Comment soutenir les projets libres que l'on aime, et de manière plus générale, la création sur internet ? Quelques projets arborent un lien Paypal, mais cette solution est peu pratique, surtout si l'on veut soutenir régulièrement de nombreux projets.
Flattr permet de simplifier grandement ce processus. Pour donner à travers Flattr, le donateur commence par alimenter son compte Flattr. Ensuite, il choisit le montant qu'il va donner chaque mois, par exemple 5 €. Enfin, quand il voit un projet qui lui plaît, il n'a qu'à cliquer sur le bouton Flattr. À la fin du mois, le montant mensuel (5 € dans ce cas) est divisé équitablement entre tous les projets « flattés ».
Une petite vidéo valant mieux qu'un long discours, je vous suggère de regarder l'excellente vidéo de présentation de Flattr (en anglais).
Informations en vrac sur l'Espagne et la Catalogne
Revue de presse de l'April pour la semaine 41 de l'année 2010
La revue de presse de l'April est régulièrement éditée par les membres de l'association. Elle couvre l'actualité de la presse en ligne, liée au logiciel libre. Il s'agit donc d'une sélection d'articles de presse et non de prises de position de l'association de promotion et de défense du logiciel libre.
Sommaire
Sommaire
- [L'ATELIER] Logiciel libre et développement durable : même combat ?
- [cyberpresse.ca] Québec prêt à ouvrir une porte au logiciel libre
- [Developpez.com] Des lobbies américains tentent-ils d'entraver le logiciel libre européen ? Un billet de blog et un rapport relancent le débat
- [Silicon.fr] Linux explose les performances de la Bourse de Londres
- [Framablog] Avec Uniflow, Canon invente la photocopieuse qui espionne, refuse et dénonce
- [écrans] Microsoft n'aime pas du tout OpenOffice.org
- [ZDNet.fr] Rapport sur le logiciel embarqué: "la France rassemble un potentiel de développeurs de logiciel libre remarquable"
- [LeMagIT] Linux gagne du terrain dans les serveurs d'entreprise et s'inscrit pour durer
- [Génération nouvelles technologies] Java libre et OpenJDK : IBM rejoint Oracle
Quatrième semaine des JFL2010 du 18 au 24 octobre 2010
La seconde édition des « Journées Finistériennes du Libre 2010 » (JFL) se poursuit à Quimper.
Lors de la quatrième semaine du 18 au 24 octobre sont proposés :
Lors de la quatrième semaine du 18 au 24 octobre sont proposés :
- Atelier ouvert de Fanch Dodeur ;
- Formation Ubuntu à la MJC de Kerfeunteun ;
- Réunion OpenStreetMap ;
- Formation Thunderbird à la Cyberbase de Penhars ;
- Et création numérique avec GIMP par Pol Guezennec.
Sortie de DTC (Domain Technologie Control) 0.32 : panel de gestion d'hébergement
Après un an de développement, la version 0.32 de Domain Technologie Control (plus connu sous l'acronyme DTC) est sortie le 10 septembre dernier. Il s'agit d'un panel de gestion d'hébergement libre (licence LGPL pour le code et GPL pour les graphismes), pouvant aussi bien être utilisé pour gérer une plate-forme d'hébergement mutualisé que pour la gestion de serveurs dédiés et virtuels (VPS basés sur la technologie de virtualisation libre Xen), développé par la société GPLHost ainsi que divers contributeurs.
Revue de presse - octobre 2010
Ce mois-ci chez votre marchand de journaux, c'est le mois des hors-séries, ou presque. Commençons par les exceptions.
- GLMF titre sur PostgreSQL 9.0
- Linux Pratique Essentiel et son dossier sur les outils de communications libres pour Internet
- Toujours chez Linux Pratique, un hors-série qui vous guidera pour monter votre site web pour une poignée d'euros (et un peu de votre temps aussi ;) par an.
- Hors-série de Planète Linux sur la quintessence des articles de ce dernier.
- Enfin, on notera le hors série de Micro-Portable Tests sur le guide ultime (sic) sur Linux et l'Open Source
Meilleurs contributeurs LinuxFr : Les gagnants de septembre 2010
On continue sur notre lancée de récompenser ceux qui chaque mois contribuent positivement au site LinuxFr (dépêche, commentaire, logo, journaux, etc.). Vous n'êtes pas sans risquer de gagner un abonnement à Linux Magazine France, OpenSource Magazine ou encore un livre des éditions Eyrolles, ENI et InLibroVeritas. Voici les gagnants du mois de septembre 2010 :
Abonnement d'un an à Linux Magazine France ou OpenSource Magazine
Livres des éditions Eyrolles, ENI et InLibroVeritas
Certains gagnants n'ont pas pu être joints ou n'ont pas répondu. N'oubliez pas de mettre une adresse email valable dans votre compte ou lors de la proposition d'une dépêche. En effet, c'est notre seul moyen de vous contacter, que ce soit pour les lots ou des questions sur votre dépêche lors de sa modération. Tous nos remerciements aux contributeurs du site ainsi qu'à Linux Magazine France, OpenSource magazine (lien archive.org) et aux éditions Eyrolles, InLibroVeritas (lien archive.org) et ENI.
N'oubliez pas de contribuer ; LinuxFr vit pour vous et par vous !
Abonnement d'un an à Linux Magazine France ou OpenSource Magazine
- Michel Petit a rédigé une astuce pour écrire en russe facilement sous GNOME via la translittération
- Emeric G a annoncé la sortie de CyanogenMod 6 de manière très détaillée
- Jean-Michel Philippe a présenté DoudouLinux, l'ordi qu'ils préfèrent !
Livres des éditions Eyrolles, ENI et InLibroVeritas
- sanao s'est longuement attardé sur la sortie de Qt 4.7
- baud123 a suivi pour vous la saga Mandriva Linux/Maegia :
- Gui13 suit de près Diaspora qui a été publié sur GitHub et une alpha annoncée pour octobre
- Tiste surveille le Parlement Européen qui adopte le rapport Gallo pro-ACTA
- grondilu s'interroge : Connaissez-vous les bitcoins ?
- Christophe Casalegno a présenté Un nouveau serveur httpd : Ashd, A Sane HTTP Daemon
- Quant à Albert, il a rédigé le Faire part de naissance de LibreOffice
Certains gagnants n'ont pas pu être joints ou n'ont pas répondu. N'oubliez pas de mettre une adresse email valable dans votre compte ou lors de la proposition d'une dépêche. En effet, c'est notre seul moyen de vous contacter, que ce soit pour les lots ou des questions sur votre dépêche lors de sa modération. Tous nos remerciements aux contributeurs du site ainsi qu'à Linux Magazine France, OpenSource magazine (lien archive.org) et aux éditions Eyrolles, InLibroVeritas (lien archive.org) et ENI.
N'oubliez pas de contribuer ; LinuxFr vit pour vous et par vous !
VirtualBox disponible en version 3.2.10
VirtualBox, la fameuse, et non moins appréciée, solution de virtualisation, faisant office d’alternative concrète aux solutions moins ou pas libres telles que VMware, Virtual PC, est sortie dans sa version 3.2.10 le 8 octobre dernier.
Dans l’attente d’une décision moins officieuse de la part d’Oracle, le nouveau parrain, VirtualBox reste une puissante solution GPL de virtualisation pour les entreprises, et les particuliers, prenant en charge les plateformes x86 et AMD64/Intel64.
Au niveau les particularités qui ont permis son acceptation chez bon nombres d’utilisateurs, citons :
Dans l’attente d’une décision moins officieuse de la part d’Oracle, le nouveau parrain, VirtualBox reste une puissante solution GPL de virtualisation pour les entreprises, et les particuliers, prenant en charge les plateformes x86 et AMD64/Intel64.
Au niveau les particularités qui ont permis son acceptation chez bon nombres d’utilisateurs, citons :
- Modularité :
via son interface ergonomique orientée client/serveur, VirtualBox fait place à une certaine simplicité dans la gestion de la virtualisation, via la ligne de commande, ou à distance, mais également par le biais de son SDK, ouvrant la porte à un besoin spécifique de l’utilisateur.
- Intégration XML :
la configuration des machines virtuelles est enregistrée entièrement dans un fichier au format XML, et donc indépendamment de l’hôte, d’où un export aisé vers d’autres plateformes.
- Add-ons :
offrant la possibilité d’installer des supports améliorant la performance (Direct3d, accélération matérielle) , ou l’intégration (résolution graphique, et pointeur de souris), et ce pour un panel de plateformes comme Windows, Linux, Solaris, et OS/2 (avec quelques différences).
- Partage de fichiers :
comme d‘autres solutions de virtualisation, et dans le cadre d’un échange facilité entre l’hôte, et le client, VirtualBox permet de déclarer des répertoires à considérer comme « commun » entre le client et l’hôte.
- USB virtuel :
virtualisation d’un port USB, sans nécessiter de pilotes particuliers, et compatible avec le protocole standard RDP (Remote Desktop Protocol).
Hackweeks Winter Édition 2010 - J-37
Les h@ckweeks sont un concept imaginé par EPPLUG (NdR : Eleveurs de Pingouins Picards) dans la lignée des devcamps (camp de développement) connus de la communauté mais étendu à tout type des projets libres. Ils ont été annoncés sur LinuxFr.org fin juillet.
Comme tout camp de développement, il s'agit bien de fournir aux participants, durant une semaine complète, l'ensemble de la logistique nécessaire à l'avancement de leur projet.
Comme annoncé, l'édition d'hiver 2010 de cet événement bi-annuel a lieu du 22 au 28 novembre, et accueille 4 projets :
Le samedi, une journée proche du public est prévue, avec des ateliers, des expositions, des conférences de la part d'acteur divers du libre, tel que Romy de cuisine-libre.fr ou bien Alexis du groupe lillois de pop japonaise Shiko Shiko (Jamendo est ton ami).
Parlez-en, venez, faites découvrir le libre dans tout ses états !
Comme tout camp de développement, il s'agit bien de fournir aux participants, durant une semaine complète, l'ensemble de la logistique nécessaire à l'avancement de leur projet.
Comme annoncé, l'édition d'hiver 2010 de cet événement bi-annuel a lieu du 22 au 28 novembre, et accueille 4 projets :
- Nobjet
- Seeks
- Dolibarr
- Domogik
Le samedi, une journée proche du public est prévue, avec des ateliers, des expositions, des conférences de la part d'acteur divers du libre, tel que Romy de cuisine-libre.fr ou bien Alexis du groupe lillois de pop japonaise Shiko Shiko (Jamendo est ton ami).
Parlez-en, venez, faites découvrir le libre dans tout ses états !
Rencontres Wikimédia - nouveau rendez-vous de la culture libre
Les Rencontres Wikimédia sont un nouveau rendez-vous annuel pour tous ceux qui contribuent à la culture libre, sur les projets Wikimédia ou ailleurs. Un rendez-vous d'ouverture, puisque le but est de rencontrer non seulement les contributeurs mais aussi les professionnels du secteur de la culture, lesquels montrent un intérêt accru pour les pratiques de collaboration et de mise à disposition de leurs contenus sur le Web.
Les Rencontres Wikimédia 2010 se réuniront cette année autour du thème : « Patrimoine culturel et web collaboratif ».
Wikimédia France, association pour le libre partage de la connaissance, organise l'événement. En 2010, Wikimédia France a travaillé à la mise en œuvre de partenariats culturels, l'un avec la Bibliothèque nationale de France, l'autre avec la ville de Toulouse. Ces partenariats voient le jour un peu partout dans le monde, grâce à l'action des associations Wikimédia et à l'enthousiasme d'institutions culturelles, volontaires pour expérimenter sur le web et confiantes dans les nouveaux vecteurs culturels libres.
Associations et institutions culturelles, professionnels et volontaires, nous avons tous à apprendre des uns et des autres : rencontrons-nous !
Les Rencontres Wikimédia 2010 se dérouleront les 3 et 4 décembre 2010 à Paris, au 101 rue de l'Université (salle Victor Hugo).
Les Rencontres Wikimédia 2010 se réuniront cette année autour du thème : « Patrimoine culturel et web collaboratif ».
Wikimédia France, association pour le libre partage de la connaissance, organise l'événement. En 2010, Wikimédia France a travaillé à la mise en œuvre de partenariats culturels, l'un avec la Bibliothèque nationale de France, l'autre avec la ville de Toulouse. Ces partenariats voient le jour un peu partout dans le monde, grâce à l'action des associations Wikimédia et à l'enthousiasme d'institutions culturelles, volontaires pour expérimenter sur le web et confiantes dans les nouveaux vecteurs culturels libres.
Associations et institutions culturelles, professionnels et volontaires, nous avons tous à apprendre des uns et des autres : rencontrons-nous !
Les Rencontres Wikimédia 2010 se dérouleront les 3 et 4 décembre 2010 à Paris, au 101 rue de l'Université (salle Victor Hugo).
Du droit de bidouiller : un test génétique fait fi des brevets sur les gènes
Tout le monde en parle : dans un article publié il y a quelques jours dans la revue Genome BIology, deux chercheurs de l'Université du Maryland ont créé un programme pouvant identifier 68 mutations associées avec une susceptibilité accrue aux cancers du sein et des ovaires. Jusqu'ici, rien de spectaculaire : il y a un tas de geeks qui écrivent des programmes extras. Celui-ci est tout de même un peu spécial : comme je l'avais relaté il y a quelques mois, la bataille juridique autour des brevets accordés à l'entreprise Myriad Genetics pour la possession et exploitation exclusive des séquences des gènes incriminés fait rage. Voilà que ce programme (libre) présente un do-it-yourself (« faites-le-vous-mêmes ») test génétique et ce, sans avoir peur de brevets.
Framasoft lance une campagne de dons
Après un premier appel à soutien en 2008, l'association Framasoft, qui a pour but de servir de porte d'entrée dans la communauté du logiciel et de la culture libres, lance un second appel à soutien dans une campagne qui vise l'objectif ambitieux de réunir 1000 personnes donnant 10 € par mois pendant au moins un an.
Afin de pérenniser l'emploi de ses deux permanents, l'association recherche des fonds qui lui permettront de continuer dans sa mission de présenter les logiciels et la culture libres au grand public, facilitant ainsi la migration et l'adoption du libre chez les personnes qui ne sont pas encore sensibilisées.
Afin de pérenniser l'emploi de ses deux permanents, l'association recherche des fonds qui lui permettront de continuer dans sa mission de présenter les logiciels et la culture libres au grand public, facilitant ainsi la migration et l'adoption du libre chez les personnes qui ne sont pas encore sensibilisées.
Cyberlog-corp lance une enquête sur les lois HADOPI
Après plusieurs enquêtes sur l’évolution du logiciel libre, Cyberlog (http://cyberlog-corp.com) lance une enquête sur les lois HADOPI qui suscitent polémiques et interrogations sur les moyens de lutter contre le téléchargement illégal, le terrorisme et la pédopornographie sur Internet.
Collaboration entre Spot Image et OpenStreetMap
Le 4 octobre 2010, par la voix de Jean-François Faudi (web & e-business director), Spot Image a annoncé la mise à disposition de la communauté OpenStreetMap du fonds cartographique SpotMaps. Ainsi, les contributeurs qui œuvrent sur la France métropolitaine peuvent désormais se servir de ce fonds comme calque d'appui pour produire des données libres à destination d'OpenStreetMap.
Le fonds cartographique SpotMaps est constitué d'images issues du satellite Spot 5 et se caractérise notamment par une excellente précision planimétrique. Si sa résolution (2,5 mètres) le rend d'un intérêt mineur en ville, où les contributeurs ont déjà accès, en France, aux données cadastrales vectorisées et géolocalisées, SpotMaps s'avère précieux dans les zones rurales et/ou accidentées.
Notez qu'il ne s'agit nullement d'une libération de données - Spot Image ne diffuse pas SpotMaps sous licence libre - mais bien d'une autorisation d'utilisation dont le périmètre et les conditions sont strictement définis. De fait, l'accès est pour l'instant limité dans le temps (6 mois) et l'espace (France métropolitaine), mais il pourra être prolongé et étendu à l'issue de cette expérience. Il n'en reste pas moins que l'initiative de Spot Image mérite d'être saluée et que nous pouvons remercier Jean-François Faudi, d'autant plus que cette collaboration a nécessité la mise en œuvre par Spot Image de moyens dédiés et qu'elle ne se fait donc pas à coût nul.
Le fonds cartographique SpotMaps est constitué d'images issues du satellite Spot 5 et se caractérise notamment par une excellente précision planimétrique. Si sa résolution (2,5 mètres) le rend d'un intérêt mineur en ville, où les contributeurs ont déjà accès, en France, aux données cadastrales vectorisées et géolocalisées, SpotMaps s'avère précieux dans les zones rurales et/ou accidentées.
Notez qu'il ne s'agit nullement d'une libération de données - Spot Image ne diffuse pas SpotMaps sous licence libre - mais bien d'une autorisation d'utilisation dont le périmètre et les conditions sont strictement définis. De fait, l'accès est pour l'instant limité dans le temps (6 mois) et l'espace (France métropolitaine), mais il pourra être prolongé et étendu à l'issue de cette expérience. Il n'en reste pas moins que l'initiative de Spot Image mérite d'être saluée et que nous pouvons remercier Jean-François Faudi, d'autant plus que cette collaboration a nécessité la mise en œuvre par Spot Image de moyens dédiés et qu'elle ne se fait donc pas à coût nul.
Ubuntu 42, la réponse universelle aux besoins de Madame Michu
Canonical et la communauté Ubuntu ont livré la nouvelle version d'Ubuntu (10.10 Maverick Meerkat) à la date remarquable du 10 octobre 2010. Le choix de cette date flatte les technophiles barbus qui œuvrent pour ou utilisent cette distribution grand public.
Cette version est livrée en pas moins de huit variantes : Ubuntu Desktop Edition, Ubuntu Netbook Edition, Ubuntu Server Edition, Kubuntu, Xubuntu, Edubuntu, Ubuntu Studio et Mythbuntu. C'est sans compter les autres variantes qui n'ont pas choisi la date magique pour livrer leurs nouveautés. Citons pêle-mêle Lubuntu, Fluxbuntu, OpenGEU, moonOS, Ulteo, Bubuntu, etc.
Visuellement, le style est peaufiné. La nouvelle police Ubuntu s'étend pour un usage commun dans l'interface. Ubuntu est le premier système d'exploitation à prendre en charge d'office le caractère correspondant au nouveau roupie indien !
L'édition Desktop accueille GNOME 2.32. Evolution 2.30 arrive enfin, après avoir été recalé de la LTS. Le menu son du tableau de bord s'intègre désormais avec les lecteurs multimédias. Shotwell remplace F-Spot, voilà toujours un logiciel Mono de moins. Le service du stockage en ligne personnel Ubuntu One s'intègre mieux pour l'inscription et l'identification, ainsi que pour la synchronisation à distance depuis Nautilus.
L'édition Netbook intègre l'interface Unity, projet pionnier utilisant les technologies de GNOME 3.
L'édition Edubuntu propose le nouveau logiciel GNOME Nanny, un logiciel de contrôle parental de l'utilisation de l'ordinateur.
La version 11.04 d'Ubuntu a été annoncée par Mark Shuttleworth. Son nom de code est « Natty Narwhal », ce qui signifie « Narval chic ». Deux impulsions majeures ont été données par le dictateur bienveillant à vie autoproclamé. Premièrement, persévérer sur le travail de l'aspect visuel ; de la première impression à la dernière. Deuxièmement, tirer plus partie des puces graphiques ; notamment sur l'embarqué/les micro-portables. Les nouveautés attendues sont GNOME 3 et Firefox 4.
NdM : le titre de la dépêche fait référence à la « grande question sur la vie, l'univers et le reste »
Cette version est livrée en pas moins de huit variantes : Ubuntu Desktop Edition, Ubuntu Netbook Edition, Ubuntu Server Edition, Kubuntu, Xubuntu, Edubuntu, Ubuntu Studio et Mythbuntu. C'est sans compter les autres variantes qui n'ont pas choisi la date magique pour livrer leurs nouveautés. Citons pêle-mêle Lubuntu, Fluxbuntu, OpenGEU, moonOS, Ulteo, Bubuntu, etc.
Visuellement, le style est peaufiné. La nouvelle police Ubuntu s'étend pour un usage commun dans l'interface. Ubuntu est le premier système d'exploitation à prendre en charge d'office le caractère correspondant au nouveau roupie indien !
L'édition Desktop accueille GNOME 2.32. Evolution 2.30 arrive enfin, après avoir été recalé de la LTS. Le menu son du tableau de bord s'intègre désormais avec les lecteurs multimédias. Shotwell remplace F-Spot, voilà toujours un logiciel Mono de moins. Le service du stockage en ligne personnel Ubuntu One s'intègre mieux pour l'inscription et l'identification, ainsi que pour la synchronisation à distance depuis Nautilus.
L'édition Netbook intègre l'interface Unity, projet pionnier utilisant les technologies de GNOME 3.
L'édition Edubuntu propose le nouveau logiciel GNOME Nanny, un logiciel de contrôle parental de l'utilisation de l'ordinateur.
La version 11.04 d'Ubuntu a été annoncée par Mark Shuttleworth. Son nom de code est « Natty Narwhal », ce qui signifie « Narval chic ». Deux impulsions majeures ont été données par le dictateur bienveillant à vie autoproclamé. Premièrement, persévérer sur le travail de l'aspect visuel ; de la première impression à la dernière. Deuxièmement, tirer plus partie des puces graphiques ; notamment sur l'embarqué/les micro-portables. Les nouveautés attendues sont GNOME 3 et Firefox 4.
NdM : le titre de la dépêche fait référence à la « grande question sur la vie, l'univers et le reste »