomie.
# Bien sûr que si l'anonymat en ligne existe
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Il est temps d’arrêter de nous bassiner avec l’anonymat en ligne. Évalué à -6.
Ce n'est pas parce que la justice, si elle le veut bien, peut lever l'anonymat d'un internaute que cet anonymat n'existe pas. Tant que l'anonymat d'un internaute n'est pas levé, cet internaute reste anonyme.
Quand je lis la discussion qui suit un article d'un journal ou de revue en ligne, je ne vois que des contributions anonymes. Je suis convaincu que bien des discussions gagneraient en qualité si le nom réel des contributeurs apparaissait. Je vois bien qu'il y a des réelles difficultés techniques pour réaliser ça, mais est-ce une raison pour laisser les pleins pouvoirs aux trolls et aux manipulateurs ?
# débat public
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse au lien Company that contributes majority of LibreOffice code complains ecosystem is 'beyond utterly broken'. Évalué à 5.
Les discussions sur ce sujet chez TDF sont publiques, vous pouvez consulter les échanges sur la liste de discussion du board :
Interface Nabble : http://document-foundation-mail-archive.969070.n3.nabble.com/Board-Discuss-f1783306.html
Archive : https://listarchives.documentfoundation.org/www/board-discuss/
Il y a aussi ce rapport de bug à propos de la mention « Personal Edition » qui a fait son apparition sur la RC1 de LibreOffice 7.0 à paraître début août : https://bugs.documentfoundation.org/show_bug.cgi?id=134486
C'est cette mention « Personal Edition » qui a déclenché le débat. Nextinpact a publié une brève à ce sujet : https://www.nextinpact.com/brief/libreoffice-7-0---une-release-candidate-et-une-confusion-nee-d-une-edition-personnelle-13015.htm
[^] # Re: Une catastrophe pour l'interopérabilité
Posté par Jean-Baptiste Faure . En réponse à la dépêche Dixième anniversaire d’ONLYOFFICE et nos actualités : nouveaux connecteurs, version 5.5.3. Évalué à 6.
Je l'enregistre en odt, le modifie avec LibreOffice et le renvoie en docx. Si l'import par LibreOffice semble mal se passer, je lui demande un pdf pour pouvoir comparer ce que lui voit avec sa version de MS-Word et ce que moi je vois avec LibreOffice. Si ça se passe vraiment mal avec LibreOffice, j'essaye avec OnlyOffice, mais dans la plupart des cas où ça m'est arrivé, il n'a pas fait mieux que LibreOffice. Dans ce cas je me fais un modèle propre en OpenDocument qui reproduit l'apparence du pdf, je fais mon doc avec puis j'exporte en OOXML. Si renvoie le OOXML et, si je peux me le permettre, je lui dis que son document est mal foutu et que j'ai fait comme j'ai pu et que c'est comme ça, point.
Et au besoin je passe mon modèle OpenDocument aux autres collègues qui travaillent encore sous MS-Windows et qui doivent compléter le même document, pour leur permettre de le faire avec LibreOffice au lieu de s'arracher les cheveux sur le docx d'origine avec une version de MS-Word différente de celle utilisée pour le réaliser.