Un peu plus tard, je me souviens avoir trafiqué les modes XWindow pour passer l'écran VGA 800 x 600 en 900 x qqchose avec beaucoup de couleurs. L'écran a tenu un an avant de griller, la carte graphique S3Trio a bien résisté.
Il faut nuancer ton histoire de contraintes.
Au boulot, j'ai fait pas mal de sites dans les années 90, quand c'était encore plus lent. Les modems étaient les mêmes, mais les tuyaux, les serveurs et les clients étaient beaucoup moins «gros». On avait pas mal de trucs, d'astuces et d'outils pour ne pas exploser les «10 à 30 ko» et pour optimiser le chargement des pages, des photos et des Gifs animés. Mais c'est le métier, un étudiant ne peux pas connaître. On attendait un peu, c'est vrai, mais guère plus de 2 ou 3 secondes pour avoir l'affichage, le bas de page se chargeant plus tard.
Par exemple
On peut facilement réduire le nombre de couleurs du Gif tout en gardant le lissage des courbes : on indique par des sélections judicieuses les zones de l'image à privilégier pour l'indexation, c'est à dire les courbes.
Quant aux animations il y a des logiciels pour n'enregistrer que les parties modifiées du Gif.
On peut sur-compresser certaines parties d'un JPEG, utiliser des tables de luminances, compresser différemment la luminance et la chrominance, … C'était un peu rustique à faire, mais aujourd'hui TurboJpeg et MozJpeg l'automatisent.
On peut précharger les images de la page suivante en leur donnant une taille d'un pixel.
les grosses images étaient parfois découpées en morceaux, que le serveur poussait successivement.
On découpait les pages en tranches indépendantes, pour que le navigateur les charge et affiche successivement, notamment ce qui ne tenait pas dans la partie visible de la page, les écrans étant petits (800 x 600 puis 1024 x 768).
Évidemment les grosses images n'étaient pas dans la première partie visible.
On comptait les octets! si, si : chaque signe, espace et retour chariot «pas utile» pouvait être éliminé par une moulinette.
Je me rappelle vaguement avoir fait des essais sur les encodages de caractères pour gratter un peu…
Quel intéret de commenter sans lire l'article ? Il contient plein de benchs, comparant Python 3.8, 3.9, 3.10 et 3.11. Et y'a pas photo : si on avait chaque fois droit à des petites améliorations entre les versions, cette fois c'est un joli bond.
Pour essayer on doit créer un compte, c'est dommage. J'aimerai découvrir le sérieux et l'ergonomie avant de m'enregistrer. Bref, il manque une démo avec un domaine bidon pour voir ce qu'on peut faire avec les zones.
Ysabeau à raison, Libo est tout à fait adapté. Tu pourrais utiliser Lyx pour avoir des rendus léchés, mais si Lyx ne te sers que pour ce tutoriel, il vaut mieux bosser pour maitriser la publication avec Libo.
tu dois pouvoir charger les variables d'env dans un script
C'est ce que font les scripts dans les paquets dits "syspath". Par exemple avec le serveur de Mariadb.
La doc étant peu disert à ce sujet, je signale que le paquet scl-utils-build-helpers contient un utilitaire pour produire les scripts "syspath" à l'empaquetage.
ça vient de la tribune (que tu n'as peut-être pas encore découverte). C'est là que sont produits une kyrielle de jeux de mots et références à l'absurde qui font la délicieuse mythologie de Linuxfr.
Merci. Le souci c'est de pouvoir pointer au bon endroit avec un logiciel existant (Odoo en l'occurrence). J'ai mieux compris comment ça marche (voir plus bas) mais je me demande si c'est très efficace.
Merci de ta réponse.
Mais si je me déconnecte, ça ferme le nouveau shell donc l'accès a la Software Collection. Or c'est un serveur, il faut accéder à nodejs6 en permanence.
J'ai trouvé des paquets "syspath" pour mariadb qui sont remplis de scripts shells qui positionnent les variables d'environnement. Il faut faire l'équivalent pour nodejs6 ? C'est pas trop lourd d'ouvrir des sous shells à chaque appel de nodejs6?
Je viens de lire aussi que syspath se trouve fréquemment en conflit avec les fichiers installés par un RPM hors Software Collection.
Tu veux pas donner plus d'info ?
Par exemple, la prise en main a été longue ? Faut-il «bien s'y connaître» en théorie du vol aérien ou spatial ? Un vol dure longtemps ? Combien d'échecs pour un vol réussi ? Une fois accro on arrive à ménager ses nuits ? ;-)
Dieu sait si un gros chantier solitaire qui s'étale, se perd et se reprend sur plusieurs années demande de motivation et de ténacité. Merci Bruno de n'avoir pas abandonné ! la réécriture du site en Ruby On Rail, c'était l'arlésienne que tu évoquais dans tes bonnes résolutions annuelles.
L'historique sur Github remonte jusqu'à 2009, mais le travail était déjà bien avancé, vu le premier commit
Un beau jour de 2011, la dépêche fatidique est tombée, c'était l'effondrement du temple remplacé par l'actualité ferroviaire (oui, c'est un peu facile) et l'esthétique Art Nouveau démolie par la rigueur du Bauhaus.
Comme j'aime bien les références, voici ce qu'en dit Le Robert, Dictionnaire historique de la langue française, édition 1992, le grand dico vert en deux volumes que vous pouvez trouver dans les bibliothèques.
➀ DIGITAL, ALE, AUX adjectif et nom est emprunté (1732) au latin impérial digitalis «de la grosseur d'un doigt», dérivé de digitus qui a donné en français le mot doigt.
♦ Le mot signifie «relatif au doigt», plus rarement «qui a la grosseur du doigt». Ce sens est didactique.
♦ Le latin digitus a suscité en français de nombreux mots scientifiques : dérivés savants comme DIGITÉ, ÉE adjectif (1771), DIGITATION nom féminin (1754) «forme en doigts écartés» ; composés comme DIGITIFORME adjectif (1842), DIGITIGRADE adjectif (1805), etc. dont se dégage un élément de formation digit(i).
En tant que terme de numération ➁ DIGITAL adjectif est un autre mot, emprunt récent (vers 1960) à l'anglo-américain digital «qui opère sur des données discrètes, numériques et non pas continues», sens attesté depuis 1938 et répandu vers 1945. Le mot vient de digit, ancien terme anglais d'arithmétique (1398) désignant d'abord les nombres inférieurs à 10 (soit les nombres que l'on peut compter sur les doigts, du latin digitus) puis employé comme attribut (digite number, 1613). ♢ Le mot, spécialisé aux États-Unis en parlant des machines à compter (1921), s'est répandu avec l'informatique. L'anglais possédait déjà digital, emprunt au français et au latin, qui s'était employé comme nom au sens de digit au XVe siècle, mais qui n'était plus employé que comme adjectif, au sens «de relatif au doigt» (1656).
L'emprunt de digital terme de numérotation, a entraîné celui de DIGIT nom masculin (1968) et surtout celui de DIGITALISER verbe transitif (1970) pris au dérivé anglais to digitalize (1962). ♦ En revanche, ➀ DIGITALISATION nom féminin (1970) est une création française : les dictionnaires anglais connaissent seulement digitalization «administration de digitaline». Le Journal Officiel a prescrit (12 janvier 1974) numérique pour remplacer digital, mais reste muet quant aux remplaçants possibles de digitaliser. On relève aussi DIGITISER verbe transitif (vers 1979). DIGITALE nom féminin, terme de botanique, est emprunté (1545) au latin médiéval botanique digitale. (…) [suit la partie botanique et médicale].
On peut noter la faible ancienneté de nos sens «classiques», formés à la jonction des XVIIIème et XIXème siècle par les scientifiques. Il en est allé de même pour digital formé par les premiers informaticiens anglo-américain sur un emprunt latin-français et rapidement ré-emprunté par les informaticiens français. Est-ce du franglais ? la science adore les mots d'origine latine, on est en plein dedans.
Parce qu'on a d'abord compté sur ses doigts, le latin digitus, doigt, a donné l'anglais digits, nombres, lequel à son tour a donné le français digital, numérique, en 1961.
Pour la dissipation de la chaleur, un boitier tout métallique thermoconducteur c'est nettement mieux. La vitre c'est pas top, et si elle est en verre c'est un isolant.
D'un grand scénariste hollywoodien, Ben Hecht, son roman Je hais les acteurs, hilarante comédie policière à laquelle le tout hollywood des années 30 ou 50 est mêlé.
Et d'un suisse grec français né à Corfou, Albert Cohen, son roman Mangeclous, grace auquel je me tord de rire à chaque fois.
Ces deux auteurs on écrit aussi sans se connaître deux belles et célèbres histoires d'amour tumultueuses et romantiques, dans les années 30 d'avant la barbarie Naze :
Albert Cohen Belle du Seigneur et Ben Hecht Le juif amoureux
[^] # Re: Perso
Posté par orfenor . En réponse au journal Comment s’appelle ce design web ?. Évalué à 2.
Un peu plus tard, je me souviens avoir trafiqué les modes XWindow pour passer l'écran VGA 800 x 600 en 900 x qqchose avec beaucoup de couleurs. L'écran a tenu un an avant de griller, la carte graphique S3Trio a bien résisté.
[^] # Re: Tristitude ?
Posté par orfenor . En réponse au journal Comment s’appelle ce design web ?. Évalué à 3.
Il y a 25 ans, on faisait plus avec moins :
https://web.archive.org/web/19970213054442/http://dsiegel.com/home.html
:-)
[^] # Re: Tristitude ?
Posté par orfenor . En réponse au journal Comment s’appelle ce design web ?. Évalué à 6.
Il faut nuancer ton histoire de contraintes.
Au boulot, j'ai fait pas mal de sites dans les années 90, quand c'était encore plus lent. Les modems étaient les mêmes, mais les tuyaux, les serveurs et les clients étaient beaucoup moins «gros». On avait pas mal de trucs, d'astuces et d'outils pour ne pas exploser les «10 à 30 ko» et pour optimiser le chargement des pages, des photos et des Gifs animés. Mais c'est le métier, un étudiant ne peux pas connaître. On attendait un peu, c'est vrai, mais guère plus de 2 ou 3 secondes pour avoir l'affichage, le bas de page se chargeant plus tard.
Par exemple
# Tristitude ?
Posté par orfenor . En réponse au journal Comment s’appelle ce design web ?. Évalué à 8.
tout est dans le titre
[^] # Re: encore ?
Posté par orfenor . En réponse au lien Python 3.11, plus rapide pour de vrai de vrai. Évalué à 2.
non, c'est juste qu'Orfenor est un peu naïf, peu compétent en programmation et réagit un peu vite :-)
[^] # Re: encore ?
Posté par orfenor . En réponse au lien Python 3.11, plus rapide pour de vrai de vrai. Évalué à 5. Dernière modification le 06 juin 2022 à 22:53.
Quel intéret de commenter sans lire l'article ? Il contient plein de benchs, comparant Python 3.8, 3.9, 3.10 et 3.11. Et y'a pas photo : si on avait chaque fois droit à des petites améliorations entre les versions, cette fois c'est un joli bond.
[^] # Re: Gestion du téléphone en liste blanche possible ?
Posté par orfenor . En réponse au lien Du nouveau dans le système d’exploitation /e/OS 1.0. Évalué à 3.
ça va, je ne suis pas le seul!
[^] # Re: petit bug
Posté par orfenor . En réponse à la dépêche happyDomain - On devrait tous avoir un nom de domaine. Évalué à 3.
le compte et son mot de passe sont associés à l'autre domaine, donc Firefox ne les propose pas.
[^] # Re: ça manque d'une démo
Posté par orfenor . En réponse à la dépêche happyDomain - On devrait tous avoir un nom de domaine. Évalué à 2.
Rien à voir, c'est quand tu installes l'outil sur ton poste. Je parlais de la démo sur le site.
# petit bug
Posté par orfenor . En réponse à la dépêche happyDomain - On devrait tous avoir un nom de domaine. Évalué à 4.
à la création du compte sur happydomain on reçoit un courriel pour le valider sur happydns. Firefox n'y retrouve pas ses petits.
[^] # Re: Le retour de happydns :-)
Posté par orfenor . En réponse à la dépêche happyDomain - On devrait tous avoir un nom de domaine. Évalué à 3.
HappyDNS c'est l'ancien nom du projet. C'est d'ailleurs indiqué sur https://framagit.org/happyDNS
# ça manque d'une démo
Posté par orfenor . En réponse à la dépêche happyDomain - On devrait tous avoir un nom de domaine. Évalué à 4.
Pour essayer on doit créer un compte, c'est dommage. J'aimerai découvrir le sérieux et l'ergonomie avant de m'enregistrer. Bref, il manque une démo avec un domaine bidon pour voir ce qu'on peut faire avec les zones.
[^] # Re: LibreOffice, un outil adapté pour la publication
Posté par orfenor . En réponse au journal Sortie de kdenlive 22.04. Évalué à 4.
Ysabeau à raison, Libo est tout à fait adapté. Tu pourrais utiliser Lyx pour avoir des rendus léchés, mais si Lyx ne te sers que pour ce tutoriel, il vaut mieux bosser pour maitriser la publication avec Libo.
[^] # Re: Activation
Posté par orfenor . En réponse au message substituer un paquet de Red Hat Software Collection au paquet «normal». Évalué à 2.
C'est ce que font les scripts dans les paquets dits "syspath". Par exemple avec le serveur de Mariadb.
La doc étant peu disert à ce sujet, je signale que le paquet scl-utils-build-helpers contient un utilitaire pour produire les scripts "syspath" à l'empaquetage.
[^] # Re: Ce n'est pas nouveau
Posté par orfenor . En réponse au journal La Poste ne distribue plus le courrier et le jette à la poubelle. Évalué à 8.
ça vient de la tribune (que tu n'as peut-être pas encore découverte). C'est là que sont produits une kyrielle de jeux de mots et références à l'absurde qui font la délicieuse mythologie de Linuxfr.
[^] # Re: un depot comme un autre
Posté par orfenor . En réponse au message substituer un paquet de Red Hat Software Collection au paquet «normal». Évalué à 2.
Merci. Le souci c'est de pouvoir pointer au bon endroit avec un logiciel existant (Odoo en l'occurrence). J'ai mieux compris comment ça marche (voir plus bas) mais je me demande si c'est très efficace.
[^] # Re: Activation
Posté par orfenor . En réponse au message substituer un paquet de Red Hat Software Collection au paquet «normal». Évalué à 2.
Merci de ta réponse.
Mais si je me déconnecte, ça ferme le nouveau shell donc l'accès a la Software Collection. Or c'est un serveur, il faut accéder à nodejs6 en permanence.
J'ai trouvé des paquets "syspath" pour mariadb qui sont remplis de scripts shells qui positionnent les variables d'environnement. Il faut faire l'équivalent pour nodejs6 ? C'est pas trop lourd d'ouvrir des sous shells à chaque appel de nodejs6?
Je viens de lire aussi que syspath se trouve fréquemment en conflit avec les fichiers installés par un RPM hors Software Collection.
# En deux clics de cuillère à post
Posté par orfenor . En réponse au lien Linux Fedora : installer Collabora Online sur une instance NextCloud. Évalué à 4.
Pour les utilisateurs de Yunohost c'est un clic pour NextCloud, un clic pour Collabora.
[^] # Re: Super logiciel
Posté par orfenor . En réponse à la dépêche Nouvelles de l'espace paisible. Évalué à 3.
Tu veux pas donner plus d'info ?
Par exemple, la prise en main a été longue ? Faut-il «bien s'y connaître» en théorie du vol aérien ou spatial ? Un vol dure longtemps ? Combien d'échecs pour un vol réussi ? Une fois accro on arrive à ménager ses nuits ? ;-)
# Merci m'sieur Nono
Posté par orfenor . En réponse au journal LinuxFr.org : seconde quinzaine d'avril 2022. Évalué à 7.
Dieu sait si un gros chantier solitaire qui s'étale, se perd et se reprend sur plusieurs années demande de motivation et de ténacité. Merci Bruno de n'avoir pas abandonné ! la réécriture du site en Ruby On Rail, c'était l'arlésienne que tu évoquais dans tes bonnes résolutions annuelles.
[^] # Re: Qu'est-ce que les doigts ont à voir là dedans ?
Posté par orfenor . En réponse à la dépêche NOALYSS - Document : extension pour Noalyss. Évalué à 5. Dernière modification le 28 avril 2022 à 17:10.
Comme j'aime bien les références, voici ce qu'en dit Le Robert, Dictionnaire historique de la langue française, édition 1992, le grand dico vert en deux volumes que vous pouvez trouver dans les bibliothèques.
On peut noter la faible ancienneté de nos sens «classiques», formés à la jonction des XVIIIème et XIXème siècle par les scientifiques. Il en est allé de même pour digital formé par les premiers informaticiens anglo-américain sur un emprunt latin-français et rapidement ré-emprunté par les informaticiens français. Est-ce du franglais ? la science adore les mots d'origine latine, on est en plein dedans.
[^] # Re: Qu'est-ce que les doigts ont à voir là dedans ?
Posté par orfenor . En réponse à la dépêche NOALYSS - Document : extension pour Noalyss. Évalué à 0.
Parce qu'on a d'abord compté sur ses doigts, le latin digitus, doigt, a donné l'anglais digits, nombres, lequel à son tour a donné le français digital, numérique, en 1961.
[^] # Re: Merci
Posté par orfenor . En réponse à la dépêche Soutenir une proposition d'évaluation des dépenses logicielles de l'État. Évalué à 4. Dernière modification le 23 avril 2022 à 13:58.
Merci pour la rédaction de ta proposition, que j'ai trouvée super complète, argumentée, sourcée, … je n'aurais pas su faire aussi bien.
[^] # Re: Si tu es bricoleur
Posté par orfenor . En réponse au journal Des DIMMs DDR RGB en SMBus vraiment PITA. Évalué à 4.
Pour la dissipation de la chaleur, un boitier tout métallique thermoconducteur c'est nettement mieux. La vitre c'est pas top, et si elle est en verre c'est un isolant.
# Ben Hecht et Albert Cohen
Posté par orfenor . En réponse au journal Rions un brin. Évalué à 3.
D'un grand scénariste hollywoodien, Ben Hecht, son roman Je hais les acteurs, hilarante comédie policière à laquelle le tout hollywood des années 30 ou 50 est mêlé.
Et d'un suisse grec français né à Corfou, Albert Cohen, son roman Mangeclous, grace auquel je me tord de rire à chaque fois.
Ces deux auteurs on écrit aussi sans se connaître deux belles et célèbres histoires d'amour tumultueuses et romantiques, dans les années 30 d'avant la barbarie Naze :
Albert Cohen Belle du Seigneur et Ben Hecht Le juif amoureux