Maclag a écrit 8823 commentaires

  • [^] # Re: Combien d'usagers?

    Posté par  . En réponse au journal part de marché Linux ?. Évalué à 10.

    Sur mon site perso, Linux fait quasiment 50%-50% au coude à coude avec mon PC du travail

    -----------> [ ]

  • [^] # Re: la base

    Posté par  . En réponse au message Backup données et apps avant migration. Évalué à 3.

    Quand je réinstalle, je fais l'opération sur les applis dans l'autre sens et ça juste marche?

  • [^] # Re: Et la gendarmerie

    Posté par  . En réponse au journal Munich revient sur Windows. Évalué à 4.

    à part peut être pour avoir une LTS (Long Term Support) plus longue.

    Ça n'aurait aucun sens:
    Pour avoir un support plus long sur une distro, il faut d'abord créer une nouvelle version sans aucune ressource existante pour assurer le support?
    Le plus simple et le plus efficace est de prendre une LTS et d'étendre son support au-delà de sa fin de vie.

    Je pense plutôt que la "distro" est surtout une configuration de la distribution par défaut, avec peut-être un ensemble de logiciels pré-installés par défaut et certains réglages spécifiques à l'organisation cliente.

    Bref, pas vraiment une distro supplémentaire, mais une distro configurée d'une certaine façon.

  • [^] # Re: Détail du système + cout

    Posté par  . En réponse au journal Retour d'expérience d'une petite administration sous linux depuis 8 ans qui fait marche arrière. Évalué à 6.

    KDE/Plasma? donc déjà pas sur une distro stable-LTS ou grand public. Est-ce une JeanKevManjaro?

    Ça dépend, est-ce que la Debian Stable est une distro JeanKev?
    Et Ubuntu LTS, elle est pas assez LTS?

    Faut arrêter de croire que Plasma est sorti la semaine dernière, ils en sont à la 5.11 en upstream!

  • [^] # Re: Ca marche pas mieux avec Windows et Word.

    Posté par  . En réponse au journal Retour d'expérience d'une petite administration sous linux depuis 8 ans qui fait marche arrière. Évalué à 10.

    Je pense qu'on ne parle pas de la même chose.

    Je parle de la comparaison entre Linux et Windows/Mac OS. On suppose qu'un outil propriétaire existe, et on considère une alternative Libre.

    Je peux faire référence par exemple aux imprimantes qui agrafent les pages:

    Suppose que sous Linux, tu ne peux pas agrafer les pages.
    Solution: "Tu n'as pas besoin que l'imprimante le fasse pour toi. Tu peux bien le faire toi-même!"

    À une époque, c'est ce que tu aurais lu à tort et à travers, et c'était la ligne directrice: au lieu d'admettre que c'est un manque, tu lirais des pavés pour t'expliquer que tu n'as pas besoin de la fonction XYZ qui marche sans problème sous Windows.

    Ici, on a une variante. MS Excel peut ouvrir des tableaux petits, gros, avec des formules, des scripts, etc.
    Quelqu'un fait remarquer que le tableur de LO s'écroule vite si le fichier à ouvrir est trop gros, et on lui répond qu'il y a sans doute de meilleurs outils pour faire ça (ouvrir des fichiers plus gros).

    Et c'est à ça que je réponds: non, ce n'est pas une réponse acceptable! Si tu dis ça, c'est un argument en faveur d'Excel: un seul outil à tout faire, aucune alternative Libre.

  • [^] # Re: Problème de méthode ?

    Posté par  . En réponse au journal Retour d'expérience d'une petite administration sous linux depuis 8 ans qui fait marche arrière. Évalué à 6.

    Et le lendemain:
    "Merci bien pour la souris. Mais maintenant c'est le clavier qui ne marche plus, vous voulez bien revenir?"

  • [^] # Re: Problème de méthode ?

    Posté par  . En réponse au journal Retour d'expérience d'une petite administration sous linux depuis 8 ans qui fait marche arrière. Évalué à 9.

    Ce n'est pas du tout la même chose quand tu t'adresse à un public administratif, public qui éteint son écran pour redémarrer son ordinateur, et qui appelle la maintenance lorsque la souris s'est débranchée.

    Ce n'est pas que le "public administratif", hein! C'est juste toute personne qui n'a pas l'habitude d'appréhender des outils complexes et/ou nouveau sur un ordinateur, et ça fait patate de monde!

    Un admin m'a déjà raconté avoir dû se déplacer jusqu'au bureau d'un Professeur en technologie des semiconducteurs parce que "ça marche pas" et impossible de lui faire dire ce qui ne marchait pas au téléphone.
    Bilan:
    1. Internet ne marchait pas
    2. Le câble Ethernet traînait par terre sans susciter la moindre interrogation de l'utilisateur

  • [^] # Re: oisiveté ?

    Posté par  . En réponse au journal Retour d'expérience d'une petite administration sous linux depuis 8 ans qui fait marche arrière. Évalué à 10.

    Paradoxal:

    Je lis sans arrêt qu'un bon admin est un admin feignant qui automatise ses tâches pour ne plus avoir à les faire.

    Mais dès qu'on parle des utilisateurs, ce sont de grosses feignasses qui ne veulent pas se taper "juste quelques opérations de plus à la main" au nom du Libre, et ça, c'est mal.

  • [^] # Re: Détail du système + cout

    Posté par  . En réponse au journal Retour d'expérience d'une petite administration sous linux depuis 8 ans qui fait marche arrière. Évalué à 4.

    Sous Windows7, je "perds" encore des fenêtres quand j'enlève l'ordi de la station d'accueil parce qu'il envoie encore les fenêtres dans l'écran fixe qui n'est plus là: elles sont hors champ, et je dois retrouver un écran externe pour les récupérer.

    Sous Win10, je ne sais pas encore, mais on ne va pas tarder à migrer…

  • [^] # Re: Debian

    Posté par  . En réponse au journal Retour d'expérience d'une petite administration sous linux depuis 8 ans qui fait marche arrière. Évalué à 8.

    Les gestionnaires de paquet permettent ça, il n'y a pas besoin de gestionnaire séparé:
    -Tu fais un paquet pour les applis récentes compilées en statique, ou un paquet autosuffisant qui inclut ses propres bibliothèques dans une arborescence séparée (/opt?)
    -Tu le mets dans un repo séparé, sur le réseau local

    Qu'est-ce que je rate?
    Le plus gros obstacle que je vois, c'est la difficulté de générer des deb, mais une fois que l'admin a pris le truc, ça ne doit même plus être un obstacle, si?

  • [^] # Re: Ca marche pas mieux avec Windows et Word.

    Posté par  . En réponse au journal Retour d'expérience d'une petite administration sous linux depuis 8 ans qui fait marche arrière. Évalué à 10.

    Pour ma part j'aime pas trop LibreOffice, que je trouve également lent, mais d'un autre côté, est-ce le meilleur logiciel pour ouvrir ce genre de fichier  ?

    Bon, il a fallu du temps pour se débarrasser de la ligne "explique-moi de quoi t'as besoin et je te dirai comment t'en passer" qui a déjà fait bien du mal au Libre, maintenant, il va falloir passer à l'étape 2:

    "C'est pas grave si l'appli X ne marche pas aussi bien que Y sous Windows, il suffit d'avoir 42 applications spécialisées suivant ce que tu veux faire à la place!"

    Non, ça n'est pas acceptable non plus. MS Office, c'est sûrement pas le meilleur outil pour 99% des usages (over-kill, pas adapté, etc.), mais sa très très grande force, c'est qu'on peut quand même faire (presque) tout avec.
    Les admins ne veulent pas que tout le monde installe un fatras d'applis pour chaque action qu'ils doivent faire.
    Les utilisateurs ne veulent pas apprendre un nouveau logiciel à chaque fois qu'ils reçoivent un fichier un peu différent de l'habitude.

    Et comme écrit plus haut, tu ne peux pas demander aux utilisateurs d'aller regarder la taille du fichier avant de l'ouvrir avec LO. Tu rends juste les choses inutilement plus compliquées de leur point de vue.

  • [^] # Re: Debian

    Posté par  . En réponse au journal Retour d'expérience d'une petite administration sous linux depuis 8 ans qui fait marche arrière. Évalué à 3.

    Je ne suis pas admin, donc vraie question:
    Il n'existe aucune solution simple de déploiement d'applications pour un parc de machines??

    Genre un client qui tourne en arrière-plan sur toutes les machines et qui va chercher les nouvelles applis disponibles sur le serveur?

  • [^] # Re: pas un mal

    Posté par  . En réponse au journal Munich revient sur Windows. Évalué à 5.

    Ben quoi?
    Moi j'ai pas eu besoin de plus de 30min pour installer une KDE Neon sur l'ordi de 6ans de ma femme quand elle en a acheté un nouveau.

    C'est bien la preuve que tous les services municipaux de Munich peuvent rebasculer vers Linux en 30min au besoin!

    Sinon, pour leurs besoins en voitures, j'ai un cousin mécano, et on a eu une idée géniale pour leur faire économiser des millions: y'a qu'à acheter des vieilles voitures mortes et les retaper!

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  • [^] # Re: Aigreur, quand tu nous tiens

    Posté par  . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 2.

    Le truc bien avec le train, c'est qu'on peut l'adapter pour transporter de moins de 100 à plus de 500 personnes.

    Non, ce n'est jamais aussi simple, parce qu'il faut tout de même un train qui passe, qui s'arrête, qui occupe la ligne pendant ce temps-là. Il n'y a qu'une seule ligne.
    La locomotive demande toujours de l'entretien, il faut toujours un chauffeur et tout le personnel autour du train.
    Ça coûte beaucoup plus cher par voyageur qu'un train de 500 places!
    Si la gare n'a pas la masse critique, on met des bus à la place.

    Et pour les bus, c'est plus compliqué, mais entre les petits 15 places, et les gros bus dans lesquels on peut caser 150 personnes, ya de quoi faire. Et ça interdit même pas de faire des trajets à la demande avec des voitures citadines.

    Le bus est au contraire plus simple. Mais "le trajet à la demande avec des voitures citadines", ça s'appelle "voiture avec chauffeur", et ça ne relève pas du transport en commun.
    Quand on aura des voitures autonomes, on en reparlera. D'ici là, tu demandes "juste" d'avoir un chauffeur quasi-personnels pour les habitations isolées.

    Je ne veux pas promouvoir la voiture individuelle, mais dans certains cas elle a bien plus de sens et consomme beaucoup moins qu'un délire de "transport public pour tous" qui imposerait de faire rouler des bus et des trains quasi-vides partout!

  • [^] # Re: Aigreur, quand tu nous tiens

    Posté par  . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 1.

    Alors faisons-le, parce que 30, c'est une masse critique?
    Et pour 20? Aussi?
    Et pour 10?

    Et quand il ne reste plus qu'une seule maison perdue quelque part, tu plantes un arrêt de bus devant et tu le dessert, toujours pour assurer un service public pour tous?

    Moi qui croyais que la France avait un problème de déficit…

  • [^] # Re: Aigreur, quand tu nous tiens

    Posté par  . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 2.

    Oui, et puis avec la même logique, on voit des bus tourner à vide toute la journée "au cas où", parce qu'on ne va pas priver les 30 résidents qui l'utilisent occasionnellement.

    Avec un budget illimité, je ne dis pas.
    Mais à budget fini, il faut mettre une limite à tout.

  • [^] # Re: Aigreur, quand tu nous tiens

    Posté par  . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 3.

    C'est un exercice d'équilibriste délicat: trop de petites gares desservies: coût augmenté, les usagers râlent parce que c'est cher.
    Réduction des arrêts: les usagers râlent parce que les petites gares ne sont plus desservies.

    Vivement les robots-taxis/bus sur réseau unique avec le train, qui adaptent les solutions pour tout le monde en temps réel!

  • [^] # Re: Et si...

    Posté par  . En réponse au journal Munich revient sur Windows. Évalué à 10.

    Tu mets peut-être inconsciemment un autre point en avant:
    Support, upstream, qui donc penses-tu doit gérer tout ça?

    1.La ville: c'est sûrement pas leur boulot et ça rencontre certainement beaucoup de résistance interne. Très bon point faible pour tout faire foirer avec une attitude passive-agressive
    1.Un sous-traitant: ça sera dans le lot des premières lignes du contrat qui sautent pour réduire les coûts. "Vous voulez dire que vous me vendez un truc pas fini?!"

    Et là arrive MS: tu paies pour la licence et tu ne t'occupes pas de "l'upstream", ça n'apparait sur aucune facture, personne ne met d'heures sur des pilotes d'imprimantes.

    Tu montes ton dossier devant les grands décideurs, et à moins d'avoir des connaisseurs dans le lot, c'est plié. Il me semble que c'est ce qui arrive à Munich: changement d'administration vers une qui pense que ce n'est pas le rôle de la ville de s'emmerder avec du "développement système". Ils veulent du clé en main et un interlocuteur sur qui ils peuvent gueuler (et sur qui rejeter tous les torts en cas de problème, toujours à prendre en compte dans les grosses structures!)

  • [^] # Re: Aigreur, quand tu nous tiens

    Posté par  . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 3.

    Ça c'est le même problème qu'une production "classique": où mets-tu la limite entre la marge de sécurité, qui ampute ta capacité de production et donc tes coûts, et le besoin de livrer plus pour moins cher?

    Tu peux toujours faire un sorte de minimiser l'impact des retards. Tu vas le payer sur le prix du billet et la fréquence des trains.

  • [^] # Re: Oui monsieur

    Posté par  . En réponse au journal Ambassadeur pour le Numérique. Évalué à 10.

    Oui enfin il y a une telle prise de conscience des enjeux qu'on fait encore des contrats douteux à la Défense et l'Éducation Nationale. Et encore, peut-être que ces 2 là sont stigmatisés parce qu'on ne sait pas vraiment ce qui se fait dans les autres ministères et institutions.

    Par contre, pour les "Public Relations", annoncer un nouvel ambassadeur du numérique, c'est trop top!

    Je ne sais pas pour vous, mais moi, si je ne paie pas mes impôts, personne ne m'enverra un ambassadeur pour négocier…

  • [^] # Re: Pourquoi nano ?

    Posté par  . En réponse au journal Pourquoi Vim? (Première partie). Évalué à 4.

    Nan mais arrêtez, là, y'a des limites à tout quand même!

    --
    Écrit depuis Wordpad

  • [^] # Re: On repart sur la guéguerre

    Posté par  . En réponse au journal Pourquoi Emacs? (Première partie). Évalué à 6.

    On trouve des modes Vi dans pas mal d'éditeurs, alors qu'on ne trouve pas de modes emacs.
    C'est bien la preuve que Vim, c'est plus populaire.
    C'est bien la preuve que emacs se suffit alors que les vimeux vont voir ailleurs.
    Ou le contraire!

    ----> [ ]

  • [^] # Re: looker gtk+-3.0 et libvlc, mon lecteur personnaliser.

    Posté par  . En réponse à la dépêche My name is looker…. Évalué à 10.

    Car offenser un programmeur auto-didacte handicapé mentale a qui l'on a griller le cerveau en partie avec des électrochoc sans lui demander ce n'est pas très gentil de la part de la communauté qui se veut libre et pacifiste.

    Tu peux aussi voir le bon côté des choses.

    Tu es handicapé mental, personne ne le savait jusqu'à ce que tu l'écrives, tu as été traité comme n'importe quel programmeur non-handicapé mental qui aurait présenté son projet ici.

    Après, tu peux demander qu'on te traite différemment à cause de ton handicap, auquel cas écris-le dans le journal: "allez-y doucement, je suis handicapé mental".
    Tu auras certainement moins de critiques, plus d'encouragements, non pas parce que le projet est objectivement bon, mais parce que "c'est pas mal pour un handicapé mental!".

    C'est un choix que tu peux faire, mais personnellement je trouverais ça dommage, parce que encore une fois: je ne crois pas que qui que ce soit ici l'aurait deviné!

    Personne n'a écrit que ton appli est mauvaise (ou alors je l'ai raté). Les critiques que tu reçois c'est uniquement sur le fait que l'appli n'est pas originale.

    Moi ça me dit surtout que tu es capable de coder des applis fonctionnelles, il manque juste la "bonne" idée.

  • [^] # Re: stupide

    Posté par  . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 10.

    Airbus a (…) racheté 50.5% de Bombardier

    C'est encore mieux que ça:
    Bombardier a développé un programmme appelé "C-serie" d'avions de taille moyenne.
    L'avion est bon, mais la boite était simplement trop petite pour être aussi ambitieuse. Ils sont passés au bord du gouffre, rattrapés de justesse par des prêts gouvernementaux.

    Alors pour la commercialisation, quand ils se sont rendus compte qu'ils n'ont toujours pas de thune pour développer leur réseau de vente (et de marketing/lobbying/enveloppes sous la table comme ça semble être la norme dans l'industrie), ils ont demandé de l'aide.

    Ajoutons à ça que dès que la C-serie a commencé à être vendue, Boeing a immédiatement déposé une plainte aux USA arguant que la C-serie avait été subventionnée par l'état, contrairement à Boeing (ou Airbus), comme tout le monde le sait. Alors ils se sont vus infliger des taxes jusqu'à tripler le prix de l'appareil. C'est con parce que Delta Airlines avait passé commande, et leur CEO avait expliqué qu'ils avaient d'abord contacté Boeing, mais aucun appareil de la gamme ne correspondait à sa demande.
    Bref, plus de politique que de concurrence…

    Airbus avait déjà proposé de co-financer le programme… juste avant de dire "oh et pis non!" (les mettant gravement dans la merde à l'époque). Alors là ils ont proposé autre chose:
    Le programme C-serie "fusionne" avec Airbus, comme entité indépendante de Bombardier. Bombardier apporte la partie technique (enfin: l'avion quoi!) et Airbus son réseau commercial et son réseau de relation (et pas mal d'avocats aussi pour régler le cas américain).

    Aux termes de la fusion, Airbus possède donc 50.5% de la C-serie, sans débourser un centime.
    Mais il faut croire que c'était quand même une bonne chose à faire parce que depuis les commandes semblent maintenant s'enchaîner.
    Ben oui: les clients potentiels ont certainement plus confiance dans un "gros" comme Airbus pour honorer ses commandes qu'une boite qui cherche tous les ans la thune pour survivre jusqu'à l'an prochain!

  • [^] # Re: Aigreur, quand tu nous tiens

    Posté par  . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 3.

    Alternative : on cherche à développer une vision de long terme et on se fout de mesurer la productivité instantanée des individus. Le corps politique défini des critères d'évolution concordants avec ses objectifs, et on organise des concours dans lesquels les enseignants présentent à un jury le travail qu'ils ont accompli et/ou cherchent à développer. Ensuite le jury, avec sa subjectivité, détermine quels sont les candidats dont le travail correspond le mieux à ce que le corps politique souhaite valoriser.

    Tu confonds l'outil et son usage.
    Si un indicateur est généré toutes les semaines, ça veut forcément dire qu'il n'y a pas de plan à long terme?
    Si on regarde la productivité à court-terme, ça veut dire qu'on ne s'intéresse pas à la productivité à long terme?
    Si on établit un plan pour améliorer la productivité, on met à combien l'intervalle de mesure? Une fois au début, une fois à la fin? Si c'est pas bon, on s'est juste vautré tout ce temps là sans se poser la moindre question.

    Le corps politique défini des critères d'évolution concordants avec ses objectifs, et on organise des concours dans lesquels les enseignants présentent à un jury le travail qu'ils ont accompli et/ou cherchent à développer. Ensuite le jury, avec sa subjectivité, détermine quels sont les candidats dont le travail correspond le mieux à ce que le corps politique souhaite valoriser.

    Et quand t'as un jury pour 1000 candidats, ça marche super bien, parce que tout le monde a pris des notes "super bien", et se demande si "super bien" c'était mieux ou moins bien que la petite note "trop top" du projet vu la semaine dernière?
    Bah, on s'arrangera entre "potes". C'est ce qui se passe par exemple aux concours CNRS ou dans les universités: pas de métrique, le jury est juste "un peu subjectif".

    Les petites structures n'ont sûrement pas besoin de tout ça, mais pour gérer plus gros, il faut autre chose que "du contact humain". C'est moins efficace, ça engendre des effets pervers, mais peut-être pas autant que l'alternative où ça devient vite plus politique que lié au mérite.