Moonz a écrit 3542 commentaires

  • [^] # Re: On est toujours le "con" d'un autre

    Posté par  . En réponse au journal Bagnole, pouvoir, autorité. Évalué à 2.

    Regarde la Suisse, par exemple, où tu peux te rendre quasiment partout en train… c'est très différent de la France en terme d'infrastructures de transports en communs.

    C’est très différent en terme de superficie et de densité de population aussi.

    On supprime toutes les lignes SNCF secondaires

    Certaines, oui. Toutes, clairement pas.

    Et en parallèle de ça tu as un développement assez important des lignes autocar.

  • [^] # Re: On est toujours le "con" d'un autre

    Posté par  . En réponse au journal Bagnole, pouvoir, autorité. Évalué à 6.

    (diminution des transports publics / transports en commun)

    ?

    Là où je suis (Lyon), c’est bien plutôt l’inverse : de nouvelles lignes régulières (T5 il y a 4 ans, T6 en préparation) et prolongement d’anciennes lignes (T3 & métro B en cours par exemple).

  • [^] # Re: Customisation

    Posté par  . En réponse à la dépêche Thunderbird 45 est sorti. Évalué à 3. Dernière modification le 18 avril 2016 à 17:58.

    ?

    Relis la discussion depuis le début, je ne demande rien du tout. Tout ce que j’ai fait, c’est répondre à ceux qui se demandent à quoi ça sert.

  • [^] # Re: Customisation

    Posté par  . En réponse à la dépêche Thunderbird 45 est sorti. Évalué à 3. Dernière modification le 18 avril 2016 à 12:34.

    Personnellement, j'ai toujours eu horreur de ce mode, car la plupart du temps quand on répond à un mail il y a déjà le mail précédent repris.

    Il n’y a effectivement aucun intérêt à ce mode si tu n’as qu’une nouvelle réponse. L’intérêt de ce mode n’est pas d’avoir l’historique complet d’un thread dans la même vue, mais d’avoir tous les nouveaux messages d’un fil dans la même vue, pour éviter d’avoir à appuyer 15 fois sur « next unread message » (n) si tu as 15 nouveaux messages dans un fil.

    Par exemple, lire les messages dépliés de cette vue :

    TB Conversations

    est bien plus pratique que de faire quatre fois passer au message suivant/lire le message affiché.

  • [^] # Re: Bravo

    Posté par  . En réponse à la dépêche Thunderbird 45 est sorti. Évalué à 7.

    J’ai du mal à voir en quoi Gtk serait un repoussoir aux contributions. Gtk dans les projets mozilla, c’est une portion bien spécifique et séparée du code à laquelle tu n’as aucune raison de toucher en temps normal.

  • [^] # Re: Customisation

    Posté par  . En réponse à la dépêche Thunderbird 45 est sorti. Évalué à 9.

    Non.

    View -> Layout -> Vertical view donne une vue trois colonnes :

    1: Arborescence des dossiers
    2: Arborescence des messages (ou liste plate pour les dinosaures qui ne sont pas passés en vue arborescente ;))
    3: Affichage du message sélectionné

    La vue Geary en trois colonnes c’est :

    1: Arborescence des dossiers
    2: Liste des threads, où 1 thread = 1 entrée même si le thread comporte 15 message
    3: Affichage de tous les messages du thread sélectionné

    L’avantage de la vue Geary c’est de pouvoir avoir tous les messages d’un thread sur un seul écran (c’est à dire pas avoir à faire une action pour passer au message suivant).

    Il y a un addon qui fait ça : Thunderbird Conversations.

  • [^] # Re: histoire de ne pas me faire troller à coup de terrorisme intellectuel...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Passbolt, un nouveau gestionnaire de mots de passe pour les équipes. Évalué à 2. Dernière modification le 16 avril 2016 à 17:25.

    • un début d'api REST ré utilisable par d'autres

    De ce que je lis sur la dépêche, passbolt le fait aussi.

    Soit dit en passant, au sujet de gpass, je ne peux lire toutes les sources :( http://indefero.soutade.fr/p/gpass/source/tree/master/server/ref/index.php

    Bug d’indefero. Un git clone sur le dépot me donne bien un index.php lisible.

    en bref, ça tente personne de faire juste des api rest, et de laisser la vue à d'autres quand vous faites des projets web ? Ou de vraiment la séparer complètement, et intégralement.

    Ça n’apporte pas tellement je dirai. À partir du moment où, comme wkr ou passbolt, tu décides de faire la crypto côté navigateur, il ne reste quasiment rien à faire côté serveur, et quasiment tout se fait côté client. « Laisser les autres faire la vue » revient à dire « laisser les autres tout faire ».

  • [^] # Re: histoire de ne pas me faire troller à coup de terrorisme intellectuel...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Passbolt, un nouveau gestionnaire de mots de passe pour les équipes. Évalué à 6.

    Pour gestion en équipe : teampass

    Pour gestion personnelle : gPass, wkr

    En non-web : Keepass

    En pas libre : lastpass, 1password, dashlane

  • # Partage ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Passbolt, un nouveau gestionnaire de mots de passe pour les équipes. Évalué à 3.

    Le fonctionnement en équipe, ça a l’air d’être « je créé puis je partage ».

    Quelques questions donc :
    - Un partage est-il une copie ou un lien ? Autrement dit, si moi ou mon collègue modifions un élément, la modification sera-t-elle vue par les deux, ou seulement par celui qui a fait la modification
    - Une fonctionnalité « d’auto-partage » (pour les membres d’une équipe par exemple) est-elle envisagée ? Parce que pour l’instant, je vois venir gros comme une maison le problème de « oups, mon collègue qui est en vacances et injoignable a oublié de partager ce mot de passe ».

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse au journal Zabbix, autossh, systemd. Évalué à 3.

    le service b doit se lancer après le service a et ce même si le service a échoue à se lancer

    C’est ce que fait After=

  • [^] # Re: Nom de domaine .netlib.re

    Posté par  . En réponse au journal Hébergement mutualisé pas cher. Évalué à 4.

    Pour choper l’IP externe, tu as plus propre que d’interroger un service web : tu as l’outil external-ip de miniupnpc

  • [^] # Re: la politique c'est la vie

    Posté par  . En réponse au sondage Pour ou contre le hors sujet sur LinuxFr.org ?. Évalué à 5.

    J’en utiliserais pas, car ça n’a rien à voir. Les libertariens se sont inspirés des anarchistes mais l’idéologie n’a rien à voir. Franchement si tu lis la page Wikipédia de l’anarchisme et celle du libertarianisme, les idéologies sont quasiment opposées en tout point, malgré quelques vagues ressemblances de surface.

    • La liberté individuelle comme valeur politique suprême
    • La notion de sécession individuelle
    • L’association libre plutôt que l’intégration politique forcée

    Tout ça, ça me semble un peu plus profond que des « vagues ressemblances de surface », et ce sont des valeurs partagées entre les libertariens (anti-état) et les anarchistes (au sens restreint).

    Allez, petit jeu. Tu n’as pas le droit à Google. Deux citations d’auteurs anarchistes (au sens large) qui tentent de définir leur vision de l’anarchisme en une phrase. L’un est “anarcho”-capitaliste (je met les guillemets pour te faire plaisir ;)), l’autre est anarcho-communiste. Essaie de deviner qui est quoi :

    1. « L’anarchie consiste à n’accepter aucun chef pour imposer des règles dont on ne veut pas. »

    2. « La clef de l’anarchie, présente dans son principe fondateur, est l’accord libre de l’individu, qui peut accepter ou rejeter une règle sans être exposé à une contrainte ayant une origine humaine externe. Toute société, toute organisation, tout principe social fonctionnant sur la base du consentement libre de chaque membre est anarchiste. »

    (réponse au jeu ici)

    Question bonus : quelle est la différence fondamentale entre ces deux positions, qui justifie de séparer les deux ?

    Tu n’as pas répondu à une autre question qui me semble importante : comment expliquer le fait que des auteurs comme Stirner, Spooner ou Belleguarigue soient considérés comme représentatifs simultanément des deux pôles de l’anarchisme au sens large, si les similarités ne sont que de surface ?

    Le mouvement du logiciel libre c’est quand même de promouvoir les libertés d’utiliser comme on veut, t’étudier, de modifier et de redistribuer les logiciels. Y a pas d’autorité qui peut garder le code source sous clé, on peut pas t’empêcher d’apprendre, on peut pas t’empêcher de distribuer indépendamment.

    Rien d’anti-capitaliste là dedans.

    C’est quand même moyen capitaliste de plus avoir de droits exclusifs, de droits de propriété privée sur ton code source sans aucune contrepartie. Le Logiciel Libre, c’est un peu l’abolition de la propriété privée des moyens de productions (de logiciel) (coucou Marx).

    Pour le coup je crois que ton biais « libertarien = capitaliste = méchant exploiteur » met des mots dans ta bouche là :). Tu ne peux absolument pas dire que le libertarianisme est intrinsèquement et nécessairement pro-propriété-intellectuelle, à moins de prétendre que tu connais le libertariannisme mieux que les libertariens eux-mêmes. Si, historiquement, les libéraux et libertariens sont effectivement partagés sur la propriété intellectuelle, la position majoritaire est de plus en plus anti propriété intellectuelle, et ce pour une raison très simple : la propriété intellectuelle est nécessairement une limitation de la propriété privée. Par exemple, si tu poses un brevet sur la roue, ça signifie qu’il me sera interdit d’utiliser mes moyens de production (ma propriété privée) pour fabriquer des roues. Et ça, comme tu dis, c’est « quand même moyen capitaliste » ;).

    Sur l’équivalent d’anarchopédia pour les libertariens :

    Modern libertarians (..,) consider the term to be self-contradictory, because ideas and patterns are not scarce or rivalrous, so logically cannot be owned.

  • [^] # Re: la politique c'est la vie

    Posté par  . En réponse au sondage Pour ou contre le hors sujet sur LinuxFr.org ?. Évalué à 2.

    Abolir la propriété privée d’une œuvre matérielle, c’est la placer dans le domaine public. Utiliser les droits d’auteurs pour faire « comme si », ça donne quelque chose comme la CC0 ou la WTFPL (éventuellement BSD/MIT). Pas la GPL, qui impose des obligations aux développeurs de versions dérivées, obligations qui auraient toujours leur sens dans un monde sans propriété intellectuelle, et obligations indéfendables devant un tribunal dans un monde sans propriété intellectuelle.

    S’il n’y avait que le domaine public, rien n’empêcherait, disons Sun, de reprendre GNU/Hurd, d’y apporter ses modifications et de distribuer (et même de faire payer) un binaire compilé sans fournir l’accès au code source modifié. On perd donc l’intérêt fondamental qu’a la GPL pour ses défenseurs : le fait que les dérivés d’un logiciel libre restent libres.

    Tout logiciel dans le domaine public n’est pas nécessairement libre. Le domaine public, c’est grosso modo la liberté de redistribution. Le logiciel libre, c’est plus que ça, et il te faut à minima l’accès au code source, ce que le domaine public ne garantit absolument pas. Les abandonwares sont souvent considérés comme du (quasi-)domaine public (même si ça ferait tourner tout rouge un avocat ;)), mais ils ne sont pas libres. Non seulement le domaine public ne garantit pas la liberté du logiciel, mais il détruit la possibilité d’un bon paquet de clauses visant à le protéger : clauses anti-tivoisation (qu’est-ce qui empêcherait tivo de faire ce qu’il a fait dans un monde sans propriété intellectuelle ? absolument rien), clauses d’extension de la notion d’utilisateur (AGPL3), copyleft.

  • [^] # Re: la politique c'est la vie

    Posté par  . En réponse au sondage Pour ou contre le hors sujet sur LinuxFr.org ?. Évalué à 2. Dernière modification le 02 avril 2016 à 17:01.

    Je ne vois absolument d’où tu sors cette notion de possession d’une idée. Je ne parle que d’une chose dans mon message initiale : de la base juridique qui permet de défendre la GPL devant les tribunaux. En France, ce sont les lois qui sont dans le Code de la Propriété Intellectuelle ; sans cette propriété intellectuelle, le mécanisme de « copyleft » de la GPL (et licences équivalents) est impossible. Autrement dit, une grosse partie du logiciel libre repose fortement sur le concept juridique quasi-universel (en occident du moins, ailleurs j’en sais rien ;)) de propriété intellectuelle. Il est donc faux de dire que le logiciel libre s’oppose à la propriété intellectuelle.

    C’est tout ce que j’ai dit. Jamais je n’ai parlé de propriété d’une idée.

  • [^] # Re: la politique c'est la vie

    Posté par  . En réponse au sondage Pour ou contre le hors sujet sur LinuxFr.org ?. Évalué à 4.

    Les libertariens sont très loin de l’anarchisme

    Alors quel terme général utiliserais-tu pour désigner l’ensemble des positions idéologiques communes aux libertariens « anarchistes » et aux anarchistes « de gauche » ? À ma connaissance, Stirner, Spooner et Belleguarrigue ne sont pas rejetés hors de la tradition anarchiste que tu défends par exemple, et sont considérés comme des auteurs fondamentaux pour les libertariens. Alors à moins de prétendre que les libertariens sont des analphabètes, il va bien falloir trouver un terme pour désigner ce recouvrement, et « anarchisme » me semble tout à fait convenable pour cet usage. Par exemple, sur ta proposition, « Le fait de donner la possibilité de passer outre un pouvoir qu’on ne juge pas légitime est anarchiste », un libertarien sera 100% d’accord avec toi tandis qu’un mélenchonniste ne sera pas du tout d’accord.

    Le problème de ton message c’est que tu commences par définir l’anarchisme par l’anarchisme anti-capitaliste (bon, pourquoi pas), pour ensuite remarquer l’intersection entre certaines valeurs du logiciel libre et certaines valeurs de l’anarchisme, pour enfin en conclure que le logiciel libre porte des valeurs anti-capitalistes. C’est complètement fallacieux : toute valeur anarchiste (même au sens limité) n’est pas anti-capitaliste, et ces valeurs communes à l’anarchisme et au logiciel libre font partie des valeurs non spécifiquement anti-capitalistes de l’anarchie (la preuve : un libertarien ne les désavouerait pas).

  • [^] # Re: la politique c'est la vie

    Posté par  . En réponse au sondage Pour ou contre le hors sujet sur LinuxFr.org ?. Évalué à 3.

    contestation de la propriété

    Non. Contestation de la propriété intellectuelle à la limite, et encore par une frange je pense minoritaire du logiciel libre. Sans propriété intellectuelle, absolument rien ne m’empêcherait de prendre un logiciel sous GPL, de l’améliorer et d’en faire un binaire que je revendrai sous une licence propriétaire.

  • [^] # Re: chut !

    Posté par  . En réponse au message [Résolu] Sucre syntaxique autour de subprocess. Évalué à 2.

    C’était bien ça, merci :)

  • # {{pas clair}}

    Posté par  . En réponse au journal [HS] Déchéance de nationalité et constitutionnalisation de l'état d'urgence bronsonisés. Évalué à 2.

    et de faire partir de son gouvernement un grand symbole

    Je ne vois pas bien à quoi tu fais référence. Tu pourrais expliciter ?

  • [^] # Re: WebAssembly

    Posté par  . En réponse à la dépêche Firefox 45 ESR et autres actualités mozilliennes. Évalué à 10. Dernière modification le 30 mars 2016 à 12:15.

    J’avoue, politicien, c’est assez violent comme insulte quand même.

  • [^] # Re: Ne regardons pas par le petit bout de la lorgnette non plus...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La seule chose que Microsoft doit faire - mais ne fera pas - pour gagner la confiance open-source. Évalué à 6.

    Le fait qu'ils aient produit un peu de code libre il y a 3 ans ne change que 1% du truc car ils n'ont fait que le strict nécessaire

    En quoi la libération de .Net, F#, Chakra ou rDSN était strictement nécessaire ?

  • [^] # Re: ouai

    Posté par  . En réponse au journal Données vs Code. Évalué à 3.

    Par exemple tu as un tableau d'entier (ton type initial) et tu va créer un type tableau d'entier trié (ton type de sortie) et seul tes méthodes de tris sortent ce type précis.

    Pour ton exemple de tableau d’entier, tu peux ajouter une autre contrainte (orthogonale au tri), par exemple que les éléments doivent être uniques. Ou pairs. Ou compris entre 1 et 12 (mois). Comment tu composes ces contraintes (trié + pairs par exemple) si chaque contrainte donne naissance à un seul type ?

  • [^] # Re: Ne regardons pas par le petit bout de la lorgnette non plus...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La seule chose que Microsoft doit faire - mais ne fera pas - pour gagner la confiance open-source. Évalué à 9. Dernière modification le 28 mars 2016 à 21:05.

    Évidemment qu’ils font de l’open source qui les arrangent. Et alors ? Red Hat aussi fait de l’open source qui les arrangent. Moi-même je fais de l’open source qui m’arrange. Tu connais beaucoup de monde qui fait de l’open source dont il se contrefout ? Personnellement, j’aurais pas confiance, et je m’attendrais à du travail bâclé.

    Par contre, ce qu’il faut voir, c’est que les trucs qui les arrangent, ils auraient pu les faire en closed source (comme ils faisaient avant), et que maintenant ils le font en open source. Si ce n’est pas une évolution positive, je ne sais pas ce qu’il te faut.

    (et dans la liste des trucs « égoïstes » qu’ils font en Open Source, tu peux ajouter la compatibilité Windows à Docker, leur moteur Javascript Chakra, Tyepscript, de gros morceaux de .Net dont le développement de ASP.NET 5 en mode communautaire, CNTK & DMTK, GSL, Bond, TouchDevelop, F#, rDSN, Pyjion, Ace, Thrifty, WinJS, Nuget, RxJs, Z3, RxCpp, Rx.Net, Thali, et bien d’autres)

  • [^] # Re: Dommage

    Posté par  . En réponse au journal Vive la navigation anonyme !. Évalué à 9.

  • [^] # Re: Traduction faite

    Posté par  . En réponse au journal Comment devenir programmeur. Évalué à 3. Dernière modification le 26 mars 2016 à 12:31.

    Déjà qu'il faut traduire le métier et les termes du client, pourquoi s'emmerder comme des cons avec de l'anglais qu'on ne maîtrise pas ?!

    Parce que tout le code purement technique (non métier) a d’énorme chance d’être en anglais (serverConnection, fileHandler, jsonParser,…), et que se retrouver avec un mélange de termes anglais et français, c’est assez atroce.

    À ma connaissance il n’y a aucun métier spécifique à la francophonie, donc normalement en ouvrant un dictionnaire tu devrais pouvoir trouver des traductions propres pour ton vocabulaire métier. Et en faire un glossaire. Ce qui au final clarifiera probablement les choses relativement à une situation « vu qu’on est fait en français pas besoin d’un glossaire » pour se retrouver avec 5 développeurs qui ont compris et utilisent les termes métiers de manière subtilement différente (mais en français donc c’est plus clair, n’est-ce-pas ?)

  • [^] # Re: Pour quel coût ?

    Posté par  . En réponse au journal L'increvable. Évalué à 3.

    Pour résoudre ce conflit permanent et inhérent qu’il y a entre soi et le monde extérieur, le commentaire imbécile ne peut plus considérer l’autre comme d’égal à égal : on admettra pas qu’une opinion différente de la sienne puisse se construire sur des bases rationnelles, intelligente et il faudra nécessairement s’occuper de s’auto-persuader qu’elle est le produit d’un “moins-que-soi”.

    Histoire d’être explicite : considérer l’autre comme étant un moins que soi, c’est par exemple le considérer comme un « autiste » incapable de comprendre le concept de témoignage, inférieur à des enfants en bas âge sur sa capacité à « savoir distinguer le monde extérieur, les autres, de soi-même », dénué de la capacité culturelle de base de comprendre l’implicite ?