Pour retisser un lien avec des thèmes qui, peu ou prou, nous rassemblent sur ce site et, en particulier, celui des libertés numériques, on pourrait paraphraser Shoshana Zuboff, prof émérite à la Harvard Business School, exploratrice méthodique d'un avatar moderne, l'industrie numérique1 : le capitalisme, c'est comme la saucisse. Cru, c'est imbouffable. Pour pouvoir être consommé, il faut que ce soit cuit dans les institutions et les règlementations d'une société démocratique. En gros.
L'âge du capitalisme de surveillance, Zulma, 2020, pour la traduction française. Pour un aperçu, voir par exemple son article de 2019 dans le Diplo. ↩
Désolé de casser l'ambiance Bisounours en voyant le mal partout :-D.
Une erreur de raisonnement évitable se cache dans ton propos : honnêtement ou non, tu fais comme si cette dame préférait ne rien faire plutôt que de faire le bien en étant utilisée passant par ces bienfaiteurs notoires de chez Amazon®. Le problème, c'est que tu ne sais rien (ou alors tu le caches) de ce que cette dame peut faire par ailleurs pour des assos ou autres œuvres. Ton jugement hautain ne vaut donc, comme on dit, pas tripette.
Désolé de casser l'ambiance donneur de leçons en voyant la mauvaise foi partout :-D.
le français pourri qu'on avait un peu oublié car plus vraiment à la mode même (
Mode ?
J'ai eu un prof de français, agrégé de lettres classiques, qui, il y a plus de quarante ans, utilisait « autrice » pour parler de George Sand. Déjà, il y avait des pénibles pour s'indigner, mais ils avaient l'excuse de l'adolescence.
Comment pourrait-il être crédible que tu prétendes défendre le « français » ? Quand on connaît le… style inimitable de ton expression ici, c'est presque comique.
Ce sont donc des motivations d'une autre nature qui t'amènent à fustiger la prétendue corruption infligée par l'écriture inclusive à une langue pour laquelle ton respect est tout sauf manifeste.
S'offusquer qu'on parle d'elle plus que d'autres citoyens est une posture
Ton argument est une tautologie de la plus belle eau, puisqu'il ne justifie l'importance que l'on accorde à la parole de cette dame que par le fait que, euh, sa parole, quand même, a de l'« impact ». Du grand art.
D'ailleurs, sérieux, c'est pas pour la flatter, je la connais même pas, mais force m'est d'avouer, sur pas mal de sujets, la parole d'Ysabeau a plus d'impact sur moi que celle de Mme Macron.
En attendant : [David Elbaz] L’histoire de l’univers racontée par la lumière
Bien sûr, que les tortues parlent ! En guise de remerciement, je te recommande la leçon inaugurale d'Esther Duflo, titulaire de la chaire Pauvreté et politiques publiques du collège de France, que j'écoutai juste avant Elbaz, l'insomnie a du bon (le lien précis passe par le site d'un gafam, aussi me pardonnera-t-on de ne pas l'écrire ici).
C'est tout notre rapport au vivant et a la nature qui est à revoir. Le problème climatique n'est que le sommet de l'iceberg, le plus terrible et le plus effrayant n'est pas forcément ce qui est le plus visible.
Je souscris sans réserve à la fois au constat et à la manière de l'exprimer (même si, par exemple en suivant Philippe Descola, le concept même de nature semble devoir être discuté dans cette perspective).
si on parle de saccage ou de bousillage, ou de sabotage, c'est porter un jugement de valeur sur le phénomène en plus de l'attribuer, c'est dire que c'est mal voire même, volontairement mal.
Ce serait sans doute céder à la facilité de rappeler que, comme disait l'autre, mal nommer les choses ajoute au malheur du monde. Mais oui : il semble difficilement contestable que des personnes, morales ou physiques, sciemment, saccagent l'avenir, depuis des décennies, en s'opposant volontairement, méthodiquement --- et, de fait, efficacement --- à la diffusion du savoir et, partant, à l'adoption de politiques d'intérêt général. Méthodiquement, en fabriquant de l'ignorance, du « déni », elles ont fait en sorte de brouiller, de diluer les responsabilités, jusqu'en chacun·e de nous. D'accord avec toi : il ne s'agit pas d'asséner un « discours culpabilisateur » (à qui, au juste ?), mais on peut pointer simplement que les mécanismes sociaux, économiques et politiques qui pavent la voie vers ce saccage sont encore à l'œuvre aujourd'hui : préférer « dérive » pour étiquette n'est peut-être pas si… neutre.
Merci pour cet argumentaire nuancé et circonstancié (comme d'hab ?).
La substitution de « dérèglement » à « réchauffement » vise sans doute, au moins en partie, à dénoter que ce n'est pas quelque chose que l'on subit --- comme un phénomène cosmique --- mais quelque chose que l'on provoque : c'est le forçage anthropique que tu évoques, c'est le coté actif de la chose (que « dérive » ne parvient pas à rendre).
De ce point de vue, parler de « bousillage climatique » ou de « saccage climatique » serait à la fois plus fidèle et plus parlant, mais ferait-ce une étiquette convenable ?
aujourd'hui, pour travailler à faire des trucs pénibles, nuisibles et illicites à longueur de journée, il faut le vouloir.
Beaucoup de condescendance, peu de clairvoyance.
Bon nombre de ces emplois sont à Rabat ou Fianarantsoa, et s'inscrivent dans une réalité sociale qui n'a pas grand chose à voir avec celle que tu décris, du haut de ton point de vue surplombant.
On pourrait presque croire que piéger ces gens te procure du plaisir (ou peut-être t'es-tu donné une… mission ?), alors que ces personnes à qui tu parles n'y sont que pour très peu dans la décision de t'appeler. Las, loin du but affiché, l'efficacité réelle de ces efforts manifestes se rapproche, selon toute probabilité, de celles d'opérations policières consistant à harceler des getteurs ou petites mains de trafics illicites : si ça fonctionnait, ça se saurait.
Oui, au delà du CNRS, l'initiative concerne l'ensemble des acteurs de la recherche publique, représentés dans le comité pour la science ouverte (CoSO).
Ce dernier a publié en juillet dernier un guide, passé un peu inaperçu dans la touffeur de l'été, à destination des chercheurs et chercheuses.
La stratégie prônée consiste à ne pas céder ses droits aux éditeurs de revues scientifiques (au travers d'un copyright transfer agreement, comme le voulait la pratique auparavant). Il s'agit, dès la première soumission du manuscrit à la revue, de préciser clairement qu'une licence CC-BY est apposée à la version soumise, et le sera aussi à toutes les versions qui suivront, au fur et à mesure des discussions avec les relecteurs mandatés par la revue.
En conséquence, le dépôt d'un article dans une archive ouverte (p. ex. HAL), est toujours possible, soit avant la publication en tant que… prépublication, soit en tant que manuscrit accepté, et ce dès la date de publication, sans période d'embargo imposée par l'éditeur, période que la loi pour une république numérique de 2016 avait déjà limité à 6 mois (12 dans les sciences humaines et sociales).
S'il est besoin de s'en convaincre, il suffit de se chronométrer et de comparer le temps de lecture (silencieuse) d'un texte et la lecture à haute voix. (Tu en conviens d'ailleurs toi même à demi-mots à la fin de ton message, en comparant message enregistré et SMS.)
Ici, LibreOffice 7.4.1.2 (backporté sur une debian stable) me propose bien une identité OpenPGP à utiliser quand je clique sur « Signer le document… » (et ce, bien qu'il soit « Impossible de trouver un gestionnaire de certificat », je n'ai pas de frontal graphique pour gpg). La signature semble effective et fonctionnelle (elle resiste à un redémarrage de LibreOffice). Peut-être allait-ce sans dire, mais ça n'est vrai que si le document est bien un .odt et pas euh, je sais pas, un .docx, par exemple. En revanche, l'affichage du « certificat » est rudimentaire (pas d'accès à l'empreinte de clé).
Javais un faible pour rsnapshot qui revient souvent dans les tutos youtube et dans vos commentaires mais apparemment il est sorti des sources officielles de la derniere debian
À toutes fins utiles, rsnapshot est dans les dépôts debian/bullseye-backports.
En fait, ce que ce problème illustre, c'est plus les dysfonctionnements profonds de la démocratie US que des problèmes techniques de communication des données
Il ne s'agit pas de problèmes techniques.
Aucune contrainte technique n'impose à un réseau social ou à un moteur de recherche de pister le moindre de tes faits et gestes en ligne, ni de se livrer, à l'échelle globale, à une moisson de données comportementales qui constitue le cœur de son activité industrielle et commerciale. C'est un choix stratégique, c'est le modèle économique de ces industries, et il en a fait les premières capitalisations boursières mondiales. Parler de « problèmes techniques », c'est reprendre leur publicité.
[^] # Re: Les bibliothèques brûlent
Posté par symp . En réponse au lien Tirs mortels après refus d’obtempérer : 1 mort en dix ans en Allemagne, 1 mort chaque mois en France. Évalué à 10.
Honteux.
[^] # Re: Moinssage attendu => Y'a qu'à demander
Posté par symp . En réponse au lien Appel de scientifiques contre un nouveau programme nucléaire (moinssage attendu). Évalué à 2.
Amen.
# Bac dord
Posté par symp . En réponse au lien Affaire du 8 décembre : le chiffrement des communications assimilé à un comportement terroriste. Évalué à 4.
Rg yr ebg13, p'rfg har pbageniragvba bh ha qéyvg ?
# Capitalisme = saucisse
Posté par symp . En réponse au journal Le capitalisme : un système en tort ?. Évalué à 2.
Pour retisser un lien avec des thèmes qui, peu ou prou, nous rassemblent sur ce site et, en particulier, celui des libertés numériques, on pourrait paraphraser Shoshana Zuboff, prof émérite à la Harvard Business School, exploratrice méthodique d'un avatar moderne, l'industrie numérique1 : le capitalisme, c'est comme la saucisse. Cru, c'est imbouffable. Pour pouvoir être consommé, il faut que ce soit cuit dans les institutions et les règlementations d'une société démocratique. En gros.
L'âge du capitalisme de surveillance, Zulma, 2020, pour la traduction française. Pour un aperçu, voir par exemple son article de 2019 dans le Diplo. ↩
[^] # Re: RSS
Posté par symp . En réponse au lien Politique de l’absurde : Le numérique et l’accès aux droits sociaux. Évalué à 4.
Dans le pied de page, il y a un lien nommé Fil RSS qui semble pourtant bel et bien fonctionnel.
[^] # Re: Encore un autre
Posté par symp . En réponse à la dépêche Loco.sh - programmez votre terminal comme un pro. Évalué à 3.
[^] # Re: Le résumé
Posté par symp . En réponse au lien Blanche Gardin dans « LOL : qui rit, sort » ? L’actrice explique pourquoi ça n’arrivera pas. Évalué à 10.
Une erreur de raisonnement évitable se cache dans ton propos : honnêtement ou non, tu fais comme si cette dame préférait ne rien faire plutôt que de faire le bien en
étant utiliséepassant parces bienfaiteurs notoires de chezAmazon®. Le problème, c'est que tu ne sais rien (ou alors tu le caches) de ce que cette dame peut faire par ailleurs pour des assos ou autres œuvres. Ton jugement hautain ne vaut donc, comme on dit, pas tripette.Désolé de casser l'ambiance donneur de leçons en voyant la mauvaise foi partout :-D.
# Impasse
Posté par symp . En réponse au lien Le desktop sans Linux. Évalué à 0.
Ça ne marchera jamais.
Les Michu® ne sont pas prêt·e·s.
[^] # Re: Je suis inquiet, moi aussi
Posté par symp . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à 10.
Enfin !
Ha, d'accord. Cette hauteur-là.
[^] # Re: Je suis inquiet, moi aussi
Posté par symp . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à 1.
Et d'utilisatrices ? Ou pas ?
[^] # Re: À savoir le tien
Posté par symp . En réponse au journal [HS] Adopte une dépêche !. Évalué à -2.
Mode ?
J'ai eu un prof de français, agrégé de lettres classiques, qui, il y a plus de quarante ans, utilisait « autrice » pour parler de George Sand. Déjà, il y avait des pénibles pour s'indigner, mais ils avaient l'excuse de l'adolescence.
[^] # Re: À savoir le tien
Posté par symp . En réponse au journal [HS] Adopte une dépêche !. Évalué à 1.
Tartufferie.
Comment pourrait-il être crédible que tu prétendes défendre le « français » ? Quand on connaît le… style inimitable de ton expression ici, c'est presque comique.
Ce sont donc des motivations d'une autre nature qui t'amènent à fustiger la prétendue corruption infligée par l'écriture inclusive à une langue pour laquelle ton respect est tout sauf manifeste.
Lesquelles ?
[^] # Re: Merci d'écrire en français
Posté par symp . En réponse au journal Recherche auteurice d'adoption. Évalué à 10.
Dès le premier mot, une faute ! Record imbattable.
[^] # Re: 1ère dame de France et démocratie
Posté par symp . En réponse au lien Empêcher les parents de publier trop de photos de leurs enfants sur les réseaux sociaux. Évalué à 3.
Ton argument est une tautologie de la plus belle eau, puisqu'il ne justifie l'importance que l'on accorde à la parole de cette dame que par le fait que, euh, sa parole, quand même, a de l'« impact ». Du grand art.
D'ailleurs, sérieux, c'est pas pour la flatter, je la connais même pas, mais force m'est d'avouer, sur pas mal de sujets, la parole d'Ysabeau a plus d'impact sur moi que celle de Mme Macron.
C'est dingue, ça, au fond, quand on y pense.
[^] # Re: moi j'aime pas l'argent liquide
Posté par symp . En réponse au lien Le Mouvement de liberté suisse demande à sanctuariser l’argent liquide - letemps.ch. Évalué à 8.
Ça se discute.
[^] # Re: Message pour la modération: étiquettes
Posté par symp . En réponse au lien L'assureur MAIF consacre 10% de ses bénéfices à la planète. Évalué à 4. Dernière modification le 08 janvier 2023 à 09:12.
Bien sûr, que les tortues parlent ! En guise de remerciement, je te recommande la leçon inaugurale d'Esther Duflo, titulaire de la chaire Pauvreté et politiques publiques du collège de France, que j'écoutai juste avant Elbaz, l'insomnie a du bon (le lien précis passe par le site d'un gafam, aussi me pardonnera-t-on de ne pas l'écrire ici).
Je souscris sans réserve à la fois au constat et à la manière de l'exprimer (même si, par exemple en suivant Philippe Descola, le concept même de nature semble devoir être discuté dans cette perspective).
Ce serait sans doute céder à la facilité de rappeler que, comme disait l'autre, mal nommer les choses ajoute au malheur du monde. Mais oui : il semble difficilement contestable que des personnes, morales ou physiques, sciemment, saccagent l'avenir, depuis des décennies, en s'opposant volontairement, méthodiquement --- et, de fait, efficacement --- à la diffusion du savoir et, partant, à l'adoption de politiques d'intérêt général. Méthodiquement, en fabriquant de l'ignorance, du « déni », elles ont fait en sorte de brouiller, de diluer les responsabilités, jusqu'en chacun·e de nous. D'accord avec toi : il ne s'agit pas d'asséner un « discours culpabilisateur » (à qui, au juste ?), mais on peut pointer simplement que les mécanismes sociaux, économiques et politiques qui pavent la voie vers ce saccage sont encore à l'œuvre aujourd'hui : préférer « dérive » pour étiquette n'est peut-être pas si… neutre.
[^] # Re: Message pour la modération: étiquettes
Posté par symp . En réponse au lien L'assureur MAIF consacre 10% de ses bénéfices à la planète. Évalué à 3.
Merci pour cet argumentaire nuancé et circonstancié (comme d'hab ?).
La substitution de « dérèglement » à « réchauffement » vise sans doute, au moins en partie, à dénoter que ce n'est pas quelque chose que l'on subit --- comme un phénomène cosmique --- mais quelque chose que l'on provoque : c'est le forçage anthropique que tu évoques, c'est le coté actif de la chose (que « dérive » ne parvient pas à rendre).
De ce point de vue, parler de « bousillage climatique » ou de « saccage climatique » serait à la fois plus fidèle et plus parlant, mais ferait-ce une étiquette convenable ?
[^] # Re: À propos de cette version
Posté par symp . En réponse au lien darktable 4.2.0 est sorti. Évalué à 2.
Seulement hanatos.
[^] # Re: Attention
Posté par symp . En réponse au journal Piéger les démarcheurs abusifs. Évalué à 10.
Beaucoup de condescendance, peu de clairvoyance.
Bon nombre de ces emplois sont à Rabat ou Fianarantsoa, et s'inscrivent dans une réalité sociale qui n'a pas grand chose à voir avec celle que tu décris, du haut de ton point de vue surplombant.
On pourrait presque croire que piéger ces gens te procure du plaisir (ou peut-être t'es-tu donné une… mission ?), alors que ces personnes à qui tu parles n'y sont que pour très peu dans la décision de t'appeler. Las, loin du but affiché, l'efficacité réelle de ces efforts manifestes se rapproche, selon toute probabilité, de celles d'opérations policières consistant à harceler des getteurs ou petites mains de trafics illicites : si ça fonctionnait, ça se saurait.
# Le guide : publier sous license libre
Posté par symp . En réponse au lien Le CNRS demande à appliquer la stratégie de non-cession des droits aux éditeurs. Évalué à 6. Dernière modification le 03 décembre 2022 à 19:03.
Oui, au delà du CNRS, l'initiative concerne l'ensemble des acteurs de la recherche publique, représentés dans le comité pour la science ouverte (CoSO).
Ce dernier a publié en juillet dernier un guide, passé un peu inaperçu dans la touffeur de l'été, à destination des chercheurs et chercheuses.
La stratégie prônée consiste à ne pas céder ses droits aux éditeurs de revues scientifiques (au travers d'un copyright transfer agreement, comme le voulait la pratique auparavant). Il s'agit, dès la première soumission du manuscrit à la revue, de préciser clairement qu'une licence CC-BY est apposée à la version soumise, et le sera aussi à toutes les versions qui suivront, au fur et à mesure des discussions avec les relecteurs mandatés par la revue.
En conséquence, le dépôt d'un article dans une archive ouverte (p. ex. HAL), est toujours possible, soit avant la publication en tant que… prépublication, soit en tant que manuscrit accepté, et ce dès la date de publication, sans période d'embargo imposée par l'éditeur, période que la loi pour une république numérique de 2016 avait déjà limité à 6 mois (12 dans les sciences humaines et sociales).
[^] # Re: le futur nous réserve bien des surprises !
Posté par symp . En réponse au journal Quelques joyeusetés que nous réserve le futur…. Évalué à 1.
Non.
S'il est besoin de s'en convaincre, il suffit de se chronométrer et de comparer le temps de lecture (silencieuse) d'un texte et la lecture à haute voix. (Tu en conviens d'ailleurs toi même à demi-mots à la fin de ton message, en comparant message enregistré et SMS.)
[^] # Re: signer ou encrypter ?
Posté par symp . En réponse au message Libreoffice 7.4 et signature numérique via gnupg. Évalué à 3.
Ici, LibreOffice 7.4.1.2 (backporté sur une debian stable) me propose bien une identité OpenPGP à utiliser quand je clique sur « Signer le document… » (et ce, bien qu'il soit « Impossible de trouver un gestionnaire de certificat », je n'ai pas de frontal graphique pour
gpg
). La signature semble effective et fonctionnelle (elle resiste à un redémarrage de LibreOffice). Peut-être allait-ce sans dire, mais ça n'est vrai que si le document est bien un.odt
et pas euh, je sais pas, un.docx
, par exemple. En revanche, l'affichage du « certificat » est rudimentaire (pas d'accès à l'empreinte de clé).[^] # Re: rsnapshot plus dans les depots officiels de debian et ubuntu?
Posté par symp . En réponse au message sauvegarde serveur debian. Évalué à 2.
À toutes fins utiles,
rsnapshot
est dans les dépôts debian/bullseye-backports.[^] # Re: Contexte, quand même
Posté par symp . En réponse au lien Aux USA, facebook transmet à la justice les messages d'une ado poursuivie pour IVG. Évalué à 3.
Oui : en prenant soin de l'extraire des guillemets pour que ce soit clair.
Tu choisis pourtant, comme plus haut d'ailleurs, de parler de l'« agitation » plutôt que de la raison, comme si la connotation du terme était neutre.
[^] # Re: Contexte, quand même
Posté par symp . En réponse au lien Aux USA, facebook transmet à la justice les messages d'une ado poursuivie pour IVG. Évalué à 8.
Il ne s'agit pas de problèmes techniques.
Aucune contrainte technique n'impose à un réseau social ou à un moteur de recherche de pister le moindre de tes faits et gestes en ligne, ni de se livrer, à l'échelle globale, à une moisson de données comportementales qui constitue le cœur de son activité industrielle et commerciale. C'est un choix stratégique, c'est le modèle économique de ces industries, et il en a fait les premières capitalisations boursières mondiales. Parler de « problèmes techniques », c'est reprendre leur publicité.