Ysabeau 🧶 a écrit 7546 commentaires

Je ne comprends pas ce que ton diagramme est censé montrer.

Cela dit, tu sembles oublier que :

• l'on peut utiliser toutes les déclinaisons d'un verbe ou d'un mot,
• l'on peut mal orthographier les mots,
• cela ne se limite pas, comme je le disais plus haut, aux noms communs et que l'on peut ajouter des noms propres (ce qui augmente d'autant le vocabulaire) pas forcément ben orthographiés ou bien translittéré,
• l'on peut décider d'avoir ou pas des séparateurs, et, si on opte pour des séparateurs, choisir l'espace ou tout autre caractère, virgule, point virgule, trait, @, autre lettre, etc.

La seule limite, ce sont celles imposées par les sites qui peuvent ne pas accepter certains caractères par exemple (obliger des caractères spéciaux mais à condition de ne pas avoir des majuscule accentuée ou d'arobase ou de virgule, par exemple).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et en plus, pour mémoriser le tout, tu peux même ajouter une note quelque part qui va te donner la clé du "mot" de passe. Je fais ça aussi pour les mots de passe qui doivent être des nombres. Je peux avoir, par exemple un "mot" de passe : 13975769, clé de mémorisation Alphonse. Je sais comment c'est fichu, et, au besoin où trouver les nombres qui m'ont servi à concocter ça.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Surtout qu'on peut mêler des majuscules et des minuscules, avoir des accents et autres "caractères spéciaux", ne pas s'en tenir aux noms communs et, enfin, utiliser plus d'une seule langue.

Les 26 lettres, ce sont celles du pauvre alphabet anglais, en français on en a quelques-unes en plus par exemple.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Alors, je prêche un peu (mais pas trop) coupable. Cette dépêche a été écrite à beaucoup de mains, donc chacun et chacune y a mis sa patte en fonction aussi de ses sensibilités, si je puis dire. À la relecture, je ne me suis pas préoccupée de ces questions qui m'échappent un peu.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Pourquoi ? Il semble que c'est assez avéré. Cela génère des mots de passe longs plus difficiles à cracker qu'un mot de passe imbitable mais plus court.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il a été écrit par Papoteur qui fait partie de l’équipe de Mageia.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il y a Elograf qui fait de la dictée vocale. Il est écrit en Python et utilise Qt5.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

En attendant nos salariés bossent chaque jour, des bilans d'activités sont votés chaque année par nos membres dont tu fais partie et je serai ravie d'en parler avec toi ce samedi 25 mars vu que c'est l'AG de l'April et donc le meilleur moment pour remettre tout cela en question! À toi de nous dire les indicateurs de résultat que tu souhaiterais voir apparaitre dans notre communication.

Alors non, je ne fais plus partie des membres de l'April.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Alors si, les sites américains sont soumis au RGPD à partir du moment où leurs sites sont consultables d'Europe. Ils nous font le même coup pour le Cloud Act (mais en pire) d'ailleurs.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Mon arrière-grand oncle avait un kit de retouche photo. Ça se vendait à l'époque (début du siècle dernier) avec des couleurs pour retoucher les vilains défauts dans les gammes de gris. La retouche photo est née quasiment avec la photo.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Dans mes souvenirs, en Hypokhâgne, on n'avait pas beaucoup passé de temps sur Aristote. Plus sur Platon, Kant ou Descartes en fait. C'est pour ça que je suis assez étonnée qu'on le cite en référence, entre autres raisons.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Bonne nouvelle tu n'es pas obligé de les utiliser. En fait ces interfaces en onglets, à moins d'être très personnalisées ne sont pas super ergonomiques et en plus ça prend de la place en haut et on a des écrans larges.

L'aspect esthétique n'est pas le plus important, l'ergonomie, par contre.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ça se lit aussi, il y a la transcription dessous. Un grand merci pour ce lien. Et là, clairement, si le marquage n'est pas illicite, en revanche les actions des forces de l'ordre ne le sont pas vraiment.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Oui, c'est un logiciel absolument fabuleux. Il figure dans la dépêche sur les logiciels de comptabilité qui est en rédaction. Même si on peut l'utiliser pour la gestion des finances personnelles, ce n'est pas trop sa place dans cette dépêche.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il y a aussi le fait qu'on peut mieux se débrouiller avec un tutoriel mal écrit et mal fichu. Mais, si la vidéo est mal fichue, c'est foutu.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

De toute façon, une pétition est un geste politique.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Le mot important dans la citation est « peut-être ». Ce n’est donc pas du tout garanti. À mon avis c’est assez maladroit de s’en débarrasser si vite et maintenant.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Quand il y a du contenu qui a des points médians, l’Unicode est U+b7, et c'est très important de le respecter. Sinon le quart de quadratin, U+2005, mais ça, j’avoue que je ne m’en préoccupe pas (c’est invisible de toute façon) et je laisse le tiret qui fait rosir Grammalecte. En plus on est sur un site, pas sur une publication papier ou pdf.

Et évidemment, je me préoccupe des guillemets typographiques, les chevrons : U+ab « et U+ bb », qui doivent être suivis (ouvrants) et précédés (fermants) par une espace insécable (une fine en théorie, mais bon) ainsi que des points de suspension U+2026.

Et il y a l’espace insécable (en théorie une fine insécable) avant les ponctuations doubles.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ben oui, une pétition ne doit pas être un acte politique. Le niveau de mauvaise foi est abyssal !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Plus de 260 000 en deux semaines. L’Assemblée a décidé de classer la pétition.

Le motif ? Dévoiement du droit de pétition. C’était assez prévisible, compte tenu du rapporteur…

Pendant ce temps, le ministre de l'Intérieur s'en prend à la Ligue des Droits de l’Homme.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

La dépêche n'a aucune prétention à l’exhaustivité cela dit et plutôt pour du grand public. Et je pense qu'il faut virer ces deux logiciels de la dépêche sur les logiciels comptables en fait.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Pour écrire n’importe quel caractère qui a un numéro Unicode, avec un ordinateur sous Linux et sous un environnement de bureau qui tourne (ou basé dessus, ou quel que soit le terme adéquat) avec GTK, ou avec IBUS pour les autres environnements de bureau tu fais la combinaison de touches Ctrl+Maj+U suivi du numéro Unicode.

Ce n’est pas sensible à la casse, donc pour l’apostrophe typographique c’est :

Ctrl+Maj+U 2019

Évidemment, un traitement de texte normal produit des apostrophes typographiques quand on appuie sur la touche ad hoc du clavier.

Pour LinuxFr.org, quand je corrige, je passe par Grammalecte ou je corrige directement (selon le contexte). Et oui, quand je relis une dépêche ça fait partie du boulot. Sinon, personnellement, concernant mes journaux et dépêches, je rédige dans LibreOffice parce que c’est confortable.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

C'est fait, et j'ai viré la petite phrase sur la nécessité d'avoir un compte pour accéder au site.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Le raccourci "Coller le texte non formaté" existe déjà : Maj+Ctrl+Alt+V. Mais on peut, de toute façon, le modifier dans Outils > Personnaliser > Clavier comme dans l'astuce du lien.

Personnellement, j'ai ajouté un bouton à ma barre d'icônes pour les collages spéciaux. Mais c'est chacun son truc.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Rien à voir mais, serait-il possible d’avoir des apostrophes typographiques dans le titre de la dépêche (voir ailleurs) ? Unicode 2019

Ça m’éviterait de les corriger ensuite (et toutes les semaines). Là j’ai oublié de corriger la seconde et ça fait mal aux yeux. Merci.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.