Thomas Douillard a écrit 8993 commentaires

  • [^] # Re: J'accuse !

    Posté par  . En réponse au journal J'accepte. Évalué à 3.

    Pour ton exemple de l'insécurité toussa, quand on vote pour Sarkosy, on connait les méthodes qu'il va employer. On sait aussi que ce sont pas les méthodes privilégiées de la gauche.

    Sur les réunions qui traitent des problèmes du quotidien, elles existent, au sein des partis politiques par exemple. Les avis des militants sont pris en comptes par les responsables pour concocter un programme, sur lequel les cytoyens votent, ou pour prendre des décisions.

    Ton idée reviendrait à étendre ces réunions aux non militants, à mon avis. Les éventuels éceuils (en vrac) que j'y voit sont : comment "mesurer" les avis dans des réunions plus ou moins informelles ? est-ce que les participants à ces réunions sont vraiment représentatifs ? qui fixe l'ordre du jour ?

    Et puis sur les politiques générales floues et changeantes, je pense que l'opinion publique est elle aussi floue et changeante. Comment mener une politique cohérente et efficace dans ces conditions ?
  • [^] # Re: J'accuse !

    Posté par  . En réponse au journal J'accepte. Évalué à 3.


    Quand un jour la population sera consultée sur les problèmes au quotidien, alors oui, on pourra parler de démocratie.


    On devrait "voter" plusieurs fois par semaine, et sans connaitre forcément le sujet. Déja qu'on entend que les députés, dont c'est un peu le boulot, votent des lois surs des sujets qu'ils maitrisent pas forcément, alors t'imagines si on était consultés sur tout et n'importe quoi ...

    On pourrait sans doute imaginer des systèmes plus efficaces, genre seuls ceux qui sont concernés votent, mais si il faut à la fois que le peuple s'exprime sur des points de détails et sur les trucs généraux genre la fixation du budget, son affectation à ces différents points de détails, ...

    En ce qui me concerne, je me sens pas capable de me prononcer sur les détails de la fixation du budget. Quand on vote pour quelqu'un, faut pas déconner, on connait les grandes oprientation qu'il va donner au budget, dans la limite des marges de manoeuvres (la conjoncture économique, ...)
  • [^] # Re: J'accuse !

    Posté par  . En réponse au journal J'accepte. Évalué à 2.

    Si tu ne fais que leur dire qu'un autre monde est possible, ils risquent de pas te croire, à moins qu'ils soient complètement désespérés. Pour être crédibles, et au près d'une quantité suffisante de personne pour provoquer un changement, il faut être crédible. C'set à dire, non seulement proposer un projet, mais aussi poser des garanties que ca va marcher, et mieux qu'actuellement. Des garanties suffisantes en tout cas. Sans compter assurer une transition entre le système tel qu'il fonctionne actuellement et ton système.

    Et ça, c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire.
  • [^] # Re: J'accuse !

    Posté par  . En réponse au journal J'accepte. Évalué à 3.

    Apporter un texte démagogique et dénonciateur (et caricatural), c'est à mon avis pas la meilleure solution pour inciter à une réflexion sur les problèmes. A moins que tu croies qu'une révolte ou que l'arrivée dun extremmiste au pouvoir soit susceptible d'aider.
  • [^] # Re: Ben c'est pas trop tôt...

    Posté par  . En réponse au journal Brevets Logiciels au PS. Évalué à 0.

    Il y a des affaires, ce n'est un secret pour personne, mais bon, entre afficher une liste et conclure "la grande majorité ..." il y a quand même une marge, faut pas déconner. Il y a eu des condamnations aussi. Surtout que dans ta liste il y a des affaires plutôt aciennes, et dans les articles de wikipedia certaines tournures de phrases genre "comme par hasard" des tournures de phrases qui tiennent plus du journal satyrique que de l'encyclopédie.

    On peut aussi évoquer des affaires comme la démission de Strauss Kahn par exemple, qui a été complètement blanchi ensuite.
  • [^] # Re: Ben c'est pas trop tôt...

    Posté par  . En réponse au journal Brevets Logiciels au PS. Évalué à 3.

    On voit souvent ici des commentaires ou le "tous pourri" est implicite. Après, les politiques ne cachent pas leurs idées, opinions, etc. Je pars du principe que ce qu'il y a écris dans un programme politique est une sorte d'idéal qu'ils essaieront le plus possible d'appliquer, sachant que c'est pas toujours possible. Bien sûr, en fait de programme il faut pas se contenter des plaquettes qui sont distribuées en même tels que les bulletins électoraux, qui sont à la fois très policés et succints, ou des promesses, qui ne seront de toutes facon pas forcément réalisable, et des phrases chocs. Tout ca ce ne sont que des exercices de communications, et foirer tout ca ca ampute fortement les chances d'arriver au pouvoir, et donc d'exercer ce même programme. Et c'est bien joli d'avoir des idées, mais ca sert à rien si on peux pas les appliquer.

    Les grandes lignes sont cependant données. Après, il peut (il y a) des différences. Si le "tous pourri" se réfère à telle ou telle promesse électorale, il est très léger. Si le tous pourri se réfère à autre chose, il faut pas s'étonner qu'un gouvernement de droite applique une politique de droite, etc.

    Après, effectivement ca dépend de ce que tu appelles "juste et bon", effectivement, mais là tu rentres dans la luttes d'opinion. Considérer quelq'un comme "pourri" parce qu'il a pas les mêmes opinions que toi, c'est aller loin. Pour continuer, faudrait en fait préciser cette idée implicite de "pourris".
  • [^] # Re: Ben c'est pas trop tôt...

    Posté par  . En réponse au journal Brevets Logiciels au PS. Évalué à 5.

    "tous pourris" me semble beaucoup plus proche de la réalité


    A mon humble avis, il est beaucoup plus facile de se dire "si les politiques font pas ce que je veux, c'est parce qu'ils sont pourris" que de chercher d'autres explications. Toujours à mon humble avis, ça n'a RIEN de simple de faire de la politique, de se battre avec, en vrac, les entreprises, les militants, la conjoncture économique, ... pour faire avancer les choses. Cela est d'autant plus difficile que parfois le changement nécessaire est complètement impopulaire, au prêt des uns ou des autres.

    L'explication tiens aussi à cela, faire de la politique c'set pas faire tout ce qu'on veux, et sans être pourri. C'set à mon avis un sacré numéro d'équilibriste, entre appliquer une politique, pas se rendre trop impopulaire auprès des différents camps, sinon ca devient ingérable, et on est pas réélu pour continuer à appliquer la politique qu'on veux.
  • [^] # Re: A propos de la propriete intellectuelle

    Posté par  . En réponse au journal Quelle alternative aux brevets logiciels pour protéger notre propriété intellectuelle ?. Évalué à 2.

    Ben ouais, microsoft est né sans brevets, et ca a pas aidé toutes les boites qu'elle a racheté aux fils des années à survivre. En fait, en ce qui me concerne depuis le temps ce feuilleton sur les brevets m'a à force un peu saoulé, et j'avais pas suivi depuis un bail les débats ici ou ailleurs.
    Donc ca m'a semblé intéressant de sonder un peu les opinions, et voir ce qu'on va me répondre. Ca fait jamais de mal de prendre un peu de recul ;)
    J'ai ma réponse : ici on considère que les droits d'auteurs suffisent, ce n'est pas forcément le cas ailleurs.
    Je conaissais les opinions principales, notemment sur les inconvénients des brevets, ca m'intéressait de savoir si d'autres idées avaient émergées depuis le temps, plus concensuelle, ou si le débat n'avait pas bougé, ce qui est le cas.
  • [^] # Re: Rien à voir, mais bon...

    Posté par  . En réponse au journal Debian en vie, pas nouveau. Évalué à 2.

    C'est certes un nouveau troll, mais bon il est quand même corrélé assez fortement avec le vénérable sur le temps entre deux stable: si celui là fini par disparaitre, le tiens est tué dans l'oeuf ;)
  • [^] # Re: la biometrie est cool ...

    Posté par  . En réponse au journal Vous avez dit sécurité ?. Évalué à 2.

    Ca ne fait qu'un demi maillon ;)
  • [^] # Re: A propos de la propriete intellectuelle

    Posté par  . En réponse au journal Quelle alternative aux brevets logiciels pour protéger notre propriété intellectuelle ?. Évalué à 2.

    Je te rassures, ce n'est pas mon domaine non plus ;)

    Sue ton premier point, ca me semble assez hasardeux. C'est peut être vrai dans certains cas particuliers, mais si les trucs son complètement interchangeables, mettent du temps a pénétrer le marché, sont ultras chers, que les gens attendent d'avoir un équivalent moins cher ... Pour un produit de grande consommation ca marche pas par exemple, à moins de le vendre super cher au début en espérant le rentabiliser avant que la concurence arrive. Si c'est trop cher, personne l'achètera.

    <extrapolation mode="foireux">
    Ca ferait un marché hyper concurentiel en perpétuel recherche de l'innovation, pour garder un avantage, sous peine de se faire bouffer, avec un cout en recherche énorme, et pas le droit à l'erreur.
    Avec le risque de voir arriver une boite qui profite de toutes les innovations quasiment gratuitement, et qui te pique tout ton marché, et tu disparais. Pas beaucoup de garantie, quoi.

    Bon, en retour tu profites aussi de l'innovation des concurents. Donc il faut tirer sur les prix, ce qui rogne tes bénéfices, et te permet pas forcément d'avoir de l'argent pour faire de la recherche ...

    En bref, je suis sceptique, ca fait très jungle ultra libérale.

    </extrapolation>

    Ensuite, sur profiter de la recherche du concurrent, si c'est un algo pas du tout trivial qui est implémenté, avec à disposition un binaire complètement obfusqué, ca me semble pas du tout évident de "profiter de sa recherche". Le système des brevets impose une publication.
  • [^] # Re: Le droit d'auteur

    Posté par  . En réponse au journal Quelle alternative aux brevets logiciels pour protéger notre propriété intellectuelle ?. Évalué à 0.

    Pour appuyer ton argument, on peut aussi dire que Nokia et Microsoft ont des labo de R&D d'une taille non négligeable.
    De plus, le système des brevets a aussi un plus, coté diffusion de l'info : la publication. Le reverse engeniering en info c'est pas la panacée pour comprendre comment marche un programme, et donc de trouver des améliorations qui ne tombent pas sous le coup du brevet.

    Ca n'enlève rien aux problèmes des brevets logiciels (brevets triviaux, assise financière importante nécessaire pour en tirer parti, dérives, ...), mais ca peut appuyer la question de Sam : y a t'il mieux que la simple propriété intellectuelle ?
  • [^] # Re: A propos de la propriete intellectuelle

    Posté par  . En réponse au journal Quelle alternative aux brevets logiciels pour protéger notre propriété intellectuelle ?. Évalué à 0.

    Je suis d'accord avec toi sur les effets pervers des brevets.

    Mais la problématique qu'on t'as/nous a expliqué a l'école n'est tout de même pas complètement idiote : comment, du point de vue d'une entreprise, dépenser (beaucoup) d'argent en recherche, en sachant que n'importe quel concurrent pourra copier l'invention à cout bien moindre ?

    En empêchant de copier l'invention, masquant le plus possible les spécifications, rendre difficile l'ingénierie inverse, etc. Question diffusion de l'information, on a fait mieux comme système.

    Les brevets sont sans doute obscurs pour le commun des mortels, mais c'est avant tout une affaire de spécialiste.

    Ce n'est pas en rejettant en bloc le système qu'on fera mieux.

    La problématique est sans doutte différente sur les brevets logiciels ou les brevets sur le vivant, ou les principes des brevets classiques s'appiquent mal et ou les dérives sont plus dramatiques qu'ailleurs. Je suis par exemple très mal à l'aise avec les brevets sur les médicaments, ou encore sur le fonctionnement global de l'industrie pharmaceutique. Le traitement des maladies rares, ou le traitement drame du sida en Afrique sont incompatibles avec le système des brevets, ou plus généralement avec l'économie de marché. Ce sont des dérives inadmissibles.

    Mais encore une fois, rejeter ce système en bloc impose de trouver des alternatives. Des idées ?
  • [^] # Re: Nous avons besoin de plus que la GPL

    Posté par  . En réponse à la dépêche ESR : «Nous n'avons plus besoin de la GPL.». Évalué à 2.

    Merci de me répondre par des arguments, c'est pas toujours le cas ici. Je suis entièrement d'accord avec toi, je trouve le système de pré-notation vraiment pas terrible.

    Sur la durée du droit d'auteur, ca n'a rien à voir avec le débat qui nous occupe.

    je pense que tu as raison sur la définition du ll, c'est sans doute un abus de langage. Après, sur le "pouvoir" de l'auteur. Le même auteur a aussi le pouvoir de ne pas publier son code, et de le garder pour lui. Le logiciel reste un création de son auteur, et a ce titre, il a des droits dessus, dont le droit de laisser les autres la réutiliser.

    De là à affirmer que si l'auteur diffuse son travail en n'autorisant pas les autres a le modifier est une privation de la liberté des autres, il y a quand même un pas énorme.

    "La liberté des uns s'arrête là ou commence celle des autres", c'est un bon résumé je pense. Ici la question est de savoir ou est la liberté de l'auteur, et ou est celle des autres. La liberté de l'auteur est de choisir de diffuser son oeuvre, et sous quelle conditions.

    La liberté octroyée par le ll est située a un autre niveau, celle de l'utilisateur. En tant que personne à qui le programme a été diffusé, il doit respecter les conditions dictées par l'auteur. Est-ce que le fait qu'il ne puisse pas le modifier (rediffuser, ...) est une privation de sa liberté ou est-ce que le modifier en ne respectant pas les conditions de l'auteur est une privation de la liberté de l'auteur ?

    La license est comme un contrat, et dans ce cadre, si l'utilisateur refuse la licence, il refuse le logiciel. En acceptant une licence proprio, on accepte de ne pas avoir le droit de modifier le programme. Il n'y a donc pas privation de liberté puisqu'elle n'a pas lieu d'être.

    L'auteur a donc la liberté de choisir la licence, et l'utilisateur de ne pas utiliser le logiciel si la license ne lui convient pas. Autrement dit, rendre un logiciel libre est (pour moi) un choix de l'auteur, mais je ne vois pas ce en quoi une license propriétaire serait immorale dans la mesure ou personne n'est obligé de l'accepter. Le pouvoir est tout relatif, vu de cette manière.
  • [^] # Re: A propos de la propriete intellectuelle

    Posté par  . En réponse au journal Quelle alternative aux brevets logiciels pour protéger notre propriété intellectuelle ?. Évalué à -2.

    J'ai été moissé, mais je suis toujours pas convaincu que j'ai tort, c'set à dire que sur ce point précis, l'argumentaire est faible. Vos deux réponse n'en sont pas vraiment. elles se contentent de critiquer les brevets, mais pas sur le point que je souligne. Je connais l'objectif des brevets à la base, c'set l'explication de l'obligation de publication.


    Remarquez que j'ai jamais dit que j'étais pour les brevets.
  • [^] # Re: A propos de la propriete intellectuelle

    Posté par  . En réponse au journal Quelle alternative aux brevets logiciels pour protéger notre propriété intellectuelle ?. Évalué à 3.

    Si jamais on ne peut plus communique librement nos idees


    Je suis pas sur que ce postulat soit valide : un truc breveté est publié. Donc si il est publié, l'idée est susceptible de circuler, et servir a en inspirer d'autre, même si on peut pas l'utiliser telle qu'elle sans tomber sous le coup du brevet sans obtenir l'autorisation du déposant.
  • [^] # Re: Nous avons besoin de plus que la GPL

    Posté par  . En réponse à la dépêche ESR : «Nous n'avons plus besoin de la GPL.». Évalué à 2.

    Le droit d'auteur donne à l'auteur du code un pouvoir sur ce code. Après, je suis pas complètement persuadé que d'interdire quelqu'un d'autre de modifier ce code soit dénier sa liberté ... je verrai plutot les choses dans l'autre sens : en rendant un logiciel libre on donne a l'autre le povoir de réutiliser ce code (de manière plus ou moins restrictive selon la license).
    C'est là qu'intervient le dogme de RMS : le logiciel DOIT pour des raisons morales, être libre. Ca reste du domaine de la conviction, à mon avis.

    C'est de logiciel libre, qu'on parle, et rendre un logiciel libre est un choix.
    "dénier la liberté d'autrui n'est pas une liberté, mais un pouvoir". Ce n'est pas un pouvoir sur autrui, c'est un pouvoir sur le code, pas plus. RMS préfère ne pas utiliser de logiciel plutot qu'un logiciel propriétaire s'il n'y a pas d'équivalent, il a donc, au moins, la liberté de refuser le propriétaire. C'est plus un choix personnel qu'un véritable problème de liberté, à mon avis. La seule chose qui est libre (ou pas) dans tout ca, c'est le code.

    (je sens qu'il va pleuvoir ;) Plus sérieusement, et si jamais mon avis vous plais pas, j'aimerai des arguments)
  • [^] # Re: ESR fait chier

    Posté par  . En réponse à la dépêche ESR : «Nous n'avons plus besoin de la GPL.». Évalué à 1.

    "l'ennemi c'est le propriétaire"

    C'est effectivement un dogme. Je suis aussi partisan du libre, pour des tas de raisons, mais il n'en reste pas moins que cette phrase est un dogme.
    Le choix de la licence (libre, proprio, ...) est à mon avis un choix personnel du/des développeurs, qui n'est pas neutre, mais personnel avant tout.

    Je trouve pas mal que des leaders rapellent de temps en temps la philosophie de chaque licence, mais les petites guéguerres entre eux n'ont pas beaucoup d'intéret.
  • [^] # Re: Hey mais c'est génial ca!!

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sender ID, passage en force de Microsoft. Évalué à 2.

    Un juge a bien condamné les FAI à filtrer l'accés à un site révisionniste


    C'était vraiment une condamnation ou un ordre de filtrage ? les FAI ont la responsabilité de bloquer les accès à des sites illégaux, dans la limite des possibilités, mais (là je sais pas) c'est un filtrage a priori ou lorsqu'un site a été jugé illégal par la justice et qu'on demande (et pas condamne) au FAI à le mettre hors ligne ? je sais pas, je le répète, mais ca fait une petite différence qui mérite d'être éclaircie.
  • [^] # Re: y a quoi de nouveau ?

    Posté par  . En réponse au journal X.Org dans Debian. Évalué à 10.

    Ben ... la charge de travail ? c'est déja du boulot de faire un paquet non supporté, sans en plus devoir maintenir un truc énorme comme Xorg ... son but c'est de faire marcher e17, pas de maintenir debian en entier à tous les derniers logiciels.

    C'est pas étonnant qu'il se soit cassé, à mon avis ta réponse à du le scier.
  • [^] # Re: firefox et rss

    Posté par  . En réponse au journal MS invente le RSS. Évalué à 3.

    " Le géant américain veut proposer une série d'extensions du code RSS"

    D'après l'article de yahoo. Peut être qu'ils vont proposer ces extensions pour standardisation ?
    je vois pas de précisions, en tout cas, on ne peux que supposer (sauf si vous avez d'autres sources)
  • [^] # Re: Théorie et pratique

    Posté par  . En réponse au journal Non respect d'une licence GPL et suite. Évalué à 4.

    Celui qui pourra porter plainte ce sera le détenteur du copyright sur le code, donc a priori celui qui l'a écrit. La FSF ne pourrait porter plainte que sur du code dont on lui a transféré le copyright.
  • [^] # Re: 74% des français...

    Posté par  . En réponse au journal Bill GATES citoyen belge !. Évalué à 1.

    Il me semble que les instituts de sondage sont indépendants du gouvernement francais. Après il faut voir d'ou il sort le "extremment fort". Peut être que les conditions de vie auraient été qualifiés de "priorité absolue" par les même 74%
  • [^] # Re: objectivite

    Posté par  . En réponse à la dépêche Un enseignant d'une université espagnole censuré pour avoir défendu les réseaux P2P. Évalué à 4.

    "Si les faits sont avérés" effectivement, c'est surtout là ou je voulais en venir. Je trouve qu'on s'enflamme un peu vite, et c'est effectivement facile quand ca va dans le sens qu'on voudrait, mais je vois pas encore de preuve. C'est le genre de FUD qu'on retrouve encore des mois après, même si le truc a été prouvé comme comlplètement bidon bien avant. Attention, j'ai pas dis que c'étais complètement bidon.
  • [^] # Re: objectivite

    Posté par  . En réponse à la dépêche Un enseignant d'une université espagnole censuré pour avoir défendu les réseaux P2P. Évalué à 3.

    Entièrement d'accors, surtout quand on voit que certains commentaire en sont déja à parler de violation des droits de l'hommes. Peut être qu'il n'avait pas du tout dans le cadre de sa fonction à faire de conférence sur le p2p, ce qui expliquerait que l'université n'aie pas voulue lui accorder de salle. Après si il a forcé la main ca a peut être été plutot mal vu. Ce sont des simples hypothèses, et ca me semble pas justifier une expulsion, mais bon ... On peut même aller jusqu'a une hypothèse extreme : il aurait fait ca pour se poser en martyr.

    Ca me laisse un peu perplexe, tout ca, surtout sans autres sources.