Jul a écrit 825 commentaires

  • [^] # Re: L'implication du SFLC est-elle rassurante ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Première poursuite judiciaire aux États-Unis concernant une violation de la GPL. Évalué à 2.

    Si c'est immoral. La morale est un sens personnel de ce qui est juste.

    Et si le développeur n'a pas apprécié, on peut au moins considéré que cela n'est pas moral de son point de vue

    justice != morale != justice.

    Quand on prend le code de quelqu'un d'autre, on peut faire primer la moralité sur le droit :
    http://www.libroscope.org/+Linux-droit-et-moralite+?var_rech(...)

    C'est ce que fit linus avec le développeur webcam philips.

    Ce n'est pas parce qu'il est nécessaire de s'emmerder avec le droit et les licences, que nous devons concevoir les relations entre communautés/développeurs du strict point de vue de ce qui est faisable juridiquement.

    Le logiciel libre vaut surtout par sa communauté, et une communauté puise sa force dans ses relations.

    A titre perso, le droit, les licences me gavent, par contre j'aime bien les personnes, alors je trouve plus intelligent la résolution humaine des problèmes.
  • # libre ou pas libre peu importe :)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pas de trève estivale pour la guerre des formats bureautiques. Évalué à 7.

    Juste pour voir ces derniers temps je fais du c#. Et au vu de ce qu'annonce l'article il n'y a pas de doute : microsoft ne va pas se faire des amis chez ses propres clients.

    Au monde du chapelier fou, les dév, et les admins rigolent déjà pas mal :

    Vulnerability in Vector Markup Language Could Allow Remote Code Execution (938127)
    Vulnerability in Microsoft Excel Could Allow Remote Code Execution (940965)
    http://www.securityfocus.com/brief/569

    Et oui, n'ouvrez pas une feuille de calcul ou un dessin vous risquez d'être infectés :)

    Ici un problème en soap :
    http://forums.microsoft.com/MSDN/ShowPost.aspx?PostID=179808(...)
    Celle ci est pas mal :

    .NET Serialization traps and flaws
    SOAP Formatter
    • When string values contain non-displayable symbols with certain numbers, receiver crashes on attempt to deserialize data
    • DateTime objects serialization behaves wrongly, when sender and receiver are in different time zones

    La date comme indiquée dans l'article est une plaie sur MS.
    Et un dev se pose la question légitime :


    So, XML string escaping is not implemented properly yet, am I right?


    Pour développer en C#, je peux vous affirmer que c# est :
    - sous doué pour les maths (non vous ne pourrez pas trouver de bibliothèques de coeur pour les entiers de tailles arbitraires),
    - sous doué pour les dates (le système gérant la représentation en fonction des locales) ;
    - sous doué pour les encodages MIME ;
    - assez versatile : par exemple en .Net 1.1 (je prends pas de risque en 2.0), quand on passe à une fonction prenant des argument variables plus de 3 arguments, on est pas sur qu'ils soient tous passés.


    Au rang des joyeuses loufoquerie, je travaille sur leur CRM, si il est installée sur un serveur en français, toute l'API d'interrogation SOAP change. Un peu comme si installer un serveur SQL en français vous obligeait à modifier votre code pour écrire
    Selectionner * de table où nom COMME 'bill%'

    Pour les dévs c'est déja le calvaire, j'ai du mal à imaginer qu'ils vont garder leurs clients avec OOXML


    Par contre, malgré tout ça, les clients ont peur que le monde soit vachement compliqué si il quittent MS. Là je suis surpris quand même. Ils ont jamais osé essayé les trucs libres, mais ils se disent que MS qui est vachement bon, c'est tellement compliqué, que forcément ailleurs, ça doit être pire. Au point que j'ai un client qui préfère perdre 10 minutes par jour à rouvrir fermer le même fichier de log avec notepad plutôt que d'utiliser le tail installé sur sa machine.
  • [^] # Re: OOXML is defective by design

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pas de trève estivale pour la guerre des formats bureautiques. Évalué à 1.

    http://l.cligny.free.fr/prumpleffer.html
    Je penche pour le niveau fcold
  • [^] # Re: Un nouveau guide.. orienté Bull

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche NovaForge.org : un nouveau guide des logiciels libres. Évalué à 0.

    whois :

    Domain Name:NOVAFORGE.ORG
    Created On:01-Sep-2005 11:44:34 UTC
    Last Updated On:26-Apr-2007 14:22:12 UTC
    Expiration Date:01-Sep-2008 11:44:34 UTC
    Sponsoring Registrar:Melbourne IT, Ltd. dba Internet Names Worldwide (R52-LROR)
    Status:CLIENT TRANSFER PROHIBITED
    Registrant ID:B112532777147265
    Registrant Name:BULL SA
    Registrant Street1:Comptabilite Fournisseurs
    Registrant Street2:26 rue du Nid de Pie
    Registrant Street3:
    Registrant City:ANGERS CEDEX 01
    Registrant State/Province:-
    Registrant Postal Code:49008
    Registrant Country:FR
    Registrant Phone:+33.130807890
    Registrant Phone Ext.:
    Registrant FAX:
    Registrant FAX Ext.:
    Registrant Email:philippe.elbaz@bull.net
    Admin ID:B112532777147262
    Admin Name:Philippe Elbaz
    Admin Street1:Comptabilite Fournisseurs
    Admin Street2:26 rue du Nid de Pie
    Admin Street3:
    Admin City:ANGERS CEDEX 01
    Admin State/Province:null
    Admin Postal Code:49008
    Admin Country:FR
    Admin Phone:+33.130807890
    Admin Phone Ext.:
    Admin FAX:+33.130807109
    Admin FAX Ext.:

    Ceci explique peut être cela.

    J'aime bien, yet another freshmeat :) avec auto promotion inside.

    et le compte du posteur ouvert de la news :) sur linked in
    http://www.linkedin.com/in/jeanchristophespilmont


    Jean-Christophe Spilmont
    Marcom Manager at Bull
    France
    Current
    * Marketing Communication Manager at Bull



    Je me demande si parfois les industriels ne prennent pas les gens du logiciel libre pour des espèces de pigeons.

    Leur truc c'est un peu comme si un industriel rachetait un journal, et qu'il ne comprenne pas pourquoi on doute que le journal va dire du mal de lui.

    Indépendance 0
    crédibilité 0

    C'est pas pire que les entreprises du libre qui décernent régulièrement dans leur manif joujoue des prix à leur clients (ne regardez pas dans une direction, j'ai vu faire ça si souvent ces dernières années que ce sera pas fair play d'en citer un plus que l'autre)
  • # faudrait déjà qu'on prouve que l'informatique à l'école est un plus

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les collèges du Rhône se libèrent !. Évalué à 3.

    aux us où les portables sont implantés depuis 2 ans on tire le constat suivant :

    [...] a study in March by the U.S. Department of Education found no demonstrable link between educational software and higher test scores, putting laptop advocates on the defensive. A stream of news articles focused on school districts in New York and Florida that dumped laptop programs, citing high costs, misuse by students and the unfavorable results raised in the federal study.


    http://www.sfgate.com/cgi-bin/article.cgi?f=/c/a/2007/06/07/(...)

    Gageons que ce constat est extensible au de l'informatique
  • [^] # Re: Nouveaux clients

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche AMD/ATI va libérer ses pilotes. Évalué à 2.

    et matrox (G200/G400) ?Du vrai multihead propre !

    Leurs specif étaient dispo du coup le driver framebuffer étaient pas un blob sans nom lui au moins ^_^

    (ça date de 1999 quand même)
  • [^] # Re: Encore une technologie breveté qui va nous retomber sur la tête...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mono projette l'implémentation de Silverlight de Microsoft. Évalué à 2.

    Un bon sysadmin, utilise PAM, Ok pam est une merde à configurer, mais le résultat est à la hauteur :
    tu rentres un mot de passe
    PAM peut d'abord l'essayer sur les shawdow, ensuite, sur du ldap, ensuite sur du kerberos ....
    Et ensuite SASL permet d'implémenter du requêtage LDAP pour le courier ...
    Et apache supporte LDAP pour l'authentification (hyper simple)


    N'importe quel nouvel litote d'unification des authentifications reviendra à :
    1) unifier le référentiel (dans un annuaire ldap ou une db) ;
    2) à offrir des service d'authentification au dessus (SASL par exemple) ;
    3) à offrir des modules système (comme PAM) qui font la liaison entre le référentiel extérieur et les données nécessaires du système (comme le HOME, les ACL, les services autorisés) ;
    4) à offrir des serveurs d'authentification qui feront les passerelles (comme radiator qui offre du radius à partir de règles définies sur un ldap ou une DB).

    Et au mieux chacune des couches doit présenter une certaine abstraction


    Ca marche sûrement mieux en ayant un système qui fait son boulot, un administrateur système qui fait son boulot, des développeurs qui programme conformément au système, un responsable des infras qui essaie de sensibiliser ses intervenants à ces problèmes, et qui connaît ses infras et ses technos (c'est pour ça qu'une MOA qui pense qu'elle doit être inculte en technologie m'effraie toujours un peu).

    concernant ldap, si pour login/pass ça va, ça reste un annuaire léger. Quand on blinde son ldap d'info je vois pas bien le bénéfice par rapport à une base de données. De toute façon un bon système d'authentification doit de toute façon s'abstraire du référentiel de données.

    L'authentification est un problème d'architecture à mon avis, à laquelle aucune technique ne peut répondre mieux que l'emploi de bons sysadmin/architectes/développeurs.
  • [^] # Re: l'application des 5 libertés

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche RMLL: Appel à Conférences du Thème « Le Libre au-delà du logiciel ». Évalué à 3.

    Tu sais il y a que 4 libertés, mais bon. Je ne connais pas de 5éme liberté.

    je ne sais pas trop pour les nouveaux venus qui reprennent le thème (à ma grande surprise), mais initialement, il y a eu dans ce thème la conférence suivante :
    http://www.libroscope.org/Vers-une-liberte-definie-Creative

    Les promoteurs de Creative Commons (CC), dont Lawrence Lessig, sont régulièrement invités aux discussions publiques sur les logiciels libres et Open Source (FOSS : Free and Open Source Software) [1]. CC fait partie d’un courant qui souhaite appliquer les principes du Logiciel Libre au-delà du code informatique. Ses acteurs et défenseurs le présentent comme une des plus importantes tentatives pour adapter les principes du logiciel libre à des formes d’expression moins « techniques » telles que la musique, la littérature ou les arts plastiques.

    Si cela répond à ta question.
    Je te renvoie aux programmes que nous avions faits :
    http://www.libroscope.org/Le-libre-au-dela-du-logiciel
    http://www.libroscope.org/Le-libre-au-dela-du-logiciel-un

    Du au fait, que nous avons des métiers prenant nous avons pas eu le temps nécessaire pour nous investir dans les conférences depuis.
  • [^] # Re: L'engagement de LinuxChixFrance

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Et les femmes ?. Évalué à 1.

    chouette les chiennes de garde du libre.

    vive le politiquement correct !
  • [^] # Re: j'voudrais pas trop m'plaindre...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La Creative Commons dans le paysage éducatif de l'édition.... Évalué à 2.

    exact, je pensais que le contexte était l'éducation nationale française. Je suis si francocentrique :)
  • [^] # Re: j'voudrais pas trop m'plaindre...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La Creative Commons dans le paysage éducatif de l'édition.... Évalué à 2.

    La paternité de l'oeuvre est un droit moral inaliénable incessible qui est automatique dès la divulgation de l'oeuvre.
    Donc il y a pas besoin des CC pour le garantir.
  • [^] # Re: diffusion et dérivabilité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    La musique est son propre source de même qu'un executable. Tu peux le décompiler pour retrouver la logique derrière, voir le code exécuté.

    Mais comme pour le logiciel, ça prend bien plus de temps que d'utiliser les supports habituels de modification. Le mythe des musiciens qui se sont fait tout seul, m'amuse autant que celui des logiciels inventés dans les garages.
  • [^] # Re: "Musique libre"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    non, c'est distinct.

    En logiciel par exemple, c'est notamment l'accès au source (ce qui ne t'autorise pas forcément à le modifier), et le droit à la rétro-ingénierie.

    Je t'accorde que quand on a le droit de modifier les sources (et non par exemple un executable) on a de fait la possibilité d'étudier tant que le code n'est pas volontairement rendu confus.
  • [^] # Re: La question des partitions

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    Ils ont tous l'oreille absolue ?
  • [^] # Re: "Musique libre"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 1.

    La musique est autant son propre souce, qu'un executable : tu peux le décompiler et tu as tout.
    Et la décompilation, comme le décryptage de la musique pour leur apprentissage prennent bien plus de temps que d'utiliser des partitions pour réinterpréter l'oeuvre.
  • [^] # Re: diffusion et dérivabilité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    Tu étudies la musique comment toi ?
  • [^] # Re: diffusion et dérivabilité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    Non je me focalise pas sur les partitions/samples/format midi ou tout autre forme préférée d'élaboration d'étude et de travail.

    Je me focalise sur le fait que l'on a pas la liberté si on élabore une restranscription de l'oeuvre de pouvoir la resdistribuer et la travailler. Bref, je me focalise sur mon incompréhension de la faillite pour une musique libre à garantir la plus faible liberté du logiciel libre qui est celle d'étudier.

    Il se trouve que je suis bassiste, que j'étudie le pop/rock donc les sources sont pour moi les tablatures.

    Et non la musique n'est pas son propre code source, elle est l'interprétation d'un schéma mélodique et rythmique. La retranscription n'est pas nécessaire pour publier, mais, il est courant pour chaque genre musicale d'avoir des formats de retranscription de l'oeuvre (formats que l'on doit présenter à la cour quand on prétend qu'il y a plagiat) si on veut la travailler ou l'étudier.

    Les musciens de hip hop aussi bon soit ils ne naissent virtuoses de l'oreille de Jupiter. On ne me fera pas croire qu'ils connaissent pas le solfège. En tout cas pas ceux que je connais et qui sont pros.
  • [^] # Re: Discours sur les libertés

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    Je conteste cette vision de création dans la réaction :
    http://www.libroscope.org/Un-point-de-vue-subjectif-sur-l

    La pratique du logiciel libre est née en 1953 dans une certaine de construction d'un projet, elle n'a été formalisée de manière accessible à l'intuiton que plus tard (1984) sans interruption de la pratique.

    Qu'il y ait eu un conflit avec microsoft depuis 1976 est une autre histoire (voir la lettre aux hobbyiste et la première utilisation péjorative de hacker).
  • [^] # Re: "Musique libre"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    - quel est, s'il existe, le projet social du mouvement Art Libre ?
    http://artlibre.org/

    "Copyleft Attitude" a pour objectif de faire connaitre et promouvoir la notion de copyleft dans le domaine de l'art et au delà. Prendre modèle sur les pratiques liées aux logiciels libres pour s'en inspirer et les adapter à la création hors logiciel. C'est la raison pour laquelle nous avons mis au point la Licence Art Libre.

    Ils sont là depuis suffisamment longtemps pour être crédible, et on les voit régulièrement aux rmll.
  • [^] # Re: bien trouvé l'exemple

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    Le code est une oeuvre littéraire. On y met ses tripes. Et quand on le lâche, on a toujours peur d'avoir mal fait. Il y a dans notre style (et oui il n'y a pas une manière unique d'écrire du code) une part personnelle qui est révélée. C'est certes en partie technique, mais c'est aussi profondément personnel.

    Surtout que notre code est diffusé avec notre nom. La critique du code des autres est tellement aisée, qu'au niveau amour propre c'est dur. D'autant plus que s'ajoute un juge terrible : la machine. Il faut en plus qu'il tourne ailleurs que chez soi.

    Je sais pas quel critère de supériorité tu vois sur une oeuvre issue de la création de l'esprit par rapport à une autre, et je suis curieux de te l'entendre dire.
  • [^] # Re: "Musique libre"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 3.

    Ce que je pense, c'est que le père qui veut être tuer sont les majors, mais qu'en fait, en ayant les mêmes mécanismes de droit d'auteurs, on ne propose que de remplacer des majors méchantes aujourd'hui, par d'autres majors sympathiques aujourd'hui.

    Pourquoi les pas trop vieux informaticiens aimaient microsoft ? IBM était vécu comme LE éditeur proprio. Ils ont pensé que MS allait casser son monopole, en utilisant les mêmes armes.

    Ces informaticiens (j'en connais) sont un peu pas convaincu au final qu'ils aient mis fin à ce qui les dérangeait le plus : les pratiques de rentes sur les oeuvres de l'esprit.

    Les mêmes forces en présence dans les mêmes conditions ont de fortes chances de reproduire les mêmes équilibres. Et qu'aura-t'on libéré ?
  • [^] # Re: "Musique libre"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 4.

    Le collectif art libre à l'avantage de ne pas proposer une licence libre, mais de proposer un discours contrsuit sur le contenu libre. La licence c'est du droit, sans la pédagogie qui va avec, je suis cirsconspect sur son utilité. Pédagogie qui va jusqu'à avoir été les premiers à évoquer la diffusion des sources avec l'oeuvre. Donc la licence art libre est la plus libre dans le sens qu'il y a un vrai projet de contenu libre qui le porte

    En résumé la licence art libre, c'est bon parce qu'il y a un travail d'explication sur le sens du mot libre accolé à art. Donc aucun rapport avec des licences libres bazardées comme ça à la va comme je te pousse.
    http://artlibre.org/


    Comme libroscope, c'est certes soutenu par une cabale de futurs milliardaires petits exploiteurs des contenus des autres chti n'artistes au RMI (voyez les liens de pub), mais chuut, nous le nierons fermement.
  • [^] # Re: Ce que j'aime bien dans la musique libre...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 3.

    Et je me suis évidemment fait enflammer par les protagonistes de cette soi-disant musique libre.

    Et à Dijon, alors que je défendais le point de vue comme quoi les CC NC-ND étaient pas libres tu me flammais. :-D

    Comme quoi, on finit par changer de point de vue en réfléchissant à la question. Ainsi je ne vois pas l'intérêt de flammer les artistes de musique libre. C'est aussi pour ça, que la confusion musique libre (qui finalement est propriétaire selon les critères du libre) est nuisible car elle rend difficile la clareté du message «libre». Je comprend bien au final qu'il faille tuer le père quand il dit que l'on raconte des conneries :-) (je parle de Dana)

    Remarquons que les disques de 1to sont sortis :) la difficulté de stockage risque d'être moins un soucis dans les années à venir pour tes samples. Libroscope est bien hébergé sur mon ADSL, pourquoi pas tes samples sur ton ADSL ? (^_^)
  • [^] # De l'oeuf (les revenus) et de la poule (les contenus)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    Dans le logiciel libre, des modèles émergent, mais avant, combien d'années de temps non rémunérés directement par l'oeuvre les créateurs ont passé ?

    Avant de pouvoir vivre d'une nouvelle ressource, il faudrait qu'elle soit suffisante pour être exploitable différemment. Le marché du contenu libre existe, les tarifs des agences de créa basés sur des contenus proprio avec des réalisations plus que quelconque pourrait tout à fait être remis en cause par des gens payer pour la réalisation/intégration de contenu libre et non sur la «propriété de l'oeuvre».

    Je tiens à rappeler, que Mr Wampas a travaillé de nombreuses années à la RATP avant de vivre de sa musique, comme des informaticiens libres ont travaillé de nombreuses années dans des boulots alimentaires avant de faire ce qui leur plaisait.

    Ce que les musiciens peuvent reprocher au libre, c'est qu'il n'apporte pas tout et tout de suite, et on me l'a sorti texto : «que le travail dénature l'inspiration nécessaire à la créativité».

    Est ce vraiment si rédhibitoire que de devoir faire des efforts voir **travailler** ?
  • [^] # Re: "Musique libre"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 1.

    et la liberté d'étudier zut alors t'en fait quoi?
    Je me suis pas fait chier à écrire un article pour rien quand même :)