Ysabeau 🧶 a écrit 6888 commentaires

  • [^] # Re: Tu l'as dis dans un commentaire que tu savais que tu allais faire rĂ©agir

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à 1.

    Ça a été discuté récemment ici. Deuxième série de commentaires : Bi-genre. Il y a du sérieux et du moins sérieux.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • # Un autre lien intĂ©ressant en provenance de Mastodon

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche L’étrange tropisme des femmes de sciences pour les associations de femmes et autres réflexions. Évalué à 4.

    On me communique sur Mastodon ce lien :

    https://blogs.mediapart.fr/jean-claude-meyer-du-18/blog/181218/30-octobre-1793-la-convention-interdit-les-clubs-feminins

    Comme quoi même pendant la Révolution française les femmes n'avaient pas trop leur place :(

    Si je transmets cela c'est parce que ma correspondante n'est pas inscrite sur LinuxFr (dommage) et ne peut pas déposer de commentaire.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: CohĂ©rence

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à 3.

    Je crois qu’ils les shuntent justement :) En fait le point médian ne pose pas de problème dans le cas de lettres muettes « auteur·es ». mais, si ça ne peut pas se prononcer à l’oral, il faut l’éviter.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: Tu l'as dis dans un commentaire que tu savais que tu allais faire rĂ©agir

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à 2. Dernière modification le 12 mars 2023 à 20:53.

    Ben non, personne : genre grammatical féminin ! C’est épicène.
    Gens, genre grammatical masculin ! C’est épicène.

    En revanche, ni informaticien, ni rédacteur, ni auteur ne sont épicènes d'où la nécessité de les féminiser avec, donc :

    • informaticienne,
    • rĂ©dactrice,
    • auteure ou autrice (attestĂ© notamment en Suisse depuis avant 1999, date du rapport Femme, j’écris ton nom… Guide d’aide Ă  la fĂ©minisation des noms de mĂ©tiers, titres, grades et fonctions par une Ă©quipe du CNRS et que j'ai Ă©voquĂ© Ă  plus d'un titre).

    Le rappport préconise pour les noms se terminant par -teur (page 23) :

    3.3.a. La forme féminine se termine par -trice dans les conditions suivantes, non exclusives les unes des autres :
    — il n’existe pas de verbe correspondant au nom (agriculteur, aviateur, instituteur, recteur…), ou bien le verbe est apparu postérieurement au nom (acteur/acter, auditeur/auditer),
    — il existe un verbe correspondant au nom ne comportant pas de -t- dans sa terminaison (calculer/calculateur ; conduire/conducteur ; former/formateur),
    — il existe un substantif corrélé au nom se terminant par -tion, -ture, ou -torat (quelle que soit la terminaison du verbe correspondant) (éditeur/édition ; lecteur/lecture ; tuteur/tutorat),

    […]

    Remarque 2 : La règle s’applique aux noms empruntés à l’anglais, qu’ils soient francisés ou non : reporter, reporteur/reportrice ; supporter, supporteur/supportrice.
    Remarque 3 : L’usage contemporain a tendance à privilégier la forme épicène pour certains termes dont la forme régulière en -trice est par ailleurs attestée, ex. : une sculptrice, mais aussi une sculpteur(e).

    Le rapport peut être téléchargé ici :
    https://www.vie-publique.fr/rapport/25339-guide-daide-la-feminisation-des-noms-de-metiers

    Bref tout ceci n'est pas récent du tout.

    Je copie-colle le début de la préface de Lionel Jospin, Premier ministre, qui avait commandé ce rapport :

    Notre pays aime les querelles qui tournent autour de sa langue : on l’a vu il y a quelques années avec la « querelle de l’orthographe ». Les débats autour de l’usage du français viennent nourrir discussions et forums et remplissent les pages des journaux. Cela prouve, s’il en était besoin, l’attachement de nos concitoyens à leur langue et le souci permanent du « bon usage » qui nous anime.
    Parmi ces querelles prend place celle de la féminisation des noms de métiers, titres, grades et fonctions. Les linguistes le savent depuis longtemps : cette affaire n’est pas seulement la leur. Elle concerne la société tout entière. Elle véhicule nombre de résistances, pour une large part idéologiques.
    Le rôle du Gouvernement ne peut certes pas être en la matière d’imposer une norme : la liberté d’expression, une des libertés les plus fondamentales dans une démocratie, suppose le droit pour chacun d’utiliser la langue comme il l’entend. Mais le Gouvernement doit montrer l’exemple dans la sphère qui est la sienne, celle des services publics. Qu’une femme exerçant les fonctions de directeur d’école porte depuis plus d’un siècle le titre de directrice alors que la femme directrice d’administration centrale était encore, il y a un an, appelée « madame le directeur » atteste, s’il en était besoin, que la question de la féminisation des titres est symbolique et non linguistique.
    C’est la raison pour laquelle j’ai, par une circulaire en date du 6 mars 1998, invité les administrations à recourir aux appellations féminines pour les noms de métiers, titres, grades et fonctions chaque fois que le féminin était d’usage courant.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: Du cĂ´tĂ© de l'anglais...

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à -2. Dernière modification le 12 mars 2023 à 20:49.

    C'est plus compliqué que ça pour l'anglais justement !

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: Je suis inquiet, moi aussi

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à 4.

    C’est fou cette obsession du point médian quand on a déjà expliqué quarante-douze-mille fois ce qu’est l’écriture inclusive.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: CohĂ©rence

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à 5.

    Dans ce cas ce sont les logiciels de synthèse vocale qu'il faut changer.

    Comme cela fait quelques années que cela dure, les dispositifs d’assistance ont fini par s’adapter à condition qu’on utilise le point médian normé, Unicode B7. Donc l’argument, sent un peu la naphtaline.

    Le problème vient effectivement des personnes qui pensent qu’utiliser le point médian suffit. Mais, je vois de plus en plus de gens qui rédigent de façon inclusive en minimisant son recours, voire, en s’en passant.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: pas toustes

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à 1.

    Aucune idée ! Question de choix de clavier j’imagine.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: Je suis inquiet, moi aussi

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à 5. Dernière modification le 12 mars 2023 à 18:55.

    Ils sont d’autant plus à côté de la plaque que le site est écrit en écriture inclusive et que ça ne les a pas fait hurler. Que de plus en plus de dépêches sont en écriture inclusive.

    Si les informaticiens se souciaient d'écrire en bon français, ça se saurait.

    Et, sur LinuxFr, vu les sabirs employés souvent, comment dire… hurler au respect de la langue française ça fait rire un peu jaune.

    Ce qui est agaçant c’est qu’on a beau expliquer, réexpliquer et ainsi de suite ce qu’est l’écriture inclusive (ce qu’a fait Tisaac encore dans son journal), ils restent accrochés à ce fichu point médian qui n’est à utiliser qu’en dernier recours. On a beau leur expliquer que certains néologismes (pas si nouveaux que ça) sont bel et bien entrés dans la langue française qui n’est pas pratiquée qu’en France, rien n’y fait, ils hurlent au sacrilège comme toute une poussiéreuse Académie française.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: pas toustes

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’écriture inclusive sur linuxfr.org est-elle un crime ?. Évalué à 9.

    Si tu pouvais utiliser le vrai point médian normé, ce serait une bonne chose : « · », code Unicode B7 et pas cette chose qui est une puce.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: Quelques rĂ©flexions.

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche L’étrange tropisme des femmes de sciences pour les associations de femmes et autres réflexions. Évalué à 2.

    Je pense que c'est plus déjà une question de recueil et de validité des données sur lesquelles vont s'appuyer les résultats. Il ne s'agit pas de "qualités féminines" mais de spécificités plutôt.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: IdĂ©e de dĂ©pĂŞche

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche L’étrange tropisme des femmes de sciences pour les associations de femmes et autres réflexions. Évalué à 2.

    Ça doit l’être en effet, trois prix Turing ont été donnés concernant du travail sur ou autour des compilateurs :

    • Alan J. Perlis, 1966 (construction)
    • Peter Naur, 2005, (conception)
    • France Allen, 2006, (optimisation).

    D’où mon incompréhension devant le fait que Grace Hopper ne l’ait pas eu.

    J'applaudis des deux mains à une dépêche sur le sujet. J’ajouterais que ce serait bien si elle complète ce que disait Frances Allen des compilateurs 2007, qu’on était dans une impasse mais à la veille de grands progrès.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: Pratchett

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche L’étrange tropisme des femmes de sciences pour les associations de femmes et autres réflexions. Évalué à 4. Dernière modification le 12 mars 2023 à 11:04.

    À peu près toute l’œuvre de Pratchett est féministe en fait. Pour moi, le Régiment monstrueux est carrément un manifeste féministe.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: Mauvais signe

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au lien Gandi casse son offre mail ?. Évalué à 5.

    Pour seulement les noms de domaine (pas de serveur de courriel, ni d'hébergement), il y a Bookmyname.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: Ă€ savoir le tien

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal [HS] Adopte une dépêche !. Évalué à 7.

    C'est une marque de fabrique : inconsciemment on sait qu'on n'a pas d'arguments qui tiennent la route, démonter les idées c'est trop difficile donc on attaque la personne de manière très génériques avec des mots bateaux sans accepter la moindre contradiction car cette dernière ferait tomber le château de carte des idées affichées.

    Ça marche avec le logiciel libre : « si vous ne pensez pas comme moi, vous n’aimez pas le libre. »

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: Ă€ savoir le tien

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal [HS] Adopte une dépêche !. Évalué à 4.

    On n'a pas de raison objective de le supprimer : ce journal ne contrevient pas aux règles de modération. Même si on peut le trouver inutile, voire, parasite.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: droits Ă©conomiques et droits familiaux

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’étrange tropisme des femmes de sciences pour les associations de femmes et autres réflexions. Évalué à 3.

    Non c'est plus rapport aux biens de la communauté qu'est le mariage et aux périls probablement que le prêt aurait pu lui faire courir. Cela dit, je ne suis pas une spécialiste des contrats de mariage :)

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: linuxfr aussi

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Les mineurs bientôt privés de télécommunication (et les majeurs traqués). Évalué à 2.

    Il y a une urgence à répondre au téléphone ? Sauf si on est urgentiste, pompier ou plombier, naturellement ?

    Le problème c'est la dépendance à l'outil. Si vous ne pouvez pas vous en passer pour prendre une douche, c'est qu'il y a peut-être des trucs à revoir.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: droits Ă©conomiques et droits familiaux

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’étrange tropisme des femmes de sciences pour les associations de femmes et autres réflexions. Évalué à 4.

    Pire peut-être pas. Mais, effectivement, le contrat de mariage a aussi évolué entre-temps. Et si tes parents n’avaient pas pris la précaution de faire un contrat de mariage (ça passe par un notaire), tes parents étaient sous le régime du contrat de mariage par défaut à l’époque de leur mariage (avoir une tante qui a été l’une des premières notaires de France, ça sert 🙂). Donc oui, c’était normal sur le plan législatif et réglementaire. Mais c’est un cadre un peu différent.

    Accessoirement, le contrat de mariage peut être changé, devant notaire, à tout moment du mariage. Son choix n’est pas neutre (du contrat, pas du notaire) notamment quand l’un des époux, ou les deux, a une entreprise.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: dĂ©pĂŞche

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’étrange tropisme des femmes de sciences pour les associations de femmes et autres réflexions. Évalué à 3. Dernière modification le 09 mars 2023 à 11:37.

    Merci.

    Il faudrait une intro, inexistante. Ajouter peut-être une partie sur les femmes dans la « tech » et, évidemment, un paragraphe sur les droits familiaux que j’avais oubliés et, peut-être, classer un peu les liens, peut-être plus de liens in-texte aussi. Vu l’accueil du journal, je vais peut-être tenter.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: Du problème de la descrimination positive | Je dois avoir un biai

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’étrange tropisme des femmes de sciences pour les associations de femmes et autres réflexions. Évalué à 6.

    La bonne approche est selon moi de citer et mettre en avant les membres de la catégorie de personnes qui ont réussi malgré les obstacles.

    Il n’y a jamais de bonne approche. Il y a aura toujours, généralement de la part de celleux qui ne font rien, des remarques sur « ce n’est pas la bonne approche, il faudrait que ». En l’espèce, les associations font flèche de tout bois, et elles ont raison.

    En l’espèce les prix ça donne de la visibilité et ça oblige les membres des jurys, les structures, etc. à voir la qualité du travail fourni. Il en va de même pour le concours féminin de cheffe d’orchestre : il devient plus difficile d’ignorer les femmes dans ce cadre.

    Et ne rien faire en se disant, mais ça va s’améliorer tout seul n’est très clairement pas la bonne attitude. On le voit bien que ça ne s’améliore pas tout seul par miracle.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: droits Ă©conomiques et droits familiaux

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal L’étrange tropisme des femmes de sciences pour les associations de femmes et autres réflexions. Évalué à 3.

    Tout à fait, désolée. Le pire c’est que j’y avais pensé.

    Jusqu’au début des années 1970, les femmes devaient avoir l’accord de leur mari pour travailler et je pense jusque dans les années 1960, elles ne pouvaient pas émettre de chèque. La mère d’une de mes tantes, d’un milieu bourgeois, éduquée et intelligente, s’est trouvée fort dépourvue quand elle est devenue veuve et qu’il a fallu qu’elle en fasse. Elle n’en avait jamais émis de sa vie (c’est fou hein !).

    Jusqu’au début des années 1980, le domicile conjugal était forcément celui du mari.

    À ma décharge (excuse pourrie) c’était déjà bien assez long et je voulais que cela paraisse pile poil le huit mars (oui j’en ai commencé la rédaction un peu tard).

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • # J'ai bien rĂ©flĂ©chi

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Recherche auteurice d'adoption. Évalué à 9.

    Je crois que j'ai trouvé un angle pour Lorinda Cherry. Je prends et je ferai à mon idée et ça ne sera pas une resucée de Wikipédia.

    Cela dit, je suis consternée de l'accueil qu'a eu ton journal, c'est franchement triste et déplorable.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: ChatGPT ?

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au lien Est-il dangereux de se connecter au wifi d'un avion ?. Évalué à 6. Dernière modification le 08 mars 2023 à 15:34.

    Article Ă©crit pour les robots (SEO) pas pour les humains. Ce que j'ai vu du site est Ă  l'avenant d'ailleurs.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • [^] # Re: linuxfr aussi

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Les mineurs bientôt privés de télécommunication (et les majeurs traqués). Évalué à 1.

    Quelle nécessité il y a d'avoir son ordiphone dans la salle de bain ? Aucune. Donc autant l'interdire pour qu'il y ait des plages sans et éviter de potentiels accidents.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.