IBM s'implique dans OpenOffice.org

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12
sept.
2007
Bureautique
IBM s'implique dans le développement et la promotion de la suite bureautique OpenOffice.org. C'est ce qui vient d'être annoncé sur le site d'OpenOffice.org dans un communiqué de presse daté du 10 septembre.
IBM se joint ainsi à Sun à qui nous devons la libération du code de StarOffice en 2000 et qui est actuellement le leader du projet.
IBM s'intéresse à OpenOffice.org depuis des années comme le montre la recherche du mot OpenOffice sur son site web. IBM s'est aussi impliqué dans le soutien du format ODF (ISO 26300) face à OpenXML.

Des réactions très positives ne se sont pas faites attendre. elles émanent des directions de Sun et également de RedFlag (la distribution chinoise), Ubuntu et RedHat.

Interopérabilité : Réponse à la Commission Européenne à propos du rapport Gartner sur l'interopérabilité

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13
sept.
2007
Communauté
Le contexte
La Commission Européenne a lancé en 1995 un vaste programme nommé IDABC : (Interoperable Delivery of European eGovernment Services to public Administrations, Businesses and Citizens).
Dans le cadre de ce programme la Commission avait commandé au cabinet Gartner une étude qui avait conduit au rapport final EIF 1.0 en novembre 2004. Ce rapport préconisait l'emploi des formats ouverts et l'utilisation de logiciels libres.

Une deuxième étude destinée à préparer le document EIF 2.0 a été commandée à Gartner et a été rendue publique fin mai 2007. Elle est en contradiction avec la première sur des points essentiels. En particulier, elle rejette les logiciels libres, accepte la concurrence entre formats propriétaires et insiste sur l'intérêt de maximiser les profits pour les éditeurs de logiciels. La dernière lettre de IDABC semble avoir été oubliée.

La réponse du groupe interop
Le groupe interop de l'AFUL comprend aussi des participants venant d'autres horizons. Ce groupe se demande encore ce qui a pu influencer Gartner pour avoir à ce point retourné sa veste. Le rapport semble totalement ignorer le procès entre Microsoft et la C.E. pour abus de position dominante.
La réponse qui reprend les remarques ci-dessus a été remise par l'AFUL avant la date limite du 15 septembre.

Le groupe interop vous invite à vous joindre à la Campagne Européenne de soutien aux formats ouverts qui dénonce le rapport Gartner publié par l'IDABC le 29 juin 2007.

Le RGI est toujours en danger

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20
nov.
2007
Communauté
Le comité de pilotage du RGI (Référentiel Général d'Interopérabilité) s'est réuni le 12 octobre 2007 et n'a pris aucune décision quant à l'adoption définitive de ce document que tout le monde attend... sauf Microsoft.
Alors que d'autres pays comme la Belgique nous envient le RGI qui a représenté 6 ans de travail, il y a des Français qui tombent dans le jeu d'une compagnie étrangère qui nous coûte fort cher. Cette stérilité et l'attitude incongrue et suspecte de certains membres du comité de pilotage va à l'encontre des intérêts du pays.

L'un des opposants les plus acharnés du RGI est Monsieur Alain Risson, maire de Gluiras (07) et rapporteur du groupe de travail TIC de l'association des maires de France (AMF). Son attitude est d'autant plus dommageable que Microsoft utilise sa position pour pousser en avant son format OpenXML qui n'a d'ouvert que l'apparence. Le salon des maires ouvrant ces jours-ci à la porte de Versailles, nous pouvons espérer que d'autres maires lui feront part de l'inconvenance de ses propos rapportées par son président en ces termes : "Le RGI ne peut donc s'appliquer aux collectivités territoriales".

Les analyses de Bernard Lietaer et de Bernard Carayon convergent vers la même mise en garde comme quoi le risque de la prise de pouvoir par des entreprises devient réalité. La saga du RGI suit malheureusement leurs prévisions le plus pessimistes et la notion d'intelligence économique du rapport de M. Carayon démontre ici toute sa pertinence et son acuité.

Un élu répond aux pressions de Microsoft sur les mairies

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7
déc.
2007
Communauté
Monsieur José Brito, maire-adjoint de Saint-Germain-sur-Morin (77) chargé des NTIC, vient d'interpeller M. Martin Malvy, président de l'APVF à propos de l'accord dont s'enorgueillit Microsoft dans un communiqué¹. C'est ce qu'il révèle sur le site de Scideralle sous le titre « Les maires, courroies de transmission ? ».

José Brito explique dans le détail comment Microsoft fait des « cadeaux » aux maires pour mieux les assujettir. Il dénonce l'irrégularité d'un tel accord et demande l'utilisation de logiciels libres, car l'informatique ce ne sont pas que des produits technologiques, ce sont aussi, des produits que l'on promeut et que l'on met en place et qui impliquent des choix de société.
En ces termes, cet accord est clairement un accord de préférence, une distorsion des règles du marché, où les collectivités locales deviennent les prescripteurs d’une société privée auprès de leurs habitants. Qu’en pense la direction de la concurrence ? Qu’en pense LaPoste.net, Google, Facebook et autres portails communautaires ?


On pourra relire l'article Le « RGI est toujours en danger » qui montre le rôle tout à fait similaire joué par l'AMF avec M. Alain Risson. Il est urgent d'aller expliquer à vos élus comment ils peuvent en toute bonne foi accepter des cadeaux pour leurs administrés mais qui peuvent obérer notre avenir.

¹ Le communiqué a également été disponible sur le site de Microsoft. Le contenu de l'accord n'a pas été publié.

Alan Cox sera présent aux RMLL à Amiens

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7
juin
2007
RMLL/LSM
Alan Cox est, après Linus Torvalds, le développeur le plus connu de Linux. Il a contribué depuis le début en 1991 au développement du noyau.

Il vit au Pays de Galles, et ses déplacements en Europe sont rares, mais il sera présent cette année, aux Rencontres Mondiales du Logiciel Libre à Amiens, du 10 au 14 juillet. C'est un évènement pour la notoriété des RMLL.

Rappelons que les inscriptions aux RMLL sont ouvertes. Inscrivez-vous dès maintenant afin que les organisateurs puissent mieux vous accueillir. Le comité d'organisation vous en remerciera.

Modèles économiques liés aux logiciels libres

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5
juin
2007
Commercial
Le modèle économique du logiciel libre n'est pas celui des logiciels propriétaires (ou "privateurs" comme dit Richard Stallman). Mais au fait quel est-il ? Cette question a souvent été évoquée et les réponses ont toujours été très partielles ou évasives. D'autre part les économistes assistent, souvent sans y croire, à cette mutation qui ne correspond pas aux modèles qu'ils connaissent.

Un dossier publié sur le site de l'AFUL fait une analyse assez détaillée et montre que le "business model" du logiciel libre est beaucoup plus complexe que le modèle de production traditionnel. Il fait appel à de nombreuses contributions qui s'additionnent de façon variable au cours de la vie d'un projet et d'un projet à l'autre. Le dossier explique aussi comment financer le développement d'un logiciel libre.

Nos économistes ont donc du travail à faire pour appréhender ce modèle complexe et évolutif, issu d'une heuristique et non d'un dogme. Il faudra qu'il soit pris en compte dans les écoles d'économie et par nos élus qui ignorent pour la plupart que cette mutation importante de la société se passe sous leurs yeux.

Les auteurs de ce dossier sont Marc-Aurèle Darche, Laurent Séguin, Stefane Fermigier, François Elie, Roberto Di Cosmo et Guillaume Meister. Le dossier comporte des références bibliographiques dont celle de Bruce Perens comportant elle-même de très nombreuses autres références. Bref, un dossier à mettre entre toutes les mains des entrepreneurs, des décideurs de nos élus et des candidats aux prochaines élections.

À Munich, la GPL a gagné

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27
avr.
2004
Justice
Le tribunal de Munich a rendu son verdict et condamné la société Sitecom à se mettre en conformité avec la loi, c'est à dire à fournir le code source à ses clients sous licence GPL.

Il semble bien que ce soit la première fois qu'un tribunal se prononce à ce sujet. C'est très encourageant pour le logiciel libre.

L'affaire n'est pas terminée car Sitecom veut se lancer dans une bataille de procédure. Toutefois, sur le fond la GPL a remporté le premier round de façon convaincante. Espérons que ceux qui doutaient de la validité de la GPL en Europe en seront dorénavant pour leurs frais.

Logprotect et la protection des enfants

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17
avr.
2007
Sécurité
Internet offre à chacun le meilleur comme le pire et les enfants sont trop souvent concernés par le pire. La protection des enfants se fait essentiellement par le filtrage des URL et par la détection des informations sensibles que sont l'identité et l'adresse que les enfants peuvent donner en toute innocence à des prédateurs, le plus souvent des pédophiles.

Logprotect est un logiciel qui permet de lutter très efficacement contre la divulgation du nom et de l'adresse à des inconnus. Une version Windows existe depuis près de trois ans et est maintenant tout à fait opérationnelle. La version Linux existe aussi, mais bien que parfaitement utilisable, elle est toujours en cours de validation. Le développeur de la version Linux a besoin de testeurs, ayant si possible une bonne connaissance Linux et/ou Python pour valider son code ainsi que de contributeurs pour réaliser la documentation ainsi que le packaging pour les différentes distributions.

Pour la protection sur les URL, les principaux fournisseurs d'accès à Internet proposent des logiciels de protection des enfants ou contrôle parental, mais ceux-ci ne sont prévus que pour Windows. Pour Linux, il faut utiliser squid et les listes noires ou blanches, ce qui est quand même une solution assez lourde.

Logprotect est donc une protection simple, utile et efficace en complément de la surveillance active des parents.

Trois candidats répondent à Adullact

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17
avr.
2007
Communauté
François Élie, le président d'Adullact (Association des Développeurs et des Utilisateurs de Logiciels Libres pour l'Administration et les Collectivités Territoriales) avait écrit aux candidats à l'élection présidentielle pour leur poser six questions concernant les logiciels libres, en leur demandant quel est leur point de vue sur enjeux du développement du logiciel libre.

Trois candidats ont répondu. Il est intéressant de comparer ces réponses à celles de candidats.fr. En particulier, la fin du texte de François Bayrou donne un éclairage plus précis sur sa position relative aux brevets sur les logiciels (maintien du statu quo face à « une compréhension de l'économie d'internet encore insuffisante », contrôle démocratique sur les offices de brevet). On pourra aussi apprécier sa citation de François Élie quand il dit "ce qui a été payé une fois n'a plus à être payé".

La réponse de Marie-George Buffet est détaillée et correspond sans surprise à ce que l'on pouvait attendre de la représentante communiste (opposition aux brevets logiciels, EUCD et mise en avant du caractère collectif de la réalisation des logiciels libres et du « mode de production et d'échange original » qu'il représente).

La réponse de Jean-Marie Le Pen est la plus courte, principalement axée sur l'indépendance nationale.

Le RGI en danger ?

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21
avr.
2007
Presse
Alors que tous les regards sont tournés vers les élections, Microsoft serait en train de faire signer des accords avec le ministre des finances afin de torpiller le RGI. L'article du Monde Informatique confirme les rumeurs qui m'étaient parvenues par d'autres voies.

Il est difficile de savoir quelles sortes de pressions ont pu s'exercer sur le ministre qui a déjà été responsable du retard du RGI (Référentiel général d'interopérabilité). Il semble que la nouvelle du 26 janvier sur Linuxfr ait grandement aidé à ce déblocage.

Faire signer un ministre juste avant son départ est une tactique bien connue. Faire accepter à un ministre des choses que ses services réprouvent n'est pas nouveau. Selon Le Monde Informatique, Jean-François Copé n'a pas convié la DGME qui a porté le projet. On retrouve la même façon de faire lorsque le ministre de l'intérieur a autorisé les machines de vote sans tenir compte de l'avis de ses services.
Comme il est difficile de croire que ces ministres aient basé leurs convictions sur leurs connaissances en informatique, on peut se demander pourquoi ils peuvent accepter ces accords scélérats et quelles sortes de pressions ont été exercées sur eux ?

Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal répondent à Adullact

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20
avr.
2007
Communauté
Deux candidats à l'élection présidentielle, et non des moindres ont répondu à François Élie, il s'agit de Nicolas Sarkozy et de Ségolène Royal. Leurs réponses s'ajoutent à celles de Jean-Marie Le Pen, Marie-George Buffet et François Bayrou.

Leurs réponses sont arrivées tard, mais elles sont arrivées.

Celle de Nicolas Sarkozy est orientée sur le développement économique de la France et il a compris qu'il passait par le développement du logiciel, qu'il soit libre ou propriétaire mais sans en préciser les proportions. Sa position sur les brevets est également ambiguë.

Ségolène Royal a repris en détail les six points de la lettre de François Élie. Elle abonde dans le sens des logiciels libres et de l'interopérabilité. Nous ne pouvons qu'espérer que ce soit sincère car les promesses électorales n'engagent dit-on que ceux qui les écoutent.
Chacun pourra ainsi juger de la pertinence et de la crédibilité des cinq candidats dont les favoris des sondages, qui ont pris la peine de répondre.

Projets Open Source de la NASA et lancement de CosmosCode

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23
avr.
2007
Communauté
La NASA a compris tout l'intérêt du logiciel libre et s'apprête à lancer un nouveau programme nommé CosmosCode.

Les motivations qui ont conduit la NASA à travailler ainsi sont sont claires :
  • améliorer la qualité du logiciel
  • accélérer le développement
  • maximiser l'impact de la recherche de la NASA
  • accomplir la mission éducative de la NASA.

Le but est de permettre à un maximum de personnes de contribuer, écrire, analyser et tester des logiciels utilisés pour des missions spatiales.
Ce projet fait partie du programme CoLab, destiné à faciliter l'implication du public dans les programmes de la NASA. Actuellement, la page "Projets Open Source de la NASA" fait état de quatorze projets.

La licence NOSA (NASA Open Source Agreement) est en réalité une licence multiforme due à l'existence des brevets sur les logiciels aux USA. En leur absence, elle ressemble beaucoup à la GPL.

Messagerie et agenda partagé : OBM 2.0 concurrence Microsoft

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25
avr.
2007
Commercial
L'adoption de Linux dans les entreprises est très souvent impossible en raison de l'utilisation de l'agenda partagé de Microsoft. Cet agenda utilise des formats et protocoles qui imposent l'usage d'Exchange sur le serveur et d'Outlook pour le poste client lesquels imposent l'usage de Windows...

Aliasource, une entreprise Toulousaine a investi 5000 jours-homme sans compter les nuits et les WE de Pierre Baudracco (le principal développeur) pour réaliser le logiciel Open Business Management (OBM) placé sous licence GPL. OBM est composé de plusieurs modules : Groupware (Agenda partagé, contacts, tâches), CRM (relation client), messagerie, annuaire LDAP, gestion de production (suivi des projets, contrats et incidents), connecteurs (Outlook, Thunderbird, PDA).

La toute récente version 2 d'OBM fait preuve d'une grande maturité et Aliasource d'une très grande vitalité car OBM se répand comme une traînée de poudre dans les grands comptes. Le "business model" d'Aliasource s'avère efficace et pertinent car (je cite Pierre Baudracco) « il permet à chacun d'avoir le degré d'autonomie qu'il souhaite ». Chacun peut télécharger et utiliser librement OBM mais beaucoup d'entreprises préfèrent disposer des services du créateur et mainteneur. En plus d'une garantie de service, cela permet d'adapter avec précision le logiciel aux métiers. En conséquence, pour faire face aux commandes qui affluent, l'entreprise recrute.

Classmate PC : un concurrent pour OLPC ?

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25
mai
2007
Éducation
Vous connaissez sûrement OLPC, certains ont pu l'apercevoir à Solutions Linux ou cette semaine aux Linuxdays à Genève.

OLPC est un produit en limite de technologie et de prix. Il n'a pas vocation à être commercialisé par les circuits classiques tout comme le minitel en 1980. C'est dans ce contexte qu'apparaît Classmate PC alors que OLPC arrive bientôt au terme de son développement.

Classmate PC est un produit Intel qui veut se positionner sur le marché de l'éducation des enfants, confirmant de ce fait la viabilité et la rentabilité du concept.

Classmate PC est équipé d'un processeur Intel 900 MHz, 256 Mo de RAM DDR-II, un écran LCD 800x480 de 18 cm, 1 Go de mémoire flash ainsi que de haut-parleurs, microphone, ethernet, wifi 802.11b/g et deux ports USB.

Le logiciel est fourni par Mandriva, qui semble avoir mis à profit sa technologie déjà utilisée dans sa clef USB.

Le RGAA vient s'ajouter au RGI et au RGS.

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2
juin
2007
Justice
Sous ce sigle quelque peu rébarbatif se cache un projet extrêmement louable car il s'agit du Référentiel Général d’Accessibilité pour les Administrations. Il s'agit avec le RGI et le RGS d'une stratégie cohérente destinée à améliorer l'efficacité des administrations en leur permettant de communiquer entre elles et avec le public.

Le RGAA est induit par la Loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Mais cela implique l'accessibilité pour tous comme indiqué dans l'excellent article du site OpenWeb:
L'accessibilité a été définie comme le fait de mettre le Web et ses services à la disposition de tous les individus, quel que soit leur matériel ou logiciel, leur infrastructure réseau, leur langue maternelle, leur culture, leur localisation géographique, ou leurs aptitudes physiques ou mentales.

Un forum a été créé par Sébastien Delorme, il permet de débattre avant de répondre à l'appel à commentaires et bénéficie de la participation des principaux auteurs du projet (Laurent Denis, Aurélien Levy, Elie Sloïm).

Rappelons que l'accessibilité passe par le respect des normes et s'oppose aux standards non documentés.