Jul a écrit 825 commentaires

  • [^] # Re: "Musique libre"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 4.

    Le grand point d'achopement entre les artistes et les gens du logiciels libre, c'est le caractère sacrée de l'oeuvre personnelle. Formule qui résonne depuis les 214 années où le baron de Beaumarchais péta thuné s'est penché comme une marraine bienveillante sur le sort des pôvres auteurs comme lui.

    Et si on tordait le mythe de la communication divine nécessaire à la création ? L'oeuvre a une partie sociale et collective quand même non négligeable. Pour le peu d'harmonie et de solfège que je connais, au niveau innovation, la musique et quand même largement une affaire d'inspiration commune. Qui ne fait pas sa grille en 2-5-1, qui n'a pas son petit mode pentatonique avec mélanges de superstructures pour l'impro en blues ? Qui n'a pas saturé son ampli comme hendryx ? Qui n'accorde pas ses instruments à corde à la tierce ?

    Donc je veux bien pour la part sacrée et personnelle, mais n'est elle pas excessive ?


    Par ailleurs, ce que m'a appris le fait de travailler dans le logiciel libre, c'est la valeur de la création collective, l'oeuvre de plusieurs est supérieur à celle d'un seul, fût il brillant. Un effet de bord du logiciel libre est à mon avis justement de faire découvrir et encourager la création collective.

    Le droit d'auteur du libre est plus celui des colporteurs de l'ancien régime que celui des artistes de cour. Et si les auteurs de musique s'essayait à la création collective ?
  • [^] # Re: Précisions ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    J'avais écrit dans la nouvelle «terme quelconque libre» ce qui fait que je suis plus ou moins d'accord avec toi.

    Ce qui m'importe, c'est de demander aux gens qui font du logiciel libre, quand ils voient une «initiative lambda» libre si ils ne devraient non pas la juger sur la sémantique «libre» mais sur les 4 libertés.

    Parce que sinon demain j'ouvre business libre :-) et politique libre, et je demande à tous les sites de logiciel libre de relayer mes initiatives.

    2éme point

    Pour un jeu, on fait a besoin de bande son, qui seront sous forme de fichier .mid/.mod et/ou de sample de son (.wav). Si on est un informaticien raisonnable, pour avoir un bon jeu, on voudra faire appel à un artiste. Et on aimerait que la musique/le son/les images soient diffusables dans les même conditions que le logiciel. Car sinon comment distribue-t'on le logiciel ? Un pack logiciel sous GPL et un pack musique son images sous CC-NC ? Mais alors, comment réutilises-t'on les données ? Quid de la liberté d'utiliser (notamment de faire du commerce avec un logiciel libre fonctionnel ?

    Ne serait ce pas souhaitable que l'on ait des contenus libres que l'on puisse redistribuer avec les mêmes licences que le logiciel lui même ?
  • [^] # Re: Non commercial

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 3.

    Effet d'externalités pour faire court. Plus t'es gros plus c'est facile.
    Demain trucolibre a un catalogue de 10000 artistes. Arrive muzicomach nouvel entrant.

    1) pour arriver à concurrencer trucolibre, muzicomach doit être crédible sans réputation auprès des 10000 artistes qu'il veut pour obtenir un contrat ;
    2) de par sa notoriété, trucolibre attirera les nouveaux artistes, que muzicomach aura du mal à capter.

    Faut voir ça comme une équation différentielle : ) avec une force de frottement pour le nouvel entrant d'autant plus fort qu'il y a peu de concurrent et de grosse taille. Et aussi, un marché où les ressources partageables sont d'autant plus petites que le nombres d'acteur est grand (plus que proportionnellement). Plus il y a d'acteurs différents pour ce marché, moins il a d'intérêt.

    Mon intuition vaut ce qu'elle vaut, mais je le sens bien comme ça.
  • [^] # Re: Non commercial

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 4.

    Ben justement, pourquoi arbitrairement considérer que certains actes commerciaux sont «acceptables» d'autres non?

    Au final, si jamendo était «considéré» comme un éditeur classique, (et il peut le devenir). On peut aussi dire qu'en fédérant les contenus il devient incontournable. Le fork devient dur, il faut recontacter les ayant droits pour obtenir les autorisations pour faire commerce à la jamendo, et donc, si jamendo atteint la masse critique, alors il sera dur pour un concurrent de venir. Maintenant avec aucune définition clair de projet social, jamendo peut faire ce qu'il veut.

    Comment imaginer qu'il n'y aura pas des soucis ? On ne peut pas à mon avis fédérer des personnes sans un projet social clair.


    Je ne dis pas que jamendo va forcément mal tourner. Je dis juste que :
    1) les NC-ND favorisent par l'arbitraire les premiers gros ;
    2) la musique libre ne favorise pas l'arrivée de nouveaux entrants, ce qui n'est pas sain à mon goût ;
  • [^] # Re: "Musique libre"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 4.

    Merci pour le lien. Il est clair. Ce rappel sémantique est intéressant.

    Un bémol toute fois, si je ne peux pas distribuer les partitions d'un morceaux de musique, je suis pas libre de diffuser la musique, notamment dans le cercle de ceux qui veulent apprendre. Je ne suis pas libre de distribuer le morceau si l'auteur à la lubie de penser que j'en fais un usage commercial ...

    Donc j'irais rajouter à la définition de «musique à libre diffusion» : restreinte au support, et quelques limitations à développer.

    NC-ND c'est le droit d'auteur classique au final, avec juste la garantie de la copie à usage privée accordée par l'auteur, et un pouillème encore de plus, mais qui n'accorde pas l'exception pédagogique automatique.

    Ce qui me ferait encore corriger la définition, musique libre : qui vous donne à peine plus de droit que le droit d'auteur classique si ce n'est parfois moins. (je refuse de me replonger dans les méandres des CC pour argumenter mon point de vue parfois plus restrictives que le droit d'auteur, j'ai honte, mais j'assume :) ).

    Maintenant, une question : la «libre diffusion»( restreinte) : quel est le projet social défendu ?

    Je confirme que j'aime bien ton article :) pour discuter, il faut se mettre d'accord sur les termes.
  • [^] # Re: bien trouvé l'exemple

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 2.

    On peut dire que les NC qui s'appuyant plus sur une définition morale que légal, posent un soucis s'arbitraire, qui ne permet pas de faire un entrepreunariat éventuellement sociale.

    La complexité de NC-ND, qui refuse les traductions, les adaptations ... sauf au cas par cas si on veut pas se retrouver avec un soucis légal, sont un frein à la diffusion de contenu qui se veulent alternatif.

    Après le verre à moitié vide, on peut voir le verre à moitié plein, quel est l'intérêt du libre ?

    http://www.libroscope.org/Qui-veut-perdre-des-millions

    Moins de contraintes légales liées aux droits d'auteurs, moins de risque à créer un entrepreunariat libre, donc la pérennité de la diffusion des contenus alternatifs...

    Après la question de la «juste rémunération» ne me semble pas une des questions du libre, mais de morale personnelle. Je suppute qu'en rendant l'accès à la connaissance plus facile, on a quand même plus de chance de voir émerger des entrepreneurs intéressants de taille suffisante pour voir apparaître des propositions de mode de rémunérations intéressants.

    L'entrepreunariat, est aussi un domaine de créativité :) (warning : possible second degrés inside)
  • [^] # Re: Cela faisait longtemps que j'attendais ça !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche RMS par Alan Cox. Évalué à 7.

    L'office des brevets est «sensée» n'accorder un brevet que si l'idée est originale. En fait, les offices de brevets semblent renoncer de plus en plus à cette part de la mission considérant que le tribunal statuera a posteriori.

    Exemple : Brevets D535,304 posté le 16 janvier par microsoft sur les icônes.
    http://patft.uspto.gov/netacgi/nph-Parser?Sect1=PTO2&Sec(...)

    Comme le système marche sur la tête, et que les majors en joue, pourquoi ne pas jouer à ce jeu absurde ?
  • [^] # Re: Branche stable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de FreeBSD 6.2. Évalué à 5.

    Effectivement c'est libtool le soucis, et c'est lui qui au moment de l'install rajoute les cp de folies dans du code bash deux fois interprété. Néanmoins, je trouve autotools légèrement complexe, donc par expérience prone aux problèmes. Je n'ai pas mieux à proposer certes, mais on ne me fera pas dire que c'est la panacée.

    Et quand je dis simple concernant apache, c'est en références aux dires de moult clients qui recompilent tout y compris apache sans passer par les ports ou autres. Surtout les clients qui embauchent des petits jeunes qui n'en veulent, qui non content de recompiler apache et de ne pas le remettre à jour quand il y a des vulnérabilités, (parce qu'ils sont infoutus de refaire le super jail de la première fois où qu'ils ont oublié), vous collent des ^M dans les fichiers postfix. Et après ils vous expliquent qu'ils sont des dieux de postfix, et mettent 3 semaines avant de comprendre pourquoi leurs mails n'arrivent pas, alors qu'en fait ils sont infoutus de gérer leurs DNS correctement. Et je vous épargne le couplet sur les logiciels gratuits qui sont libres.

    fin de parenthèse
  • [^] # Re: version 7

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de FreeBSD 6.2. Évalué à 9.

    Il manque ASEC (Archi Sec) aussi
    Au final,il manque ULE, ASEC.
    -> []
  • [^] # Re: Branche stable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de FreeBSD 6.2. Évalué à 6.

    Etant tantôt linuxien, tantôt BSDiste (de par les clients) je tiens à faire savoir à mes amis linuxiens, que configure make install, marche rarement sur un BSD. Non que les BSD soient mal foutus, mais que les autotools ont sacrément tendance à faire l'hypothèse que l'on est sur linux ou en tout cas un système GNU avec des options de ligne de commande méchamment non portable pour des choses aussi triviales que cp.

    Une grosse galère de compilation depuis les sources est facile à obtenir avec le "très simple" apache. Et sans les nombreux patchs des ports sur les sources, les install se font dans la douleur... J'ose pas imaginer ce que cela va donner avec Xorg

    En tout cas, les BSD sont à la hauteur de debian donc ça vaut le coup de râler un peu. D'autant plus qu'avoir un logiciel le plus portable possible ne nuit sûrement pas à sa qualité.
  • [^] # Re: Illustration du coté tarte à la crème de la peur du changement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Logiciels libres et entreprises. Évalué à 2.

    Ben j'ai pris une hypothèse simpliste parce qu'en l'absence d'étude faut bien commencer par des hypothèses et ensuite les informer/confirmer.

    Je partage ton avis, et je pense que cela devrait être le contenu d'une étude sur linux en entreprise, plus sûrement qu'un plaidoyer.
  • [^] # Illustration du coté tarte à la crème de la peur du changement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Logiciels libres et entreprises. Évalué à 2.

    Et la question qui turlupinerait quelqu'un de curieux est :
    pourquoi linux/bsd est majoritaires chez les telcos et minoritaire sur le desktop ?

    Et la question taquine que l'on peut poser c'est est ce que ce "mémoire" est en mesure de l'expliquer ? Pour rire j'en ai une toute trouvée dans le mémoire : les sysadmins historiquement sous unix ont peur du changement.

    Certains pourrait prétendre que linux est gratuit, mais à 1000¤ l'OS et à 300¤ jours de services sous windows contre 0¤ l'OS et 600¤ jours de service pour linux, il est évident que linux/BSD coute plus cher. D'autant plus que la courbe d'apprentissage windows est en faveur de windows. Windows avec lequel on ne se débat pas à ce point avec les saveurs d'OS où ifconfig/route/sysconfig/init/pkg_add/apt-get/urpmi/emerge sont aussi différentes

    Alors en rappliquant la réthorique du mémoire, je ne peux que conclure en disant que windows est l'OS d'avenir chez les telcos, et que linux suce des ours mais que du à l'incompréhension des vrais valeurs d'un logiciel et à l'inertie d'une certaine population nous sommes condamnés à un choix contre productif.

    Mon critère pour juger une thèse n'est pas que les conclusions soient conformes à mes convictions, mais que le raisonnement soit conforme à une certaine rigueur intellectuelle, car défendre une cause avec de mauvais arguments, c'est le meilleur moyen de lui nuire. Et je confirme que je suis outré que des profs (bac+5) aient laissé passé cela en dit long sur ce que l'école fournie aux entreprises : de l'espace de cerveau disponible pour les marchands de lessive.

    Cela reste un travail de très bonne facture, conforme aux standards de l'éducation, inspiré et tout le toutim, mais pas conforme à mes exigences personnelles.
  • [^] # les poils du troll

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le Jargon Français en wiki. Évalué à 2.

    S'interroger sur l'intérêt de proposer un contenu non utilisable dans un programme sous licence GPL ou BSD sur un site comme linuxfr est totalement trollesque et off topic, je te l'accorde.

    En effet, j'ai de source sûre appris que linuxfr comptait s'inscrire au happython et proposer comme nouvelle ligne éditoriale : linuxfr le site d'auto-congratulation des logiciels libres, ou pas.
  • [^] # Re: je suis un chieur

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le Jargon Français en wiki. Évalué à 2.

    une raison importante de ne pas aimer la GFDL c'est qu'elle empêche de réutiliser le contenu dans un programme libre.

    C'est sur le libre n'a pas d'avenir je te l'accorde.

    Deuxième point, il y a des gens qui repompent le site ?

    En France, jusqu'à preuve du contraire (en attendant Gödel), la loi n'est pas respectée parce qu'une loi est votée et ensuite qu'un croque mitaine omniscient va contrôler partout qu'elle est suivie, mais parce que l'on attend des citoyens que quand leurs droits accordés par la loi sont bafoués par un tiers, ceux ci se sortent les doigts du cul et passent devant un tribunal en apportant un dossier avec les éléments à charge afin de régler le différend.

    Un droit que personne ne veut faire respecter, est un droit amené à disparaître. Donc ne te plains pas d'un malheur que tu as toute lattitude à résoudre. Les problèmes que tu as rencontrés apparaissent quelque soit la licence. En résumé, si tu ne fais rien pour toi, le droit ne peux rien non plus : pas de bras, pas de chocolat.

    Il y a aura des "méchants pas gentils qui repompent" tant qu'il y aura des gentils moutons qui ne feront que béler : "c'eeeesttt paaaaas juuuuuste" quand on leur pique leur sucette.
  • # je suis un chieur

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le Jargon Français en wiki. Évalué à 3.

    j'aime bien faire mon chieur en demandant si la GFDL est vraiment libre :)
    Quand j'avais été sur wikipedia il y a quelques années, il y avait eu une grande discussion sur les licences.

    Un des trucs pervers de la GFDL est que l'on peut par exemple pas faire un programme GPL qui intègre du contenu GFDL. Exemple une appli Qt qui permet de servir d'interface pour consulter le jargon ou un dictionnaire.

    http://people.debian.org/~srivasta/Position_Statement.html

    Sinon sur le jargonF je suis un grand amateur. Peut être un hack dans spip pour l'intégrer dans les wikimots serait sympa. Non, non je m'y colle pas. Je leur avait juste donné l'idée pour spip, c'est antoine qui l'avait codé je crois.

    (en spip [?mot] renvoie vers sa definition dans wikipedia)
  • [^] # Re: Promouvoir l'interopérabilité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche APRIL : pour une politique publique en faveur du logiciel libre en 2007. Évalué à -2.

    l'uml c'est dépassé, la véritable lingua franca du futur est à mon avis le latin.
  • [^] # Re: Promouvoir l'interopérabilité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche APRIL : pour une politique publique en faveur du logiciel libre en 2007. Évalué à 5.

    l'uml c'est dépassé, la véritable lingua franca du futur est à mon avis le latin.
  • [^] # Re: mouais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Logiciels libres et entreprises. Évalué à 3.

  • [^] # Re: mouais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Logiciels libres et entreprises. Évalué à 2.

    environ 90 et environ 15 ça fait environ 105 qui est environ 100 :)
  • [^] # Re: mouais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Logiciels libres et entreprises. Évalué à 1.

    graph fallacieux :
    c'est pas parce que les autres font une erreur qu'on doit la faire passons :

    montrer IE et firefox sur deux echelles différentes avec des courbes de progressions "zoomées" alors qu'on peut les mettres sur un même graph car ils sont comparables alors que IE est >> à FF (IE ~90%, ff ~15%) oui c'est fallacieux.

    "peur du changement" = tarte à la crème
    Car en cours on apprend à dire quand un "projet génial" échoue c'est de la faute des utilisateurs. Avant on disait que c'était parce que c'était trop innovant et que les gens étaient pas prêts, autre époque, autre jargon. Si linux n'est pas adopté, il y a peut être d'autres raisons objectives qui sont peut être intéressantes, et mises sous le tapis. Comme par exemple que les travailleurs sont insuffisamment formés à l'informatique (linux ou windows).


    Les mauvaises pratiques de microsoft sont de faire passer dans une étude les conclusions que l'on aimerait voir avant tout. C'est ce que je vois ici.

    Argument de réfutation à mes remarques : tout le monde fait comme ça.

    Ironie : Tout le monde faisait avec un OS mal foutu nommé windows. Une minorité (BSD/linux) pense/ait qu'il n'y avait aucune nécessité de mal faire, et ainsi le logiciel libre a fait des choses intéressantes .

    Les plaidoyers pro/contre linux/microsoft (et vice versa) n'apportent qu'à des gens convaincu, où l'opinion l'emporte sur l'étude de la réalité. Autrement dit, cette étude, très bien présentée, très bien écrite, ne m'apporte rien. J'apprécie le libre, il m'intéresse comme objet d'étude, d'amusement, mais il me rebuterait comme mouvement idéologique.

    Comme tu es étudiant, je jette la pierre à ceux qui t'ont formé, surtout si ton travail a été bien noté. Tes professeurs sont ceux qui sont sensés te former dans un domaine scientifique, et la science est incompatible avec l'idéologie. On serait resté dans l'idéologie chrétienne, la terre serait toujours plate.


    En ce qui te concerne, la chose la plus dure est de faire, et tu l'as fait. Ton travail est chouette sur la forme.

    Ps merci pour avoir retrouver le terme français de plaidoyer.
  • [^] # Re: ça pue c'est pas xhtml1 strict

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Le Javascript c'est. Évalué à 0.

    On ne connaît pas l'ordre d'évaluation des opérateurs d'affectations.
    En ansi C ça n'était pas précisé dans la norme. Donc un même code pouvait marcher différemment selon les compilos. =>
    fait on i = somme puis i=0 ou i=0; somme=0
    donc à déconseiller :)

    Ok pour faire du goret, pas pour faire un générateur d'erreur aléatoire :)
  • # mouais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Logiciels libres et entreprises. Évalué à 1.

    Le manque d'objectivité et le parti prix pro linux n'apporte rien pour décider, il n'y a finalement que 12 pages sur 80 qui traitent le sujet de linux en entreprise. À comparer au comparatif (un peu pro) microsoft dispo sur le site microsoft : http://www.microsoft.com/windows2000/docs/TCO.pdf

    14 pages bien denses, sans advocacy, à la limite, c'est plus lisible.

    Avec les graphes aussi fallacieux que de celui sur les utilisations de IE vs firefox on peut se dire que firefox va manger IE mais il quand même les remettre en perspectives :
    http://microsoft.blognewschannel.com/archives/2007/01/05/int(...)


    Et enfin le classique linux ne marche pas c'est de la faute de la «peur du changement». C'est un peu tarte à la crème. Les salariés ont peur d'être SDF de la fléxibilité, la faute à la peur du changement ?

    On dirait les mauvaises pratiques de microsoft utilisées pour vendre le logiciel libre.
  • [^] # Re: ça pue c'est pas xhtml1 strict

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Le Javascript c'est. Évalué à 3.

    à titre perso
    je trouve le
    init
    while (cond ){
    traitement
    }
    toujours plus propre que le faussement concis

    for (init; cond; incrementation) {
    traitement
    }

    et j'utilise deux trucs de sagoin pour montrer que le for est moche :
    - la possibilité en C, et js, (probablement en java)
    de multiplier les opérations à un endroit si on sépare par des virgules
    dans
    for (i=0, somme=0; ...
    les deux init sont fait en même temps

    - et la possibilité d'ajouter le traitement dans la partie incrémentation du for.

    Le for c'est moche, mangez du while :) que ce soit en js, et perl, en C, en C++ ou en java.

    Au final, peut être que la programmation n'est pas foncièrement une question de langage :-)
  • [^] # Re: ça pue c'est pas xhtml1 strict

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Le Javascript c'est. Évalué à 1.

    non tu n'es pas le seul :-)

    Je comprends pas pourquoi peu quelquesoit le langage apprécie la beauté du
    for(inits; test ; traitement avec iteration );
  • [^] # Re: ça pue c'est pas xhtml1 strict

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Le Javascript c'est. Évalué à 2.

    En utilisant pas JS qui n'apporte rien d'essentiel a un contenu textuel, on est encore plus certain de faire un truc clean :)

    Faut savoir si le wbe a pour vocation d'etre un outil de partage de la connaissance, ou juste un attrape pigeon pour les entreprise ou le bac a sable des d{veloppeurs.

    Ce qui ne m'empeche pas d'apprecier le JS tant qu'il est utilise avec parcimonie...