Vous pourriez peut-être profiter de l'occasion pour toucher à du C++ en regardant du côté de Gtkmm. L'avantage du C++ dans l'interface graphique c'est que du code orienté objet colle bien avec la logique d'une interface graphique. Éventuellement cela facilite la lecture du code. Et Gtkmm (qui est juste une interface C++ avec Gtk) est très bien documenté et facile d'accès.
Je peux bien entendu me tromper, mais je crois qu'il est peut-être plus simple d'apprendre les éléments de C++ nécessaires à faire du Gtkmm et Gtkmm, que d'apprendre à manier Gtk.
Oh non, encore un bouquin mis à dispositions par d'infâmes pirates. Un bouquin qui pourra être lu par tout un chacun. Un bouquin que les plus fétichistes déposeront sur leurs étagères poussiéreuses à côté « Du bon usage de la piraterie » de Florent Latrive ; alors que les écolos se contenteront d'un pdf compressé.
Oui, déjà c'est un livre. Vecteur historique d'informations, de culture d'éducation. Un outil à faire turbiner les cerveaux. Voilà qui va encore renchérir les cours du temps de cerveaux disponible. En plus, une œuvre publiée sous gauche d'auteur. Si ces coco salauds s'auto appliquent leurs principes corrupteurs, où va-t-on ? Enfin et surtout, un ouvrage qui expose les vertus des systèmes de propriété intellectuelle dans les détails ; et qui sous prétexte qu'ils nuisent à l'économie, à l'innovation, à l'égalité et à quelques autres principes éthérés prétend qu'il faudrait réformer ce système de monopoles décrit comme éminemment nuisible.
Il n'y a qu'une chose à dire. Si vous croisez un exemplaire de « against intellectual property » brulez-le. Surtout ne le consultez pas. Par dessus tout encore, évitez d'aller visiter [http://levine.sscnet.ucla.edu/general/intellectual/againstfi(...)], vous risqueriez de voir des contenues obscènes.
Oui. Il faudra attendre encore longtemps avant que le terme privateur ne deviennent le plus communément employé pour décrire ce type d'œuvre.
En attendant, le non respect soit des lois relatives à la vente liée, soit des règlement régissant le passage de marchés publics, donne tout son sens au lapsus de l'article.
Sauf qu'il existe un gouffre béant entre les revenus qui donnent droit à l'aide juridictionnelle et ceux qui permettent « d'avoir un avocat » selon l'expression consacré.
Je me rappel vaguement l'écoute d'une interview à la radio d'un éminent personnage ; mais mes impressions du moment reviennent-elles aisément. Il se gardait bien de considérer la France médiane. Dans son discours étaient considérés d'une part les faibles revenus — en gros les gens gagnant moins que le smic — qui avaient donc droit à l'aide juridictionnelle, d'autre part le français moyen, selon lui, dont les revenus commençaient aux alentours de 5000€ par mois.
Pour les autres semble-t-il, point de justice en ce pays…
« Je ne me suis pas senti désigné. Ça m'interdit de répondre ? »
En aucun cas. Mais c'est ce qui fait que votre commentaire peut sembler excessivement bref. D'où mes questions.
« La, faut aller voir un psy, car je ne vois rien qui peut s'approcher un tant soit peu de l'insulte dans mon commentaire précédent. »
Encore une fois je ne suis pas clair : ma phrase voulait désigner celle de « mais qui suis-je ». Cette dernière me semblant sous-entendre une forme de fanatisme religieux (« pûr ») chez les personnes refusant d'employer des logiciels privateurs.
« On est d'accord sur la conclusion, mais le chemin pris est quand même bizarre. »
<mode tête dans le gaz (parfait)>Pourrions nous en déduire que la conclusion est une fonction d'état ?</mode tête dans le gaz (parfait)>
Probablement pas. À moins que la floppée de coquilles dans votre message précédent — indigne de vous, et tout juste de mon niveau — ne traduise un état de conscience altérée ?
Donc MEA CULPA ; voici une tentative d'auto traduction :
- Il me semble que vous n'êtes absolument pas le genre de personne désignée par « certains d'entre vous […] refuser l'installation d'un logiciel proprio. » Et encore moins par « ceux-là n'écoute pas de musique »(sic).
- Partant, votre « si » apparaît lapidaire. Et ma curiosité aurait souhaité, qu'outre les raisons techniques, vous détaillassiez les expériences qui vous amènent à répondre « si »*.
- Ayant personnellement l'impression de pouvoir être visé par la phrase que vous citez (et que je trouve à la limite de l'insulte) je me permet ensuite de contribuer à la discussion en partageant mes opinion et témoignage — atypiques et incompréhensibles apparemment.
- Opinion qui, me tromperais-je, se rapproche de la votre : je ne connaît pas de lien évident et simple entre le fait d'apprécier la liberté informatique et la capacité à écouter de la musique.
Veuillez ne voir dans ces propos aucune malignité. Elle ne s'y trouve pas.
* Un exemple vivant comme le suivant aurait pleinement satisfait ma curiosité : « Dans mon entourage professionnel, j'ai trois geeks barbus, fanatiques de logiciels libres. Ils ont tous des portraits de R. Stallman sur leur table de chevet. Et tous passent leurs journées à écouter de la musique sous licence libre quand ils ne la produisent pas eux-même. Leur groupe s'appelle les RMS boy. Et ce n'est pas en référence à une école de management française. »
« Si »
Tiens moi qui, au fil de vos interventions, pensais avoir compris vous utilisiez un nombre appartenant à N* de logiciels privateurs et étiez plutôt amateur de productions audiovisuels… À moins qu'il ne s'agisse pas d'un témoignage personnel ? Ouïe-dire ? Pétition de principes ?
En tous cas je crois me reconnaître dans la phrase que vous citez. Néanmoins, sur le fond je reste convaincu que mon inculture et mon absence de goûts artistiques sont largement orthogonaux au choix de n'utiliser que des logiciels libres et non le résultat d'une forme de zèle fanatique.
Il serait sans doute intéressant de consulter le brevet pour se gausser un peu des bureaux des brevets et de leur capacité à considérer les choses les plus triviales, enrobées d'une bonne dose de jargon abscons, comme des inventions. Comment peut-on imaginer un instant qu'une nouvelle forme de vis ne « découle pas de manière évidente de l'état de la technique ?»
Non. Ou tu du moins pas dans le sens que je souhaitais donné au paragraphe cité. Mais ma plaisanterie manque, sans doutes, de limpidité.
Les licences libres offrent toutes (me semble-t-il) la possibilité d'étudier et de modifier le code source. Il est parfaitement évident pour presque tous les utilisateurs qu'ils ne sont pas contraints de le faire. Néanmoins, certains rédacteurs d'études semblent croire que ce sont là des étapes obligées de l'utilisation de logiciels libres. Ma raillerie consistait à proposer qu'un paragraphe soit ajouté afin de les détromper…
Un peu comme si, pour chaque erreur d'interprétation connue d'un texte l'on se fendait d'un paragraphe de dénégations venant s'apposer au texte initial.
Peut-être qu'il faudrait rajouter une nouvelle clause (close) dans les licences libres. Un truc comme : « Si vous le désirez, vous avez le droit de n'utiliser aucune des libertés accordées par la présente licence, exactement comme un logiciel privateur. » Ce serait sans doutes utile pour les réalisateurs d'études de marchés sur les logiciels — savantes, indépendantes, (et financées par mirosoft) — un peu trop pressés.
Plus sérieusement dans de nombreux cas on peut raisonnablement admettre quelque chose comme un déplacement partiel des coûts entre utilisation de logiciels privateurs et logiciels libres. C'est du moins ce que semblait montrer le cas de LDLC étudié à travers de nombreux trolls ici même. Un boîte a souvent le choix suivant. D'un côté, investir dans de collaborateurs de qualité qui vont acquérir des compétences et prendre des responsabilités, c'est-à-dire investir dans son propre potentiel. De l'autre louer du logiciel privateur et du support, en cantonnant ses employés au rôle épanouissant d'opérateurs de boîtes noires.
Les deux approches ont leurs partisans. Mais les tenant de la seconde se retrouvent plus souvent qu'à leur tour à exploiter de la main d'œuvre en Tunisie ou en Chine, cohérence oblige.
Les mecs les vrais, les hommes viriles, ceux qui en ont, utilisent tous [1] : alias rm='rm -rf' Et vive la république française ! Allons enfants de la …
Plus sérieusement, je déteste l'alias en rm -i que certaines distributions imposent/aient par défaut. Mais je ne vois pas au nom de quoi l'on pourrait désirer l'interdire à autrui.
[1] Et, supériorité oblige, le vrai commando rajoute même une petite étoile dans son alias. Quels stars ces gars-là !
NB : j'ai trouvé l'article de numérama particulièrement édifiant. On pourrait en retenir que s'indigner et agir c'est bien, mais qu'un peu de circonspection et de prudence sont souvent nécessaires. Il est de notoriété publique que la corruption ne s'éradique pas avec un peu de bonne volonté et quelques incantations basées sur le logiciel libre.
Je dois très probablement mal comprendre. Mais vous me faites penser au Lorenzaccio de Musset. Comment un être humain brillant, intelligent, et éthique — qualités que transparaissent dans certains de vos messages — en arrive à un tel degré de corruption que sa vision du monde est totalement faussée sur certains sujets ?
Pour vous, le mainteneur qui reçoit une nuit dans sa boîte au lettre le courrier d'un pékin qu'il ne connaît ni d'Éve ni d'Adam lui indiquant grossièrement « j'ai compilaient vot programme sur un machine qui vous n'auriez et ne connaissiez pas pas, avék des libriothèque ke tu ne supportez pa [1] et ça marche pas. Pourriez-tu m'aidé svp ?* » Et qui passe ensuite deux semaines à travailler sans accès aux machines pour réussir à faire tourner son programme sur une architecture pas encore (ou quasiment) dans le commerce, c'est se « foutre » de la gueule des utilisateurs.
Pour vous aider à y voir plus clair mettons les choses en perspectives. Si un client de mirosoft (c'est le cas de le dire) demande à ce qu'une nouvelle architecture soit supportée pour tel ou tel programme, sans mettre à disposition la dite architecture, à votre avis sera-t-il écouté ? Et si oui, à combien de G€ devra-t-être ce client ?
Dans le cas que je rapporte on parle d'un utilisateur de base qui rapporte précisément zéro euros.
[1] J'utilisais lesstif au lieu de motif pour ceux que ça intéresse.
* Les fautes sont ajoutés pour tenir compte de mon niveau en anglais.
Euh, des sources précises pour cette bordée de trolls (le message auquel je réponds et les suivants) qui me semble parfaitement injustifiée ?
À défaut de sources externes, je peux donner une témoignage personnel qui m'amène à douter fortement de la légitimité de vos propos dans la mesure ou ma mémoire fonctionne encore correctement.
Pour mon travail j'utilise une bonne quantité de logiciels — conscience professionnelle et civique oblige, exclusivement des logiciels libres — et à l'époque où j'employais et testait des architectures un peu exotique [1] tous marchaient impeccablement sauf certains programmes qui avaient des problèmes sur IA-64. Mais à l'époque ça se comprenait bien : l'architecture venait de sortir et la majorité des développeurs ne pouvaient rien tester.
J'avais même aidé le mainteneur d'un de mes outils à faire ses corrections pour les itaniums au cours d'un long échange épistolaire : il m'envoyait des patchs et je renvoyais les log de crashs. Ça à bien du prendre une ou deux semaines pour que ce programme fonctionne parfaitement sur une architecture dont ne disposait même pas les développeurs… Mais évidemment votre maître fait bien mieux avec bien moins de moyens :-).
[1] alpha, sparc, mips, power, nec-sx et IA-64 pour dresser une liste exhaustive.
Est-ce que ce n'était pas plus simple de lancer l'application comme ça : /chemin/super/compliqué> appli monfichier &> /dev/null &
De toute façons même une application qui ne vérifie pas si une autre instance d'elle même est déjà lancée ne consomme pas beaucoup plus de ressources en étant instanciée N fois plutôt qu'une seule. Il me semble que c'est là l'un des grands apports des librairies dynamiques. Non ?
… Comme ça c'est bien plus facile de contourner ces protections vaines. Et ça évite que des informaticiens de talents ne s'échinent à briser des techniques d'informatique déloyale conceptuellement défectueuses ; ainsi tout le monde gagne du temps.
Je m'interroge sur la mutation sémantique du terme commercial. Alors que nul ne peut ignorer que le commerce est et fut une source de subsistances et de richesses — tant matérielles que culturelles — pour toutes les communautés humaines, alors qu'encore de nos jours les jeunes les plus doués et motivés se voient réserver les formations commerciales ; comment en est-on arrivé à désigner par ce mot l'ultime maillon des cycles de réincarnations avant l'hadès et la damnation éternelle, un stade de corruption (in)humaine bien pire que celui du politicien vénale ?
Et le lecteur de ce message n'ignore pas que \0 est un code marquant la fin d'une chaîne de caractère dans d'obscures langages de programmation quasiment oubliés.
Blagues à part oui. Il s'agit d'ailleurs toujours des mêmes. On à l'habitude des les appeler « banques ». Bien entendu ces acteurs ci restent dans la plus stricte légalité. Mais cela leur coûte en terme morales, légales… Ils prennent donc des commissions proportionnelles à l'infamie des crimes pour lesquels ils assurent leurs services.
NB: on pourrait croire que mes propos accusant « les banques » ne sont que des élucubrations diffamatoires de principe. Mais, une fois n'est pas coutume, j'ai des sources autres que mes lubies. Je suis tombé sur un lien raisonnablement sérieux dans les commentaires de pcinpact :
[http://fr.readwriteweb.com/2010/01/29/a-la-une/loppsi-pedoph(...)]
Il faut une taxe sur les imprimantes calculée en fonction leur résolution mesurée en lignes par pouces (LPI). Et il faudra déclarer la résolutions de son imprimante pour calculer la contribution créative sur chaque feuille de papier. En tenant compte de la « compression » moderne, il me semble que sur une feuille A4 on doit pouvoir imprimer plusieurs heures de musique standard par page (il ne faut guère plus d'une dizaine de lignes pour une portée ?).
Pour une imprimante 300 LPI on se contentera de multiplier ce barème par deux. Il ne faut pas obérer la croissance. Et même, on n’additionnera pas les résolutions des imprimantes possédées pour calculer la contribution. Ainsi quelqu'un possédant deux imprimantes 100 LPI et une imprimante 300 LPI ne payera pas la taxe calculée pour 500 LPI comme de droit, mais pour seulement 350 LPI. Merci qui ?
Tu devrais être plus réfléchi dans tes propos. D'abord, cette taxe s'applique sur des appareils de luxe. Oui, je sais, c'est dur à accepter, mais je t'assure que personne n'a besoin d'un NAS pour vivre.
Ce que vous dites là n'est pas totalement faut. Mais ce n'est vraiment pas juste non plus car en suivant ce genre d'idée on régresserait rapidement vers l'âge de pierre. Permettez-moi de développer : Cette taxe s'applique sur toute les productions immatérielles modernes. Ainsi je dois m'acquitter de cette taxe aussi bien pour mon travail quotidien — ce qui me permet de vivre — que pour certains de mes loisirs (prendre des photos par exemple). Si dans le second cas, il est clair qu'il s'agit d'un luxe, cela ne l'est pas du tout dans le second. Nous pouvons donc balayer l'argument du produit de luxe. Argument qui n'est pas nouveau. C'était justement celui utilisé pour justifier la gabelle. Cet impôt sur le sel marin qui apportait de l'iode au peuple et évitait le crétinisme. Déjà pour l'époque n'aurait-il pas été légitime de s'interroger sur le droit des gens à chercher un fonctionnement normal de leur cerveau ? Il me semble qu'on pourrait remonter très loin à travers l'histoire et trouver une foule d'exemples de taxes similaires s'opposant à la modernité. Si elles n'avaient chacune à leur tour un jour céder, le pas nous en serions très probablement toujours à des modes de vies poches de ceux du néolithique… Voici qui me semble montrer rapidement : 1) en quoi un support de stockage n'est pas nécessairement un luxe; 2) que malgré le caractère lapidaire de mon propos (ni ici, ni dans mon message antérieur il n'est possible de faire une dissertation), je me suis donné la peine de faire un petit peu chauffer mes méninges du côté du lobe frontale.
« Après que cette taxe soit trop importante, c'est un autre débat. »
Ce n'est absolument pas le niveau de la taxe qui me gène. Je suis immensément riche. C'est son principe : taxer la production culturelle, scientifique, économique, etc, au profit des rentes du divertissement ; même pas de l'industrie du divertissement. En gros : l'appareil « élite » essaye de fourguer toujours plus de circenses au monde d'en bas. Le résultat d'une telle politique est bien connue. Je prenais exemple dans la bible tout à l'heure. Passons à l'histoire romaine : Quel était l'état de la république romaine 100 ans après que Juvénal déplora l'attitude du peuple ne s'inquiétant que de sa nourriture et de son divertissement ? (la question était rhétorique mais la réponse est emblématique : Commode était au pouvoir !)
Quant au reste, je suis plutôt d'accord : il est indispensable de payer des impôts. Et ces impôts doivent être à viser redistributive étant admis que la dynamique économique est naturellement concentratrice (pardon pour le néologisme). Oui à la taxe sur la fortune. Oui aux taxes sur la spéculation. Oui à un impôt sur le revenu de 50% et plus sur les revenus au-delà du Smic. Non à la TVA parce qu'elle frappe également riches et pauvres. Et surtout non aux impôts qui visent à lutter contre le progrès moral et intellectuel. Non aux impôts qui ponctionnent le travail au profit des rentes. Est-ce si difficile à comprendre ?
Ah, si encore un point : Non la taxe copie privée n'est pas là pour entériner un comportement illégal. Elle vient compenser un manque à gagner supposé lié à la disparition progressive de l'utilité d'une certaine forme de travail.
En pratique même cela est probablement faut. je suis assez persuadé qu'il n'y a pas de manque à gagner. Entre autre à partir de mon exemple personnel : je ne consomme aucun produit de divertissement en général. Mais pour mon malheur j'ai eu maille à partir avec quelques productions disney. Si je n'avais pu enfreindre la Dadvsi et en faire des copies, ces dvd seraient repartis fissa en direction de leur magasin. Grâce à des DRM ou autre il se sont avérés incompatibles avec mon lecteur de salon. Il m'a fallu batailler des jours entiers pour pouvoir faire profiter ma progéniture de ces œuvres. Aussi, je suis bien convaincu que très peu de gens commettraient le folie d'acheter au prix fort plusieurs fois le droit d'usage d'une œuvre : une fois pour mettre au salon, une fois pour la cuisine, une fois pour chaque lecteur des appuis tête des berlines, une fois pour la diffusion dans l'hélico, une fois pour chacun des itrucs des membres de la famille…
Ainsi, ce n'est pas à un, deux ou trois titres que la taxe copie privée me fait vomir. Ce sont absolument tous ses aspects que je trouve répugnants ! Sauf peut-être un seul : son niveau de prix qui m'importe comme guigne.
« Cette splendide taxe me laisse perplexe... »
Pas moi. C'est véritablement un scandale ; la partie émergé d'un iceberg qui coulera inéluctablement notre démocratie ; le témoignage clair et irréfragable de ce que les classes supérieures considèrent le peuple comme des moutons à tondre et ne cherchent plus tant à mériter leurs positions éminentes qu'à les asseoir par le détournement du droit à l'encontre de la justice — une attitude qui n'a rien de nouveau d'un point de vue historique et dont les conséquences sont connues depuis longtemps, cf. Amos 8 par exemple.
Pour ce qui est de free, j'aurais cru qu'ils se débarrassaient de la gabelle divertissement par le même argument qui leur permet de mépriser la licence Gnu GPL : puisqu'ils prétendent ne pas distribuer leurs freebox qui restent parties intrinsèques de leur équipement réseau professionnel, ne devraient-ils pas pouvoir invoquer ces deux raisons (pro + non distribution) pour se protéger partiellement des vampires de l'anticulture ?
Partial : de parti pris, en effet les questions sont clairement orientées.
Partiel : qui n'est pas complet. Ajouter cet adjectif n'est-ce pas une défense préventive contre des remarques du genre : vous auriez dû demander ceci ou cela ? Comme de toute évidence il se trouvera toujours quelqu'un pour penser qu'il aurait fallu ajouter quelque chose, insérer cet adjectif ne coûtait rien et me semble pouvoir être une marque d'humilité (ou un coquille) ; une manière de dire nous avons fait de notre mieux mais nous reconnaissons que ce n'est pas parfait.
Dans le contexte je me serais attendu à lire le mot partial également. Mais en y réfléchissant à deux fois, il me semble que partiel peut aussi faire sens. D'autant plus que le côté partial est souligné dans la seconde partie de la même proposition.
« Nous affirmons le caractère partiel de cette enquête et l’orientation subjective de notre analyse »
[^] # Re: Modèle-Vue-Controleur
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message C et GTK. Évalué à 1.
Je peux bien entendu me tromper, mais je crois qu'il est peut-être plus simple d'apprendre les éléments de C++ nécessaires à faire du Gtkmm et Gtkmm, que d'apprendre à manier Gtk.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Encore un bouquin !
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 5 de l'année 2011. Évalué à 2.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Encore un bouquin !
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 5 de l'année 2011. Évalué à 3.
Oui, déjà c'est un livre. Vecteur historique d'informations, de culture d'éducation. Un outil à faire turbiner les cerveaux. Voilà qui va encore renchérir les cours du temps de cerveaux disponible. En plus, une œuvre publiée sous gauche d'auteur. Si ces coco salauds s'auto appliquent leurs principes corrupteurs, où va-t-on ? Enfin et surtout, un ouvrage qui expose les vertus des systèmes de propriété intellectuelle dans les détails ; et qui sous prétexte qu'ils nuisent à l'économie, à l'innovation, à l'égalité et à quelques autres principes éthérés prétend qu'il faudrait réformer ce système de monopoles décrit comme éminemment nuisible.
Il n'y a qu'une chose à dire. Si vous croisez un exemplaire de « against intellectual property » brulez-le. Surtout ne le consultez pas. Par dessus tout encore, évitez d'aller visiter [http://levine.sscnet.ucla.edu/general/intellectual/againstfi(...)], vous risqueriez de voir des contenues obscènes.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Logiciel prioritaire
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les logiciels libre à l'école.. Évalué à 5.
En attendant, le non respect soit des lois relatives à la vente liée, soit des règlement régissant le passage de marchés publics, donne tout son sens au lapsus de l'article.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: En avant pour l'Europe !
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Double victoire pour Racketiciel : la Cour de cassation vient de statuer par deux fois sur la vente liée. Évalué à 9.
Je me rappel vaguement l'écoute d'une interview à la radio d'un éminent personnage ; mais mes impressions du moment reviennent-elles aisément. Il se gardait bien de considérer la France médiane. Dans son discours étaient considérés d'une part les faibles revenus — en gros les gens gagnant moins que le smic — qui avaient donc droit à l'aide juridictionnelle, d'autre part le français moyen, selon lui, dont les revenus commençaient aux alentours de 5000€ par mois.
Pour les autres semble-t-il, point de justice en ce pays…
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: euh...
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Amazon mp3, peut mieux faire…. Évalué à 2.
En aucun cas. Mais c'est ce qui fait que votre commentaire peut sembler excessivement bref. D'où mes questions.
« La, faut aller voir un psy, car je ne vois rien qui peut s'approcher un tant soit peu de l'insulte dans mon commentaire précédent. »
Encore une fois je ne suis pas clair : ma phrase voulait désigner celle de « mais qui suis-je ». Cette dernière me semblant sous-entendre une forme de fanatisme religieux (« pûr ») chez les personnes refusant d'employer des logiciels privateurs.
« On est d'accord sur la conclusion, mais le chemin pris est quand même bizarre. »
<mode tête dans le gaz (parfait)>Pourrions nous en déduire que la conclusion est une fonction d'état ?</mode tête dans le gaz (parfait)>
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: euh...
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Amazon mp3, peut mieux faire…. Évalué à 1.
Donc MEA CULPA ; voici une tentative d'auto traduction :
- Il me semble que vous n'êtes absolument pas le genre de personne désignée par « certains d'entre vous […] refuser l'installation d'un logiciel proprio. » Et encore moins par « ceux-là n'écoute pas de musique »(sic).
- Partant, votre « si » apparaît lapidaire. Et ma curiosité aurait souhaité, qu'outre les raisons techniques, vous détaillassiez les expériences qui vous amènent à répondre « si »*.
- Ayant personnellement l'impression de pouvoir être visé par la phrase que vous citez (et que je trouve à la limite de l'insulte) je me permet ensuite de contribuer à la discussion en partageant mes opinion et témoignage — atypiques et incompréhensibles apparemment.
- Opinion qui, me tromperais-je, se rapproche de la votre : je ne connaît pas de lien évident et simple entre le fait d'apprécier la liberté informatique et la capacité à écouter de la musique.
Veuillez ne voir dans ces propos aucune malignité. Elle ne s'y trouve pas.
* Un exemple vivant comme le suivant aurait pleinement satisfait ma curiosité : « Dans mon entourage professionnel, j'ai trois geeks barbus, fanatiques de logiciels libres. Ils ont tous des portraits de R. Stallman sur leur table de chevet. Et tous passent leurs journées à écouter de la musique sous licence libre quand ils ne la produisent pas eux-même. Leur groupe s'appelle les RMS boy. Et ce n'est pas en référence à une école de management française. »
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: euh...
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Amazon mp3, peut mieux faire…. Évalué à -3.
Tiens moi qui, au fil de vos interventions, pensais avoir compris vous utilisiez un nombre appartenant à N* de logiciels privateurs et étiez plutôt amateur de productions audiovisuels… À moins qu'il ne s'agisse pas d'un témoignage personnel ? Ouïe-dire ? Pétition de principes ?
En tous cas je crois me reconnaître dans la phrase que vous citez. Néanmoins, sur le fond je reste convaincu que mon inculture et mon absence de goûts artistiques sont largement orthogonaux au choix de n'utiliser que des logiciels libres et non le résultat d'une forme de zèle fanatique.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: oups erreur
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Apple: "Don't do it yourself". Évalué à 5.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: plus cher à l'intégration
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Étude sur l'open-source "The Comingled Code". Évalué à 4.
Les licences libres offrent toutes (me semble-t-il) la possibilité d'étudier et de modifier le code source. Il est parfaitement évident pour presque tous les utilisateurs qu'ils ne sont pas contraints de le faire. Néanmoins, certains rédacteurs d'études semblent croire que ce sont là des étapes obligées de l'utilisation de logiciels libres. Ma raillerie consistait à proposer qu'un paragraphe soit ajouté afin de les détromper…
Un peu comme si, pour chaque erreur d'interprétation connue d'un texte l'on se fendait d'un paragraphe de dénégations venant s'apposer au texte initial.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: plus cher à l'intégration
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Étude sur l'open-source "The Comingled Code". Évalué à 7.
Plus sérieusement dans de nombreux cas on peut raisonnablement admettre quelque chose comme un déplacement partiel des coûts entre utilisation de logiciels privateurs et logiciels libres. C'est du moins ce que semblait montrer le cas de LDLC étudié à travers de nombreux trolls ici même. Un boîte a souvent le choix suivant. D'un côté, investir dans de collaborateurs de qualité qui vont acquérir des compétences et prendre des responsabilités, c'est-à-dire investir dans son propre potentiel. De l'autre louer du logiciel privateur et du support, en cantonnant ses employés au rôle épanouissant d'opérateurs de boîtes noires.
Les deux approches ont leurs partisans. Mais les tenant de la seconde se retrouvent plus souvent qu'à leur tour à exploiter de la main d'œuvre en Tunisie ou en Chine, cohérence oblige.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Évident
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Le mauvais usage. Évalué à 4.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Évident
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Le mauvais usage. Évalué à 8.
alias rm='rm -rf'
Et vive la république française ! Allons enfants de la …Plus sérieusement, je déteste l'alias en rm -i que certaines distributions imposent/aient par défaut. Mais je ne vois pas au nom de quoi l'on pourrait désirer l'interdire à autrui.
[1] Et, supériorité oblige, le vrai commando rajoute même une petite étoile dans son alias. Quels stars ces gars-là !
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Liens non entretenues
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le Wikileaks bucco-rhodanien revient sur la migration marseillaise vers Windows. Évalué à 7.
me semble obsolète. Sa chronologie s'arrête au 19 octobre 2010 ; par ailleurs au moins un document important pour étayer l'argumentation n'est pas/plus disponible. En particulier [http://www.april.org/sites/default/files/Migration_Marseille(...)]. L'April continue-t-elle de s'intéresser à ce dossier ?
NB : j'ai trouvé l'article de numérama particulièrement édifiant. On pourrait en retenir que s'indigner et agir c'est bien, mais qu'un peu de circonspection et de prudence sont souvent nécessaires. Il est de notoriété publique que la corruption ne s'éradique pas avec un peu de bonne volonté et quelques incantations basées sur le logiciel libre.
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[^] # Re: Et Linux tourne sur....
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Windows 8 tournera sur ARM. Évalué à 5.
Pour vous, le mainteneur qui reçoit une nuit dans sa boîte au lettre le courrier d'un pékin qu'il ne connaît ni d'Éve ni d'Adam lui indiquant grossièrement « j'ai compilaient vot programme sur un machine qui vous n'auriez et ne connaissiez pas pas, avék des libriothèque ke tu ne supportez pa [1] et ça marche pas. Pourriez-tu m'aidé svp ?* » Et qui passe ensuite deux semaines à travailler sans accès aux machines pour réussir à faire tourner son programme sur une architecture pas encore (ou quasiment) dans le commerce, c'est se « foutre » de la gueule des utilisateurs.
Pour vous aider à y voir plus clair mettons les choses en perspectives. Si un client de mirosoft (c'est le cas de le dire) demande à ce qu'une nouvelle architecture soit supportée pour tel ou tel programme, sans mettre à disposition la dite architecture, à votre avis sera-t-il écouté ? Et si oui, à combien de G€ devra-t-être ce client ?
Dans le cas que je rapporte on parle d'un utilisateur de base qui rapporte précisément zéro euros.
[1] J'utilisais lesstif au lieu de motif pour ceux que ça intéresse.
* Les fautes sont ajoutés pour tenir compte de mon niveau en anglais.
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[^] # Re: Et Linux tourne sur....
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Windows 8 tournera sur ARM. Évalué à 6.
À défaut de sources externes, je peux donner une témoignage personnel qui m'amène à douter fortement de la légitimité de vos propos dans la mesure ou ma mémoire fonctionne encore correctement.
Pour mon travail j'utilise une bonne quantité de logiciels — conscience professionnelle et civique oblige, exclusivement des logiciels libres — et à l'époque où j'employais et testait des architectures un peu exotique [1] tous marchaient impeccablement sauf certains programmes qui avaient des problèmes sur IA-64. Mais à l'époque ça se comprenait bien : l'architecture venait de sortir et la majorité des développeurs ne pouvaient rien tester.
J'avais même aidé le mainteneur d'un de mes outils à faire ses corrections pour les itaniums au cours d'un long échange épistolaire : il m'envoyait des patchs et je renvoyais les log de crashs. Ça à bien du prendre une ou deux semaines pour que ce programme fonctionne parfaitement sur une architecture dont ne disposait même pas les développeurs… Mais évidemment votre maître fait bien mieux avec bien moins de moyens :-).
[1] alpha, sparc, mips, power, nec-sx et IA-64 pour dresser une liste exhaustive.
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# Intéressant mais …
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal buffer souris de X au clavier. Évalué à 5.
/chemin/super/compliqué> appli monfichier &> /dev/null &
De toute façons même une application qui ne vérifie pas si une autre instance d'elle même est déjà lancée ne consomme pas beaucoup plus de ressources en étant instanciée N fois plutôt qu'une seule. Il me semble que c'est là l'un des grands apports des librairies dynamiques. Non ?
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[^] # Re: Petites recherches
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Intel lance une puce anti-piratage. Évalué à 4.
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[^] # Re: de Voyages SNCF qu'il s'agit ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Le site préféré des linuxfriens passe à Drupal. Évalué à 2.
Quelqu'un a une explication ?
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[^] # Re: xargs
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de la version 20101222 de GNU Parallel. Évalué à 7.
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[^] # Re: Euh…
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 51 de l'année 2010. Évalué à 3.
NB: on pourrait croire que mes propos accusant « les banques » ne sont que des élucubrations diffamatoires de principe. Mais, une fois n'est pas coutume, j'ai des sources autres que mes lubies. Je suis tombé sur un lien raisonnablement sérieux dans les commentaires de pcinpact :
[http://fr.readwriteweb.com/2010/01/29/a-la-une/loppsi-pedoph(...)]
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[^] # Re: Humeur
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal La taxe sur la copie privée et ses interprétations. Évalué à 5.
Il faut une taxe sur les imprimantes calculée en fonction leur résolution mesurée en lignes par pouces (LPI). Et il faudra déclarer la résolutions de son imprimante pour calculer la contribution créative sur chaque feuille de papier. En tenant compte de la « compression » moderne, il me semble que sur une feuille A4 on doit pouvoir imprimer plusieurs heures de musique standard par page (il ne faut guère plus d'une dizaine de lignes pour une portée ?).
Quelqu'un équipé d'une imprimante 100 LPI devrait naturellement s’acquitter de 0.05 € par m² de papier — une paille lorsque l'on considère qu'il pourra y imprimer des copies privées d'au moins 12 heures de musique©®™ — soit à peine 200 € pour une ramette permettant de réaliser la copie privée d'une part non négligeable du catalogue de la Sacem.
Pour une imprimante 300 LPI on se contentera de multiplier ce barème par deux. Il ne faut pas obérer la croissance. Et même, on n’additionnera pas les résolutions des imprimantes possédées pour calculer la contribution. Ainsi quelqu'un possédant deux imprimantes 100 LPI et une imprimante 300 LPI ne payera pas la taxe calculée pour 500 LPI comme de droit, mais pour seulement 350 LPI. Merci qui ?
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[^] # Re: Humeur
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal La taxe sur la copie privée et ses interprétations. Évalué à 10.
Ce que vous dites là n'est pas totalement faut. Mais ce n'est vraiment pas juste non plus car en suivant ce genre d'idée on régresserait rapidement vers l'âge de pierre. Permettez-moi de développer : Cette taxe s'applique sur toute les productions immatérielles modernes. Ainsi je dois m'acquitter de cette taxe aussi bien pour mon travail quotidien — ce qui me permet de vivre — que pour certains de mes loisirs (prendre des photos par exemple). Si dans le second cas, il est clair qu'il s'agit d'un luxe, cela ne l'est pas du tout dans le second. Nous pouvons donc balayer l'argument du produit de luxe. Argument qui n'est pas nouveau. C'était justement celui utilisé pour justifier la gabelle. Cet impôt sur le sel marin qui apportait de l'iode au peuple et évitait le crétinisme. Déjà pour l'époque n'aurait-il pas été légitime de s'interroger sur le droit des gens à chercher un fonctionnement normal de leur cerveau ? Il me semble qu'on pourrait remonter très loin à travers l'histoire et trouver une foule d'exemples de taxes similaires s'opposant à la modernité. Si elles n'avaient chacune à leur tour un jour céder, le pas nous en serions très probablement toujours à des modes de vies poches de ceux du néolithique… Voici qui me semble montrer rapidement : 1) en quoi un support de stockage n'est pas nécessairement un luxe; 2) que malgré le caractère lapidaire de mon propos (ni ici, ni dans mon message antérieur il n'est possible de faire une dissertation), je me suis donné la peine de faire un petit peu chauffer mes méninges du côté du lobe frontale.
« Après que cette taxe soit trop importante, c'est un autre débat. »
Ce n'est absolument pas le niveau de la taxe qui me gène. Je suis immensément riche. C'est son principe : taxer la production culturelle, scientifique, économique, etc, au profit des rentes du divertissement ; même pas de l'industrie du divertissement. En gros : l'appareil « élite » essaye de fourguer toujours plus de circenses au monde d'en bas. Le résultat d'une telle politique est bien connue. Je prenais exemple dans la bible tout à l'heure. Passons à l'histoire romaine : Quel était l'état de la république romaine 100 ans après que Juvénal déplora l'attitude du peuple ne s'inquiétant que de sa nourriture et de son divertissement ? (la question était rhétorique mais la réponse est emblématique : Commode était au pouvoir !)
Quant au reste, je suis plutôt d'accord : il est indispensable de payer des impôts. Et ces impôts doivent être à viser redistributive étant admis que la dynamique économique est naturellement concentratrice (pardon pour le néologisme). Oui à la taxe sur la fortune. Oui aux taxes sur la spéculation. Oui à un impôt sur le revenu de 50% et plus sur les revenus au-delà du Smic. Non à la TVA parce qu'elle frappe également riches et pauvres. Et surtout non aux impôts qui visent à lutter contre le progrès moral et intellectuel. Non aux impôts qui ponctionnent le travail au profit des rentes. Est-ce si difficile à comprendre ?
Ah, si encore un point : Non la taxe copie privée n'est pas là pour entériner un comportement illégal. Elle vient compenser un manque à gagner supposé lié à la disparition progressive de l'utilité d'une certaine forme de travail.
En pratique même cela est probablement faut. je suis assez persuadé qu'il n'y a pas de manque à gagner. Entre autre à partir de mon exemple personnel : je ne consomme aucun produit de divertissement en général. Mais pour mon malheur j'ai eu maille à partir avec quelques productions disney. Si je n'avais pu enfreindre la Dadvsi et en faire des copies, ces dvd seraient repartis fissa en direction de leur magasin. Grâce à des DRM ou autre il se sont avérés incompatibles avec mon lecteur de salon. Il m'a fallu batailler des jours entiers pour pouvoir faire profiter ma progéniture de ces œuvres. Aussi, je suis bien convaincu que très peu de gens commettraient le folie d'acheter au prix fort plusieurs fois le droit d'usage d'une œuvre : une fois pour mettre au salon, une fois pour la cuisine, une fois pour chaque lecteur des appuis tête des berlines, une fois pour la diffusion dans l'hélico, une fois pour chacun des itrucs des membres de la famille…
Ainsi, ce n'est pas à un, deux ou trois titres que la taxe copie privée me fait vomir. Ce sont absolument tous ses aspects que je trouve répugnants ! Sauf peut-être un seul : son niveau de prix qui m'importe comme guigne.
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# Humeur
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal La taxe sur la copie privée et ses interprétations. Évalué à 10.
Pas moi. C'est véritablement un scandale ; la partie émergé d'un iceberg qui coulera inéluctablement notre démocratie ; le témoignage clair et irréfragable de ce que les classes supérieures considèrent le peuple comme des moutons à tondre et ne cherchent plus tant à mériter leurs positions éminentes qu'à les asseoir par le détournement du droit à l'encontre de la justice — une attitude qui n'a rien de nouveau d'un point de vue historique et dont les conséquences sont connues depuis longtemps, cf. Amos 8 par exemple.
Pour ce qui est de free, j'aurais cru qu'ils se débarrassaient de la gabelle divertissement par le même argument qui leur permet de mépriser la licence Gnu GPL : puisqu'ils prétendent ne pas distribuer leurs freebox qui restent parties intrinsèques de leur équipement réseau professionnel, ne devraient-ils pas pouvoir invoquer ces deux raisons (pro + non distribution) pour se protéger partiellement des vampires de l'anticulture ?
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[^] # Re: probleme de caractère ...
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Publication d'une enquête sur les lois Hadopi. Évalué à 2.
Partiel : qui n'est pas complet. Ajouter cet adjectif n'est-ce pas une défense préventive contre des remarques du genre : vous auriez dû demander ceci ou cela ? Comme de toute évidence il se trouvera toujours quelqu'un pour penser qu'il aurait fallu ajouter quelque chose, insérer cet adjectif ne coûtait rien et me semble pouvoir être une marque d'humilité (ou un coquille) ; une manière de dire nous avons fait de notre mieux mais nous reconnaissons que ce n'est pas parfait.
Dans le contexte je me serais attendu à lire le mot partial également. Mais en y réfléchissant à deux fois, il me semble que partiel peut aussi faire sens. D'autant plus que le côté partial est souligné dans la seconde partie de la même proposition.
« Nous affirmons le caractère partiel de cette enquête et l’orientation subjective de notre analyse »
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