Gil Cot ✔ a écrit 6119 commentaires

Sa remarque reste pourtant valable : « Le format le plus utilisé actuellement n’est ni le setup.cfg, ni le pyproject.toml, mais toujours le bon vieux setup.py. » (vrai en décembre 2018, vrai aujourd’hui…)
On peut supporter 922k projets abandonnés (vraiment ?), et cela pose de nombreuses questions sur la santé de l’écosystème. (si l’auteur du lien posté n’avait pas su trouver des solutions —et qu’on l’accuse de ne pas vouloir apprendre— peut-être qu’il aurait jeté l’éponge comme quelques boîtes autour de moi.)

“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

Je rejoins Stéphane : les gens ne sont (hélas) pas formés à la bureautique …parce-que les marketing ont vendu que c’est facile et que ça va toujours de soi.

Pour Emacs en général, oui on peut avoir des formules et des graphiques dynamiques et ce simplement (sauf que la notion de facilité est relative : la logique et le workflow ne sont pas les mêmes que dans un outil wysiwig de type Works ou suite bureautique ; c’est plus proche du couple R+markdown ou peut-être de Jupyter)
Modes de fonctionnement différents …du coup on ne peut pas vraiment comparer. Cela rend la question pertinente. :)

“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

Ça fait 4 fois que ça change et les 3 changements précédents étaient dans la douleur.
Et même quand il n'y avait pas de changement officiel ça pétait (en CI ou en prod).

Voilà, c’est ce qui est dénoncé ; mais on réussi à retourner en

Bref, il veut pas apprendre un nouveau truc

On peut comprendre qu'au bout d'un certains moments les gens arrêtent de se mettre à jour tous les matins ou retardent le moment fatidique de la douleur.

Surtout quand, même en passant le cap, c’est pour se rendre compte que ce n’est pas du tout sec le nouveau truc et même que c’est un peu une régression vu qu’il a des fonctionnalités qui passent à la trappe.
En tout cas, je n’est pas eu l’impression que pyproject.toml permette de faire simplement ce qu’il faisait avec setup.py qui a en prime l’avantage d’être documenté (là il a fallu faire de l’ingénierie inverse.) Tout le contraire de

trouve que le vieux truc pourri est pourri et prend le temps de faire un billet pour se plaindre

“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

J'aime bien le :

Une simple recherche github retourne :
setup.py: 1,259,007 results
setup.cfg: 165,716 results
pyproject.toml: 2,137 results

…pour un « format à succès » comme dirait le premier commentaire ; les chiffres disent le contraire de la croyance.

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Pour rejoindre ChocolatineFlying< juste en utilisant l'APN on peut lire du PDF417 et EAN entre autres avec :
- https://f-droid.org/en/packages/com.example.barcodescanner/
- https://f-droid.org/en/packages/com.github.andremiras.qrscan/
- https://f-droid.org/en/packages/com.google.zxing.client.android/ (une référence)
- https://f-droid.org/en/packages/de.markusfisch.android.binaryeye/ (basé sur le précédent)
- https://f-droid.org/en/packages/org.ligi.passandroid/ (celui-ci ne lit pas EAN mais connait AZTEC)

C’est vrai aussi que je ne connais pas de programme de lecture ou similaire sous Linux, mais les bibliothèques de décodage existent (dont ZXing pour lequel il y a un wrapper Python au passage, mais aussi : le SDK leadtools, un vieux code sur SF, une bibliothèque Python qui le portage/pendant d’un autre en C-sharp, etc.)
En dehors des dépôts, j’ai trouvé une webapp java, et c’est tout.

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Peut-être un jour, quand il y aura trop de milliards perdu et qu’ils se diront que qu’il faut faire quelque chose pour diminuer la friction avec les fans, ils feront comme pour les formatages automatiques ? Après, tant que les gens se persuadent que leur bouse est une barre d’or, les petits mous survivront…

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Qu'est donc cet Eqn que vous mentionnez ?

J’avais prévu de faire un journal sur Eqn qui est resté en brouillon (et je me disais par ailleurs que ça n’intéresserait pas vraiment.) Alors, Eqn est à la fois un format et le nom du programme interprétant ce format pour produire du code RunOff Unix (du coup, eqn sert de filtre/préprocesseur dans la chaîne de compilation de nroff/troff.)
On l’a évoqué récemment via la dépêche sur Lorinda et il y a une entrée Wikipédia en anglais sur ce format.

Les deux langages se ressemblent d'ailleurs.

Don Knuth connaissait bien Eqn qu’il a choisi de ne pas reprendre (i.e. partir sur cette base exacte) mais de faire autre chose (avec pas mal d’emprunts) qui en corrige les défauts (voir l’exemple de sur Wikipédia)

D'autre part, il est difficile d'imaginer que l'éditeur d'équation de StarOffice précède la première version de cette suite de 7 ans.

Vrai. :) Mon propos était surtout que leur logiciel avait des contraintes, que j’avoue ne pas connaître, qui ont influencé les choix faits. Là dessus, je ne jurerai même pas que c’est Eqn sous le capot ; je disais juste qu’il y avait plusieurs influences possibles (autre que LaTeX) et que visiblement tous partagent des éléments de langage commun avec Eqn ;)

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Merci. Il y a donc un genre de réflexe de Pavlov (excusez la caricature) qui incite à une certaine durée pour la mise en avant.

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Ça commence par un "j'y connais rien",

Je présume que c’est en allusion à

[…]d'un autre béotien[…]

et ça se termine par une suggestion qui sous-entend que LibreOffice c'est assez nul en fait :-(

Je présume que c’est en réaction à

Les styles par défaut m'ont toujours parus… pour le moins bizarre sous Libreoffice. Interprétation complotiste : quelqu'un de malveillant voulait un rendu ignoble par défaut des documents ; à tout le moins je n'ai jamais compris leur logique.

1/ faire un modèle avec LibreOffice c'est à la portée de n'importe qui,
2/ même si les styles des modèles par défaut ne sont pas terribles, il est possible de les modifier très facilement

Ça tombe bien, avant d’indiquer qu’il n’aime pas les styles par défaut (donc soit tu lui reproches ses goûts, soit tu faits fi de la mention introduisant la phrase suivante et qui dit que c’est une « interprétation complotiste » et se termine par l’aveu d’incompréhension) ; il est bien marqué :

Il ne faut pas hésiter à utiliser des modèles.

Certes, ça ne parle pas de la facilité de faire des modèles (mais bon, on ne peut pas inventer ce qu’on ne sait pas et j’y reviendrai plus tard.) Cependant ça a le mérite de rappeler d’entrée de jeu que les modèles existent et d’encourager à leur usage (ce qui est tout le contraire des pratiques des gens qui viennent des outils µ$ il me semble.)
Du coup, j’ai l’impression (à tort ?) que ton agacement est juste pour une « interprétation » qui se dit elle-même tirée par les cheveux ; et qui ne représente même pas l’essentiel du message…

Maintenant, pour rebondir sur ton propos sur la facilité des modèles, je me dis (peut-être à tort ?) que ce n’est pas assez mis en avant dans les tutos (voire pas du tout, du moins ceux que j’ai vu)
Puisqu’on y est, j’ai cru voir un commentaire sur l’interface, et je pense que la capacité de personnalisation doit être mise en avant dans les tutos …tout en indiquant les avantages des choix par défaut.

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Pour la petite précision, le format LaTeX a surtout introduit de nouveaux environnements : equation pour numéroter, juste displaymath (ou \[…\]) pour ne pas numéroter, math (ou \(…\)), array pour des tableaux dont toutes les cellules sont mathématiques, eqnarray je crois.
L’essentiel de la notation mathématique (et donc les commandes de base) est reprise du format PlainTeX de 1978…

Pour la défense de StarOffice, Eqn est antérieur à TeX d’une part, et le programme avait besoin de quelque chose facile à manipuler par l’interface graphique (et à stocker en XML ?)

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Question bête pour assouvir ma curiosité : est-ce une longueur calibrée par rapport à la plateforme ? J’ai entendu dire qu’il se sont mis aux courts comme chez un concurrent.

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(petit hs)

il est clair que ce qui est présenté est super séduisant

Tiens, c’est l’un des trucs qui m’a plu dans PowerShell : param() et ses [parameter()] pour

le parsing des arguments

Par contre, PowerShell a poussé le concept des commentaires documentant pour faire sans chichi

l'auto-documentation

…et simplement intégré dans leur système d’aide (il manque juste l’internationalisation…)

(pour revenir au sujet, je n’ai rien à rajouter à la réponse qui a été faite par Psychofox, mais les mythes ont la vie dure…)

qui s’écrit une fois mais difficile a reprendre par la suite

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Et en même temps, nous élisons et applaudissons des gens qui veulent mettre plus de pognon pour surveiller les messageries chiffrées sur les smartphones, mais laisse des assos s’occuper de la pauvreté tout en leur mettant les bâtons dans les roues puis en se réjouissant qu’un favoriser ruisselle une piécette aux restos du cœur…

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Il faudra que je réencode tout chez moi ?
Ça attendra : je ne diffuse et ne lis pas par le navigateur.

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Qui a dit que c'était libre ?

Je pense que la modération devrait retirer l’étiquette logiciel libre

un contexte de gratuité / absence de pub.

…et peut-être mettre l’étiquette de gratuiciel ou similaire.

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Oui, pas besoin d’une bonne luminosité ambiante ou d’une surface bien plane (par exemple votre billet d’avion froissé arrive à être lu) avec assez de contraste (typiquement les qr-code qui ne sont pas avec un fond blanc c’est galère.) Lu en flux, avec les douchettes, est un plus dans les industries qui l’utilise (je pense notamment à la logistique.)

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Dans le cas particulier des bagages dans les transports en commun, un réel oubli lèse effectivement le/la propriétaire du bagage perdu à jamais (comme mentionné plus tôt ce sera détruit par les démineurs alors qu’à une époque que les moins de je-ne-sais-combien n’ont pas connu il fallait prier que ce ne soit pas volé et entrer dans les démarches du bureau des objets re-trouvés.) Actuellement, si tu as bien mis les étiquettes et tout, tu es en effet récompensé d’une amende : faut bien faire rentrer les sous dans les caisses… ;)

Par contre, après avoir admis qu’il y a toujours le fait de saisir des opportunités pour avancer son agenda ou tirer profit, je ne taperai pas avec toi sur le point sécuritaire. C’est probablement là le principal point de désaccord avec les réponses que tu as eu.
En effet, quand tu regardes bien, combien d’attentats à la bombe dans un lieu public ne s’est pas fait par l’abandon (à ne pas confondre avec l’oubli hein) d’un colis piégé ? De mon petit vécu, je ne vois pas d’exception (bien qu’on entende parler maintenant des véhicules beliers-kamikaze-etc, depuis que je suis gosse —hormis maintenant les tireurs dans la masse— je n’ai connu que ces fameux colis piégés) Et je pense que c’est adresser le problème que, dans le doute, de barricader et faire intervenir les démineurs. Si tu as d’autres solutions nous sommes à l’écoute.

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Google va détecter les malware par des outils de scan, mais comme il n’y a pas de transparence et que tout est automatisé va donc savoir ce qui est classé en malware. En règle général, quand tu passes la barrière pour arriver à poser ton truc dans leur boutique, c’est bon tant qu’il n’y a pas de signalement (massif des usagers, ou peut-être des alertes d’acteurs de la sécurité.)
F-Droid semble avoir un process plus humain avec ce que ça implique : si c’est fait subtilement, ça peut passer sous le radar des yeux qui vont ausculter le code. En général, les équipes regardent surtout les permissions demandées puis les bouts de code qui les nécessitent ; mais ça prend quand même du temps. Il y a aussi des outils pour automatiser sur des trucs bien connus : détecter les moteurs de pubs par exemple. Et quand quelque chose est signalé, une personne va regarder la partie du code qui génère ce comportement et il y aura blocage/retrait si besoin (les corrections se font toujours upstream.)
J’ai vu quelques applis avoir un code propre et pourtant un binaire qui se comporte différemment (le cas le plus simple —et bénin ?— est la présence de pubs.) Et là il y a une vraie différence : comme F-Droid compile elle-même, ça te garanti que le binaire signé par eux correspond à leur compilation …tandis que le binaire que tu récupères ailleurs (les autres stores —officiel ou pas, le hub, etc.) peuvent être différents du source affiché (ou l’inverse vu que les gens de F-Droid vont neutraliser les traqueurs.)

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Je lis, au moment où j’écris, -1 (+0/-0) : le message n’est pas moinssé mais plutôt le compte poste en négatif…

Le lien que tu pointes indique en « Basic introduction » que QR code (dont le nom indique qu’on veut que ça réponde/décode rapidement) et PDF 417 sont tous deux « 2D barcode » ;) Ce même lien indique en synthèse, « QR Code vs. PDF417 vs. DataMatrix Code », que « QR codes have a larger capacity than PDF417 and DataMatrix codes » contrairement au commentaire initial, mais cela ne signifie pas que c’est plus adapté dans l’absolu (tout dépend des critères d’évaluation que l’on se donne.)
En regardant dans le « A quick comparison table » on voit que les deux utilisent l’algorithme Reed-Solomon …et que la différence de capacité pourraient être due au fait que QR code a une fiabilité de 30% du message endommagé alors que PDF 417 a une fiabilité de 50% du même message endommagé (donc on augmente les contrôles d’erreur et du coup on stock moins de données à taille égale.) Il se trouve qu’on est ici dans un cas où on n’a pas besoin d’autant de fiabilité : c’est la même personne aux deux bouts et il n’y a quasiment pas de délai, donc si ton texte est corrompu tu t’en rends vite compte et recommence en ne perdant que quelques secondes.

Pour le côté natif sur smartphone, j’ai un doute : il n’y a pas de puce qui décode du QR code, c’est toujours un bout de code …que de plus en plus d’applis de prise de photo intègrent (d’où l’illusion ?) J’ai pu faire l’expérience avec du vieux matériel : ça ne lit pas nativement, mais si on installe la bonne appli (ou si on utilise une version plus récente des applis photos du constructeur) on sait décoder quand la caméra filme un tel code.

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L’exemple du chirurgien ou de la chirurgienne ne peut pas être assimilé à ce que nous appelons communément un oubli (par exemple vous oubliez vos clés dans la porte qui claque) : il y a des protocoles et procédures pour que la chose n’arrive pas, et donc ce qui est sanctionné c’est le non respect de chaîne qui entraîne un accident que les règles devaient justement prévenir.
De la même façon, l’architecte n’est pas une personne dans son coin qui fait tout l’édifice ; il y a un certain nombre de garde-fours et de contrôles du métier : un facteur oublié seul ne suffit pas pas, il faut aussi que les gens qui font les vérifications laissent passer et que les permis aient été délivrés en fermant les yeux sur ce facteur dont on ne tiendrait pas compte.
Tu parles justement de professionnels …pour contre argumenter le fait que la personne lambda qui prend les transports ne se rende pas compte dans la panique et la précipitation qu’il lui manque un bagage. Le choix des mots est intéressant : cela suppose que pour être usagers des transports il faut être professionnel de la chose (et avec cela on devrait tous privilégier les transports en commun) …intéressante vision ceci dit.

“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

Pour ne pas présumer d’un nom de fichier qui n’existerait pas, je propose la correction

- OUTPUTFILE="$HOME/.qr.png"
+ OUTPUTFILE=$(mktemp --suffix ".png")

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Je présume que les grilles du Sudoku de Gnome sont exporté via la fonction d’impression …en PDF ? Dans cette idée, tu peux appeler LaTeX à la rescousse avec le paquetage profcollege de Christophe Poulain : il y a une partie jeux mathématiques qui propose :

• La « rose » des multiplications
  pour généraliser le résultat de la pyramide de nombres
• Le défi « Table »
  permet d’afficher une table de multiplication où les produits ont été remplacés par des « caractères ».
• Le défi « Rangement »
  permet d’afficher une suite de nombres à ranger, chaque nombre étant associé à une lettre ou symbole de ponctuation.
• Billard
  permet de construire un « billard » tel que l’’élève doit alors tracer la trajectoire d’une boule passant par des lettres afin d’obtenir un mot caché.
• Labyrinthe
  permet de construire un « labyrinthe » de calculs à relier
• Labyrinthe de nombres
• Triominos
• Dessin gradué
• Colorilude
• Pixel Art
• Mul'Art
• Qui suis-je?
• Mots empilés
• Mots croisés
• Mots codés
• Mosaïque
• Des cartes à jouer
• Des dominos à jouer
• Des enquêtes
• Puissance Quatre
• Le Yohaku
• Le KenKen
• Le Kakuro
• Le Shikaku
• Calculs croisés
• Nombre astral
• Le compte est bon
• Barres de calculs
• Énigme et aire
• Fraction d’aire d’un carré
• Tectonic
• Le jeu du calisson
• Puzzle Pyramide
• Message Caché
• Ronde infernale
• Le Futoshiki
• Garam
• SquarO
• Grades
• MidPoint
• Kakurasu
• Trio
• Les nonogrammes
• Dobble
• Number Hive
• Le Grimuku
• Cryptarithmes
• Le Fubuki
• Cible « quatre opérations »
• « Serpent »

Il y en a d’autres qui ne sont pas classés en jeux : La calculatrice cassée ; La pyramide des nombres ; etc.
Le seul truc est qu’il faut : savoir utiliser LaTeX (pas d’interface graphique) et que celui-ci soit installé, se farcir la documentation du paquetage (complète et bien faite au demeurant.)

“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

Un peu dans le même esprit que le Sudoko de Gnome, il y a une appli pour jouer aux mots croisés. Souci : ça télécharge des grilles depuis des sites anglophones bien connus qui en fournissent (i.e. les grilles sont en anglais…) Cependant, ça sait aussi charger des grilles locales au format .puz ou .ipuz que je ne connaissais pas.
Un autre programme multiplateforme de ce type, est XWord qui connait aussi ces formats (entre autres) et dont je ne sais si c’est toujours actif.
Il y a des outils en ligne (donc on dépend d’une connexion internet et d’un serveur que l’on ne maitrise pas), et j’ai trouvé exolve qui permet de faire le sien. Je n’ai pas encore testé, mais ça peut importer .puz et .ipuz aussi.

Du coup, je suis allé regardé les divers formats.
- .jpz est le format de Crossword Solver qui est en java (donc utilisable sous Linux), mais le générateur du format est fermé et payant et pour Windows seulement.
- .puz est le format de Accross Lite qui n’a pas de binaire pour les Unix. Le format, utilisé par le NYT, est en grande partie documenté par Literate Software Systems et il y a la bibliothèque Python puzpy qui permet d’en générer.
- .rgz était le format de Aries Rows Garden dont les grilles, en anglais, sont maintenant disponibles en .jpz et en .pdf
- .ipuz est un format JSON dont la spécification est ouverte et est donc à préférer. C’est de plus pensé pour divers types de puzzles y compris le sudoku. Il y a une bibliothèque C, libipuz, ainsi qu’une bibliothèque Python, ipuz. Ce qui fait donc le plus défaut ce sont les interfaces graphiques pour faire la génération de puzzles dans ce format.
- On trouve des convertisseurs en ligne comme CrossWordNexus, mais on peut installer localement kpuz (par l’auteur d’une appli mobile supportant .puz et .jpz) ou xpuz pour convertir certaines formes de grilles entre .puz et .ipuz

Conclusion, ce qui fait actuellement défaut est une GUI pour faire la génération…

“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

Il y a hélas, autour de ça, une promotion de dingue :(

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Quand je dis que je ne trouve pas cette solution "élégante", c'est parce que ça fait des read() (et autres accès fs).
Bien que /proc soit un répertoire "spécial", ça reste moins pratique qu'une solution (apparemment inexistante) qui ferait une seule requête au noyau ("quels sont tous les descendants du Pid 1234").

Cela me fait penser à cette discussion https://news.ycombinator.com/item?id=38009372 (ça n’apporte pas de solution mais j’ai trouvé les commentaires intéressants.)

“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume